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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 09:06

 

Les plus grands criminels sont tout en haut de la pyramide, c'est bien connu. Une nouvelle affaire de corruption vient éclabousser la franc-maçonnerie oligarchique installée au coeur de nos institutions. Alain Bauer, le franc-maçon présenté par les media comme "spécialiste de la délinquance" (sic) serait-il lui-même un grand délinquant ? Il aurait en effet perçu 1,4 millions d’euros de la Caisse des Dépôts et Consignation depuis 2007 pour des notes inutiles sur les "risques sécuritaires dans le monde et en France", dont la Caisse chargée de gérer l'argent public n'avait aucun besoin réel :

 

Alain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôts

 

28 novembre 2014 | Par Laurent Mauduit

 

Alain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôts, sous la direction générale d'Augustin de Romanet puis de Jean-Pierre Jouyet. Un contrat annuel de 200 000 euros portait sur les questions de sécurité. Plusieurs milliers d'exemplaires du guide gastronomique Champérard, contrôlé à 50 % par le criminologue, ont aussi été achetés par la Caisse.

 

C'est une nouvelle en apparence microcosmique mais qui en dit long sur les intrigues, les jeux d’influence et les passe-droits qui se nouent parfois dans les coulisses du pouvoir : ami intime de l'actuel premier ministre et ancien grand maître du Grand Orient de France, Alain Bauer, qui use de sa qualité de professeur en criminologie pour décrocher des missions de conseil en sécurité auprès des grandes entreprises, a bénéficié de contrats et d’avantages secrets auprès de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), du temps où celle-ci avait pour directeur général Augustin de Romanet, puis à nouveau sous Jean-Pierre Jouyet. Mais selon nos informations, le nouveau patron de la Caisse, Pierre-René Lemas, a décidé de remettre de ...

 

Source: Mediapart http://www.mediapart.fr/journal/france/281114/alain-bauer-profite-de-contrats-de-complaisance-la-caisse-des-depots?onglet=full

 

 

 


Didier Migaud met en garde régulièrement le peuple sur la gaspillage des fonds publics et la nécessité d'être rigoureux au point de menacer les ménages modestes de la remise en cause de la sécurité sociale (alors que l'Etat oublie de recouvrir 132 milliards de ressources tous les ans). Laurent Mauduit apprend aux lecteurs de Médiaparat que l'hypermadiatisé donneur de leçons en rectitude criminelle bénéficiait de " contrats de complaisance ", ce qui rappelle confusément la procédure contre Xavière Tibéri. La coloration pénale de l'affaire interpellera la justice, compte tenu de son obligation d'impartialité, de la clameur publique que soulève l'article de Laurent Mauduit et de la nature criminelle des faits qui imposent d'agir.

Selon ce qu'expose l'article : " D’abord parce qu’il était très onéreux : 200 000 euros par an, TVA comprise. Ensuite parce qu’il s’agissait de sommes dépensées totalement à fonds perdus. Alain Bauer se bornait en effet en contrepartie des sommes qu’il empochait à transmettre à la CDC quelques notes sur les risques sécuritaires dans le monde et en France, notes qui pour la Caisse n’avaient strictement aucune utilité, selon les nombreux témoignages que nous avons pu recueillir. "

Alain Bauer aurait ainsi perçu, depuis 2007, 200 00 euros par an, soit 1 million 400 mille euros pour des rapports dont personne n'avait rien à faire ; à commencer par la Caisse de dépôts et de consignation, qui gère de l'argent public et qui est une institution financière publique.

Alain Bauer aurait ainsi bénéficié de versements d'argent public en contrepartie d'aucune prestation réellement justifiée. Le spécialiste autoproclamé de la délinquance serait-il lui même un délinquant ?

 

Source: Mediapart, Alain Bauer sera-t-il poursuivi avec la même sévérité qu'il réclame contre les petits délinquants ?

http://blogs.mediapart.fr/blog/poj/281114/alain-bauer-sera-t-il-poursuivi-avec-la-meme-severite-quil-reclame-contre-les-petits-delinquants

 

 

Note de Christ-Roi.

 

Edwy Plenel, directeur du journal Mediapart qui rapporte cette affaire de détournement d'argent public par Alain Bauer, est un agent américain.

 

Au-delà du détournement d'1,4 millions d’euros, la divulgation au grand public de cette affaire de vol d'argent public en bande organisée semble recouvrir en fait un règlement de compte interne et une lutte d'influence au coeur de l'Oligarchie pour prendre la plus grosse part du gâteau, entre francs-maçons d'obédience laïciste "Grand Orient de France" d'une part et francs-maçons américano-sionistes d'autre part.

 

Le site Mediapart d'Edwy Plenel vous rapportera en effet "tout ce qu’on vous cache et qui ne dérange pas les Américains". Le journaliste Olivier Berruyer l'explique sur Les Crises.fr :

 

 

Je rappelle certains propos de Mitterrand (qui n’avait QUE les services secrets à son service) sur Edwy Plénel :

« Il faudra tout de même qu’on sache qui est vraiment ce monsieur Plenel. […] Il parlera moins haut quand on saura qu’il travaille pour une puissance étrangère. » [propos de François Mitterrand rapporté par Gérard Colé à Pierre Péan, cité dans La Face cachée du Monde, 2003]

Confirmé par une autre source :

« Plenel ? Il ne m’a pas lâché pendant dix ans et j’ai fini par penser qu’il travaillait lui aussi pour les Américains. » [propos de François Mitterrand rapporté par Pierre Favier, journaliste longtemps accrédité à l'Élysée, La décennie Mitterrand, 1999]

 

Source: http://www.les-crises.fr/fn-ils-sont-vraiment-enormes-chez-mediapart/

 

 

Comme d'habitude, cette affaire sera enterrée, les oligarques continueront de se partager le gâteau tranquillement en détournant l'argent des Français, pendant que vous rembourserez leur dette.

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23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 18:58

 

Une intéressante analyse trouvée sur le site Reinformation.tv explique le processus conduisant du "melting pot" au "salad bowl", puis à la révolution mondialiste au travers de l'évolution de la politique de l'immigration aux Etats-Unis.

Nous en profiterons pour faire quelques rappels au sujet du complot maçonnique des Illuminés, visant à l'édification d'une République universelle, ses aboutissements en 1789, 1917 et aujourd'hui.

 

Regularisation-Immigres-clandestins-Obama-Etats-Unis-Empere.jpg

Barak Obama […] a justifié son décret de régularisation des immigrés clandestins par la volonté de « réparer le système d’immigration », en panne selon lui depuis la dernière grande régularisation décidée par le Républicain Ronald Reagan en 1986 (sous la pression notamment du lobby du citrus californien).

 

[…] Derrière la régularisation des immigrés clandestins, une gestion trotskiste du « salad bowl »

 

 

L’expérience de précédentes régularisations, tant aux Etats-Unis qu’en Europe, lui donne sans conteste raison : elles ont toujours fonctionné comme un violent appel d’air pour une nouvelle vague d’immigrants irréguliers. Dans ce contexte, les apparentes conditions restrictives énoncées par Obama ne sont que des précautions rhétoriques. Selon des informations fiables, il serait déjà en train de préparer un accès plus facile aux certificats de résidence permanente et aux « green cards » qui sont le rêve juridique de tout immigrant aux Etats-Unis. Sa prétention à se situer dans la tradition américaine est donc une mauvaise plaisanterie : sans doute l’Amérique est-elle une nation de migrants, mais chacun sait le contrôle draconien auquel elle a longtemps soumis l’immigration d’une part, et le soin avec lequel elle veillait à l’intégration des nouveaux arrivants, fondée sur la fierté d’appartenir à leur nouvelle patrie. C’est ce qu’on appelait le melting pot, le creuset où se fondaient les immigrants, devenus des Américains avant tout même s’ils se montraient fiers de leurs origines, Irlandais, Italiens ou autres. Aujourd’hui le melting pot a cessé de fonctionner, remplacé par un salad bowl où les communautés se juxtaposent sans former un tout harmonieux ni se soucier d’un destin commun.


 

Au bout du processus, la révolution mondialiste

 

 

C’est ce processus centrifuge dont Obama se sert et qu’il accentue depuis sa première élection. On se souvient que son concurrent Mac Cain avait obtenu en 2008 la majorité absolue chez les électeurs Américains « de souche », Obama faisant campagne en Espagnol auprès des Chicanos et se prévalant de sa femme Michelle pour séduire les Afro-américains. A peine fut-il élu qu’il critiquait la Constitution et ses rédacteurs Wasp (Anglo-saxons, blancs et protestants), et lançait des programmes ostensiblement orientés pour favoriser les minorités « colorées » (c’est la terminologie américaine) et hispaniques. Il mettait en principe les idées de son « père » intellectuel le trotskiste Alinski, dont il avait expérimenté les méthodes à ses débuts « d’organisateur de communauté » à Chicago au début des années quatre-vingt : après l’échec de la révolution prolétarienne, il s’agit d’utiliser les communautés ethniques, religieuses ou sexuelles pour subvertir l’Etat. Dans cette perspective, la régularisation des immigrés clandestins et l’appel d’air qu’elle ne manquera pas de provoquer sont un coup de maître. En accentuant le déséquilibre du salad bowl actuel, ils dilueront un peu plus l’identité américaine et permettront de faire un peu plus pression sur les institutions (par le jeu notamment des associations et de la justice) pour dynamiter tant la société que l’Etat. Voilà un pas concret vers la transformation d’une puissance nationale en patrie de la révolution mondialiste.


Source: Reinformation.Tv http://reinformation.tv/regularisation-immigres-clandestins-obama-etats-unis-empereur-trotskiste-mondialiste/

 

 

Note de Christ-Roi. Ce processus allant du "salad bowl" à la révolution mondialiste s'inscrit dans le cadre de l'ancien complot illuminati du XVIIIe siècle qui trouva des accomplissements dans la Révolution de 1789 et celle de 1917.

 

Ce complot vise depuis plus de deux siècles a édifier "en silence" un gouvernement mondial contrôlé par les adeptes de la Secte des Illuminés, "pour le bonheur de l'humanité" (Cf. Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 136-137).

 

Quelques rappels à ce sujet :

 

Ce gouvernement mondial aura prétendu éliminer les inégalités alors que lui-même, dans sa
"subordination générale & graduation des supérieurs", a établi la hiérarchie et l'autorité la plus complète.

 
Satan se flatte des résultats du Code Illuminé :


« Il n'existera plus ni Empire ni loi, l'anathème prononcé sur les Nations & sur leur Dieu, sur la société & sur ses lois, aura réduit en cendres nos autels, nos palais & nos villes, nos monumens des arts & jusqu'à nos chaumières...

Le dernier Spartacus contemplant ces ruines & s'entourant de ses Illuminés, pourra leur dire: Venez & célébrons la mémoire de Weishaupt notre Père. Nous avons consommé les mystères. Des lois qui gouvernaient les hommes, ne laissons plus au monde que les siennes. Si jamais les nations & leur religion & leur société & leur propriété pouvaient renaître, ce Code de Weishaupt les a détruites; ce Code seul les détruirait encore.

Il le dira, le dernier Spartacus; & les Démons aussi sortiront des enfers pour contempler cet oeuvre du Code illuminé, & Satan pourra dire: voilà les hommes devenus ce que je voulais. Je les chassais d'Eden; Weishaupt les chasse de leurs villes, & ne leur laisse plus que les forêts. Je leur appris à offenser leur Dieu; Weishaupt a su anéantir & l'offense & le Dieu. J'avais laissé la terre leur rendre encore le prix de leur sueur; Weishaupt frappe la terre de stérilité. Ils la défricheraient en vain; le champ qu'ils ont semé ne sera plus à eux. Je leur laissais leurs riches & leurs pauvres, leur inégalité; Weishaupt leur ôte à tous le droit de rien avoir...; & pour les rendre tous égaux, il les fait tous brigands. Je pouvais jalouser leurs restes de vertu, de bonheur, de grandeur même sous les lois protectrices de leurs sociétés, de leur patrie; Weishaupt maudit leurs lois & leur patrie, & ne leur laisse plus que le stupide orgueil, l'ignorance & les moeurs du sauvage errant, vagabond & abruti... En les rendant coupables, je leur laissais encore le repentir & l'espoir du pardon; Weishaupt a effacé le crime & le remords; il ne leur laisse plus que leurs forfaits sans crainte & leurs désastres sans espoir... »

(A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 430-431).
 
 

L'Illuminé se dit "Patriote" cependant qu'il travaille à la destruction des peuples, nations & patries

 

Ce gouvernement mondial surviendra alors que l'Illuminé aura déclaré dans le même temps être "Patriote" (discours à l'extérieur) et aura travaillé à la destruction des peuples, des nations et des patries (actions à l'intérieur des institutions). (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 183-186).

 

Ce gouvernement mondial surviendra alors que l'Illuminé, au nom de son égalité et de sa liberté,  aura appris à détruire l'amour de la famille plus encore que l'amour national et l'amour des patries.

 

« Il n'est plus de liens pour la secte infernale. Tous ceux de la nature, comme tous ceux des gouvernemens & de la religion s'effacent dans les derniers mystères de Weishaupt. » (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 286).

 

L'Illuminé se dit "cosmopolite" ou "citoyen de l'Univers". Sa patrie, c'est l'Univers. Dans la Secte, il n'y a plus de patrie. "Ce mot seul de patrie est un blasphème contre les droits de l'homme, l'égalité et la liberté. » (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, t. III, p. 304).

 
« Il [l'illuminé] ne prétend aimer tous les hommes également que pour se dispenser d'en aimer un seul véritablement. Il déteste l'amour national & patriotique, parce qu'il hait les lois des nations & celle de la patrie. Il déteste jusqu'à l'amour de la famille & il y substitue l'amour universel, parce qu'il n'aime pas davantage & les concitoyens & sa famille, qu'il n'aime le Chinois, le Tartare & le Hottentot, ou le Barbare qu'il ne verra jamais; & parce qu'il lui faut pour tous la même indifférence. Il étend ce lien pour annuler sa force & son action. Il se dit citoyen de l'univers, pour cesser d'être citoyen dans sa patrie, ami dans ses sociétés, père & enfant dans sa famille. Il nous dit aimer tout d'un pôle à l'autre, pour n'aimer rien autour de lui... De nouveaux sophismes viennent lui persuader que la faute originelle du genre humain est réellement d'avoir abandonner l' égalité, la liberté de la vie sauvage, par l'institution des lois civiles... » (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 186-187).

 

Le Code illuminé, ancêtre du communisme, veut détruire la propriété:

 

J.J. Rousseau, père de Weishaupt. "Les fruit de la terre sont à tous, la terre n'est à personne". (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 281-283).


« Les progrès du sophisme sont ici remarquables. Que ce qu'ils sont déjà, nous dise ce qu'ils seront un jour. Le Genevois (Rousseau), sophiste de la liberté & de l'égalité, prévenant les leçons du moderne Spartacus  (Nom de guerre du fondateur des Illuminés de Bavière, Adam Adam Weishaupt. Ndlr.) nous avait fait entendre cet oracle; "Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire, ceci est moi, & trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile." Le Genevois sophiste avait ajouté: "Que de crimes, que de guerres, de meurtres, de misères & d'horreurs n'eût point épargné au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant les fossés, eût crié à ses semblables: gardez-vous d'écoutez cet imposteur; vous êtes perdus, et si vous oubliez que les fruits sont à tous, & que la terre n'est à personne!" (Discours sur l'inégalité, 1753, 2è part.)

 

[L'abbé Barruel explique :] Qu'il aurait épargné de forfaits & de spoliations à la Révolution française, ce même sophiste si, renonçant à son désastreux paradoxe, il avait su donner au genre humain des leçons plus vraies, plus réfléchies; & s'il nous avait dit:

"Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire: ceci n'est à personne, je le cultiverai; de stérile, je le rendrai fertile; je ferai ce que la nature exige de moi pour en tirer ma subsistance, celle de mon épouse, celle de mes enfants; & ce terrain sera à moi. Le Dieu de la nature, qui ne l'a encore donné à personne, l'offre, & le donnera au premier cultivateur pour fruit de ses travaux. - Le premier qui, tenant ce discours, seconda le voeu de la nature & trouva des hommes assez sages pour l'imiter, fut le bienfaiteur du genre humain. Il apprit à ses enfans qu'ils n'étaient pas faits pour disputer aux animaux ou pour se disputer entre eux les fruits sauvages de la terre. Il leur dit qu'il était des vertus domestiques & civiles, préférables à la vie vagabonde & trop souvent féroce des Nomades. Sa postérité fut bénie; ses générations se multiplièrent. S'il ne put prévenir tous les fléaux, il arrêta au moins ce premier des fléaux, cette stérilité qui étouffe le germe de la vie, & ne laisse aux forêts que des hommes épars, trop souvent semblables au lion & au tigre, à qui seuls elles sont destinées.

Si Jean-Jacques [Rousseau] eût tenu ce langage, il se fût évité l'ignominie d'être le père de Weishaupt; mais la sottise humaine, baptisée du nom de "Philosophie", prodigue des éloges au paradoxe du Genevois; le sophiste Bavarois s'empare du Code de Jean-Jacques, & le délire de l'orgueil est puni par le délire de la scélératesse. Ce qui n'avait été dans les maîtres que le paradoxe d'une folle indépendance, sans perdre sa sottise, devient dans les élèves une désastreuse conspiration.

Il n'est plus temps de dire simplement: Ce sont là les chimères des Sophistes; il faut dire aujourd'hui (en 1798, Ndlr.):

Ce sont là les complots qui se trament contre vos propriétés; les complots qui déjà vous expliquent tant de spoliations révolutionnaires; celle de l'Eglise, celle de la Noblesse, celle de nos Marchands, celle de tous les riches propriétaires. -Je veux le dire, ce sont là des chimères; mais ce sont les chimères de Weishaupt, du démon des brigands conjurés, du démon le plus riche en sophismes, le plus fécond en artifices, pour les réaliser.

Ce que Jean-Jacques [Rousseau] a dit à ses Sophistes, le nouveau Spartacus [Weishaupt] le dit à ses légions illuminées:  

 

Les fruits sont à tous, la terre n'est à personne; il le dit dans ses antres, & il ajoute: Quand la propriété a commencé, l'égalité, la liberté ont disparu; & c'est au nom de cette égalité, de cette liberté qu'il conspire, qu'il invite les conjurés à rendre aux hommes la vie patriarchale . »


(Cf.
A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 281-283).

 

Le projet illuminé veut détruire le christianisme. La négation du péché originel.

 

Peche-originel.gif« Sous prétexte de découvrir une Religion plus parfaite, il (Weishaupt) leur a persuadé - aux adeptes - que le Christianisme du jour n'est que Superstition & tyrannie. Il leur a soufflé toute sa haine pour les prêtres & pour l'état actuel des Gouvernements. C'en est assez pour l'aider à détruire; il se gardera bien de leur dire ce qu'il veut édifier... »


(A. Barruel
, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 151).

« Lorsque nous entendons la Secte prononcer avec enthousiasme le mot de morale, souvenons-nous de cette définition. Sans cela, tous ces mots d' honnêtes gens ou de vertu, de bons & de méchans, seraient intintelligibles dans la bouche des adeptes. Avec cette définition seule, l'honnête homme est celui qui travaille à l'anéantissement de la société civile, de ses lois & de ses chefs; le méchant, c'est tout homme qui travaille au maintien de cette société. Il n'est point d'autre crime crime, ou point d'autre vertu dans le Code Illuminé.


L'homme "est méchant parce que la Religion, l'Etat, de mauvais exemples le pervertissent.[Ce postulat moderne qui est aussi celui de Jean-Jacques Rousseau - l'homme est né bon, c'est la société qui le corrompt - est une négation satanique du péché originel qui enseigne que l'homme est né avec la tache du péché originel, et qu'il doit se sanctifier pour faire sa fin dernière. Ndlr.] Il serait bon si l'on cherchait à le rendre meilleur, s'il était moins de gens intéressés à le rendre méchant, pour étayer leur puissance sur la méchanceté.


[...] La thèse [illuminée] est assez perverse pour que nous nous y arrêtions un instant. 

[...] La morale [illuminée] [...] ne sera point cette morale [catholique] qui, en dégradant l'homme, le rend insouciant pour les biens de ce monde, lui interdit la jouissance des plaisirs innocens de la vie, lui inspire la haine de ses frères... »  

 

( A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 202-206).

 

La morale illuminée niant le péché originel, commet une erreur sur la nature de l'homme. Cette erreur fait que l'expérience communiste en Urss a échoué et fera que l'idéologie illuminée, déconnectée du réel - et le Gouvernement mondial - échouera pour la même raison. Cf. "La gauche et le peuple, un divorce consommé". Si bien que l'expérience moderne que nous vivons depuis le XVIIIe siècle pourra être analysée par l'historien du futur comme une grande hérésie portant sur le péché originel. Or, s'attaquer au dogme du péché originel c'est nier l'intervention de Satan dans ce monde, c'est nier la nécessité de l'Incarnation et de la Rédemption en Christ, c'est  supprimer tout le plan divin de restauration de l'Humanité déchue. 

 

La morale des "droits de l'homme", de la "liberté", de l'"égalité", outil de destruction de toutes religions.


« Voici le mot réservé dans l'initation au dernier grade de l'Illuminisme (Mage ou philosophe Illuminé) :

 Souvenez-vous aussi combien dans ces premiers grades nous vous avons parlé de morale & de vertu, mais combien les études que nous vous prescrivions & les leçons que nous vous donnions, rendaient & la vertu & la morale indépendantes de toute religion; combien, en vous faisant l'éloge de la Religion, nous avons su vous prévenir qu'elle n'était rien moins que ces mystères & ce culte dégénérés entre les mains des Prêtres. Souvenez-vous avec quel art, avec quel respect simulé nous vous avons parlé du Christ & de son Evangile, dans nos grades d'Illuminé majeur, de Chevalier Ecossais & d' Epopte; comment nous avons su, de cet Evangile, faire celui de notre raison; & de sa morale, celle de la nature; & de la religion, de la raison, de la morale, de la nature, faire la religion, la morale des DROITS DE L'HOMME, de l' égalité, de la liberté.

"Nous avons eu en vous bien des préjugés à détruire, avant de vous persuader que cette prétendue Religion du Christ n'était que l'ouvrage des Prêtres, & de l'imposture & de la tyrannie. S'il en est ainsi de cet Evangile, tant proclamé, tant admiré, que devons-nous penser de toutes les autres religions? Apprenez donc qu'elles ont toutes les mêmes fictions pour origines; qu'elles sont également toutes fondées sur le mensonge, l'erreur, la chimère & l'imposture. Voilà notre secret... »

( 
A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, , 1798, t. III, p. 262-263).

 

Democratie-genocide.jpg« Si pour détruire tout christianisme, toute religion, nous avons fait semblant d'avoir seuls le vrai Christianisme, seuls la vraie religion; souvenez-vous que la fin sanctifie les moyens, que le sage doit prendre pour le bien tous les moyens du méchant pour le mal. Ceux dont nous avons usé pour vous délivrer, ceux que nous prenons pour délivrer un jour le genre humain de toute religion, ne sont qu'une pieuse fraude que nous nous réservons de dévoiler dans ce grade de Mage ou de Philosophe Illuminé » (Archives du Code Illuminé cité in A. Barruel, ibid., t. III, p. 264).

 

[...] Cet objet de tant de ruses & de tant d'artifices, est de conduire les adeptes au plus monstrueux athéisme, & de persuader à tous les peuples que toute religion n'est que l'invention d'ambitieux imposteurs; que pour le délivrer du despotisme de l'imposture & RECOUVRER LES FAMEUX DROITS DE L'HOMME, la Liberté, l'Egalité, il faut commencer par anéantir toute Religion, tout culte, tout autel, cesser de croire en Dieu. » (A. Barruel, ibid., t. III, p. 269).


En 1790, Brissot, l'agent de la banque britannique, invoquant l'autorité de Machiavel, rétorqua à Clermont-Tonerre : « Rappelez-vous, l'axiome : 'qui veut la fin, veut les moyens'" (Cf. Le Patriote français, n° 201, 25 février 1790, p. 5-8, cité in P. Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 89).

 

Pour ce faire, « la guerre de la liberté, est une guerre sacrée, une guerre commandée par le ciel; et comme le ciel elle purifie les âmes. ... Au sortir des combats, c'est une nation régénérée, neuve, morale; tels vous avez vu les Américains: sept ans de guerre ont valu pour eux un siècle de moralité. ... La guerre seule peut égaliser les têtes et régénérer les âmes. » (Jacques-Pierre Brissot de Warville, discours du 16 décembre 1791, cité in Lucien Jaume, Le Discours jacobin et la démocratie , Fayard, Saint-Amand-Montrond 1989, p. 71.)


« Il faut incendier les quatre coins de l'Europe, notre salut est là »(Brissot cité in Considér. sur la nature de la Révol., Mallett du Pan, p. 37).

 

Manifeste-du-Parti-communiste--ou-Manifeste-communiste--Fac.png

Manifeste du Parti communiste, ou Manifeste communiste (Fac similé de la couverture de l'édition originale)

Plus tard, au XIXe siècle, les héritiers de la Révolution de 1789, « les communistes placeront la guerre civile "au coeur du projet communiste, tel qu'il apparaît dès 1848 dans le Manifeste du Parti communiste où Marx, évoquant la lutte des classes, parle de "la guerre civile plus ou moins latente au sein de la société actuelle, jusqu'au point où elle éclate en révolution ouverte et où le prolétariat jette les fondements de sa domination par le renversement violent de la bourgeoisie."

La conclusion du Manifeste est fort claire : "Les communistes déclarent ouvertement qu'ils ne peuvent atteindre leurs objectifs qu'en détruisant par la violence l'ancien ordre social." »

(Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 76.)

 

Encore une fois, la fin justifie les moyens pour les révolutionnaires modernes. En octobre 1917, Lénine le rappellera : "Cette guerre pourra être violente, sanguinaire, elle pourra coûter la vie de dizaines de milliers de propriétaires fonciers, de capitalistes et d'officiers qui épousent leur cause. Le prolétariat ne reculera devant aucun sacrifice pour sauver la révolution." » (Lénine, Oeuvres, Paris/Moscou, Editions sociales/Editions en langues étrangères, 1959, t. 26, p. 62, cité in Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 78 et 99.)

 

« Dès septembre 1917, il (Lénine) n'a de cesse de pousser les bolcheviks à la prise du pouvoir par une insurrection qui ouvrirait la voie à une guerre civile, étape indispensable de la transformation socialiste de la société russe. » (Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 99.) 


Massacre-aux-Lucs-sur-Boulogne--28-fevrier-1794-.jpg« Comme dans le cas des interprétations républicaines de la Révolution française, la terreur instaurée dans les régimes communistes a longtemps été mise sur le compte des "circonstances" : la Révolution suscitait l'émergence de résistances contre-révolutionnaires responsables de la guerre civile et qui devaient donc, "nécessairement" et "inévitablement", être écrasées." » ( Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 117.)


« Les méthodes mises en oeuvre sont diverses : fusillades de masse, prise et fusillade d'otages, massacre de la famille impériale à partir de juillet 1918, décret sur la "terreur rouge" le 5 septembre 1918, création de camps de concentration le 4 septembre 1918, utilisation de l'arme de la faim dans les villes (cartes de rationnement), déportations de masse, utilisation de la famine contre la paysannerie, etc. »   (Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 120.)

 

Les guerres de l'Empire aujourd'hui dans le monde, les génocides (en Ukraine), l'instrumentalisation de l'individualisme (ethnique, sexuel, religieux), sont autant de moyens mis au service de leur Nouvel ordre mondial communiste et athée.

 

 

. De Gettysburg à Goldman Sachs : D'un monde libre à un monde communiste

. Dans l'Ombre d'Hermès. Les Secrets du Communisme" (VOSTFR, "In the shadow of Hermes. The Secrets of Communism")

. Le complot républicain de 1792 et le génocide vendéen

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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 17:30

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« Au début de la Révolution, personne ou presque n'imaginait sérieusement que la France pût un jour cesser d'être une monarchie. [...] L'idée de transformer la France en république ne rassembla, jusqu'à Varennes au moins (jusqu'au complot de Varennes devrait-on dire lorsqu'on précise que c'est le franc-maçon La Fayette qui suggéra à Louis XVI de s'enfuir en empruntant tel chemin pour le faire arrêter et juger pour haute trahison... Mémoires pour servir à l'Histoire du Jacobinisme, Augustin Barruel, Nldr.), qu'une poignée de sectateurs. [...] Longtemps ils passèrent inaperçus.  [...] On commença à parler de l'existence d'une faction républicaine vers le printemps 1790, au moment d'ailleurs où le roi finissait d'être dépouillé de toute prérogative caractéristique de la souveraineté. » ( P. Gueniffey, Histoire de la Révolution et de l'Empire , Perrin, Collection Tempus, Paris 2011, p. 89.)

 

La conspiration républicaine du 10 août 1792

 

Le 10 août 1792, journée au cours de laquelle fut envahie l'Assemblée ainsi que le Palais des Tuileries (siège du pouvoir Exécutif pris d'assaut), un directoire secret entre les amis de La Fayette et de Brissot lâcha des « manifestants » préparés politiquement et militairement pour susciter cette insurrection parisienne non spontanée (Cf. Gérard Maintenant, Les Jacobins, collection Que sais-je? PUF, Paris 1984, p. 52-58) qui devait aboutir à la proclamation de la « république » en septembre 1792.

 

« Dès lors, on les entend dire dans leur club, ce que Brissot écrivait ensuite aux généraux de sa Révolution: 'Il faut incendier les quatre coins de l'Europe, notre salut est là' (Voyez Considér. sur la nature de la Révol. par M. Mallett du Pan, p. 37).

 

[...] L'historien pourra trouver toute l'histoire de cette atroce révolution du 10 août, dans les discours du député Louvet (journaliste, conventionnel régicide, député aux Cinq-Cents): 'nous la voulions, nous autres jacobins, parce qu'à coup sûr la paix tuait la république...' » (Jean-Baptiste Louvet, dit Louvet de Couvray, cité in A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 2, p. 473.)

 

Le génocide vendéen montre ce fait historique d'un pouvoir révolutionnaire et républicain parisien qui massacra la population française qui eut le tort de s'opposer et de se lever devant des dispositions et une politique extraordinaire inconnues jusqu'ici (levée en masse, conscription obligatoire, impôts, lois liberticides d'atteinte à la liberté religieuse, liberté d'association, etc.). En voici un petit résumé.

 

Le 1er octobre 1793, un « rapport sur la Vendée » à la Convention dite « nationale », du député membre du Comité de Salut Public (CSP), Barère, prescrit l'anéantissement et l'extermination de la Vendée.

Une loi du même jour de la Convention dite « nationale » créée l'Armée de l'ouest en vue de l'« extermination des brigands vendéens ». Le mot « extermination » est employé par les « élus » de la dite « république ». Le mot « brigand » désigne tous les habitants de la Vendée qualifiés collectivement de « race impure qui souille territoire de la République ».

Ce même mois d'octobre 1793, le CSP prend la direction du génocide mis en œuvre par « petits bouts de papiers » (Reynald Secher, Du Génocide au Mémoricide). Le 27 novembre 1793, le CSP nomme Turreau général de l'armée de l'Ouest.

Barrère à la convention en décembre 1793 déclare encore :

« Les colonnes infernales (de Turreau) ont pour consigne de PASSER A LA BAIONNETTE TOUS LES HABITANTS, y compris FEMMES ET ENFANTS, qu'elles rencontreront sur leur passage…, de BRÛLER TOUS LES VILLAGES, METAIRIES, BOIS ET LANDES, après en avoir enlevé tous les subsides, grains et fourrages. »

Ces mots sont repris et mis en ordres par le général révolutionnaire Turreau en date du 17/01/ 1794 cité par Gautherot et par Grignon.

Le 21 Janvier 1794, Turreau lance ses « colonnes infernales » pour exterminer la Vendée.

L'un des chefs de ces colonnes, Amey, va jusqu'à faire jeter dans les fours de campagne les femmes et les enfants qu'on lui amène : « C'est ainsi, dit-il, que la 'République' doit faire cuire son pain! »

Un autre chef républicain, Beysser, se vante « de porter au milieu des combats et des revues un pantalon fait avec la peau préparée et tannée des Vendéens qu'on écorchait après la bataille. » Les républicains prirent des vendéens et en firent des peaux tannées.

Les troupes républicaines, massacrent jusqu'à des enfants de quelques jours, tel le petit Bossard de la Rabatelière; ailleurs, - et le fait s'est produit plusieurs fois... - on éventre les bébés vendéens qu'on tient suspendus au bout des baïonnettes.

« A Châtillon, à l'endroit dit des quatre routes, les soldats républicains égorgent une mère et son nourrisson; ils enfilent ensuite l'enfant avec une broche et le font rôtir au foyer, en mettant la broche dans la main de la mère après lui avoir coupé la tête. » (Gautherot, L'épopée Vendéenne, p. 403.)

« Une fois entre deux noyades (celles de Nantes par Carrier), s'étant rendus à Clisson, ils dressèrent un immense bûcher, placèrent dessous des barils vides et dessus cent cinquante femmes qu'ils firent brûler pendant la nuit. La graisse de ces malheureuses remplit les barils qui furent transportés à Nantes et vendus au commerce. " Cette opération économique, écrivit Carrier, produisait une graisse mille fois plus agréable que le Saindoux. » (Crétineau-Joly, Histoire de la Vendée militaire, II, 72.)

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Le 28 février 1794, aux Lucs sur Boulogne, 110 enfants âgés de moins de 7 ans furent massacrés. (Cf. Marie Auguste Huchet, "Le massacre des Lucs-sur-Boulogne et le martyrologue du curé Barbedette, 1983)

 

Les Républicains, une fois entrés dans le village, rassemblèrent la population devant l'église. Les villageois n'étaient guère en mesure de se défendre, la population comptait principalement des vieillards, des femmes, des enfants. Matincourt choisit de ne pas faire de quartier ; il souhaita que l'opération se fasse en économisant le plus de cartouches possibles. Les soldats firent entrer la population dans l'église jusqu'à ce que l'église s'avérant trop petite pour pouvoir contenir toute la population, les Républicains mirent leur baïonnette au canon, chargèrent et massacrèrent toutes les personnes restées à l'extérieur. Les portes de la chapelle furent refermées, emprisonnant les civils à l'intérieur. L'église fut incendiée et des tirs de canons provoquèrent son éboulement.

Le 28 février 1794, c'est le jour du grand massacre aux Lucs : le républicain Chapelain, marchant à la suite des assassins du général Cordelier, ceux-là même qui venaient de ravager la petite bourgade, notait dans son carnet-journal : « Aujourd'hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter, à peu de frais, toute une nichée de calottins qui brandissaient leurs insignes du fanatisme. Nos colonnes ont progressé normalement. »

Le massacre des Lucs, ressemble au drame d'Oradour sur Glane. Dans la chapelle, plus de 500 noms sont gravés sur des plaques de marbre blanc. Ils furent brûlés vifs. Des familles entières ont péri. La chapelle Notre Dame du Petit Luc est un endroit bien émouvant, où chaque nom nous rappelle qu'en ces lieux l'homme s'est vautré dans l'ignominie. Et cette ignominie a vu la naissance de la république dite "française".

Les colonnes infernales avaient pour mission de détruire les rebelles et les soldats les poursuivaient à travers toute la campagne.

« J'ai fait fûreter les fossés, les haies et les bois. C'est là que je les ai trouvés blottis, tout a été passé par le fer. » (général Grignon, chef de la 1ère colonne).

Les gens qui étaient restés dans les villages n'étaient pas mieux traités : incendiés avec leurs maisons, ou fusillés, ou tués à coups de sabre et de baïonnettes, pour épargner la poudre et pour faire durer le plaisir.

Les tueurs étaient des tortionnaires qui coupaient des membres et des têtes, éventraient les victimes et les torturaient.

« Monsieur Morinière, sa femme et deux domestiques, sur leur refus de crier Vive la République, eurent la langue arrachée, les yeux crevés, les oreilles coupées... Un voisin, sa femme et sa soeur furent suspendus par le menton à des crampons de fer. »

En mars 1794 le nombre des victimes est de 118 à La Chapelle-Basse-Mer et de 563 aux Lucs. (Chiffres Extrait de "Les paysans en guerre" de Jean Gallet)

Le 7 février 1794, aux Landes-Genusson, une centaine de femmes, d'enfants, de vieillards sont massacrés. A une jeune fille qui préfère la mort à la souillure, on arrache un à un les ongles puis les seins.

Pendant que les bandes républicaines assassinaient, violaient, incendiaient, pillaient, liquidaient les habitants de la Vendée, la République perpétuait les mêmes exécrables forfaits dans toute la France, à Paris, à Lyon, à Angers, à Nantes, à Rochefort, etc. (Marquis de la Franquerie, La Vierge Marie dans l'Histoire de France, éd. Résiac, Montsûrs 1994, p. 219-220.)

Pendant que le peuple français était génocidé, les banquiers internationaux faisaient leur blé. Les descendants des républicains de 1789 liquidèrent la monarchie russe en 1917 avec l'aide des banques de Wall street et du lobby des trafiquants de monnaie internationaux.

http://img.over-blog.com/500x318/0/51/99/49/Juin-2014/Slaviansk---habitants-de-Slaviansk-durant-un-gros-tir-d-art.jpgIls font la même chose aujourd'hui dans le Donbass (Ukraine) avec le soutien des banques, de l'ONU, de l'OTAN et de l'Union européenne, en liquidant les habitants, violant, torturant le peuple qui s'oppose au coup d'Etat atlantiste à Kiev, comme le peuple vendéen s'était opposé au coup d'Etat de 1792-1793.

Parmi les premier décrets de l’Assemblée dite « nationale », il y a la suppression de tout le droit social (les communautés de métiers) et la libéralisation du prêt à intérêt jusque-là interdit comme délit (usure) par un millénaire en accord avec les règles de l'Eglise. 

La première Banque dite « de France » peut enfin naître sous Napoléon, prince de la Révolution. Elle arrive chez nous, un siècle après celle d'Angleterre. Elle marque la date de naissance de la ploutocratie des banksters internationaux.

Les ordres de liquidation de la Vendée vinrent d'en haut, de l'Assemblée dite « nationale » (une assemblée d'escrocs et d'assassins en grande majorité francs-maçons) et du Comité de Salut public (premier organe du gouvernement révolutionnaire).

Au total, la « République » « française » est née dans un bain de sang caché (mémoricide : aucun manuel scolaire d'histoire n'en parle, il s'agit de sauver la « république ») planifié et organisé.

Un coup d'Etat soutenu par la banque.

Le génocide vendéen fut accompagné d'une guerre européenne déclenchée à l'instigation des girondins (Brissot était l'agent de la banque britannique. Cf. R. Sédillot, Le Coût de la Terreur, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1990, p. 213, 214. Il était également accéssoirement secrétaire général et trésorier de chancellerie du duc d'Orléans, Grand Maitre du Grand Orient de France... Cf. Bernard Faÿ, La Grande révolution 1715-1815, Le Livre contemporain, Paris 1959; p. 183, 345 et suivantes, 367, 369, 407). La guerre européenne révolutionnaire se termina à Waterloo en 1815 avec le décollage de la dynastie Rothschild, l'avènement de la finance internationale et des banques centrales.

L'addition des pertes dues à la Révolution et à l'Empire est de 400 000 morts pour les guerres jusqu'en 1800; un million pour les guerres napoléoniennes; 600 000 pour les guerres intestines; et l'échafaud pour mémoire. […] Deux millions de morts" (René Sédillot, Le coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin Mesnil-sur-l'Estrée 1987, p. 24-28).

S'agissant du bilan humain du « génocide en Vendée », l'historien René Sédillot explique :

 

Revolution-de-1789---Coup-d-Etat.JPG« L'estimation totale des victimes varie du simple au sextuple: au plus bas 100 000, au plus haut 600 000. Les 117 000 disparus que retient Reynald Secher (Le Génocide franco-français: la vendée-Vengé, P.U.F.) ne concernent que les départements de la "Vendée militaire". Le nombre le plus élevé est celui de Pierre Chaunu, qui s'exprime en maître démographe, celui aussi dont fait état Alexandre Sanguinetti dans son Histoire du soldat. Il s'entend pour les bleus et blancs confondus, pour les tués à l'arme blanche, au fusil de chasse, au fusil modèle 1777, pour les victimes de la maladie, de la disette sur une terre brûlée, des exécutions sommaires, pour les blessés qui succombent dans l'impossibilité où l'on est de les soigner: les guerres civiles sont inexorables.

 

On retiendra ici un nombre médian, de l'ordre de 400 000. Il concerne à la fois les insurgés morts au combat (les résistants à l'oppression), en Bretagne et en Vendée, les morts du camp républicain, et ceux des autres provinces de l'Ouest – de la Normandie à la Gironde…

 

Ce tragique décompte doit être encore complété par les victimes de multiples luttes fratricides, notamment dans le Lyonnais, en Provence ou en Corse; par les victimes des Terreurs blanches: celle de 1795 au temps des Compagnons de Jéhu, celle de 1815 au temps des "Verdets", lors de l'assassinat du maréchal Brune à Avignon, du général Ramel à Toulouse. Tous ces règlements de comptes entre Français portent le bilan global des guerres civiles aux alentours de 600 000 unités.

 

Refaisons l'addition des pertes dues à la Révolution et à l'Empire:  

400 000 morts pour les guerres jusqu'en 1800;

un million pour les guerres napoléoniennes;  

600 000 pour les guerres intestines;

et l'échafaud pour mémoire.

Voilà nos deux millions de morts. » (René Sédillot, Le coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin Mesnil-sur-l'Estrée 1987, p. 24-28).

 

Près de 80% des personnes guillotinées sous la Révolution étaient des petites gens. Les ouvriers ont été envoyés par charrettes entières à la guillotine.

 

Revolution-1789---80--des-francais-guillotines-etaient-.jpg« Les décapitations [...] concernent pour 28% des paysans, pour 31% des artisans et des ouvriers, sans doute pour plus de 20% des marchands ... 8 à 9% des nobles, pour 6 à 7% des membres du clergé... » (René Sédillot, Le Coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1984, p. 24.)

 

Au XIXe siècle, c’est tout le régime manufacturier mis en place par la Ière république qui a été un génocide social.

« La Révolution aura fait reculer la législation sociale de trois-quarts de siècle. » (René Sédillot)

___________

“Vendée, du génocide au mémoricide” : entretien avec Reynald Secher [audio]

La première logique totalitaire apparaît sous la "Révolution française" (Stéphane Courtois)

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 23:48

 

Les USA veulent instaurer un ordre hiérarchique dans le monde (diplomate russe)

 

22:06 19/11/2014

MOSCOU, 19 novembre - RIA Novosti

 

La communauté internationale assiste à une tentative d'établir un ordre mondial rigoureusement hiérarchisé et ayant la forme d'une pyramide au sommet de laquelle on trouverait les Etats-Unis et leurs alliés, a déclaré mercredi à RIA Novosti la représentante permanente de la Russie auprès de l'UNESCO, Eleonora Mitrofanova.


"Le comportement de ce genre fait généralement en sorte que l'opinion de la plupart des pays membres de l'Onu est complètement ignorée", a indiqué la diplomate.


Mme Mitrofanova a annoncé mardi que l'UNESCO avait décidé de fermer son bureau à Moscou au second semestre 2015 en raison de difficultés financières.

 

Source: http://fr.ria.ru/world/20141119/203025287.html

 

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 14:42

Les francs-maçons déclarent régulièrement, comme dernièrement dans une campagne publique contre « la dangereuse résurgence de l'antimaçonnisme », qu'ils travaillent « à visage découvert avec les portes ouvertes » et que la « la franc-maçonnerie ne travaille pas repliée dans ses temples, à l'insu de tout le monde. » (1)

 

Qu'en est-il réellement ?

 

Cliquez sur l'image pour voir la video sur youtube :


Secret-maconnique---Ceremonie-satanique-du-serment-maco.jpg

 

Cette vidéo montre la cérémonie satanique du serment de secret maçonnique où l'initié jure "sur les trois grandes lumières de la franc-maçonnerie", de "ne jamais révéler aucun des secrets de la franc-maçonnerie [...] à qui n'a pas qualité pour les connaître," [...] et d'aimer ses frères et soeur et de les "aider" par ses "conseils et ses actions" [serment d'entraide, ndlr.].

 

L'initié "jure tout cela [...] sous peine", s'il devait y manquer, à "avoir la langue arrachée et la gorge coupée."

 

Jurer de "ne révéler aucun des secrets de la franc-maçonnerie à qui n'a pas qualité pour les connaître" sous peine d'"avoir la gorge coupée"... est difficilement compatible avec un travail fait en pleine lumière, "à visage découvert avec les portes ouvertes"...

 

Notes

 

(1) Daniel Keller in "Une campagne contre l'antimaçonnisme", Lefigaro.fr avec AFP Mis à jour le 26/10/2014 à 11:11 Publié le 26/10/2014 à 11:07 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/26/97001-20141026FILWWW00041-le-grand-orient-en-campagne-contre-l-antimaconnisme.php

 

 

. La franc-maçonnerie lance une "campagne contre l'antimaçonnisme"

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1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 10:05

"Money Masters", les maîtres de la monnaie.

 

Suite de la première partie :

 

 

 

La loi de la Réserve fédérale de 1913 et l'impôt sur le revenu.

 

(à partir de 02h03) 

 

Malgré tous les soupçons de fraude et de corruption, la loi fut votée par le Sénat le 22 décembre 1913, alors que la plupart des sénateurs avaient quitté la ville pour les fêtes, et que les instigateurs s'étaient assurés que rien ne pouvait être fait avant longtemps après Noël.

 

Le jour où la loi fut adoptée, le congressiste Charles Augustus Lindbergh (le père du célèbre aviateur qui relia le premier Paris à New York, en 1927, à bord de son avion "Spirit of Saint Louis", ndlr.) avertit prophétiquement ses compatriotes :

 

Charles-August-Lindbergh.jpeg

Charles August Lindbergh

"Cette loi établit le plus gros trust sur terre. Quand le président a signé cette loi, le gouvernement invisible de la puissance monétaire sera de fait légalisé.

 

Le peuple ne s'en apercevra pas tout de suite, mais l'addition est reportée seulement de quelques années... Le pire crime législatif de tous les temps a été perpétré par cette loi bancaire."

 

En plus de ça, quelques semaines auparavant, le Congrès a également fait passer une loi concernant l'impôt sur le revenu.

 

Les banquiers avaient un système produisant une dette étatique pratiquement illimitée. Comment payer les intérêts de cette dette sans toucher au montant initial ?

 

Auparavant, le gouvernement fédéral recevait seulement les impôts sur les importations et la production.

Dorénavant, tout comme la Banque d'Angleterre, les paiements des intérêts seraient garantis par les impôts directement prélevés sur le peuple.

Il est intéressant de noter qu'en 1895 la Cour suprême déclara inconstitutionnelle une loi similaire d'impôt sur le revenu.

En 1909, la Cour suprême déclara également inconstitutionnelle l'impôt sur les sociétés.

Le sénateur Aldrich soutint donc au Congrès un projet d'amendement constitutionnel permettant l'impôt sur le revenu. Certains affirment que ce 16ème amendement ne fut jamais ratifiés par les nécessaires 3/4 des états (50 états fédérés du pays).

En d'autres termes le 16ème amendement pourrait être illégal.

 

Inflation-americaine-entre-1913-et-2010.jpg
Comme vous pouvez le voir sur le Graphique de l'inflation cumulée aux Etats-Unis depuis la création de la FED en 1913, il y a eu 2275% d'inflation.

 

Un an après que la loi sur la Réserve fédérale fut approuvée, le congressiste Charles Lindbergh expliqua comment la FED créait ce que l'on appelle désormais les "cycles économiques" et comment elles les utilisait à son profit :

 

"Pour faire monter les prix, tout ce que l'équipe de la Réserve fédérale doit faire, c'est de diminuer les taux d'intérêts, produisant ainsi une augmentation du crédit et un marché boursier au plus haut; puis lorsque les hommes d'affaires sont habitués à ces conditions, on fait tourner la roue, on augmente cette fois arbitrairement les taux d'intérêts. Par un effet pendulaire de boom et de crash du marché, cela cause de violentes fluctuations dues à la variation des taux.

 

... Voilà le plus étrange et le plus dangereux avantage accordé par n'importe quel gouvernement ayant existé, désormais entre les mains de cette classe privilégiée.

 

... Ils connaissent par avance les moments les plus avantageux pour créer les paniques financières. Ils savent aussi quand arrêter ces paniques.

 

L'inflation et la déflation fonctionne pour eux de manière égale, comme ils contrôlent toute la finance.

 

Charles Lindbergh ne se trompait que sur un point : la plupart des nations européennes empruntaient déjà à leurs banques centrales depuis des décennies, et parfois même des siècles (pour l'Angleterre et la France, ndlr.).

 

Le congressiste Louis McFadden, Président de la Commission bancaire et monétaire entre 1920 et 1931, fit la remarque suivante sur la loi de la Réserve fédérale :

 

"Un super Etat contrôlé par les banquiers internationaux et les industriels internationaux oeuvrant ensemble pour réduire en esclavage le monde, pour leur seul plaisir. "

 

Un autre président de la Commission bancaire et monétaire, durant les années 1960, le texan Wright Patman, déclara :

 

"Aujourd'hui aux Etats-Unis, nous avons en fait deux gouvernements. Nous avons le gouvernement légal établi. Et nous avons le gouvernement indépendant, hors contrôle et imprévisible du système de la Réserve fédérale, manipulant les leviers monétaires, réservés au Congrès d'après la Constitution. ."

 

 

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Président Woodrow Wilson. Portrait, 2 décembre 1912

Trois ans après le passage de l'Acte sur la Federal Reserve, même le président Woodrow Wilson jugeait différemment son action durant son premier mandat à la Maison Blanche : 

 

"Nous sommes devenus l'un des gouvernements les plus mal gérés, l'un des plus contrôlés du monde civilisé; nous n'avons plus un gouvernement d'opinion libre issu de la majorité, mais un gouvernement dirigé par l'opinion et la coercition d'un groupe restreint d'hommes puissants. (mensonge de la démocratie élective des partis).

 

Certains des hommes les plus importants des Etats-Unis, dans le commerce ou l'entreprise, sont effrayés par quelque chose. Ils savent qu'il existe quelque part un pouvoir si bien organisé, si subtil, si vigilant, si réactif, si complet, si influente, qu'ils feraient mieux de ne pas parler trop fort, si c'est pour en dire du mal."


Avant sa mort en 1924, le président  Woodrow Wilson, réalisera tout le mal qu'il a fait aux Etats-Unis, en confessant :

 

"J'ai inconsciemment ruiné mon gouvernement."

 

Les principaux journaux saluèrent la promulgation de la loi sur la Réserve fédérale de 1913, déclarant par exemple : "Maintenant, les dépressions seront scientifiquement prévenues." La réalité était que désormais, les dépressions pourraient être scientifiquement créées !

 

La Première guerre mondiale.

 

Premiere-Guerre-mondiale.jpeg

Pour les banquiers centraux les aspects politiques de la guerre importaient beaucoup moins que les profits potentiels. Et rien de mieux qu'une guerre pour créer de la dette. L'Angleterre était le meilleur exemple à cette époque.

 

Durant les 119 années ayant suivi la création de la Banque "d'Angleterre" et la déroute de Napoléon à Waterloo, l'Angleterre fut en guerre pendant 56 années. Et le reste du temps elle se préparait à la guerre.

 

Pendant la 1ère Guerre mondiale, les Rothschild allemands prêtaient de l'argent à l'Allemagne, les Rothschild britanniques prêtaient de l'argent à l'Angleterre et les Rothschild français prêtaient de l'argent à la France. Aux Etats-Unis, J.P. Morgan était le pourvoyeur en matériel militaire des Britanniques et des Français. En fait, six mois avant le début du conflit, J. P. Morgan devint le plus gros consommateur de la terre, dépensant 10 millions de $ par jour. [...]

 

Beaucoup des banquiers de New York se sont enrichis avec la guerre.

 

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Le récent livre de Nomi Prins, "ALL THE PRESIDENTS’ BANKERS: The Hidden Alliances that Drive American Power" (Tous les banquiers des Présidents, Les alliances cachées qui conduisent le pouvoir américain), traite de Woodrow Wilson et la collaboration de Jack Morgan pour financer les Alliés dans les premiers jours de la Guerre.

Cette collaboration fournit l'un des exemples les plus forts de la coopération étroite entre la présidence américaine et les plus hauts niveaux de la banque internationale.

 

Le président Woodrow Wilson désigna Bernard Baruch pour chapauter les industries de guerre. Selon l'historien James Perloff, Bernard Baruch tout comme les Rockefeller, engrangèrent 200 millions de $ durant la guerre.

 

Mais le profit n'était pas le seul motif, il y avait aussi de la revanche dans l'air.

 

Les trafiquants de monnaie n'avaient jamais pardonné au Tsar d'avoir soutenu Abraham Lincoln durant la Guerre civile américaine.

 

La Russie était également la dernière nation européenne à refuser d'avoir une banque centrale privée.

 

Trois ans après le début de la 1ère Guerre mondiale, la révolution (dite Ndlr.) "russe" remplace le régime tsariste par un gouvernement communiste.

 

Jacob Schiff de Kuhn, Loeb & Company se réjouit sur son lit de mort d'avoir envoyé 20 millions de $ afin d'abattre le tsar.

 

L'argent afflua également d'Angleterre, toujours dans le but de soutenir la "révolution".

 

Pourquoi les hommes les plus riches du monde finançaient-ils le communisme, ce système qui plaidait ouvertement la destruction du capitalisme, système qui les avait enrichis ?

 

Le chercheur Garry Allen  nous l'explique :

 

"Si on comprend que le socialisme n'a pas comme programme le partage des richesses mais est en réalité une méthode pour mieux consolider et contrôler la richesse, alors le paradoxe apparent qui est celui de voir des hommes très riches faire la promotion du socialisme n'est en fait pas du tout un paradoxe. En fait cela devient logique, c'est même le meilleur outil pour ces mégalomanes avides de pouvoir.

 

Le communisme, ou plus précisément le socialisme, n'est pas le mouvement des masses opprimées, mais bien celui de l'élite économique."

 

Comme l'écrivait W. Cleon Skousen dans son livre paru en 1970 "Le capitalisme mis à nu" (The Naked capitalist) :

 

"D'où qu'il vienne, le pouvoir cherche à gagner toujours plus de pouvoir.

Il est inévitable que les très riches ne se contenteront plus de leur propre fortune mais chercheront à contrôler celle du monde tout entier.

Pour atteindre cet objectif, ils sont parfaitement en mesure de soutenir les ambitions politiques de certains opportunistes aux dents longues, afin de renverser les gouvernements en place, et d'établir une dictature mondiale centralisée."

 

Mais que se passerait-il si ces révolutionnaires devenaient incontrôlables et essayaient de s'emparer du pouvoir détenu par les "super-riches" ?

L'axe Wall Street / City Londres choisit de courir le risque.

Les décideurs tentèrent de contrôler les groupes révolutionnaires communistes, en leur envoyant de grandes quantités d'argent si ils se montraient dociles, ou en contractant l'émission monétaire et en finançant l'opposition, en cas de perte de contrôle.

 

Lénine commença à comprendre que bien qu'il soit le maître absolu de la nouvelle Union soviétique, il n'était pas celui qui maniait le pouvoir financier; quelque chose d'autre avait secrètement le contrôle :

 

"L'Etat ne fonctionne pas comme nous le souhaiterions. La voiture n'obéit pas. Un homme est aux commandes et semble la diriger, mais la voiture ne va pas dans la direction voulue. Elle bouge comme le souhaitent d'autres forces."

 

Qui est à la manoeuvre ?

 

Le représentant Louis McFadden, président de la Commission bancaire et monétaire durant les années 1920 jusqu'a la Grande Dépression de 1930, l'explique ainsi :

 

 

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Louis Thomas McFadden

"Le cours de l'histoire russe a été en fait grandement influencée par les manoeuvres des banquiers internationaux.

 

Le gouvernement soviétique a reçu de la Réserve fédérale des fonds du Trésor des Etats-Unis par l'intermédiaire de la Chase Bank.


L'Angleterre nous a soutiré de l'argent grâce aux banquiers de la 'Réserve fédérale' et l'a prêté à un fort taux d'intérêt au gouvernement soviétique.

 

Le barrage du Dniepr a été construit grâce à des fonds occultes provenant du Trésor des Etats-Unis avec l'aide de la déloyale et corrompue équipe de la Réserve fédérale, ainsi que des banquiers de la Réserve fédérale."

 

En d'autres termes, la FED et la Banque d'Angleterre avaient passé commande aux banquiers internationaux qu'ils contrôlaient afin de créer un monstre, monstre qu'ils continueront à alimenter durant plusieurs décennies, avec des "révolutions" communistes, des guerres, et plus important : de la dette.

 

En 1992, le journal du Washington Times publia que le président russe Boris Eltsine déplora que l'essentiel de l'aide étrangère soit détournée "retournant directement dans les coffres des banques occidentales en tant que remboursement de la dette."

 

[...] Il serait idiot d'ignorer la cause première de la 1ère Guerre mondiale, ainsi que ceux qui ont le plus profité de la guerre. Le rôle des trafiquants de monnaie n'est pas une stupide théorie conspirationniste, ils ont un objectif très personnel, un objectif politique, celui d'obtenir un gouvernement mondial totalitaire, avec les trafiquants de monnaie aux commandes du pouvoir financier, afin de contrôler n'importe quel politicien qui surgirait en tant que leader.

 

La Grande Dépression.

 

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Société des Nations - Drapeau de la Ligue des Nations (1939–1941)

Maintenant que les trafiquants de monnaie contrôlaient chaque économie nationale, la prochaine étape serait de consolider le tout par un gouvernement mondial, qui fut la priorité de la Conférence sur la paix à Paris, peu après la 1ère Guerre mondiale. Il fut appelé la "Société des nations" (Ligue of Nations). Mais à la surprise de Paul Warburg et Bernard Baruch qui assistèrent à la Conférence de la paix en présence du président Woodrow Wilson, le monde n'était pas encore prêt à faire tomber les frontières. Le nationalisme était encore ancré dans les coeurs. Par exemple, Lord Curzon, Secrétaire britannique aux Affaires étrangères, ironisa et dit que la Société des Nations était une bonne plaisanterie, et ce même si le gouvernement britannique approuvait cette initiative politique.

 

Ne craignant pas d'humilier le président Wilson, le Congrès américain n'approuva pas non plus la Société des Nations. Malgré le fait qu'elle avait été ratifiée par de nombreuses nations, sans l'argent du Trésor américain, la Société des Nations disparut. Après la 1ère Guerre mondiale, le public se lassa de la politique internationaliste du démocrate Woodrow Wilson. Aux élections présidentielles de 1920, le républicain Warren Harding réunit plus de 60% des votes. Warren Harding était un farouche opposant au bolchévisme, ainsi qu'à la Société des Nations.

 

Malgré le fait que la guerre avait endetté les Etats-unis jusqu'à 10 fois plus que la guerre civile, l'économie américaine était encore en croissance.

 

Quand John Coolidge succéda à Harding, il poursuivit la politique économique de Warren Harding, par de lourdes taxes sur les importations et une diminution des impôts nationaux. Le résultat fut une croissance économique et des recettes de l'Etat en augmentation. Mais tout cela devait être stoppé ! Comme ils l'avaient déjà fait dans le passé, les trafiquants de monnaie décèdent de briser l'économie américaine. La Réserve fédérale commença d'inonder le pays avec de l'argent, augmentant l'émission monétaire de 60% en quelques années. L'argent était abondant. C'est pourquoi on appelle ces années les "20 rugissantes".

 

Quand tout fut programmé en avril 1929, Paul Warburg, le père de la Réserve fédérale, envoya un memo secret à destination de ses amis les prévenant de l'effondrement économique et la dépression nationale étaient inéluctables. En août 1929, la FED commença à retirer l'argent. Les géants de Wall street de l'époque, John D. Rockefeller, J. P. Morgan, Bernard Baruch, etc. se retirèrent des marchés peu avant le crash, convertissant leurs avoirs en liquide ou en or. Le 24 octobre 1929, les grands banquiers de New York exigèrent de se faire rembourser les dettes dans les 24 heures. En conséquence, les courtiers et les actionnaires durent vendre en catastrophe pour couvrir leurs pertes, se fichant désormais du prix des actions qu'ils vendaient. Cela conduisit à une chute de la bourse et au célèbre "mardi noir".

 

Selon Kenneth Galbraith, auteur du "Grand crash de 1929", au plus fort de la chute boursière, Bernard Baruch était avec Winston Churchill, dans la gallerie des visiteurs de Wall Street, ici, afin de contempler la panique et l'impressionnant remue ménage en cours à l'étage inférieur.

 

Entre 1929 et 1933, la FED réduisit encore son émission monétaire de 33%.

Alors que de nombreux américains ignorent que la FED fut aussi responsable de la Dépression, ce fait est cependant parfaitement connu des grands économistes.  

 

Milton Friedman, économiste lauréat du prix nobel d'économie en 1996 déclara lors d'un entretien téléphonique en janvier 1996 :

 

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Milton Friedman

"La Réservé fédérale a définitivement causé la Grande Dépression en contractant d'un tiers l'émission monétaire en circulation entre 1929 et 1933."

 

Mais l'argent perdu par de nombreux Américains durant la Grande dépression n'a pas été perdu pour tout le monde. Il a été redistribué entre quelques-uns ayant vendu juste avant le crash et ayant acheté de l'or, valeur refuge quand surgit une dépression.

 

Mais l'argent américain a aussi traverser les mers...

 

Alors que le président Herbert Hoover tentait de relancer l'économie, alors que des millions d'Américains souffraient de la faim, des millions de $ ont servi à reconstruire l'Allemagne des dommages causés par la Grande Guerre.

 

8 ans avant que Hitler n'envahisse la Pologne, le représentant Louis McFadden avertit le Congrès que les Américains étaient en train de financer l'ascension vers le pouvoir d'Hitler :

 

"Après la 1ère Guerre mondiale, l'Allemagne est tombée dans les bras des banquiers internationaux "allemands". Ces derniers ont acheté la maison Allemagne et désormais elle leur appartient, l'entrée, le salon et la chambre à coucher avec. Ils ont ruiné les industries, les hypothèques des terrains, le contrôle de la production, , le contrôle de tous les biens utilitaires. Les banquiers internationaux allemands [...] ont aussi fourni chaque dollar de l'argent que Hitler a utilisé durant sa coûteuse campagne, dans le but de créer une menace pour le gouvernement de Henrich Brüning. Lorsque Brüning refusa d'obéir aux ordres des banquiers internationaux, Hitler fut mis en avant pour maintenir les Allemands dans la soumission.  

 

Grâce à l'équipe dirigeante de la Réserve fédérale, plus de 30 milliards de $ d'argent américain a été envoyé en Allemagne. Vous avez tous entendu parler des dépenses qui ont eu lieu en Allemagne. Des logements modernes, des grands planetariums, des gymnases, des piscines, des autoroutes publiques, des usines superbes. Tout cela a été construit avec notre argent. Tout cela a été donné à l'Allemagne par l'équipe de la Réserve fédérale.

 

L'équipe dirigeante de la Réserve fédérale a tellement envoyé de milliards de $ à l'Allemagne, qu'ils n'osent même nous donner le montant total."

 

 

Franklin D. Roosevelt / Deuxième Guerre mondiale.

 

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Franklin D. Roosevelt

 Franklin D. Roosevelt fut élu président en 1932. Une fois en poste, des mesures d'urgence furent décrétées concernant le système bancaire, augmentant un peu plus le pouvoir de la FED sur l'émission monétaire. C'est seulement à ce moment-là que la FED commença à lâcher la bride et à injecter à nouveau de l'argent en faveur du peuple américain très fragilisé.

 

Franklin Roosevelt avait d'abord accusé les trafiquants de monnaie d'avoir engendré la Grande Dépression. Voici ce qu'il dit lors de son discours d'investiture, le 4 mars 1933 :

 

"Les pratiques de ces trafiquants de monnaie sans scrupule sont condamnées par le tribunal de l'opinion publique, rejetées par les coeurs et les esprits des hommes. Les trafiquants de monnaie se sont enfuis des sièges du temple de notre civilisation."

 

 

[...] Toutes les nations impliquées dans le conflit (de la 2ème Guerre mondiale, ndlr.) multiplièrent leurs dettes. Aux Etats-Unis, la dette fédérale augmenta de 43 millions de $ en 1940 à 257 milliards en 1950, soit une augmentation de 598%. Entre 1940 et 1950, la dette japonaise augmenta de 1348%, la dette française de 583%, et la canadienne de 417%.

 

Après la guerre, le monde fut divisé en deux camps économiques: l'économie communiste planifiée d'un côté et le monopole capitaliste de l'autre, les deux luttant dans une fructueuse course aux armements. Ce fut le moment pour les banquiers de faire le point sur les trois étapes permettant de centraliser les systèmes économiques du monde entier, et d'achever leur gouvernement mondial ou "Nouvel Ordre Mondial". Les différentes étapes de ce plan sont :

 

Planisphere-politique.JPG1. La domination des banques centrales sur les économies nationales du monde entier.

2. Centraliser les économies régionales, avec l'Union monétaire européenne, ou le traité de libre échange commercial du NAFTA, par exemple.

3. Centraliser l'économie mondiale grâce à une banque centrale mondiale, une monnaie mondiale, et la fin des indépendances nationales, en abolissant les taxes sur les importations, à l'aide du GATT (OMC).

 

L'étape 1 a déjà été accomplie depuis longtemps. Les 2 et 3 sont déjà bien avancées et sur le point d'aboutir.

 

Que se passe-t-il pour l'or ? De toutes les banques centrales, le plus gros détenteur d'or est le Fonds Monétaire International (FMI). Le FMI et les banques centrales détiennent les 2/3 des réserves mondiales en or (en 1996)., leur permettant de manipuler le marché de l'or.

 

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Fort Knox - US Bullion Depository (Réserve d'or américaine)

 

En 1933, le président Franklin D. Roosevelt émet l'ordre 6102 qui interdit la possession pour les particuliers américains de pièces d'or, de lingots d'or (gold bullion) et de gold certificate, les forçants à les vendre à la réserve fédérale. Il convainc les Américains de donner leur or en arguant que rassembler les ressources nationales était nécessaire pour sortir les Etats-Unis de la dépression.

En 1936, le département du trésor commence la construction du dépôt Bullion à Fort Knox, sur des terrains transférés de l'US Army. Le Gold Vault (coffre d'or) est terminé en décembre 1936. La majorité des réserves d'or des États-Unis y sont transférées.

[...] La mauvaise solution consisterait à adopter une monnaie s'appuyant sur l'or. Beaucoup d'Américains pensent que l'or se trouve toujours à Fort Knox. Or, cet or a été volé...

 

A la fin de la 2ème Guerre mondiale, Fort Knox abritait plus de de 700 millions (20 000 tonnes) d'once d'or, soit le pourcentage incroyable de 70% de l'or mondial. Combien en reste-t-il ? Personne ne le sait. Malgré le fait que la loi fédérale exige un audit financier annuel de l'or de Fort Knox, le Trésor a systématiquement refusé d'en réaliser un seul. Un contrôle de ce qui reste ici n'a pas été effectué depuis que le président Dwight Eisenhower n'en réclame un, en 1953.

 

L'or de Fort Knox, avec les années, a été vendu aux trafiquants de monnaie européens, au prix de 35 $ l'once. Cela s'est passé à un moment où il était illégal pour les Américains d'acheter de l'or à Fort Knox. Il y a le cas scandaleux de la famille Firestone qui créa de nombreuses filiales afin d'acquérir l'or de Fort Knox et de l'envoyer ensuite en Suisse. Ils ont été arrêtés, puis inculpés.

 

Finalement, en 1971, tout l'or pur avait été secrètement évacué de Fort Knox, pour faire son retour vers Londres. Une fois sorti tout l'or de Fort Knox, le président Richard Nixon clôt le "dossier or" en abrogeant la loi de 1934 de Franklin D. Roosevelt sur les réserves d'or de la Réserve fédérale, permettant finalement aux Américains d'acheter légalement de l'or. Les cours de l'or augmentèrent. 9 ans plus tard, l'or se vendait 880 $ l'once, 25 fois plus que la valeur pour laquelle il avait été vendu à Fort Knox.


On pense que que certains au gouvernement étaient au courant de cette manoeuvre et finiront par lâcher le morceau. La plus grosse fortune de l'histoire du monde ? Volée. Tout comme dans le film de James Bond, "Goldfinger". En réalité, l'auteur de la série des James Bond, Ian Fleming, fut le chef du MI5 (pour Military Intelligence, section 5), les Services britanniques de contre-espionnage. Certains pensent qu'il a écrit cette histoire en guise d'avertissement, comme beaucoup d'auteurs de fictions le font.

 

Le dépouillement en or de Fort Knox, une attaque délibérée sur le Trésor américain, a dû se dérouler sur plusieurs années, pour être réalisé. En fait, 40 ans.

 

Un article d'un journal de New York, daté de 1974 mettait en cause la famille Rockefeller d'avoir manipulé la FED, afin de liquider l'or de Fort Knox à un prix cassé, à destination de spéculateurs anonymes européens. Trois jours plus tard, la source anonyme de cette histoire, Louise Auchincloss Boyer, chuta mystérieusement de la fenêtre du 10ème étage de son appartement de New York. Comment Mlle Boyer était-elle au courant de la connexion entre les Rockefeller, et l'or de Fort Knox ? Pendant longtemps elle fut la secrétaire de Nelson Rockefeller.

 

Les 14 années suivantes, Ed Durrel, un riche industriel de l'Ohio, s'impliqua personnellement pour trouver la vérité concernant l'or de Fort Knox. Malheureusement il n'atteignit jamais son objectif premier: un audit complit sur les réserves d'or de Fort Knox. Le gouvernement a choisi de ne pas le faire. On peut donc en conclure qu'il est effrayé par la vérité que l'audit pourrait révéler.

 

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Ronald Reagan, portrait 1981

Quand le président Ronald Reagan accéda à son poste en 1981, ses amis conservateurs le pressèrent d'étudier la possibilité de revenir au standard or, ultime moyen de freiner les dépenses gouvernementales. Reagan nomma donc un groupe appelé la "Commission sur l'or" afin d'étudier la situation et de faire un rapport au Congrès. Ce que cette Commission sur l'or de Reagan rapporta au Congrès en 1982, fut une révélation choquante concernant cet or : le Trésor américain n'avait absolument rien, plus rien.

 

Tout l'or de Fort Knox n'était plus entre les mains de la Réserve fédérale, ce groupe de banquiers privés gardiens de la dette nationale.

 

La vérité sur l'affaire est que personne n'a vu autant d'argent public volé, et mis à la disposition d'un petit groupe d'investisseurs privés: les trafiquants de monnaie.

 

Le Fonds Monétaire International (FMI) / Banque mondiale.

 

Revenons un peu en arrière sur les conséquences de la 1ère Guerre mondiale. Les banquiers internationaux "pacifiques" clamèrent que seul un gouvernement mondial mettrait fin aux guerres mondiales. Ils prônaient un gouvernement mondial qui reposerait sur ttrois pieds :

 

1. (Bien évidemment...) Une banque centrale mondiale, appelée la Banque des règlements internationaux (Bank of International Settlements),

2. un organisme judiciaire mondial, appelé la Cour Internationale de Justice, basée à La Haye aux Pays-Bas.

3. et un organisme mondial exécutif et législatif, appelé la Société des Nations.

 

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Carrol Quigley

Comme le soulignait le mentor du président Clinton, l'historien Carroll Quigley, dans son livre datant de 1966, "Tragedy and Hope", Tragédie et Espoir :

 

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Selon Quigley, les puissances du capitalisme financier (1850-1932) avaient pour ambition créer un système mondial de contrôle financier dans les mains du secteur privé capable de dominer le système politique de chaque pays et l'économie mondiale;

 

Lire "Voilà pourquoi nous sommes esclaves et ignorants" au sujet des huit banques privées "américaines" propriétaires de la FED.

"Les pouvoirs du capitalisme financier avaient un objectif précis, rien de moins que celui de créer un système mondial de contrôle financier, aux mains du privé, capable de dominer les systèmes politiques de chaque pays, et l'économie du monde tout entier.

 

Les banques centrales du monde entier contrôleraient ce système de type féodal, et agiraient de concert grâce à des accords secrets décidés au cours de fréquentes réunions et conférences.

 

L'apogée de ce système serait d'avoir une banque pour les accords internationaux à Bâle, en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales mondiales, elles-mêmes étant des corporations privées.

 

Chaque banque centrale tendra à dominer son gouvernement grâce à sa capacité à contrôler les emprunts du Trésor, à manipuler les échanges extérieurs, à influencer le niveau d'activité économique du pays, et à corrompre les politiciens conciliants en les gratifiant de récompenses importantes en provenance du monde des affaires."

 

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Henry Cabot Lodge

Malgré les fortes pressions des banquiers internationaux et de la presse, une poignée de sénateurs américains, menés par le sénateur Henry Cabot Lodge, maintiendront les Etats-Unis éloignés de ces plans. Sans la participation des Etats-Unis, la Ligue était condamnée.

 

De façon incroyable, alors que les Etats-Unis avaient rejeté la Banque centrale mondiale, la BIS (Bank of Interntional Settlements), BRI (ou Banque des Règlements Internationaux), la Réserve fédérale à New York ignora le gouvernement et envoya un représentant en Suisse, afin de participer aux rencontres des banquiers centraux jusqu'en 1994, date à laquelle les Etats-Unis se décideront à y participer.

 

Leurs plans de gouvernement mondial échouèrent finalement, les banquiers utilisèrent alors leur bonne vieille méthode, une autre guerre (2ème guerre mondiale ndlr.) permettrait de faire plier les résistances, en plus des gains substantiels engendrés. A cette fin, Wall Street soutint financièrement l'Allemagne avec la banque Thiessen liée aux intérêts Herman à New York, tout comme la Chase Bank (et la Banque Kuhn, Loeb & Co de Jacob Schiff) soutint financièrement la "révolution" bolchévique en Russie, durant la 1ère Guerre mondiale.

 

La Chase Bank était contrôlée par la famille Rockefeller. Dans le même temps, il y eut une fusion avec la Wrburg Manhatyan Bank pour former la Chase Manhatan Bank.

 

Leur stratégie fonctionna. Avant la fin de la 2ème Guerre mondiale, le Gouvernement mondial était de nouveau à l'ordre du jour.

 

En 1944, à Bretton Woods dans le New Hampshire, le FMI et la Banque mondiale furent créés grâce à l'appui des Etats-Unis. La seconde Ligue des Nations, rebaptisée les "Nations Unies" fut créée en 1945. Il y eut aussi une nouvelle Cour internationale de Justice. Toute opposition effective d'avant-guerre à ces entités internationales avait disparu dans la fureur de la guerre, comme cela avait été prévu. 

 

Ils avaient créé un cartel de banques s'appuyant sur les banques centrales du monde, leur permettant d'accroître leur capacité d'influencer les politiques de crédit des banques de toutes les nations.

 

Le FMI s'est vu conférer la capacité d'émettre une monnaie mondiale appelée "Special Drawing Rights" ou SDR (DTS, ou Droits de tirages spéciaux). Aujourd'hui (1996, ndlr.), le FMI a émis un excès de 30 milliards de $ de SDR. Des nations membres ont imprimé leur monnaie de façon à pouvoir l'échanger contre des SDR. En 1968, le Congrès approuva la loi autorisant la FED à accepter les SDR en tant que réserves aux Etats-Unis, mais aussi à pouvoir émettre des billets de la FED en échange de SDR. Cela signifie qu'aux Etats-Unis, les SDR font partie des normes monétaires.

 

Et pour l'or ? Les SDR sont partiellement convertibles en or, et avec les 2/3 de l'or mondial détenu par les banques centrales du monde, les trafiquants de monnaie peuvent encore structurer la future économie mondiale, selon le mode qui leur est le plus profitable.

 

Gardez à l'esprit que tout comme la FED, le FMI est contrôlé par son équipe de gouverneurs, lesquels sont les décisionnaires des différentes banques centrales, ou les décisionnaires des différents départements nationaux du Trésor, contrôlés par leurs banques centrales.

 

La capacité de vote au FMI donné aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, équivaut de fait, à ce que la FED et la Banque d'Angleterre aient le réel contrôle sur le FMI.

 

Tout comme la FED contrôle l'émission de monnaie aux Etats-Unis, la BIS (BRI ou Banque des règlements internationaux), le FMI et la Banque mondiale, contrôlent l'émission monétaire du monde.

 

Nous voyons ainsi se repdoduire la duperie des goldsmiths non seulement à l'échelle nationale avec les banques centrales mais maintenant au niveau international avec les trois branches des banques centrales mondiales.

 

Aujourd'hui, ces organisations (BIS, FMI, Banque mondiale) appelées "Banque centrale mondiale", diminuent-elles ou accroissent-elles le crédit mondial ? Oui.

 

[...] Les nations devenaient les valets d'une banque centrale supranationale contrôlée par la poignée des banquiers les plus riches. A mesure que le FMI créait de plus en plus de SDR en échange d'in simple justificatif comptable, de plus en plus de nations recouraient aux emprunts pour payer les intérêts de la dette, rendant ainsi celle-ci incontrôlable. La Banque mondiale centrale avait désormais le pouvoir de vie ou de mort économique sur ces nations, décidant lesquelles recevraient des crédits et lesquelles en seraient privées.

 

Malgré les volontés affichées de lutte pour le développement et contre la pauvreté, le résultat fut un transfert de richesse de ces nations fragilisées vers les trafiquants de monnaie des banques centrales contrôlant le FMI et la Banque mondiale.

 

Par exemple, en 1992, les nations affaiblies du Tiers-Monde qui avaient demandé des prêts à la Banque mondiale, payèrent 198 millions de $ de plus aux banques centrales des pays développés, afin de recapitaliser la Banque mondiale, comparativement aux sommes qu'elles avaient elles-mêmes reçues comme aides de la Banque mondiale. Tout cela augmente perpétuellement une dette qui ne soulage que temporairement la pauvreté, elle-même engendrée par les précédents prêts.

 

Mais très vite, les remboursements excédèrent les montants des prêts. En 1992, la dette de l'Afrique atteignait 290 milliards de $, 2,5 fois plus qu'en 1980, entraînant une augmentation de la mortalité infantile, du chômage, une détérioration des écoles, des logements, ainsi qu'une baisse générale du niveau de vie en Afrique.

 

Conclusions.

 

Même s'il serait absurde d'ignorer le rôle joué par les Rothschild, les Warburg, Schiff, Morgan ou Rockefeller, dans l'étude de l'histoire de la banque centrale et du système de réserves fractionnaires, gardez à l'esprit que désormais les banques centrales et les grandes banques commerciales ont maintenant plus de trois siècles d'existence et qu'elles sont largement impliquées dans la vie économique de nombreuses nations. Ces banques ne dépendent plus d'habiles individus, tels que Nathan Rothschild. Il y a quelques années, la question de l'appartenance était importante, mais plus maintenant.

 

Par exemple, la Banque "d'Angleterre" et la Banque "de France" furent toutes deux nationalisées après la 2ème Guerre mondiale, et rien ne changea, absolument rien. 

 

France : 1945 / 1975, "30 Glorieuses", années de progrès économiques.

1973 : Loi Pompidou / Giscard, dite Loi Rothschild, fin des prêts à taux équivalents à zéro de la Banque de France. Le président Pompidou était un ancien de la banque Rothschild !

Elles se sont maintenues en place, ont continué à croître, désormais protégées par de nombreuses lois. Elles ont corrompu les politiciens et acheté les media, et sont toujours aussi imperturbables au changement des générations. Les trois siècles précédant leur ont accordé une aura de respectabilité. Elles continuent d'évoluer au sein d'un système que personne ne remet en question. Et leurs représentants se comptent parmi les innombrables conseils d'administration d'organisations philanthropiques.

 

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Se focaliser aujourd'hui sur des individus ou des familles en particulier, ou essayer d'identifier qui sont les actuels détenteurs du pouvoir n'est pas utile à la cause, et ne sert que de diversion. Le problème est plus important que ça. Il s'agit d'un système bancaire corrompu qui s'est maintenu et se maintient encore afin de consolider les richesses aux mains de quelques-uns seulement. Voilà notre problème économique aujourd'hui. Changez les noms des principaux acteurs d'aujourd'hui, et le problème perdurera, il n'y a aucun doute là-dessus.

 

Idem parmi les masses bureaucratiques de la Banque mondiale, des banques centrales et des banques internationales, seule une infime fraction a une idée de ce qui se passe réellement. Il y a fort à parier qu'ils seraient horrifiés d'apprendre que leur travail consiste en fait à entraîner un terrible appauvrissement et une progressive mise en esclavage de l'humanité, en faveur de quelques immensément riches ploutocrates.

 

Donc, il ne faut pas pointer du doigt quelques individus, le problème transcende également le spectre politique normatif d'une "droite" ou d'une "gauche". Que ce soit le communisme, le socialisme, ou même le capitalisme, tous ont été utilisés par les trafiquants de monnaie. Aujourd'hui, ils profitent des deux bords du nouveau spectre politique. Le grand état-Providence prôné par la dite "gauche" contre le néo-conservatisme "laissez faire" capitaliste de la "droite", souhaitant un état le moins actif possible. Dans tous les cas, ce sont les banquiers qui gagnent.

 

La réforme monétaire est l'action politique la plus importante que cette nation doive affronter.

 

Pourquoi sommes-nous si endettés ?

 

Parce que nous travaillons dans un système où l'argent est de la dette émise et contrôlée par les banquiers privés (centraux ndlr.). Certains pensent que la Federal Reserve (FED) est une agence du gouvernement, mais le Président ne désigne que tous les 4 ans deux des sept membres de l'équipe dirigeante de la FED. Et il les désigne pour une durée de 14 ans, 4 de plus que ses possibles mandats (4 ans plus 4 ans). La vérité est que le président ne nommerait jamais une personne que Wall Street n'approuve pas.

 

Certains disent que la FED ne souhaite que la stabilité monétaire. Eddie George, le directeur de la Banque d'Angleterre (1993-2003) nous dit que c'est le rôle primordial d'une banque centrale. En fait, le curseur de la stabilité économique montre une faillite totale de cette affirmation.

 

Ainsi, en comptant les 25 premières années de son existence, la FED a causé trois grandes crises économiques, y compris la Grande Dépression, et en moins de 30 ans, elle a conduit l'économie américaine dans une période d'inflation jamais vue jusque-là.

 

Encore une fois, il ne s'agit pas d'une théorie conspirationniste, il s'agit d'un fait parfaitement connu des meilleurs économistes. Comme l'a rappelé le prix Nobel d'économie Milton Friedman :

 

"La quantité de monnaie, les prix et la production sont décidément plus instables depuis la création du système de la Réserve fédérale qu'auparavant.

La période la plus dramatique de la production fut biensûr la période entre les deux guerres, laquelle inclut les sévères contractions monétaires de 1920-1921, 1929-1933, et 1937-1938.

Aucune période dans l'histoire américaine ne connaît d'aussi violentes contractions. Cette évidence me persuade qu'au moins un tiers de l'augmentation des prix durant et après la Première guerre mondiale est attribuable à l'établissement du système de la Réserve fédérale et que la sévérité de chaque contraction majeure, 1920-1921, 1929-1993 et 1937-1938, est directement imputable aux différentes actions des autorités de la FED.

N'importe quel système donnant autant de pouvoir et autant de discrétion à un si petit groupe d'hommes ayant pu faire autant d'erreurs, excusables ou pas, et dont les conséquences sont si importantes, est au final un mauvais système. C'est un mauvais système pour ceux qui croient en la liberté, uniquement parce qu'il accorde à quelques hommes d'aussi grands pouvoirs décisionnels, sans que le pouvoir politique n'ait son mot à dire.

Voici l'argument clé contre toute indépendance de la banque centrale.

Pour paraphraser George Clemenceau, "La monnaie est une chose trop sérieuse pour la laisser aux mains des banquiers centraux.""

 

Nous devons apprendre de notre histoire avant qu'il ne soit trop tard.

 

Pourquoi les politiciens ne peuvent-ils pas contrôler la dette fédérale ?

 

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Parce que toute notre monnaie est créée à partir de dette. Encore une fois, c'est un système de monnaie-dette.

 

Notre monnaie est initialement créée pour acheter d'innombrables obligations gouvernementales américaines.

 

Que pouvons-nous faire contre cela ?

 

Nous pouvons nous débarasser totalement de la dette du pays, en 1 ou 2 ans, simplement en achetant des obligations avec des billets américains sans dette, tout comme Abraham Lincoln en avait émis (greenbacks).

 

Biensûr cela pourrait entraîner une inflation énorme du fait que notre monnaie est actuellement multipliée à cause du principe bancaire des réserves fractionnaires.

 

Mais il existe une solution ingénieuse, proposée en partie par Milton Friedman, consistant à maintenir la quantité de monnaie stable, tout en évitant l'inflation et la déflation, et en diminuant également la dette. Alors que le Trésor achète des obligations sur le marché ouvert avec des billets US, les fonds propres des réserves des banques locales seront proportionnellement augmentés, ainsi le montant d'argent en circulation sera constant. Dès que les obligations sont achetées avec des billets du Trésor US, elles seront déposées en argent disponible immédiatement, cette monnaie étant nécessaire pour les banques afin d'augmenter leurs réserves. Une fois que toutes les obligations américaines seront remplacées par des billets US, les banques auront des réserves proches de 100%, au lieu de l'actuel système des réserves fractionnaires. A ce moment-là, l'immeuble de l'ex FED servira uniquement de coffre pour les chéquiers et les billets US. La loi sur la Réserve fédérale ne sera plus nécessaire et pourra être abrogée. Le pouvoir monétaire pourra revenir à nouveau au Département du Trésor. Il n'y aura plus d'expansion ou de contraction monétaire par les banques.

 

Grâce à ce moyen, la dette nationale peut être remboursée en seulement un an. Et la FED, ainsi que le système des réserves fractionnaires pourront être abolis, sans banqueroute nationale, effondrement financier, inflation, déflation ou n'importe quoi qui pourrait affecter les modes habituels du commerce des Américains.

 

Pour une personne lambda, la différence est que pour la première fois depuis que la loi de la Réserve fédérale a été passée en 1913, les impôts commenceront à baisser... Une réelle bénédiction nationale pour vous, un peu moins pour les amis banquiers d'Hamilton.

 

Nous avons proposé une loi sur la réforme monétaire, elle se trouve à la fin de cette video.

 

Indubitablement, les banquiers argueront que l'émission monétaire débarrassée de sa dette causera une importante inflation, et ils feront d'autres prédictions tout aussi apocalyptiques, mais rappelez-vous que c'est le système des réserves fractionnaires qui est la cause de 90% de toute l'inflation, et non pas les billets sans dette utilisés pour rembourser les déficits gouvernementaux.

 

Notre système des réserves fractionnaires et le système bancaire basé sur la dette sont les réels problèmes.

 

Comme l'a dit dans les années 1920, le directeur de la Banque d'Angleterre, sir Josiah Stamp, en évoquant le système bancaire moderne des réserves fractionnaires :

 

"Les services bancaires ont été conçus dans l'iniquité et le péché. Les banquiers possèdent la planète terre. Eloignez-les d'elle, mais laissez-leur le pouvoir de créer la monnaie et de contrôler le crédit, et ils créeront d'un trait de plume assez d'argent pour l'acheter à nouveau. Ecartez les banquiers de cet énorme pouvoir, et toutes les grands fortunes comme la mienne, disparaîtront ou devront disparaître, au bénéfice et à la joie du monde dans lequel nous vivons.

 

Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banquiers, et payer le prix de votre propre mise en esclavage, laissez-les continuner de créer de la monnaie et contrôler le crédit. "

Comme Milton Friedman l'a souvent souligné, il n'y a pas de profonde dépression économique sans forte contraction monétaire.

 

Dans notre système, seule la FED et la BRI (Banque des règlements internationaux), avec la coopération des banquiers des Etats-Unis, ou la combinaison des grands banquiers de Wall Street, peuvent causer une dépression.

 

EN d'autres termes, notre économie est si importante et résiliente qu'une dépression ne peut pas être causée par un simple accident. A mesure qu'ils réformaient le système bancaire, ils étendaient sans cesse leur pouvoir, afin de contracter ou de faire croître notre économie, selon leur bon vouloir.

 

La seule solution est d'abolir la FED et le système des réserves fractionnaires, et de se retirer de la BRI. Ce sont les seuls moyens qui briseront le pouvoir des banques internationales sur notre économie.

 

Et gardez à l'esprit que la seule bourse des échanges, ne peut pas causer de sévère dépression. Seule une très violente contraction de l'offre monétaire peut causer une très vilaine dépression. L'effondrement de la bourse en 1929 entraîna le transfert de richesse de 3 milliards de $. La FED diminua le crédit de 33% durant les quatre années suivant 1929, avec le résultat d'un transfert de de 40 milliards de $ appartenant aux classes moyennes US, au seul profit des grandes banques. Ensuite, l'indépendante FED maintint cette contraction monétaire durant une décennie entière. Seule la 2ème Guerre mondiale mit fin aux souffrances infligées par la FED au peuple américain.

 

Si nous commençons à réformer le système monétaire, les trafiquants de monnaie feront ce qu'ils ont fait en 1929 et 1930: faire effondrer la bourse des échanges, et utiliser cette excuse pour diminuer l'émission monétaire.

 

Mais si nous sommes déterminés à lutter pour récupérer le contrôle de notre monnaie, nous pouvons redresser la situation, peut-être en quelques mois, à mesure que les billets du Trésor circuleront et remplaceront les billets (avec la dette) émis par les banquiers.

 

Certains se demandent pourquoi les banquiers internationaux provoquent des dépressions économiques. Ne tuent-ils pas la poule aux oeufs d'or ? Rappelez-vous ce que disait Larry Bates, au début de cette video :

 

"En période de bouleversement économique, de crise économique, la richesse n'est pas détruite, elle est seulement transférée.."

 

Avons-nous des indications sur les futurs projets des trafiquants de mon

naie à notre encontre ? Voici ce que disait David Rockefeller, le directeur de la Chase Manhattan Bank, la plus grande banque de Wall Street :

 

"Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une gigantesque crise, les nations accepteront ensuite le Nouvel Ordre Mondial."


Ainsi, une crise est-elle nécessaire pour accomplir plus rapidement leur projet. La question est de savoir quand cette crise arrivera-t-elle ?

 

Les incessantes augmentations d'impôt, la perte de centaines de milliers d'emplois délocalisés font que les classes moyennes américaines sont en grand danger. Merci au passage aux accords commerciaux de libre-échange comme le GATT (OMC), ou NAFTA (ALENA). Sans réformes, les classes moyennes seront sacrifiées, laissant seulement place aux très riches et aux très pauvres, comme on le voit déjà dans de nombreuses parties du monde.

 

Au fil des années, nous avons été avertis par des membres du Congrès, des présidents, des industriels ou des économistes. Les chefs religieux ont aussi averti du danger. En 1898, le pape  Léon XIII disait cela :

 

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Léon XIII

"D'un côté nous avons un camp qui possède le pouvoir parce qu'il possède la richesse, qui a sous emprise tout le travail et tout le commerce; qui manipule pour son seul bénéfice et son seul intérêt toutes les sources d'approvisionnement , et qui est lui-même puissamment représenté dans les cercles politiques. De l'autre côté, il y a la multitude indigente et impuissante, malheureuse et en souffrance.

 

L'usure rapace, qui bien que condamnée plusieurs fois par l'Eglise, reste sous une forme différente mais tout aussi coupable pratiquée par des hommes avares et cupides.

 

C'est ainsi qu'un petit nombre d'hommes très riches, est capable de maintenir les masses dans la pauvreté presque mieux que ne peut le faire l'esclavage."

 

Plus récemment, pendant la Grande Dépression US, le pape  Pie XI parlait du même problème :

 

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Pie XI

"De nos jours, ce n'est pas seulement la richesse qui est accumulée, mais ce sont aussi un pouvoir immense ainsi qu'une domination économique despotique qui sont concentrés entre les mains de quelques-uns.

 

Ce pouvoir devient particulièrement irrésistible quand il est exercé par ceux qui, contrôlant la monnaie, sont capables de disposer du crédit, de déterminer son débit, et de maîtriser pour ainsi dire les artères de tout le corps économique, empoignant entre leurs mains, le coeur tout entier de l'économie, de façon à ce que personne n'ose même respirer contre leur volonté."

 

Informez vos amis.

 

Lorsque la dépression arrivera, il y aura les conservateurs qui proposeront les solutions ficelées par les banquiers internationaux.

 

Attention au retour du standard or. Parce qu'il n'y a jamais eu auparavant autant d'or sous la coupe d'institutions internationales, comme la Banque mondiale ou le Fond Monétaire International. Rappelez-vous en 1929 nous avons déjà eu une monnaie adossée à l'or et durant les quatre premières années de la Grande Dépression...

 

Attention également aux monnaies régionales, et même mondiale, ce sont des chevaux de Troie des banquiers internationaux.

 

Nous espérons contribuer efficacement au débat national sur la réforme monétaire. Il convient à chacun de faire son devoir, de rester cohérent dans son projet de vie.

 

Que Dieu nous éclaire afin de réformer notre nation et de nous faire progresser nous-mêmes.

 

Comme le disait le pape Pie XI :

 

"De quoi un homme profiterait-il le plus qu'une meilleure distribution et utilisation des richesses, à quoi lui servirait-il de posséder le monde entier si c'est pour perdre son âme ?

 

A quoi cela servirait-il de leur apprendre les principes en économie, si ils se permettent cela, par pur égoïsme, par démesurée et sordide cupidité, 'en entendant les commandements du Seigneur, ils font tout le contraire.'". »

 


. 100e anniversaire de la FED : d'un monde libre à un monde communiste

. Argent dette : la Banque d’Angleterre vend la mèche

. Money as debt - L'argent dette (Le documentaire de Paul Grignon - 2006)

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31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 12:07

Avec la création de la Banque privée d'Angleterre en 1694, le joug de l'esclavage économique à une banque privée dite "centrale" a été imposé à toute une nation, et a été prograssivement étendu à l'ensemble des nations du monde. Ce joug n'a pas été aboli, il a été  alourdi par le développement de trois siècles jusqu'à nos jours. Les nations les unes après les autres sont tombées dans cette cabale des banquiers centraux internationaux.

 

« Money masters » est un documentaire historique en anglais, écrit par Bill Still & Patrick S.J Carmack, narré par Rick James, réalisé en 1996, d'une durée 3h30 sur la gigantesque fraude des banques centrales, et leur bataille pour émettre la monnaie à travers les âges. Présenté ici dans une version sous-titrée en français, ce documentaire sur la monnaie, la dette publique et l’étalon or, retrace les origines de la structure du pouvoir qui régit aujourd'hui les nations du monde. Nous présenterons ce documentaire en deux parties, en citant les extraits les plus importants et après avoir parfois pris quelques distances avec la traduction en français proposée dans la video.

 

La structure du pouvoir politique moderne trouve ses racines dans la manipulation cachée et l'accumulation de l'or et d'autres formes d'argent. Le développement des pratiques bancaires des réserves fractionnaires au 17ème siècle a conduit à une sophistication rusée de techniques secrètes utilisées initialement par des orfèvres frauduleux, pour accumuler des richesses entre les mains de quelques-uns.


Sans doute tout n'est pas abordé s'agissant des origines maçonniques des Etats-Unis, les liens entre les francs-maçons "Pères fondateurs" et les trafiquants de monnaie comme les Rothschild, mais le documentaire apporte d'autres éclairages importants sur les inconvénients occasionnés par l'apparition dans l'histoire des banques privées dites "centrales". Désormais, "les dépressions pourraient être scientifiquement créées" !

 

L'alternance de périodes de contraction économique (crises, cracks, chute de la bourse, etc.) et de croissance économique vient directement des manipulations monétaires des banquiers centraux.

 

« Money masters » remonte aux causes des crises économiques et propose des solutions.

 

Les extraits ci-dessous abordent les deux premières heures de la video :

 

« Que se passe-t-il aux Etats-Unis aujourd'hui (1996) ? Pourquoi sommes-nous si endettés ?

 

Pourquoi les politiciens ne contrôlent-ils pas cette dette ?

 

Pourquoi y a-t-il tant de gens, des hommes et des femmes, travaillant pour des salaires aussi mal payés et qui peuvent acheter de moins en moins de choses ? 

 

[...] Pourquoi le gouvernement nous dit-il que l'inflation est faible quand le pouvoir d'achat de nos salaires diminue de façon alarmante ? Il y a encore une génération, le pain valait quatre fois moins cher, et on pouvait acheter une voiture pour 1995 $.

 

Le

Le problème est que depuis 1864, nous avons un système bancaire basé sur la dette. Toute notre monnaie fonctionne sur la dette gouvernementale. On ne peut pas diminuer la dette de l'Etat sans diminuer l'émission de monnaie. C'est la raison pour laquelle la diminution de la dette nationale sans réforme du système bancaire est impossible.

 


[...] Ce que nous allons vous montrer c'est qu'il n'y a rien de "fédéral" dans la FED (Federal Reserve Bank, Banque centrale américaine, Ndlr.), et que ce n'est pas non plus une réserve. Ce nom est un subterfuge créé avant que l'acte de la Réserve fédérale ne soit promulgué, en 1913, pour faire croire aux Américains que la Banque centrale des Etats-Unis prendrait soin de l'intérêt public. La vérité est que la FED est une banque privée appartenant à des actionnaires privés (voilà pourquoi nous sommes esclaves et ignorants... Ndlr.) et profitant uniquement à leurs intérêts privés. [...] La FED a été créée par le moyen d'une tromperie, un acte du Congrès datant de 1913.

 

[...] Un des plus grands critique de la FED fut l'ancien directeur de la "House Banking and Currency Comitte" (Commission bancaire et monétaire), durant les années de la Grande Dépression, Louis T. McFadden, républicain, de la Pennsylvanie, qui dira en 1932 :

 

"Nous avons dans ce paysune institution parmi les plus corrompues que le monde n'ait jamais connue. Je veux parler des dirigeants de la FED. Cette institution maléfique a appauvri le peuple des Etats-Unis, et a pratiquement ruiné notre gouvernement. Tout cela grâce aux pratiques corruptrices des vautours monétaires qui la contrôlent."

 

Le sénateur Barry Goldwater fut aussi très véhément contre la FED :

 

"La plupart des Américains ne comprennent pas vraiment la stratégie des prêteurs d'argent internationaux. Les comptes de la Réserve fédérale n'ont jamais été vérifiés. Ils opèrent en dehors du contrôle du Congrès et manipulent le crédit des Etats-Unis."

 

En réalité la FED ne fait pas partie du gouvernement des Etats-Unis mais est encore plus puissante que lui. Elle est plus puissante que le Président, le Congrès ou les Cours de justice. Elle détermine quel sera le crédit qu'une personne devra pour l'achat d'une voiture, d'un bien immobilier. ... Et comme dit le proverbe de l'Ancien Testament : "Le débiteur est l'esclave du créditeur."

 

Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que depuis le jour où la Constitution fut établie,... les personnes à l'origine des banques centrales privées, ceux que Madison appelaient les "trafiquants de monnaie", se sont toujours battues pour le contrôle de l'impression de la monnaie américaine.

 

Pourquoi est-ce si important d'imprimer la monnaie ? Imaginez que la monnaie n'est qu'un bien échangeable. Si vous avez le monopole de ce bien, dont tout le monde a besoin, que tout le monde veut, et dont personne ne trouve qu'il en a trop, vous avez la possibilité de faire un important profit et d'exercer une réelle influence sur la politique. C'est ce en quoi consiste cette bataille. Durant toute l'histoire des Etats-Unis, le pouvoir monétaire a fluctué entre le Congrès et les dirigeants d'une banque centrale privée.

 

Les Pères fondateurs (des Etats-Unis, Ndlr.) connaissaient le dangerosité d'une banque centrale privée. Ils se sont battus d'abord contre la Banque centrale britannique, la "Banque d'Angleterre" qui a augmenté l'endettement national britannique à un tel niveau que le Parlement britannique a été obligé de voter de nouvelles taxes dans les colonies américaines... Benjamin Franklin dira que ce fut la cause réelle de la révolution américaine. ... Thomas Jefferson affirma :

 

"Je crois sincèrement que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières. Ce nouveau pouvoir doit être retiré aux banques et rester aux mains du peuple à qui il appartient."

 

Cette déclaration de Jefferson est effectivement la solution à tous nos problèmes économiques actuels. ... James Madison, le rédacteur principal de la Constitution..., appelait les propriétaires des banques centrales (il n'existait à cette époque que la "banque d'Angleterre" Ndlr.) les "trafiquants de monnaie". Il critiqua durement leurs actions :

 

"L'histoire nous a appris que les trafiquants de monnaie ont pratiqué toutes les formes d'abus, d'ingrigues, de duperie, et de violences possibles afin de maintenir leur contrôle sur les gouvernements, en contrôlant la monnaie et son émission."

 

La bataille pour savoir qui émet la monnaie est un thème majeur dans l'histoire des Etats-Unis. Des guerres se sont déclarées, des dépressions ont été causées, et depuis la 1ère Guerre mondiale cette lutte d'intérêt n'a presque jamais été mentionnée dans la presse ou les livres d'histoire. Pourquoi ?

 

Avec la 1ère Guerre mondiale, ces "marchands du temple", grâce à leur puissance financière, contrôlaient la majorité de la presse US. Durant toute l'histoire des Etats-Unis, cette bataille pour savoir qui allait s'emparer de l'émission monétaire s'est intensifiée. En fait, cela a changé de mains au total à huit reprises depuis 1764 bien que le public n'ait pas eu connaissance de cela durant trois générations à cause de l'écran de fumée laché par les dirigeants de la FED dans les media.

 

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Money Masters, How international bankers gained control of America. Les maîtres de la monnaie, Comment les banquiers internationaux ont pris le contrôle de l'Amérique

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Abraham Lincoln

[...] Peu importe si on fait passer une nouvelle loi constitutionnelle permettant d'équilibrer notre nouveau budget [Ndlr. en France par exemple, l'engagement du gouvernement le 27 octobre d'économiser 3,6 milliards pour le budget 2015, a pu donner l'impression d'une maîtrise du déficit alors que la cause du déficit budgétaire depuis 1973 - loi Rothschild Pompidou - n'est jamais dénoncée et que la dette ne cesse d'augmenter], notre situation ne va faire qu'empirer si l'on ne traite pas le problème à sa source.

 

Quelle est la solution à ce problème national ?

 

Premièrement, informer. C'est l'objectif de cette video.

 

Deuxièmement, nous devons absolument reprendre le contrôle de notre propre monnaie.

 

[...] C'est cette même solution qui a été envisagée à différents moments de l'histoire des Etats-Unis, par Benjamin Franklin, Thomas Jefferson, Andrew Jackson, Martin Van Buren et Abraham Lincoln.

 

En 1913, le Congrès a créé une Banque centrale indépendante mensongèrement dénommée ""Federal Reserve" (Réservé fédérale), un monopole permettant d'émettre la monnaie américaine. La dette générée par cette firme quasi privée tue l'économie américaine.

 

Qui sont des "trafiquants de monnaie" dont parlait James Madison ?

 

[...] 1000 ans après la mort de Jésus-Christ, les trafiquants de monnaie ont été actifs dans l'Angleterre médiévale. Ils manipulaient toute l'économie anglaise. Ils étaient les fondeurs d'or ou artisans appelés "goldsmiths". Ils ont été les premiers banquiers dans le sens où ils ont commencé à stocker l'or des autres dans leurs propres coffres.

 

Le premier papier monnaie était un simple reçu équivalent à l'or entreprosé par les goldsmiths. Le papier monnaie était utilisé car il évait de transporter avec soi d'importantes quantités de pièces d'or et d'argent.

 

Les goldsmiths se sont ensuite aperçus qu'une fraction seulement des déposants venait retirer leur or en même temps. Ils commençèrent à abuser du système. Ils s'aperçurent qu'ils pouvaient imprimer plus de billets qu'ils n'avaient d'or en leur possession et que personne ne s'en apercevrait. Ils purent ainsi utiliser ce surplus d'argent et recevoir les intérêts correspondants. C'est le début du système bancaire des "réserves fractionnaires".

 

Ils purent ainsi prêter beaucoup plus d'argent qu'ils n'en avaient en réalité dans leurs réserves.

 

Ainsi, si vous déposiez 1000 dollars en or dans leurs coffres, ils pouvaient faire crédit à d'autres personnes pour 10 000 $ en papier monnaie, et gagnaient encore des intérêts dessus. Et personne ne s'apercevaient de la supercherie.

 

Par ce procédé, les goldsmiths sont devenus de plus en plus riches et en ont profité pour acheter toujours plus d'or.

 

Aujourd'hui, ... toutes les banques des Etats-Unis ont le droit de proposer 10 fois plus d'argent qu'elles ne possèdent d'argent en réserve.

 

Sans compter les taux d'intérêt à 8% annuel, en réalité il ne s'agit donc pas de 8% de revenus par an mais bien de 80%.

 

Voilà pourquoi les immeubles bancaires sont toujours les plus grands des villes...

 

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Abbaye de Westminster (Londres), construite dans le style gothique français au XIIIe siècle.

Au "Moyen Âge", le droit canonique de l'Eglise catholique interdisait formellement de prêter de l'argent avec intérêt.

 

Ce concept avait déjà été édicté par Aristote et saint Thomas d'Aquin.

 

L'intérêt était contraire à la raison et à la justice.

 

En accord avec les règles de l'Eglise au "Moyen Âge", l'Europe a interdit les intérêts sur prêts de monnaie et qualifait ce délit d'"usure".

 

Pour tous les penseurs, quelque soit la religion, la fraude, l'oppression des pauvres, et l'injustice étaient clairement immoraux.

 

Comme nous allons le voir, le prêt des réserves fractionnaires correspond à une fraude, induit une augmentation de la pauvreté, et réduit la valeur de l'argent pour tous les utilisateurs de cette monnaie.

 

Dans les années 1500, le roi Henri VIII assouplit les règles contraignantes contre l'usure. Les trafiquants de monnaie sautèrent sur l'occasion. Ils mirent en ciculation de façon importante et durant des décennies des pièces d'or et d'argent. Mais quand la reine Marie I accéda au trône d'Angleterre, elle réactiva les anciennes lois contre l'usure. Les trafiquants de monnaie accumulèrent tout l'argent métallique en circulation, plongeant l'économie dans le chaos. Quand la soeur de Marie I, Elisabeth I fut couronnée, elle fut déterminée à reprendre le contrôle de la monnaie anglaise. Sa solution fut de mettre en circulation les pièces d'or et d'argent du trésor public et de contrôler l'approvisionnement, à l'abri des trafiquants de monnaie.

 

[...] La "révolution anglaise" de 1642

 

Financé par les trafiquants de monnaie, Olivier Cromwell a détrôné le roi Charles Ier, purgé le parlement et fait exécuter le roi. Immédiatement cela a permis aux trafiquants de monnaie de consolider leur pouvoir financier. Le résultat fut que dans les 50 années suivantes, les trafiquants de monnaie plongèrent la Grande-Bretagne dans une série de guerres coûteuses. Ils s'approprièrent un terrain de 1000 miles carrés dans le centre de Londres, plus connu aujourd'hui sous le nom de City of London. Cette zone est encore considérée comme l'un des trois centres financiers majeurs du monde.

 

Le conflit avec la branche des Stuart permit aux trafiquants de monnaie de s'allier avec les Pays-Bas pour financer l'invasion de Guillaume d'Orange en 1688 dans le but de se débarrasser des Stuart du trône d'Angleterre.

 

La Banque d'Angleterre.

 

A la fin du XVIIe siècle, l'Angleterre était ruinée financièrement. 50 années de guerre continue contre la France et les Pays-Bas l'avait considérablement affaiblie. Désespérés, les membres du gouvernement se tournèrent vers les trafiquants de monnaie afin d'avoir des crédits leur permettant d'atteindre leurs objectifs politiques.

 

Le prix fut élevé: le gouvernement fonda une banque centrale privée pouvant émettre de la monnaie, créée à partir de rien.

 

C'est ainsi que naquit la première banque centrale possédés par des intérêts privés et sournoisement appelée la "Banque d'Angleterre" afin de faire croire à la population qu'elle faisait partie du gouvernement, alors que cela n'était pas le cas.

 

Les investisseurs dont les noms n'avaient jamais été révélés, étaient supposés apporter comme capital 1,25 millions de livres anglaises en pièces d'or, afin d'acheter leurs actions bancaires. Mais seulement 750 000 livres furent comptabilisées.

 

Malgré cela, la banque fut établie en 1694 et commença à proposer plusieurs fois la quantité d'argent, qu'elle ne possédait en réalité pas en réserve, le tout avec des intérêts bancaires. En échange, la Banque prêta aux politiciens britanniques tout l'argent dont ils avaient besoin aussi longtemps que la dette pourrait être remboursée par les impôts payés par le peuple britannique.

 

La légalisation de la Banque d'Angleterre équivaut en quelque sorte à une fraude permettant aux intérêts privés de la banque de s'emparer de la circulation monétaire nationale.

 

Malheureusement à présent, quasiment toutes les nations du monde ont une banque centrale aux mains d'intérêts privés, se servant de la "banque d'Angleterre comme modèle".

 

Le pouvoir de cette première banque centrale fut tel qu'il prit bientôt le contrôle total de l'économie nationale. Cela équivaut ni plus ni moins à une ploutocratie ou à une prise du pouvoir par les riches. C'est comme donner le pouvoir à l'armée ou à la mafia. Le danger de la tyrannie est extrême

 

L'escroquerie d'une banque centrale privée est en fait un impôt déguisé.

 

La nation vend des obligations à la banque centrale, et les hommes politiques, alors qu'ils ne sont pas habilités à le faire, décident des hausses d'impôt pour rembourser la dette. Mais ces obligations sont achetées avec de l'argent que la banque centrale crée à partir de rien.

 

Plus d'argent en circulation signifie une diminution de la valeur de l'argent.

 

Le gouvernement obtient tout ce qu'il veut mais le peuple le paye par de l'inflation.

 

La nation britannique fut inondée de monnaie, les prix doublèrent dans tout le pays.

 

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Inflation au Royaume-Uni entre 1750 et 1998

Source:

History of UK inflation (ONS & House of Commons Research Paper 02/44, July 11, 2002)

http://monevator.com/a-history-of-uk-inflation/

 

En 1698, la dette du gouvernement avait augmenté de 1,25 initialement à 16 millions de livres. Les impôts ont augmenté sans cesse afin de payer tout cela.

 

Avec la monnaie britannique assujettie, l'économie anglaise connut une succession de croissances et de dépressions. Exactement le genre d'inconvénients que la banque centrale était censée empêcher...

 

L'ascension des Rothschild.

 

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Mayer Amschel Bauer Rothschild (1744-1812)

 

Son ascension s'accéléra lorsqu'il obtint les faveurs du prince Guillaume IX de Hesse, ami de la dynastie maçonnique de Hanovre et dont la mère était Marie de Hanovre, princesse de Grande-Bretagne

 

Il prit part, en sa présence, à des rencontres de francs-maçons en Allemagne.

50 ans après que la Banque d'Angleterre ait ouvert des portes un goldmsith juif du nom de Mayer Amschel Bauer (1744-1812) ouvrit en 1743 à Francfort en Allemagne un commerce de négoce dont il était le comptable. Au-dessus de la porte d'entrée il plaça un blason représentant un aigle romain sur un bouclier rouge. Le commerce fut connu sous le nom de "bouclier rouge", en allemand "roten-schild". Quand son fils Amschel mayer Bauer (1773-1855) hérita du négoce il décida de changer le nom en "Rothschild".

 

Amschel se rendit compte que prêter de l'argent aux gouvernements et aux rois était plus rentable que de prêter à des individus privés. Les prêts sont non seulement plus importants mais ils sont garantis par les impôts nationaux.

 

Mayer eut 5 fils. Il les intia à toutes les possibilités permettant de faire de l'argent et les envoya dans les grandes capitales européennes dans le but d'ouvrir des succursales de l'entreprise familiale.

 

Son premier fils Amschel Mayer (1773-1855) resta dans l'établissement financier familial à Francfort.

Le second fils, Salomon, partit à Vienne en Autrice.

Le troisième fils, Nathan (1777-1836), le plus doué, fut envoyé à Londres à l'âge de 21 ans, en 1798, soit 100 ans après la fondation de la Banque d'Angleterre.

Karl, le quatrième fils, partir à Naples en Italie.

Le cinquième fils, Jacob, s'établit à Paris. [il participera avec sa famille au financement de l'effort de guerre de la coalition menée par la Grande-Bretagne contre Napoléon Ier. Ndlr.]

 

Avec Napoléon en action (et la Révolution "en marche" en Europe... Ndlr.), les opportunités d'investissement dans la guerre étaient illimitées. [Ndlr. Selon le livre de Jüri Lina, "Sous le signe du scorpion" (Stockholm 1998), c’est Mayer Amschel, fondateur de la dynastie des Rothschild, qui depuis Francfort, finança les Illuminés de Bavière d'Adam Weishaupt. Le contrôle des maçonneries fut solennellement scellé au château de Wilhelmsbad (relire le Balsamo d’A. Dumas), château propriété de... Mayer Amschel Rothschild, le 16 juillet 1782. C’est à l'occasion de ce "convent" de Wilhelmsbad que la Révolution dite "française" décida la mort de Louis XVI et de Gustave de Suède (cette information recoupe celle de l'abbé Barruel et de Mgr Delassus...) La tête de l’empereur Léopold d’Autriche fut également mise à prix. Ces trois assassinats furent exécutés. Un comité secret de la Révolution fut constitué. On y retrouve un certain nombre des futurs "vedettes" politiques de cette période, notamment Talleyrand, Mirabeau (qui voyant Louis XVI arriver aux Etats-Généraux déclara "voici la victime"...) côtoyant des magiciens ou philosophes tels que Mesmer, Cagliostro, Lavater, L.C. de St Martin, etc.. Aux Etats-Unis, les illuminati oeuvreront pour que les U.S.A. s’inspirent du système bancaire des pays européens (Angleterre, France) et confient l’émission et la circulation de leur monnaie à des organismes privés (FED) afin d’endetter l’État à des taux d’intérêt non maîtrisables. Jüri Lina est l'auteur du documentaire "Dans l'Ombre d'Hermès, les secrets du communisme"]

 

Nathan Rothschild déclara qu'en 17 ans de présence en Angleterre il avait multiplié son capital de 20 000 livres donné par son père par plus de 2500 fois.

 

S'entraidant familialement, la richesse des Rothschild augmenta encore considérablement.

 

Vers le milieu du 19e siècle, ils contrôlaient complètement les banques européennes.

 

Ils ont financé Cecil Rhodes, permettant à son établissement de posséder le monopole des mines d'or et de diamant en Afrique du Sud.

 

Aux Amériques ils ont financé les lignes des chemins de fer des Harriman, les lignes de chemin de fer et la presse des Vanderbilt et la sidérurgie des Carnegie, et beaucoup d'autres encore.

 

Durant la 1ère Guerre mondiale, on pensait que J.P. Morgan était l'homme le plus riche des Etats-Unis, mais à sa mort on se rendit compte qu'il n'était qu'un homme de main des Rothschild. Quand le testament de Morgan a été rendu public, on s'est aperçu qu'il ne possédait que 19% des compagnies J.P. Morgan.

 

Vers 1850, (en France) James Rothschild était en possession de 600 millions de francs, soit 150 millions de plus que toutes les autres banques françaises réunies.

 

A présent, observons les résultats engendrés par la Banque d'Angleterre sur l'économie britannique et comment ils furent une des raisons de la "Révolution" américaine.

 

La Révolution américaine.

 

Les Anglais ont dû endurer 4 guerres coûteuses en Europe depuis la création de leur Banque centrale privée, la Banque d'Angleterre.

 

Pour financer ces guerres, le gouvernement britannique s'est lourdement endetté auprès des banques. Il lança alors un programme afin de réformer les taxes en provenance des colonies américaines, tout cela dans le but de rembourser les intérêts aux banques... Mais aux Amériques, le fouet d'une banque centrale privée n'avait pas encore claqué.

 

Le parlement britannique vota l'Acte monétaire de 1764 (Currency Act) qui interdisait aux coloniaux d'imprimer leur propre monnaie et les obligeait à payer leurs impôts en pièces d'or et d'argent. Ce qui forçait les colonies à adopter le standard or ou argent.

 

Pour ceux qui pensent que le retour au standard or serait la solution au problème monétaire actuel, regardez ce qui s'est passé aux Etats-Unis par la suite :

 

La Banque de l'Amérique du Nord.

 

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Independence Hall (Philadelphie)

Après la fin de la Révolution, le Congrès continental se réunit à l'Independence Hall (Philadelphie) avec comme objectif de trouver de l'argent.

 

En 1781, les "révolutionnaires" désignèrent Robert Morris superintendant financier afin de créer une banque privée centrale. Cet homme était devenu très riche en faisant le commerce de matériel de guerre pendant la révolution.

 

Appelée "Banque de l'Amérique du Nord", la nouvelle Banque prit pour modèle la "Banque d'Angleterre". Ce qui permit d'appliquer le système des réserves fractionnaires et proposer de l'argent que la banque n'avait pas en réserve, engrangeant ainsi des intérêts considérables. ... Et tout comme la "Banque d'Angleterre", il acquit bientôt un monopole sur la monnaie nationale. Rapidement la menace apparut. La valeur de la monnaie américaine baissa constamment. 4 ans après, en 1785, le bail de la banque ne fut pas renouvelé. Le leader dans cette lutte à mort contre la banque, William Findley, de Pennsylvanie, expliqua ainsi ses griefs :

 

"Cette institution n'ayant pas d'autres principes que celui de l'avarice, n'a jamais varié d'objectifs : celui d'engranger toute la richesse, le pouvoir et l'influence de l'Etat."

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/05/Alexander_Hamilton_portrait_by_John_Trumbull_1806.jpg/220px-Alexander_Hamilton_portrait_by_John_Trumbull_1806.jpg
 Alexander Hamilton, Secrétaire d'Etat au Trésor, partisan d'une banque centrale.

Son modèle était la banque dite "d'Angleterre" (première banque centrale dans l'histoire, fondée en 1694).

Les hommes derrière la Banque de l'Amérique du Nord, Alexander Hamilton, Robert Morris, ainsi que le président de la Banque, Thomas Willing, ne baissèrent pas les bras.

Seulement six ans après, Alexander Hamilton, alors Secrétaire au Trésor, et son mentor Robert Morris soutinrent le projet au nouveau Congrès d'une nouvelle banque centrale privée.

Inventant le nom de la première banque des Etats-Unis, Thomas Willing fut le président de la nouvelle banque centrale. Les individus étaient les mêmes, seul le nom de la banque changeait.

 

La Convention constitutionnelle.

 

En 1787, les leaders coloniaux se réunirent à Philadelphie (Pennsylvanie) afin de remplacer les articles posant problème de la Confédération. Comme nous l'avons vu, Thomas Jefferson (futur 3e président de 1801 à 1809, Ndlr.) et James Madison se sont toujours opposés à une banque centrale privée. Ils avaient bien compris les problèmes occasionnés par la "banque d'Angleterre". Ils ne voulaient rien savoir, et comme le disait Jefferson :

 

"Si le peuple américain permet aux banques privées de contrôler l'émission de leur monnaie, d'abord à cause de l'inflation, puis à cause de la déflation, les banques et les organismes gravitant autour d'elles priveront le peuple de toute ses acquisitions jusqu'à ce que les fils se retrouvent un jour sans toit sur le continent que leurs pères ont conquis."

 

Alexander Hamilton, Robert Morris, Thomas Willing et les autres banquiers européens n'abandonnèrent pas. Ils convainquirent de nombreux délégués de la Convention constitutionnelle de ne pas accorder au Congrès la capacité d'émettre du papier monnaie. Les délégués se souvenaient du choc inflationniste du papier monnaie durant la révolution. Ils avaient cependant oublié comment le "Colonial Scrip" avait parfaitement bien fonctionné avant la guerre. Mais la banque d'Angleterre ne l'avait pas oublié. Les trafiquants de monnaie ne pouvaient pas laisser les Etats-Unis imprimer de nouveau leur propre monnaie. Ainsi, la Constitution ne trancha pas sur cette question... Cet oubli (volontaire ? Ndlr.) majeur laissa la possibilité aux trafiquants de monnaie de s'engouffrer dans la brèche, exactement comme ils l'avaient prévu...

 

La première banque des Etats-Unis.

 

En 1790, moins de trois ans après la signature de la Constitution, les trafiquants passèrent à nouveau à l'action. Le nouveau secrétaire du Trésor fut désigné : Alexander Hamilton proposa au Congrès une loi permettant d'avoir une banque centrale privée. Coïncidence, ce fut la même année que Amschel Rothschild déclara depuis son établissement bancaire de Francfort :

 

"Laissez moi émettre et contrôler la monnaie d'une nation, et je me moque bien de savoir qui écrit les lois."

 

Alexander Hamilton fut un agent des banquiers internationaux. Il voulait créer la "Banque des Etats-Unis" et il y réussit.

 

Quand Alexander Hamilton fut diplômé avocat en 1782, son premier poste fut d'être nommé conseiller de Robert Morris, le responsable de la Banque d'Amérique du Nord.

 

Quelques années plus tôt, Alexander Hamilton écrivit une lettre à Robert Morris dans laquelle il affirma :

 

"Une dette nationale, si elle n'est pas excessive, serait pour nous une bénédiction".

 

Une bénédiction pour qui ?

 

Après un an d'intenses débats, le Congrès approuva en 1791 le projet d'Hamilton et accorda un bail de 20 ans à l'établissement. La nouvelle banque centrale fut appelée la "première banque des Etats-Unis" ou BOS, à Philadelphie. Elle acquit le monopole total de l'émission de la monnaie américaine. Sachant que 80% des investisseurs du capital étaient aux mains de propriétaires privés, les 20% restant furent détenus par l'Etat fédéral US. Tout comme les précédents Banque d'Amérique du Nord et Banque d'Angleterre, les actionnaires privés n'ont jamais apporté le montant total du capital initial. Le gouvernement US apporta 2 millions de dollars en cash. Ensuite, la Banque utilisa le bon vieux tour de magie du système des réserves fractionnaires.

 

Tout comme la Banque d'Angleterre, les noms des investisseurs de la nouvelle banque ne furent jamais révélés.

 

Quelques années plus tard, tout le monde disait que les juifs Rothschild étaient la puissance derrière la vieille banque des Etats-Unis.

 

Le Congrès "acheta" à la banque afin d'éliminer soit-disant l'inflation. Qu'arriva-t-il ?

 

Durant les 5 premières années, le gouvernement des Etats-Unis acheta 8,2 millions de dollars à la banque des Etats-Unis. Durant cette même période de 5 ans, les prix augmentèrent de 72%. Thomas Jefferson en tant que nouveau Secrétaire d'Etat, observant l'endettement, fit la déclaration suivante :

 

"Je souhaite que cela soit possible d'obtenir un seul amendement de notre Constitution afin de préserver le gouvernement fédéral de leur pouvoir d'endettement."

 

L'ascension vers le pouvoir de Napoléon.

 

 C'est à Paris que fut créée en 1800 la Banque "de France" (sur ordre des banquiers, ndlr.), à l'image de la Banque "d'Angleterre". Mais Napoléon décida que la France devait se délester de toute dette... et il ne fit jamais confiance à la Banque "de France". Il déclara :

 

"La main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L'argent n'a pas de patrie; les banquiers sont dépourvus de patriotisme et de décence : leur seul objectif est le gain."

 

Mort de la première Banque des Etats-Unis.

 

En 1811, un projet au Congrès devait renouveler le contrat de la Banque des Etats-Unis. Les représentants de la Pennsylvanie et de Virginie demandèrent au Congrès de faire voter voter une résolution afin de tuer la banque. La presse indépendante attaquait la banque l'appelant "le grand escroc", le "vautour", "le serpent" ou encore "le cobra". Si nous pouvions à nouveau avoir une telle presse aux Etats-Unis ! (pareil en France !). Le congressman P. B. Porter attaqua la banque et déclara dans l'enceinte même du Congrès :

 

"Si la concession est renouvelée, le Congrès insérera un serpent dans la Constitution qui un jour empoisonnera jusqu'au coeur les libertés de cette nation."

 

http://img.over-blog.com/200x140/0/51/99/49/Fin-septembre-2014/Serpent---Premier-symbole-americain-pre-revolutionnaire-.jpg

Benjamin Franklin. “Join or Die”. Pennsylvania Gazette (Philadelphia), May 9, 1754. Newspaper.

 

Source: Serial and Government Publications Division, Library of Congres

 

http://www.loc.gov/exhibits/uscapitol/s1.html

[Ndlr. Rappelons toutefois que  le serpent était précisément premier symbole américain pré-révolutionnaire du franc-maçon Benjamin Franklin, qui avait pour slogan "Join or die" ("Rejoins-nous ou meurs") et que les Treize colonies de l'Empire britannique en Amérique du Nord qui donnèrent naissance aux États-Unis d'Amérique ont été forcées de former une union, symbolisée par le serpent de Benjamin Franklin. Ceci peut être vu à la Bibliothèque du Congrès (Library of Congres)  Washington D.C. / USA.]
 

 

Le serpent "américain" fut même l'emblème utilisé par les Américains comme symbole sur leur drapeau avant l'adoption des étoiles et des rayures, avec deux de trois bobines autour des unités des soldats britanniques, commandé par Burgoyne et Cornwallis au moment de leur reddition, et formant trois 6... (Image ci-dessous)  Source: http://www.loc.gov/pictures/item/96510312/

 


 

American-snake.jpg

 Auteur : James Gillray, "The American Rattle Snake." Date Created/Published: [London] : Pubd. by W. Humphrey, No. 227 Strand, 1782 April 12th.

 

Certains auteurs avancent que Nathan Rothschild mit en garde les Etats-Unis et qu'une guerre désastreuse menaçait si le contrat de la banque n'était pas prolongé.

 

Le projet de renouvellement fut rejeté par un seul vote de la Chambre, et éliminé par le Sénat. C'est le 4ème président, James Madison, qui était à la Maison Blanche, et était un opposant fervent à la Banque. Son vice président George Clinton rejeta le projet au Sénat et demanda la disparition (temporaire ?... ndlr.) de la Banque. 5 mois plus tard, l'Angleterre attaqua les Etats-Unis et engagea la guerre de 1812. Mais les Britanniques étaient toujours en lutte contre Napoléon et la guerre de 1812 se termina par un accord en 1814. Il suffirait seulement de 2 ans aux trafiquants de monnaie pour réinstaller avec succès une banque privée, cette fois plus forte que jamais.  . .. .

 

Waterloo.

 

Certains chercheurs affirment que Napoléon a reçu 5 millions de livres de la Banque "d'Angleterre" afin de se réarmer. Mais il semble que ces fonds provenaient de la banque Uebard de Paris. Cependant, dorénavant, il sera devenu habituel que les banques centrales privées financent en même temps les deux camps opposés d'une guerre. Parce que la dette est le meilleur moyen de s'endetter. Une nation s'endette, quelque soit le montant, pour l'emporter. Le vaincu se voit accorder des crédits pour encore espérer, quand le vainqueur a juste assez d'argent pour l'emporter.

 

A Londres, Nathan Rothschil cherchait le moyen de prendre le contrôle de la bourse anglaise et même si possible de la banque "d'Angleterre". Il plaça un agent de confiance appelé Rothsworth au nord du champ de bataille, pas si loin de la Manche. Une fois la bataille terminée celui-ci traversa la Manche et il annonça la nouvelle à Nathan Rothschild 24 heures avant le courrier de Wellington. Rothschild se rendit à la bourse de Londres. Il fit sa mine des mauvais jours, parut atteint, les yeux baissés et donna à ses courtiers des ordres à la vente. Les investisseurs attentifs traduisirent Napoléon a gagné et Wellington a perdu. La bourse se mit à chuter immédiatement. Tout le monde vendit ses titres ainsi que les obligations du gouvernement anglais. Les prix se mirent aussitôt à fondre. Nathan Rothschild commença alors à acheter discrètement les titres dévalués grâce à ses agents tenus au courant quelques heures auparavant de la manoeuvre à effectuer. Mythe, légende, Chutzpah ? 100 ans plus tard, le New York Times écrivit que le petit-fils de Nathan Rothschild réclama qu'une décision de justice empêcha la parution d'un livre sur cette histoire financière. La famille Rothschild déclara que cette histoire était mensongère et diffamatoire. Mais la Cour de justice débouta les Rothschild et ordonna à la famille de payer tous les frais de justice adverses. Quoiqu'il en soit, au lendemain de Waterloo, Nathan Rothschild contrôlait non seulement la bourse de Londres mais également la Banque "d'Angleterre". Vers le milieur du 19ème siècle, la famille Rothschild était la plus riche du monde. Une xpert estima qu'elle contrôlait la moitié de la richesse du monde (C'est ce que l'on appelle la "liberté & l'égalité" ! ndlr.)

 

La deuxième banque "des Etats-Unis".

 

A Washington, en 1816, le Congrès fit passer une loi créant une nouvelle Banque centrale privée, appelée la deuxième Banque des Etats-Unis. Le gouvernement US contrôlait 20% des actions. La somme payée par le Trésor américain profita immédiatement aux banquiers. Les 80% des actions restantes furent créé à partir de la magie des réserves fractionnaires. Comme par le passé, les actionnaires principaux restèrent dans l'ombre. Mais on sait qu'environ 1/3 des actions fut vendue à des étrangers. Comme le dit un observateur à l'époque :

 

"Ce n'est pas exagéré de dire que la Seconde Banque des Etats-Unis est autant implantée aux Etats-Unis qu'en Angleterre."

 

C'est pourquoi en 1816, certains affirment que les Rothschild contrôlait la banque d'Angleterre mais également la nouvelle banque centrale privée aux Etats-Unis.

 

Andrew Jackson.

 

Andrew Jackson, élu président en 1828, était déterminé à tuer la banque. En 1832, son slogan de réélection était "Jackson, non à la banque!" Les trafiquants de monnaie (dont Nicholas Biddle) menaçèrent de déclencher une dépression si la banque n'était pas reconduite. Nicholas Biddle admit que la Banque diminuerait l'émission monétaire afin de forcer le Congrès à restituer à la banque ses prérogatives :

 

"Rien n'affectera le Congrès si ce n'est un peu plus de souffrance. Notre seul espoir est de continuer à contracter l'émission monétaire. Et je n'ai pas de doute que nous finirons par obtenir l'émission monétaire et la restauration du statut initial de la Banque."

 

La même chose se produit aujourd'hui dans le monde. Nicholas Biddle mit à exécution sa menace. La banque réduisit rapidement l'émission monétaire, empêchant le remboursement des anciennes dettes, et refusant de nouveaux crédits. Cela causa une panique financière suivie d'une dépression importante. Bien sûr, Biddle accusa Jackson d'être responsable de la crise, en l'accusant d'avoir retiré les fonds fédéraux de la banque. Les salaires et les prix ont chuté, le taux de chômage et les banqueroutes ont augmenté. Les journaux blâmaient Jackson à cause de cette situation. Après seulement quelques mois, le Congrès réuni en une "session de panique". Jackson fut officiellement désavoué au cours d'une résolution au Sénat, par 26 voix contre 20. Ce fut la première fois que le Congrès sanctionnait ainsi un président. Jackson répondit :

 

"Vous n'êtes qu'un nid de vipères ! J'ai essayé de les chasser, et par Dieu Tout-Puissant, ce sont eux qui me chassent!".

 

Puis un miracle se produisit, le gouverneur de Pennsylvanie se mit à soutenir le Président et à critiquer vertement la Banque. Nicholas Biddle fut supris en public en train de déclarer son plan de chute de l'économie. En avril 1834, la Chambre vota contre le renouvellement de la charte de la Banque. Une Commission spéciale fut désignée pour savoir si la Banque avait provoqué la dépression économique.

 

Quand la Commission se présenta à l'adresse de la Banque à Philadelphie, avec une ordonnance judiciaire lui permettant d'examiner les registres, Nicholas Biddle refusa de les lui livrer. Il ne lui autorisa pas non plus de vérifier les correspondances avec les membres du Congrès, ainsi que les prêts et avances financières accordés aux membres de la Banque. Il exclut de témoigner tant que la Commission ne retournerait pas à Washington.

 

Le 8 janvier 1835, Jackson paya la dernière traite de la dette nationale. Un endettement national provoqué par les banquiers achetant les obligations du Trésor en lieu et place des billets du trésor du gouvernement américain, sans endettement et sans intérêts à payer. Il fut le seul président à rembourser la dette nationale. Quelques semaines plus tard (comme par hasard ndlr.), le 30 janvier 1835, un homme nommé Richard Lawrence tenta d'assassiner Andrew Jackson, mais grâce à Dieu, les pistolets se sont enrayés. Lawrence fut reconnu non-coupable pour cause de démence. Les années suivantes, la Deuxième Banque des Etats-Unis cessa d'être la banque centrale nationale. Nicholas Biddle fut plus tard arrêté pour fraude. Jugé, il fut acquitté, mais il eut à nouveau très vite affaire avec la justice.

 

En fait, Jackson a si bien tué la Banque qu'il faudra 77 ans pour que les trafiquants de monnaie puisse retrouver leurs privilèges.

 

Abraham Lincoln.

 

Le système insidieux des réserves fractionnaires restait en vigueur dans les autres banques. Cela alimenta l'instabilité économique dans les années précédant la Guerre civile US.

 

Les trafiquants de monnaie changèrent de tactique. S'ils ne pouvaient pas obtenir leur banque centrale, les Etats-Unis se verraient mettre à genoux par une guerre civile, de la même manière qu'en 1812, lorsque la Charte de la Première Banque des Etats-Unis ne fut pas renouvelée.

 

Alors que les trafiquants de monnaie avaient perdu le contrôle 25 ans plus tôt, l'économie américaine était depuis devenue riche. C'était un exemple pour le reste du monde. Otto Von Bismarck, Chancelier d'Allemagne, l'homme qui réunit les états allemands quelques années plus tard, observateur des évènements, déclara :

 

"La division des Etats-Unis entre deux fédérations de force égale a été décidé en Europe par la grande finance internationale bien avant que ne débute la Guerre civile. Ces banquiers étaient effrayés à l'idée que les Etats-Unis, si ils demeuraient en un seul bloc et une seule nation, puissent obtenir leur indépendance économique et financière, renversant ainsi la domination financière des banquiers sur le monde."

 

Les trafiquants de monnaie proposèrent de faire crédit à l'Union moyennant des intérêts à hauteur de 24 à 36%. Lincoln répondit : "Merci, mais non."

 

Abraham Lincoln, au cours d'une conversation, demanda à Dick Taylor les solutions envisagées pour financer les armées de l'Union. Dick Taylor répondit :

 

"Lincoln, c'est facile; demandez simplement au Congrès de faire une loi autorisant l'impression de billets légaux du Trésor, payez vos soldats avec, et remportez également votre guerre avec."

 

En 1862 et 1863, Lincoln fit imprimer 450 millions de dollars en nouveaux billets, sans intérêts à payer pour le gouvernement fédéral. Pour les distinguer des autres papier monnaie, ils furent imprimés avec de l'encre verte sur le verso. Voilà pourquoi les billets furent appelés Greenbacks (versos verts).

 

Lincoln, qui comprit qui tiraient les ficelles, déclara :

 

"Le gouvernement doit créer, émettre et faire circuler toute la monnaie et le crédit nécessaire, afin de satisfaire les besoins du gouvernement et le pouvoir d'achat des consommateurs.

 

Le privilège de création et d'émission monétaire n'est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c'est aussi la plus grande opportunité du gouvernement.

 

En adoptant ces principes..., les payeurs feront l'économie d'énormes sommes d'intérêts. La monnaie cessera d'être le maître pour devenir le serviteur de l'humanité."

 

Lincoln autorisa quelques banquiers à signer l'Acte bancaire national. Ces nouvelles banques nationales privées seraient exemptées d'impôts et auraient le monopole sur la création d'une nouvelle forme de monnaie : les Banknotes, billets de banque. Les greenbacks continueraient de circuler et leur nombre ne serait pas augmenté.

 

Mais le plus important à noter est que l'intégralité de l'émission monétaire serait créée sans dette par des banquiers achetant des obligations du gouvernement permettant ainsi l'émission de billets de banque.

 

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Tsar Alexandre II de Russie

Début 1863, Lincoln reçut un soutien inespéré du tsar Alexandre II de Russie qui, tout comme Otto Von Bismarck en Allemagne, connaissait les plans des trafiquants de monnaie et refusa catégoriquement l'implantation d'une Banque centrale privée en Russie. Si l'Amérique du Nord en réchappait et se sortait de ces griffes, la position du tsar serait également confortée.

 

Si les grands banquiers réussissaient à diviser les Etats-Unis, à les morceler entre le Royaume-Uni et la France, les deux nations disposant déjà d'une banque centrale, les banquiers menaceraient par la suite également la Russie.

 

C'est ainsi que le Tsar menaça qu'en cas d'intervention de la l'Angleterre ou de la France en faveur des états confédérés du Sud, la Russie considérerait cet acte comme une déclaration de guerre à la Russie. Le tsar ordonna à sa flotte du Pacifique de stationner au port de San Francisco.

 

Lincoln fut réélu l'année suivante en 1864. Si il avait vécu assez longtemps il aurait probablement mis fin au monopole des banques nationales qui lui a été imposé pendant la guerre (1er National Banking Act 1863, 2ème National Banking Act en 1864; fin du contrôle du gouvernement sur les banques). Le 21 novembre 164, il écrivait à un ami :

 

"Les puissances de l'argent oppressent la nation en temps de paix, et conspire contre elle dans les périodes difficiles. Elles sont encore plus despotiques qu'une monarchie, plus insolentes qu'une autocratie, et encore plus égoïstes qu'une bureaucratie."

 

Peu de temps après qu'Abraham Lincoln fut assassiné, Salmon P. Chase se lamenta un an plus tard de sa responsabilité dans la signature du 2ème Acte bancaire national.

 

Le chancelier Otto Von Bismarck déplora la mort d'Abraham Lincoln :

 

Otto-von-Bismarck.jpg"La mort d'Abraham Lincoln est un désastre pour la Chrétienté. Aux Etats-Unis, il n'y a pas un seul homme qui ne lui arrive à la cheville. Je crains que les banquiers étrangers avec leurs esprits tortueux et machiavéliques ne prennent entièrement le contrôle des richesses de l'Amérique et l'utilisent pour corrompre méthodiquement la civilisation moderne. Ils n'hésiteront pas à plonger le monde chrétien dans les guerres et le chaos jusqu'à ce que la planète entière ne tombe entre leurs mains."

 

Bismarck comprenait parfaitement le plan des trafiquants de monnaie.

 

Les allégations sur la responsabilité des banquiers internationaux concernant l'assissant de Lincoln viendront en 1934 du Canada, soit 70 ans plus tard.

 

Gerald G. McGeer, un populaire et respecté avocat, fit de surprenantes accusations au cours d'un discours de 5 heures, à la Chambre des Communes du Canada, au cours duquel il critiqua l'endettement du Canada à cause du système bancaire.

 

Souvenez-vous qu'en 1934 nous sommes au paroxysme de la Grande Dépression et que celle-ci a aussi affecté le Canada. McGeer avait obtenu les preuves dans les archives publiques fournies par des agents des services secrets présents au procès de John Wilkes Booth (l'assassin d'Abraham Lincoln, ndlr.), après sa mort. Gerald McGeer affirma que Booth était un mercenaire au service des banquiers internationaux. McGeer révéla que Lincoln ne fut pas seulement assassiné parce que les banquiers internationaux souhaitaient une banque centrale privée mais aussi parce qu'ils souhaitaient imposer une monnaie indexée sur l'or. Et ce sont eux qui contrôlent le cours de l'or. Ils voulaient imposer aux Etats-Unis le standard or. Lincoln fit l'exact inverse en émettant les greenbacks US reposant sur la bonne foi et le crédit des Etats-Unis.

 

Moins de 8 ans après l'assassinat de Lincoln, le système monétaire dus tandard or fut introduit aux Etats-Unis.

 

Jamais depuis la mort de Lincoln les Etats-Unis ne parviendront à émettre des billets sans s'endetter.

 

James-Garfield-dans-les-annees-1870.jpg
James Garfiel

d dans les années 1870

[...] En 1881, le peuple américain élut Président le républicain James Garfield. Garfield comprit comment l'économie avait été manipulée. Après son investiture il prévint publiquement les trafiquants de monnaie en 1881 :

 

"Quiconque contrôle le volume monétaire d'un pays est le maître incontesté de toute l'industrie et du commerce.

 

Et quand vous réalisez que le système tout entier est facilement contrôlable, d'une manière ou d'une autre, par des hommes très puissants appartenant à une élite, vous n'avez pas à vous demander d'où viennent les périodes d'inflation et de dépression..."

 

Quelques semaines après cette déclaration, le 19 septembre 1881, le président James Garfield fut assassiné.

 

Les trafiquants de monnaie entamèrent la phase qu'ils appellent "tondre le troupeau" en créant une succession de booms économiques et de dépressions. En 1891 ils se préparèrent à faire chuter à nouveau l'économie US.

 

[...] Ainsi, depuis le passage de l'Acte bancaire national de 1863, ils furent capables de provoquer une succession de booms et de crashs économiques. Le but était de faire admettre que le système bancaire était devenu si instable qu'il fallait le consolider grâce à une banque centrale, une fois encore...

 

L'Île de Jekyll.

 

[...] Le partenaire de Warburg était Jacob Schiff qui, comme nous l'avons appris plus tard, finança à hauteur de 20 millions de $ les forces anti tsaristes en Russie.

 

Ces trois familles bancaires, les Rothschild, les Warburg, et les Schiff s'étaient toutes inter-mariées entre elles au fil des ans, de la même manière que leurs collègues banquiers nord américains, les Morgan, les Rockefeller, et les Aldrich.

 

Il fallait choisir le nom de la nouvelle banque et vendre le projet au peuple. La discussion s'est passée à l'hôtel Jekyll Island Club.

 

Aldrich pensait que le nom banque ne devait pas faire partie du nom à donner. Warburg voulait l'appeler la loi sur la "Réserve nationale" ou la loi sur la "Réserve fédérale". L'idée était de donner l'impression que le propriétaire de la nouvelle banque centrale mettrait fin à l'anarchie bancaire, mais aussi d'occulter le caractère monopolistique du nouvel établissement. Ce fut Aldrich, ce politicien égoïste qui insista pour l'appeler loi "Aldrich". Après neuf jours passés sur Jekyll Island, le groupe se dispersa. La nouvelle banque centrale serait très similaire à l'ancienne "Banque des Etats-Unis". Elle aurait le monopole de l'émission monétaire, et la capacité de créer de l'argent à partir de rien.

 

Comment la Réserve fédérale crée de l'argent à partir de rien ?

 

C'est un processus en 4 phases: Les obligations sont de simples promesses de paiement émises par le gouvernement. Les gens prennent des obligations afin d'avoir des intérêts sécurisés. Une fois le bon arrivé à échéance, le gouvernement le rachète, avec les intérêts, et l'obligation est ensuite détruite. Il existe aujourd'hui (en 1996) 3 600 milliards de $ d'obligations.

 

Maintenant, observons le processus de création monétaire de la Réserve fédérale (ou FED) : 1. Le comité du marché ouvert de la FED approuve l'achat des obligations US. 2. Les obligations sont achetées par la FED qui les revendra elle-même sur le marché. 3. La FED paie ces obligations avec du débit électronique et les revend aux banques, ces crédits reposant en fait sur rien, la FED les crée tout simplement. 4. Les banques utilisent ces dépôts comme réserves, elles peuvent prêter à leur tour plus de 10 fois le montant qu'elles possèdent en réserve, aux nouveaux emprunteurs, plus les intérêts.

De cette manière, si la FED acquiert 1 million de $ en obligations, ce sont 10 millions de $ qui se retrouvent dans les comptes des banques. La FED crée 10% de ce nouvel argent alors que les banques créent les 90% restant.

Pour réduire la quantité d'argent dans l'économie, le processus est inversé, la FED vend des obligations au public, et l'argent sort des banques locales. Les prêts doivent être divisés par 10 par rapport au montant vendu. Donc si la FED vend 1 million de $ d'obligations, le résultat est 10 millions de $ de moins dans l'économie.

 

Peu après sa création, la FED imposa une contraction monétaire importante dans les années 1930, provoquant ainsi la "Grande Dépression".

 

Il fallait faire croire au public que le gouvernement contrôlait la FED (et non l'inverse). Le plan spécifiait que la FED serait dirigée par un groupe de gouverneurs proposés par le président et approuvés par le Sénat. Mais tout ce que les banquiers avaient à faire était de s'assurer que leurs hommes seraient proposés comme gouverneurs. Ce n'était pas difficile. Les banquiers ont l'argent, et l'argent corrompt les politiciens.

 

Suite : "Money Masters", les maîtres de la monnaie (2/2)

 

 

 

. Money as debt - L'argent dette Le célèbre documentaire de Paul Grignon de 2006
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26 octobre 2014 7 26 /10 /octobre /2014 15:47

 

Dans une société en proie au chômage, à la misère et à l'explosion des inégalités, au lieu de se remettre en question, le «grand maître» du «Grand Orient de France» (GODF) depuis l'été 2013, Daniel Keller, a lancé hier soir à Lille une campagne publique contre « la dangereuse résurgence de l'antimaçonnisme ». Cette campagne consiste en un cycle de conférences organisées dans huit villes françaises jusqu'en mai, à Strasbourg, Lyon, Avignon, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rouen, sur le thème de « l'antimaçonnisme » qui serait  aujourd'hui « avec l'antisémitisme et l'homophobie l'un des trois symptômes de la crise de la République ». 


Les frans-maçons ont tellement voulu « changer de civilisation », ils ont été tellement loin dans le détournement des institutions et de l'état de droit, les atteinte aux libertés fondamentales et à la loi naturelle qu'ils sont en train de créer aux-même leurs propres opposants qu'il sera difficile un jour de retenir. 

 

Liberte--Egalite--Fraternite-ou-la-mort.gif Si l'on prend le thème de l'« homophobie » créé de toute pièce par les loges pour cliver et diviser une énième fois la société, les francs-maçons qui, d'ordinaire se targuent de défendre la « liberté de conscience », sont curieusement absents du débat des atteintes à cette liberté à cause du « mariage » homo qu'ils ont soutenu. Dans ce débat, ils ne proposent rien d'autre qu'une « campagne contre l'anti-maçonnisme ». Cette réponse est un peu courte au regard des conséquences sociales, culturelles et intellectuelles d'une telle «réforme de civilisation» souhaitée par une Christiane Taubira (comme si on changeait de civilisation comme on change de chemise!...)

Ce qui est enjeu c'est, outre la liberté de conscience, c'est la liberté religieuse elle-même (celles des ministres du culte) qui pourraient bientôt être bientôt contraints de « marier » contre leur conscience sous peine d'amende et de prison ! Mais ce n'est pas que cela, c'est la pensée et la raison elle-même qui est attaquée.

 

Aux Etats-Unis par exemple, s'agissant du «mariage» homo, l'Idaho et le Nevada ont été ajoutés le 7 octobre à la liste des États américains autorisant le « mariage » homo. Vingt-six États autorisent désormais cette union civile. Le lobby homosexualiste soutenu par la franc-maçonnerie a aussitôt entamé une nouvelle campagne contre les églises chrétiennes pour obliger les ministres du culte à  « marier » ou aller en prison... Aller en prison c'est quand même mieux qu'être guillotiné au nom de la « liberté ou la mort » qui en 1789 décapita en priorité les petites gens... Mais cela reste une atteinte majeure aux libertés fondamentales. Le 17 Octobre dernier, deux homosexuels ont ainsi pris contact avec M. et Mme Donald et Evelyn Knapp, pasteurs d'une église évangélique pentecôtiste dans la charmante ville de Coeur d'Alene (Idaho) qui rejette le « mariage » homosexuel, comme beaucoup d'autres églises et communautés religieuses. Le maire de gauche Steve Widmyer a des pouvoirs de police importants comme dans de nombreux états américains et peut envoyer en prison ceux qui violent ses ordres. Le maire a ainsi notifié une ordonnance aux conjoints Knapp les enjoignant de célébrer le « mariage » entre les deux homosexuels sous peine de payer une amende de mille dollars par jour de retard dans la célébration du dit «mariage» et 180 jours de prison par jour de retard. En tant que maire - qui semble plus fort en mathématiques qu'en liberté religieuse – il a expliqué que cela signifiait que si les deux vieux bergers maintenaient leur refus pour un mois, soit trente jours, ils devraient payer une amende de 30 000 dollars et rester en prison quatorze ans. Le maire a déclaré qu'il n'y avait pas de violation de la liberté religieuse parce que - contrairement à l'Eglise catholique, mais d'une manière commune à de nombreuses dénominations protestantes - les mariages dans la communauté de bergers Knapp ne sont pas libres, mais soumis à payer une redevance fixe. En outre, sur demande, l'église prend soin des fleurs et de la musique, et de l'impôt régulier, émet une facture qui commence par une société ad hoc. On pourrait penser que cela met les catholiques à l'abri, mais le lobby LGBT veut construire un cas d'école: il pourra ensuite soutenir que même dans l’Eglise catholique, ceux qui s’y marient font une offre, qui constitue un paiement déguisé. Les deux pasteurs ont refusé de « marier » les homosexuels, en disant qu'ils préféraient aller en prison. En France, les maires sont contraints de « marier » sous peine d'amende par jour de retard.

 

Hier soir donc, dans le temple maçonnique construit il y a tout juste un siècle dans le Vieux-Lille, environ 150 personnes ont assisté à la conférence sur l'antimaçonnisme du XVIIIe siècle à nos jours. Un habitué des lieux a confié que plus d'un tiers des personnes présentes ne faisaient pas partie de l'obédience. «Nous avons décidé de prendre l'antimaçonnisme à bras le corps, d'abord pour le démystifier et puis pour montrer en quoi il était une menace pour les fondements de la République», a déclaré Daniel Keller.


Il est frappant de voir combien les francs-maçons ne voient pas que c'est leur positionnement de division et de clivage permanent, qui va à l'encontre même de l'idée de république comme chose de tous (res publica) et détruit la république mieux que quiconque.

 

Le philosophe Daniel Morfouace explique que « plus que la bulle papale de Clément XII en 1738, le véritable début de l'antimaçonnisme date de la publication des Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme par l'abbé Barruel à la fin du XVIIIe. » Les francs-maçons diront-ils que l'abbé Barruel a mis en garde deux siècles à l'avance contre le Nouvel Ordre mondial des francs-maçons sous cette «république universelle» voulue par les francs-maçons, ce qu'il qualifia de «régime universel dominateur», citant les Archives de la Secte des Illuminés ? (1)

 

Selon l'historien Yves Hivert-Messeca, un « climat épouvantable » a régné dans les années 1930 en France pour les maçons avec un projet de loi déposé en 1934 par quatre parlementaires pour son interdiction, finalement rejeté. La franc-maçonnerie sera mise hors la loi quelques années plus tard par le régime de Vichy.

 

Selon le troisième intervenant, le journaliste Jiri Pragman, « 2014 n'est certes pas 1934 ou 1940, mais il y a une résurgence de l'antimaçonnisme », venant des milieux catholiques hostiles au mariage pour tous, des évangélistes, des musulmans et plus généralement d'internet et des réseaux sociaux. « Tapez sur google «la franc-maçonnerie est une...» vous verrez que le moteur de recherche propose notamment «une secte satanique», a expliqué M. Pragman.

 

« Nous avons régulièrement des temples qui sont tagués dans différentes villes de France », a souligné Daniel Keller, qui a fait part du désir d'ouverture de son obédience, qui compte 50.000 membres répartis dans 1200 loges. « La maçonnerie ne travaille pas repliée dans ses temples, à l'insu de tout le monde. Nous faisons la démonstration à travers des manifestations comme celle là que nous travaillons à visage découvert avec les portes ouvertes », a-t-il ajouté, plaidant pour « la régénérescence de la République ». (2)

 

Question : l'échange du serment maçonnique de secret et d'entraide est-il ouvert au public ?

 

http://img.over-blog.com/500x335/0/51/99/49/Fin-septembre-2014/Juri-Lina---I-skuggan-av-Hermes--Kommunismens-hemligheter--.jpgLes francs-maçons sont les représentants d'un monde ancien qualifié de « libéral », qui ne parvient néanmoins plus à enchanter le monde comme il a pu le faire autrefois en trompant les populations avec des slogans creux comme « Liberté & égalité » qui n'ont jamais servi que de prétexte à la libéralisation de la banque, à l'esclavage par la dette et aux travaux forcés. La Révolution vue comme cette faculté de changer le monde (volontarisme) est morte (les gens voient bien que la réalité ne se laisse pas changer indéfiniment et que tôt ou tard la nature reprend ses droits), le Progrès comme sens de l'histoire est mort avec le mythe communiste qui n'a jamais servi que les banques... Le socialisme prend le même chemin de la démystification. Hormis le mercantilisme, la marchandisation des corps et le néo-esclavagisme, les francs-maçons n'ont plus rien à offrir que la division sociale et la haine dans la division. Les révolutions de couleur et autres "printemps" ne sont jamais que des inféodations à l'OTAN. Aucun enchantement n'est possible lorsque l'horizon indépassable est celui de l'argent et de la réussite financière au détriment de son prochain. 

 

Et ce n'est pas tout, après avoir aboli la liberté de conscience, dans leur société idéale, les francs-maçons ont aboli la pensée elle-même. La théorie du genre qu'ils soutiennent est un fascisme du langage et du raisonnement où la raison elle-même est abolie.

 

Concrètement, à présent, la liberté se réduit désormais à se mouvoir entre quatre murs dont les limites ont été définies dans les loges. C'est le monde Big brother.

 

http://img.over-blog.com/290x400/0/51/99/49/Mai-2014/Yes-we-can-secede.jpgLes francs-maçons sont démunis face à la nouvelle génération qui a pris conscience des graves lacunes du vieux monde qu'ils représentent.

 

Cette nouvelle génération secouera bientôt d'une manière ou d'une autre le joug des dominations qui l'asservissent (argent, finance cupide, corruptions, détournement de la démocratie et obstacles à toute représentation sincère, etc.).

 

L'abstention, la sécession de la jeunesse de l'Union européenne (73% des 18-35 ans n’ont pas voté aux dernières élections européennes) et le fossé croissant entre le peuple et les élites sont des signes clairs du rejet de la société des dits « bâtisseurs ».

 

«L'évolution est préférable à la révolution» a déclaré Vladimir Poutine, le vendredi 24 octobre. L'«antimaçonnisme» ne protégera pas les francs-maçons de cette prise de conscience supérieure et de la nécessité de cette évolution naturelle des sociétés vers un monde meilleur.

 

Personnellement sur Christ-Roi nous ne sommes donc pas contre les francs-maçons, ni même contre la franc-maçonnerie qu'il ne s'agit pas d'interdire (chacun est libre de penser ce qu'il veut... et de s'associer avec qui il veut...). Nous prions pour les francs-maçons et sommes pour leur conversion. Seulement nous pouvons dire qu'à partir du moment où les francs-maçons ont un projet politique (et ils en ont un sinon pourquoi existerait-il une «fraternelle parlementaire» ?), nous sommes pour leur déclaration officielle devant les assemblées.  

 

Lorsque les francs-maçons veulent faire de la politique et avoir des responsabilités publiques, ils doivent venir à la lumière comme tout le monde et déclarer leur appartenance maçonnique au lieu de la cacher sous un obscur serment d'entraide. Cacher l'affiliation secrète à une organisation qui noyaute le pouvoir est un danger pour la république et la démocratie. Que l'on sache qui est qui, qui fait quoi, et qui est responsable de quoi est essentiel dans une société libre avancée.

 

C'est donc très simple : la transparence démocratique comme la déclaration devant l'assemblée parlementaire de tous les lobbies est une exigence à laquelle les francs-maçons devront répondre tôt ou tard. Se cacher derrière le petit doigt de l'« antimaçonnisme » ne changera rien à la nécessité de cette évolution.

 

 

Notes

 

(1) En 1786, un des hauts adeptes de cette société fut frappé par la foudre près de Ratisbonne. En ramassant son corps, la police bavaroise trouva sur lui des papiers tellement compromettants qu'elle arrêta les principaux membres de la Secte "Illuminati" après avoir saisi et publié tous les documents concernant cette association.

(2) Une campagne contre l'antimaçonnisme Par Lefigaro.fr avec AFP Mis à jour le 26/10/2014 à 11:11 Publié le 26/10/2014 à 11:07 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/26/97001-20141026FILWWW00041-le-grand-orient-en-campagne-contre-l-antimaconnisme.php

 

 

. Nouvelle édition (2005) des Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme

. La république destructrice

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21 octobre 2014 2 21 /10 /octobre /2014 16:57

 

Serge-Abad-Gallardo--la-Franc-maconnerie-est-incompatible-.jpg

 

« La franc-maçonnerie, un chemin incompatible avec la foi chrétienne »

 

Serge Abad-Gallardo a été franc-maçon pendant plus de vingt ans avant de rompre et de retrouver la foi catholique. Il raconte son itinéraire dans J’ai frappé à la porte du Temple… (éd. Pierre Téqui). Pour Famille Chrétienne, il lève le voile sur ce monde opaque.

 

Pourquoi êtes-vous entré en franc-maçonnerie et pourquoi en êtes-vous sorti ?

 

À un moment donné, je me suis éloigné de la foi, une foi qui n’était pas très fervente. Je suis entré en franc-maçonnerie parce que je cherchais des réponses à des questions existentielles : pourquoi suis-je en vie et en ai-je conscience ? On se pose tous les mêmes questions. La distance dans laquelle je me trouvais par rapport à la foi a facilité mon entrée en franc-maçonnerie.

 

Ensuite, je suppose que le Seigneur a veillé sur moi. Il y a une douzaine d’années, je suis revenu à la foi catholique par une rencontre. J’aime beaucoup l’épisode de Zachée dans l’Évangile : j’étais petit et un peu misérable, je me prenais pour un initié, mais j’ai compris que cela ne suffisait pas. J’ai cherché. Ce jour-là, j’ai saisi en fait que ce n’est pas moi qui cherchais le Christ, mais que c’était Lui qui venait vers moi.

 

Vous étiez catholique. Et pourtant, vous êtes entré en franc-maçonnerie ?

 

Oui. J’étais en recherche. Ce qui m’a conduit en franc-maçonnerie, c’est le vide existentiel. Je viens d’une famille catholique peu pratiquante. On m’a proposé d’y entrer. Je l’ai fait. Pourquoi ? Parce que je n’avais pas de repères suffisamment précis pour comprendre l’incompatibilité entre les deux chemins.

 

La franc-maçonnerie est pour l’homme le moyen d’approcher les dieux, sinon de devenir Dieu soi-même.

 

Comment s’est passée votre sortie ?

 

Il y a une douzaine d’années, la foi m’est revenue. Cela s’est fait progressivement. Il y a trois ans, j’ai été confronté au mal de manière très précise, très virulente, d’une manière que je n’avais jamais rencontrée jusque-là. En faisant une retraite dans un monastère, j’ai eu une sorte de révélation : j’ai compris que la franc-maçonnerie ne donnait pas de réponse face au mal. Je suis ressorti de cette abbaye avec un trouble profond par rapport à ces deux chemins que j’avais en face de moi. J’ai alors commencé à me sentir de plus en plus mal en franc-maçonnerie. Je n’y avais plus ma place.

 

Pour qui avez-vous écrit ce livre ?

 

Pour les catholiques qui souhaitent savoir ce qu’est la franc-maçonnerie, et pour les francs-maçons qui se disent catholiques et qui n’ont peut-être pas conscience de leur erreur. Il faut que je parle aux catholiques pour leur expliquer l’impasse que constitue la recherche maçonnique.

 

Beaucoup de francs-maçons sont des gens sincères, qui cherchent mais qui cherchent dans l’erreur. Ils sont devant Baal, devant des idoles, mais ils s’imaginent qu’ils sont devant Dieu. Je témoigne, et ensuite ils feront ce qu’ils veulent. La liberté a été donnée par Dieu pour pouvoir choisir.

 

Au fond, la franc-maçonnerie, qu’est-ce que c’est ?

 

Elle a un objectif magique. Dans la Bible, saint Paul met en garde contre les magiciens. C’est d’une certaine manière l’obtention d’un pouvoir strictement humain sur des éléments qu’on ne contrôle pas et qui sont d’ordre surnaturel ! Et donc finalement, au fil des initiations et des augmentations de grade, qui sont en un sens une succession de rideaux de fumée, je dirais que c’est pour l’homme le moyen d’approcher les dieux, sinon de devenir Dieu soi-même.

 

On est à ce moment-là dans la gnose ! C’est-à-dire que l’on va atteindre la Connaissance par ses propres moyens et par le travail sur le symbole et le rite.

 

Quels gens composent la franc-maçonnerie ?

 

Je distinguerais trois catégories de francs-maçons.

 

Déjà, il y a une minorité de personnes qui sont là pour créer un réseau relationnel, politique, stratégique et professionnel. Ce qui favorise beaucoup cela, c’est le secret. Quand on croise dans une réunion un ministre ou un député franc-maçon, cela arrange les choses. Cela « arrondit les angles », comme on dit : une expression purement maçonnique.

 

Ensuite, vous avez une autre catégorie. Il s’agit de laïcards héritiers de la Révolution dans ce qu’elle peut avoir de plus doctrinaire. Ils estiment pouvoir apporter le bonheur à l’humanité par la science et par la laïcité pure et dure ! Ils sont purement et simplement anticléricaux et antichrétiens.

 

Enfin, il y a un certain nombre de personnes qui ne sont ni des arrivistes ni des laïcards, mais des gens très tolérants qui, à force de tout accepter, ne savent plus où ils sont.

 

En franc-maçonnerie, toutes les idées se valent. Ce sont des gens un peu perdus et qui croient trouver des réponses. Ces chercheurs relativistes cherchent dans tous les sens, mais ils n’arrivent nulle part ! C’est pour eux que j’ai écrit ce livre.

 

Selon vous, où est le problème avec la franc-maçonnerie ?

 

Lorsqu’on entre en franc-maçonnerie, on vous demande de prêter serment. Au fil des cérémonies d’initiation, puis à chaque augmentation de grades, il y a une foule de serments qui vous lient. Ceux-ci portent sur plusieurs choses, mais en particulier sur l’obéissance à la Constitution maçonnique de chaque obédience. Un de ces serments demande de se libérer de tout dogme pour chercher la vérité. Si je suis peu ou pas croyant, cela peut me convenir, parce que je n’ai pas une conscience spirituelle vraiment développée. Mais lorsque je commence à réfléchir et à entrer véritablement dans la foi, ça ne va plus.

 

Il faut choisir…

 

Les deux sont purement incompatibles ! Il y a une espèce de schizophrénie spirituelle à vouloir être à la fois chrétien et franc-maçon.

 


Source: http://www.famillechretienne.fr/societe/esoterisme/la-franc-maconnerie-un-chemin-incompatible-avec-la-foi-chretienne-152046

 

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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 08:46

Nicolas-Dupont-Aignan.jpgAffichant l'objectif de la présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan a lancé hier à Paris, le nouveau nom de son parti devant sept cents militants réunis lors du congrès de «Debout la France» (DLF), qu'il a qualifié de «seule alternative crédible» pour 2017.

 

 

DLF a présenté quelques militants issus d'autres formations de gauche ou de droite qui s'en sont pris à «l'impasse de l'UE (ndlr : union européenne)», défendue, selon eux, par le PS et l'UMP, mais aussi à celle du «nationalisme et de l'isolement» du FN. Se sont exprimés plusieurs figures médiatiques comme l'économiste Jacques Sapir, l'un des principaux partisans en France de la sortie de l'euro, ou Hervé Falciani, ancien informaticien de la banque HSBC à Genève qui a révélé en 2008 des fichiers permettant de découvrir des milliers d'évadés fiscaux dans le monde.

 

Seul problème, le personnage est un républicain franc-maçonnisé qui en 2012 va plancher au «Grand Orient de France», la secte la plus anticléricale (1789, loi de 1905) et la plus antidivine («mariage homo») qui soit, pour soit-disant être plus «connu» et pour que ses  «compatriotes voient qui il est et quelles idées il a «de la France» et  «de la république» (video ci-dessous).

 

Ce parti sert de leurre pour montrer aux Français qu'il y a un semblant de « débat démocratique». Jamais il n'arrivera au pouvoir. Et s'il devait y arriver, ce serait avec l'aide et le soutien total des «frères trois points» pour faire le contraire de ce pourquoi il a été créé, selon le principe de l'infiltration, noyautage, et déviation.

 

 

Source video: http://www.gloria.tv/?media=519387

 

GODF : Pourquoi avez-vous accepté notre invitation ? Nicolas Dupont-Aignan : «Parce que je ne suis pas assez connu ...»


La République absolue catégorise, étiquette, divise, selon l'origine ethnique (Sos racisme, licra, associations dites «antiracistes»), sociale, le sexe, la religion, l'orientation sexuelle... ( «mariage» homo), crée les conditions des pires discriminations et alimente la haine. Mais Dupont-Aignan se pique de dire qu'«on est dans une vie politique qui a tendance à mettre des catégories sur les hommes politiques, à les enfermer dans des rôles, dans des postures». Pourquoi ne va-t-il donc pas au bout de son raisonnement en condamnant la soit-disant « république» ?

La république organise la guerre civile permanente. Les élections ne laissent le choix qu'entre la gauche ou la droite depuis 1789, mais toujours au service de la haute-finance et du mondialisme. La république crée les conditions de l'esclavage moderne par la dette, la marchandisation de l'humain («mariage» homo, GPA), le hold-up du vivant (semenciers et chimistes qui sont en train de détruire la diversité animale et végétale..., traité transatlantique en cours de négociation dans le dos du «peuple souverain»...), la domination sur les peuples via la démocratie dite «représentative»...

 

Barreaux-de-prison-copie-1.jpgLa Secte exclusive n'invite que ceux qui partagent ses idéaux de domination et de contrôle mondial («Nouvel ordre mondial»). Ainsi, en 2011 et janvier 2012, François Hollande avait été auditionné au «  Grand Orient de France » avec Jean-Luc Mélenchon, Eva Joly, François Bayrou, François Hollande, Hervé Morin et... Nicolas Dupont Aignan biensûr. Mais Marine Le Pen n'avait pas été invitée. Tout personnage politique prônant (plus ou moins) que la loi morale (loi naturelle, loi divine) est supérieure à la loi civile (lois des hommes) - ce qui est loin d'être le cas de Marine Le Pen... - est exclu de la Secte... C'est la «France Big Brother»    tu n'es libre que de te mouvoir à l'intérieur d'un carré et d'une prison dont les limites et les barreaux sont définis par un Club à Paris...

 

La loi maçonnique (antinaturelle, antichristique et antidivine) doit être supérieure à la loi des hommes, de sorte que toutes les monstruosités puissent devenir «lois» de la soit-disant «république». Le «progrès» c'est dominer la «nature» ingrate et difficile... N'est-ce pas ? Les écolos au sein du gouvernement de gauche ne sont là que pour piller et détruire la planète, c'est le «progrès» !

Autant dire détruire la nature, tuer la vie, démolir la Création... Pourquoi se gêner ? L'homme doit pouvoir tout faire... Non ? Ne vous étonnez donc pas des conséquences horribles (génocides, esclavage, exploitation économique libérale ou communiste..., guerres...) Posez donc la question à Dupont-Aignan et à ses « compatiotes»... Vous aurez la réponse !

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 10:55

Suite de la première partie :  

 


 

 

Le journal New York Herald Tribune écrivit : "On dirait que la Révolution bolchévique en Russie n'est en réalité qu'une énorme opération financière qui n'a pour objectif que de transférer le contrôle d'énormes sommes de la Russie vers des banques européennes et américaines.

 

Kuhn, Loeb & Co avait fourni à Léon Trotsky, via ses affiliés allemands, la modique somme de 20 millions de dollars afin d'organiser le putsch bolchévique.

 

Marx-Manifeste-du-Parti-Communiste--1848-.jpgEn l'espace de six mois, ils reçurent en retour plus de 100 millions ($ 102 290 000) d'après le New York Times du 23 août 1921. Tous ceux qui étaient impliqués dans la conspiration firent d'énormes gains grâce à la souffrance du peuple russe. Jacob Schiff donna l'ordre de liquider le Tsar et toute sa famille d'un seul coup. L'ordre fut délivré au membre du Politburo Jakov Sverdlov [ndt: alias Jacob Salomon] par l'entremise de la Délégation américaine qui était alors postée dans la ville de Vologda.

Le rapport de Sverdlov a été acheminé en retour à Schiff via la même organisation.

Sverdlov ordonna à Yankel [alias Jacob] Yarovsky d'exécuter l'ordre dans le soubassement de la maison appartenant au marchand Nicolaï Ipatiev à Ekaterinbourg. 

 

Lénine mit sa fortune personnelle, qu'il avait gagnée, à l'abri des pillages, ainsi que objets de valeurs et pierres précieuses qu'il avait vendus, sur un compte bancaire en Suisse. En 1920 seulement, Lénine transféra 75 millions de francs suisses sur son compte. Trotski avait deux comptes bancaires personnels aux Etats-Unis sur lesquels il avait un total de 80 millions de dollars. Et il en avait d'autres qui contenaient 90 millions de francs suisses dans les banques en Suisse. Moïsei Uritsky (alais Boretsky) possédait 85 millions de francs suisses. Félix Dzerzhinsky (alias Rufin) 80 millions, et Ganetsky 60 millions de francs suisses et 10 millions de dollars.

 

Ces sauvageries ont été justifiées en utilisant l'idéologie créée par les Illuminati pour tromper.

 

Karl-Marx.jpg

  « Le bien, c’est le mal en un sens, c’est ce qui doit être éliminé, c’est ce qui s’oppose à un progrès des relations interhumaines ; le "mal", c’est le bien puisqu’il produit le mouvement qui fait l’histoire en constituant la lutte. »

(Karl Marx à Georg Weydemeyer, 5 mars 1862)

 

« Les communistes dédaignent de faire un secret de leurs idées et de leurs intentions. Ils déclarent ouvertement que leurs fins ne pourront être atteintes sans le renversement violent de tout l’ordre social tel qu’il a existé jusqu’à présent. »

(Karl Marx, Misère de la philosophie, coll. « Bibliothèque de la Pléïade », t.I, p. 89)

 

 

« La destruction de la religion, en tant que bonheur illusoire des hommes, est indispensable à leur bonheur réel. L’appel à l’abandon de leurs illusions sur leur condition est un appel à l’abandon d’une condition qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc la critique de cette vallée de larmes dont la religion est le halo ».

(Karl Marx, Introduction à la Critique de la philosophie du Droit, de Hegel).

 

 

" Ainsi un dieu m'a arraché " mon tout "

Dans les malédictions et dans les coups du sort.

Tous ses mondes se sont évanouis

Sans espoir de retour,

Et il ne me reste plus désormais que la vengeance. "

 

" Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,

Son sommet sera glacial et gigantesque,

Il aura pour rempart la terreur de la superstition,

Pour maréchal, la plus sombre douleur. "

 

" Quiconque porte vers ce trône un regard sain,

Le détournera, pâle et muet comme la mort,

Tombé entre les griffes d'une mortalité aveugle et frissonnante.

Puisse son bonheur creuser sa tombe ! "

 

(Karl Marx, poème "Invocation d'un désespéré" in Morceaux choisis, Vol. I - New York, International Publishers, 1974)

 

Lire : KARL MARX ET SATAN.

http://www.barruel.com/karl-marx-et-satan.html

Marx était un franc-maçon du 31e degré. En février 1848 il publia sous ordre de la direction maçonnique "Le Manifeste du Communisme". Ici, Marx nous montre le signe maçonnique du "Maître", tout comme l'on fait d'autres francs-maçons avant et après lui, un signe énigmatique, aussi vu dans le "Rituel de la Franc-maçonnerie de Duncan" [Duncan's Ritual of Freemasonry].

 

Afin d'initier la Terreur Rouge, les bolchéviques avaient besoin d'un prétexte. C'était le matin du 30 août 1918. Moïsei Uritsky arrivait dans sa voiture aux environs de 10h00. Il était le directeur de la Tcheka de Petrograd. Uritsky avait une réputation infâme et était surnommé "Le boucher de Petrograd". Il prenait plaisir à regarder les exécutions par la fenêtre de son bureau. Le suspect du meurtre d'Uritsky était âgé de 22 ans, étudiant en technique : Leonid Kannegisser. Le meurtre d'Uritsky a été organisé par le protégé de Dzerzhinsky, Glob Boky qui succéda à Uritsky dans ses fonctions. L'organisation centrale de la Tcheka, avec à sa tête Lénine et Dzerzhinsky était derrière le meurtre d'Uritsky. Boky le franc-maçon nourrissait les animaux du zoo de Petrograd avec la viande des exécutés. Lénine donna personnellement l'ordre d'assassiner Uritsky, ainsi que de mettre en place aussi une tentative de meurtre contre sa propre personne, afin d'avoir une raison de commencer immédiatement la Terreur de masse contre le peuple russe. L'assassinat a aussi été une punition pour Uritsky, pour avoir volé, dans le dos de Lénine, certaines richesses confisquées avec Volodarsky (de son vrai nom Moïsei Goldstein) et le franc-maçon Andronnikov (qui était le chef de la Tcheka à Cronstadt). Le butin avait été revendu via certaines banques scandinaves dont, entre autres, la Nya Banken possédée par Olof Aschberg. Les voleurs avaient dérobé des biens pour un montant total de 2,5 milliards de roubles-or. Kannegisser n'a jamai eu de procès; il a été tué en toute illégalité. Volodarsky a été assassiné en juin. Uritsky était en train de faire une enquête sur le meurtre de Volodarsky et avait découvert la vérité à ce sujet. C'est pour cette raison qu'il fut tué. Fanny Kaplan était à moitié aveugle et était incapable de tirer un coup de feu. Elle fut néanmoins accusée d'avoir mis en scène la tentative de meurtre sur Lénine. Lénine écrit : "Même si 90% du peuple russe périt, ça vaut quand même le coup... si les 10% restant peuvent assister à la révolution mondiale".

 

La Commission spéciale, la TCHEKA qui était la policie politique a fourni les cachots et les charniers où ils exterminèrent autant d'"ennemis de classe" que possible. Le camarade et "âme soeur" de Lénine, Grigorï Zinoviev vanta : "Nous pouvons annihiler toute une classe sociale !" Le Mal dans le communisme est sans fond.

 

Lénine : "Plus les représentatifs de la bourgeoisie et... du clergé réactionnaire sont fusillés, mieux c'est." Lénine surenchérit : "Nous devons utiliser toutes les ruses et méthodes illégales... pour nier et cacher la vérité."

 

Le franc-maçon Lénine a dit : "Nous pouvons et nous devons écrire dans un langage qui enflamme les masses pour les dégoûter et les faire haïr ceux qui ne sont pas d'accord avec nous."

 

La liste de ces fusillades et autres exécutions ont été publiées dans le journal hebdomadaire de la Tcheka. De cette façon nous pouvons prouver que 1,7 million de personnes ont été exécutées durant la période 1918-1919. Une rivière de sang s'est mise à courir à travers la Russie.

 

La Tcheka a dû employer des personnes pour compter les corps. D'après les rapports officiels soviétiques, datant de mai 1922, ce sont 1 695 904 personnes qui furent exécutées de janvier 1921 à avril 1922. Parmi ces victimes, l'on trouvait des évêques, des professeurs, des docteurs, officiers, policiers, gendarmes, avocats, personnels civils, journalistes, écrivains, artistes, des infirmières, des ouvriers, et des agriculteurs. Leur crime était pensé "antisocial". Les yeux étaient désorbités, les oreilles et les nez étaient tranchés. Les tchekistes de Kharkov plaçaient les victimes en rang-d'oignons et arrachaient les ongles des mains sur une table, leur trancher tout autour des poignets avec un couteau et leur versaient de l'eau bouillante sur les mains et tiraient afin de les dépecer. A d'autres endroits, on plaçait la tête des victimes sur des enclumes et on les éclatait doucement avec un marteau à pression vapeur. Ceci dû pour faire subir la même punition le jour suivant et être forcé à regarder. Les yeux des dignitaires de l'Eglise étaient désorbités, leur langue était tranchée, arrachée et ils étaient brûlés vivants. Ce sont les tchékistes qui étaient habitués à couper et ouvrir les estomacs de leurs victimes et à tirer dessus pour faire sortir le petit intestin qu'ils attachaient ensuite à un poteau de télégraphe, la victime était forcée de courir en rond autour du poteau jusqu'à ce que l'intégralité de l'intestin fut éventré et que la victime mourût. L'évêque de Voronezh a été bouilli vivant comme un porc, après quoi ce fut le tour des moines sur la tempe desquels on pointait un revolver pour les forcer à boire cette soupe. A Odessa, les officiers ont été bouillis dans une immense marmite. La calotte supérieur du crâne était sciée finement et une queue était forcée de manger la cervelle, ensuite la procédure était répétée ainsi de suite jusqu'à la fin de la queue.

 

Etoile-rouge-a-cinq-branches---drapeau-sovietique.png Drapeau-de-l-Union-sovietique.png Jean-Jaures-Banniere-maconnique---etoile-rouge.gif
Etoile rouge à cinq branches  Drapeau de l'Union soviétique  

La "Loge Jean Jaurès", au sein de la Grande Loge "de France".

Cette loge vit le jour en 1917 comme par hasard...; sa bannière reproduit l'Etoile rouge soviétique avec la lettre "G" à l'intérieur, signifiant "Gnose". Encore un "hasard"...

La loge Jean Jaurès N° 469 existe toujours aujourd’hui à la Grande Loge "de France"...

 

AntiMaidan-International-Brigades-Europa.jpg

Une tentative d'infiltration communiste maçonnique est visiblement en cours en ce moment dans le camp des défenseurs pro-russes du Donbass, résistants authentiques à l'Oligarchie mondialiste et à la corruption, dont les valeurs sont à l'opposé de celles de l'Occident et du modèle libéral de société occidental.

Ainsi, en juin 2014, la Constitution de la république populaire de Donetsk inscrit dans son préambule le fondement orthodoxe de la République, protectège l’être humain dès sa conception (Art. 12.2), interdit le mariage homosexuel et sa promotion (Art. 4.3, 31.1, 31.3), protège la vie privée (Art16.2, 17.1), interdit les arrestations arbitraires (Art. 15.2) et de la torture (Art. 14.3). Et le manifeste du Front populaire de Libération de l'Ukraine de juillet 2014 prévoit une démocratie directe et l'interdiction l'usure bancaire.

 

La franc-maçonnerie tente donc de reprendre la main en infiltrant ces noyaux sains. On trouve ainsi un nouveau site internet Facebook intitulé Antimaidan International Brigades : https://www.facebook.com/antimaidaninternacionalbrigadeseuropa

dont l'emblème significatif comporte une étoile rouge bolchévique (image-ci-dessus).

 

Une des tactiques des francs-maçons étant l'"ordre (maçonnique) par le chaos", le "diviser pour mieux régner", et l'infiltration des deux camps adverses, il faudra d'une manière générale nous méfier des instrumentalisations en cours entre les pro et les anti-Maidan, et être très attentifs.

 

Le "Maidan" est le coup d'Etat atlantiste pro UE, pro US, réalisé en Ukraine début 2014 qui a été réalisé dans le but de rayer la Russie de la liste des partenaires de l'Union européenne et la remplacer par les Etats-Unis.

 

A Kharkov les gens étaient scalpés. A Voronezh, les victimes étaient torturées et placées dans des barriques dans lesquelles on jetait les ongles écrasés au marteau. Une fois les victimes coincées et collées à l'intérieur, on faisait rouler les tonneaux. Une étoile à 5 branches était marquée au fer rouge sur le front des victimes.

A Tsaritsyn et Kamyshin, les mains des victimes étaient amputées à la scie. A Poltava et Krementchoug, les victimes étaient empalées. A Odessa, elles étaient rôties vivantes dans des fours et réduites en pièces.

A Kiev, les victimes étaient placées dans des cercueils avec un corps en décomposition pour être enterrées vivantes puis être déterrées seulement trente minutes après.

Lénine n'était pas encore satisfait par ces rapports et demanda : "Plus de pouvoir à la terreur !"

L'objectif immédiat était l'établissement d'un système de camps de travail pour les esclaves.

Le 5 septembre 1918, dans un article du "Décret de la Terreur Rouge", on pouvait lire : "La République soviétique doit se débarrasser de ses ennemis de classe en les isolant... dans des camps de concentration."

Il se présentait deux choix à soi: soit rejoindre le peuple du Mal ou le camp des gens ordinaires.

 

Le franc-maçon Karl Marx a décrit avec sa prose son monde idéal qui le faisait rêver : "S'il y a quelque chose qui dévore, alors je lèche avec, et ce jusqu'à ce que le monde finisse en ruines."

"Le monde tombé en vrac entre moi et les abysses, je finirai ma course endurée, échoué en pièces. " (Karl Marx)

 

Les doctrines haineuses de Marx ont été utilisées par les francs-maçons communistes pour justifier les horreurs qu'ils commettaient dans le monde civilisé qu'ils visitaient.

 

En 1919, Lénine envoie d'énormes sommes d'argent au Grand Orient pour la rénovation de son Quartier général à Paris, et pour sa propagande, ainsi que d'autres opérations. Tout ceci pendant que des millions de Russes subissaient la famine.

 

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Sergueï Essénine, poète marquant russe « né le 21 septembre 1895 (le 3 octobre selon le calendrier grégorien adopté en Russie en février 1918), il "mit fin à ses jours le 28 décembre 1925 à Léningrad" »..., selon la fiche wikipedia.

Le nouveau régime avec Léon Trotsky à sa tête, s'est chargé des poètes russes éminents, comme Sergeï Essenine : liquidé.

 

Dans son poème "Le Pays des Escrocs" [Country of the Crooks] Essenine appela les nouveaux maîtres des "parasites" et avait dit que la République soviétique n'était rien d'autre qu'un bluff (écrit en alphabet latin). Il a également décrit la haine grandissante de Trotski envers la culture russe. "Apporte deux hommes, de préférence de la Tcheka. Des gars efficaces !" [Ur filmen "Jesenin", tiré du film "Essenine" : on a retrouvé Essenine "pendu", Ndlr.]

 

Trotski était un cynique et un sadique de la pire espèce. Il exécutait souvent ses victimes personnellement. Il a même ordonné des meurtres d'enfants. Il ordonnait tout en grimace des "exécutions punitives." Ses cruautés ont été bien documentées dans les Archives du Parti communiste. Les officiers et leurs familles étaient aussi exécutés s'ils désobéissaient à ses ordres. La cruauté et l'absence de pitié de Lénine et Trotski définissent la pierre angulaire de tout le Pouvoir soviétique. La Krasnaya Gazeta révéla le premier objectif du régime soviétique le 31 août 1919 : "Déjà, des ruisseaux de sang de bourgeois coulent à flots. Allez ! Plus de sang ! Le plus possible !" Déjà durant la Guerre civile de 1920, Trotski commença à établir les plans pour la militarisation de l'économie afin de la préparer dans sa Guerre du Communisme. Il avait besoin d'esclaves militarisés.

Des paysans et des ouvriers auraient dorénavant les mêmes statuts que les soldats engagés et formeraient des "unités-de-travail comparables" "aux unités militaires" (bataillons ouvriers) guidés par des commandants. "Chaque individu était considéré comme un 'Soldat du Travail' qui ne peut être son propre maître." "S'il reçoit l'ordre de bouger, il doit obéir; s'il refuse, il sera considéré comme déserteur et devra être puni" (habituellement de mort).

Trotski renchérit : "Ce n'est pas vrai que le travail forcé est improductif dans toutes les circonstances."

Les usines étaient dirigées avec une discipline militaire. Les dirigeants bolchéviques commençèrent à exécuter les ouvriers grévistes en tant que "déserteurs". Beaucoup furent arrêtés. Trotski disait que toutes ces demandes de liberté d'expression, de presse libre et d'unions marchandes libres devaient être fusillées "comme des canards dans une mare" ou "comme des chiens".

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Alexandre Rogozhkin

Tout comme en 1917, Lénine insista sur le fait que les ouvriers n'avaient pas besoin ni de liberté, ni d'égalité et ni de fraternité. Les tchekistes ont utilisé la moindre excuse imaginable pour tuer. Dans la ville de Bryansk (Russie centrale), la peine de mort a été introduite pour les cas d'ébriété, à Viatka pour "être dehors après 20h00", et dans d'autres endroits pour vol. Les prisonniers étaient amenés dans des cellules d'exécution, étaient mis à nus, ensuite alignés contre un mur et tirés par un petit peloton d'escadron armé d'un pistolets. Ceci peut être clairement vu dans le film "Les Tchekistes" d'Alexandre Rogozhkin.

A Petrograd, le dirigeant soviétique Grigorï Zinoviev fit la promesse de tuer dix millions de Russes et de faire du reste de bons communistes.

 

Durant la famine de 1921-1922, c'est à nouveau 5 053 000 de plus qui périssent. Les Bolchéviques, sous la direction de Lénine, se sont arrangés pour envoyer à la mort plus de 30 millions de personnes pendant les quatre premières années où ils sont au pouvoir, dont huit millions de paysans.

Lénine annonça qu'il n'y avait pas d'argent pour lutter contre la faim ou pour la culture.

Si l'on en croit les mythes, Lénine pensait toujours aux autres en premier. Lénine voulait supprimer de Russie 60 millions de paysans. "Tuez-les!" qu'il criait. Il était communément admis que la belle jeunesse était destinée à devenir intellectuelle. Dorénavant, les jeunes séduisants étaient tués, considérés comme des dangers pour la société. Jamais dans l'histoire, l'on avait enregistré de crime plus répugnant.


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Moloch- Baal

"Leurs fils et leurs filles... Ils les sacrifiaient à leurs idôles de Canaan" (Psaume 106, 36-37)

"Ils érigent le tumulus du Tafeth dans le ravin de Ben-Hinnôm pour que leurs fils et leurs filles y soient consummés par le feu" (Jérémie, 7, 31)

"Ils érigent le tumulus de Baal pour que leurs enfants y soient consumés par le feu en holocauste à Baal" Jérémie, 19, 5)

"Tu ne livreras pas l'un de tes enfants pour le faire passer au Moloch" (Lévitique, 18,21)

(18,21)

Les francs-maçons bolchéviques avaient besoin de sacrifices humains. D'après Lénine, ils sacrifiaient les gens au dieu Moloch. Ceci a été révélé par les Bolchéviques ayant déserté, comme le chef Georges Solomon dans son livre "Parmi les maîtres Rouges" ["Among the Red Rulers"].

 

Ainsi, après tout cela, que pouvaient espérer les survivants ?

 

Lénine a fait remarquer qu'il accueillait favorablement le métissage de différents groupes ethniques et tout ce qui menait à la création d'un peuple unique.

 

Durant la nuit de Noël 1923, seulement quelques semaines avant sa mort, Lénine était assis sur son balcon et hurlait à la pleine lune tel un loup. Dans ses derniers spasmes, il bavait en allemand : "Weiter, weiter !" ["Plus tard, plus tard !"] Lénine meurt le 21 janvier 1924 à 18h30 [Hasard de la Providence, le même jour que Louis XVI qui mourut de la main des "révolutionnaires" illuminés le 21 janvier 1793, Ndlr.]. L'autopsie révéla que la moitié gauche de son cerveau était atrophiée et déformée.

 

En août 1927, Staline s'est arrangé pour manoeuvrer Trotski hors du parti. Et le 16 janvier 1928, il fut exilé à Alma-Ata au Kazakhstan. Ensuite, Trotski est expulsé en Turquie. Trotski a ensuite vécu en Norvège, puis au Mexique. Sur ordre de Staline, un agent du NKVD, Ramon Mercader, défonce le crâne de Trotski avec un pic à glace le 20 août 1940. Trotski meurt le jour suivant, le 21 août 1940.

 

Rockefeller a embauché l'agence publicitaire Ivy Lee pour redonner un coup de peinture sur les Bolchéviques et leur donner un aspect plus chaleureux et amical.

La propagande soviétique avait dragué 100.000 travailleurs américains pour venir en Russie. Ceux qui commencèrent à protester ou à critiquer le communisme finissaient en camps de prisonniers. Ceci démontre à quel point les autorités étaient inquiétées par la moindre information détaillée que le public américain pourrait trouver sur les conditions de vie dans le "paradis" communiste. L'un d'entre eux assez fou pour avoir séjourner dans l'enfer communiste fut Andrew Smith ["J'ai travaillé chez les Soviets"] Lorsqu'il s'est finalement réveillé, il quitta l'Union soviétique et il a alerté les jeunes "bleus" qui seraient tentés de tomber dans le piège.

60.000 ouvriers allemands ont aussi déménagés pour s'installer dans l'empire de Staline. On utilisait le travail d'esclave partout. Pour la construction du Canal Maritime Blanc, 1000 esclaves mouraient chaque jour durant les douze mois de la construction. Au total, ce canal a coûté 600.000 vies (six cent mille).

 

Si nécessaire, l'esclave le plus proche était poussé vivant dans un trou dans le mur du canal. Le Canal Maritime Blanc, long de 227 km a été terminé le 2 août 1933, quand Staline vint personnellement l'inspecter.

 

La collectivisation de l'agriculture en 1932-33 a été suivie de famines d'une ampleur jamais connue auparavant. ["Holodomor", famine provoquée en ukraine en 1932-1933.]

 

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 « Six million perish in Soviet famine, Peasants' Crops seized, They and thier animals starve.» Six millions périssent dans la famine soviétique, la récolte des Paysans saisie, Eux et leurs animaux sont affamés" (Une du Chicago American du lundi 25 février 1935)

 

 

 

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 Holodomor, Scène de rue à Kharkov en 1933

 

Le Parlement européen reconnaît l'Holodomor en Ukraine comme « un crime effroyable perpétré contre le peuple ukrainien et contre l'humanité » sans pour autant lui donner une qualification de « génocide »... (Texte adopté le jeudi 23 octobre 2008 par le Parlement européen.).

En décembre 2009, la commission de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe pour les questions politiques a rejeté tous les amendements contenant la mention du génocide, proposés par la délégation ukrainienne, dans son rapport sur Holodomor (Agence de presse URA-Inform, Ukraine. 17 décembre 2009).

 

 

En France, en novembre 2006, le député conservateur (UMP) Christian Vanneste a déposé une proposition de loi relative à la reconnaissance du génocide ukrainien. Il a déposé à nouveau la proposition de loi le 9 octobre 2007, proposition cosignée par plus de trente députés centristes et conservateurs.

Les activistes politiques grattaient le moindre grain de blé et chipaient le moindre oeuf, le moindre légume, et le moindre fruit.

Des convois de marchandises faisaient évader la moindre nourriture.

Tout Ukrainien qui était suspecté d'un rien du tout, et qui souvent inventait des excuses pour faire baisser l'impact de la famine ou pour cacher n'importe quel aliment à la barbe des autorités, celui-là était fusillé ou envoyé en camps de travail.

Les enfants orphelins par la famine étaient tués dans des établissements spéciaux comme des abbatoirs et leur viande était vendue comme nourriture.

Presque 15 millions de personnes sont mortes pendant la grande famine.

Le slogan officiel des Soviets était très cynique : "TOUT POUR LE BIEN DU PEUPLE ! TOUT AU NOM DU BONHEUR DU PEUPLE !"

 

L'économie de la Russie s'est immédiatement écroulée après le Coup d'Etat d'Octobre. L'aide américaine était vaine.

 

Rockefeller paya une attention toute particulière à la construction d'une machine-de-guerre soviétique.  

 

Les experts américains avaient admis que le Communisme aurait pu s'effondrer très facilement si tout le premier quinquennal n'avait pas été financé par les Américains et si les autres qui ont suivi ne l'avaient pas été également en partie par eux. L'ignorance des Russes créait constamment de nouveaux problèmes. L'argent américain continua d'assister la respiration de ce régime fragile, inefficace et brutal, et ce en dépit de toutes les difficultés. Les Russes étaient souvent incapables de construire des usines sophistiquées et ce malgré la fourniture des plans détaillés par les Américains. Ceci amena Albert Kahn, fournisseurs en contrats de construction de la ville de Détroit (USA) de conclure un marché avec Moscou en février 1930 où il devait construire un certain nombre d'usines en Union soviétique. Le coût total avoisinait les 2 milliards de dollars. Son assistance rapprochée a servi de conseil au gouvernement des Soviets pendant le second plan quinquennal.

 

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Lazare Kaganovitch avec Joseph Staline

Vers 1937, ce sont 18 millions de personne supplémentaires qui meurent sous la vague de terreur [image: le chef de la Police Genrikh (Henry) Yagoda] lancée par l'homme de confiance de Staline, Lazar Kaganovitch. Ceci en plus, à rajouter aux 30 millions qui ont déjà péri durant la collectivisation et la famine.

 

La grande terreur commença en 1937. Les gens étaient exécutés par vagues. L'une de ces vagues déferla sur Moscou et Leningrad le 30 octobre 1937 où un assez grand nombre de personnes furent tuées [image: quartie général de la Police Politique NKVD, Moscou]. L'extermination a été là aussi exécutée selon un plan. [image: Quartier général, NKVD, Leningrad] Kaganovitch a dessiné en juillet 1937 le premier plan d'extermination. Selon ses plans, le NKVD devait emprisonner 268 950 personnes sur une période de quatre mois et dont 75 950 furent exécutées immédiatement. [image : "Camps de captifs d'URSS"]

 

Très rapidement, Kaganovitch réalisa que la cadence était trop lente. Des fonctionnaires locaux proposèrent des solutions aux problèmes de cadence lente qui furent soumises au politburo et qui adopta toutes les suggestions. En effet, celles-ci permirent à 48 000 personnes supplémentaires d'être assassinées et d'attraper 9 200 autres personnes en plus à emprisonner pendant cette période de quatre mois. Et pourtant, les quotas n'étaient toujours pas suffisamment élevés. Un total de 7 millions de personnes sont devenues des prisonniers politiques en Union soviétique pendant les années 1937-1938.

 

Alexandre Soljenitsyne a estimé le total des exécutés pour la période 1937-1938 à 1 million d'exécutés + 2 autres millions morts dans les camps de travail.

Le Literaturnaya Rossiya ["Littérature russe"] publia en 1992 le plus grand nombre estimé sur le nombre total des victimes du régime des Soviets, incluant celles qui étaient mortes affamées et celles de la guerre civile à 147 millions de victimes.

 

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Les Crimes du Communisme.

Source: Stéphane COURTOIS, Le Livre noir du Communisme, Robert Laffont, 1997, pages 14-15.

 

L'assassinat systématique des enfants commença en 1934. Après tout, ils coûtaient bien trop chers. Entre 1935 et 1939 seulement, 92 000 adolescents âgés de 12 à 16 ans sont poursuivis en justice.

 

Le 1er avril 1939, ce sont 10 000 mineurs qui sont envoyés en camp de travail.

En octobre 1940, les Tchekistes emprisonnent jusqu'à 1 millions de jeunes entre 14 et 17 ans. Ce sont les unités du NKVD qui ont kidnappé ces jeunes dans différentes villes de Russie et sont immédiatement rassemblés comme du bétail dans des camps de travail où la plupart d'entre eux meurent de faim ou exténués de travail. En 1943, les Tchekistes se débrouillent pour collecter 2 millions d'enfants.

 

Afin de surpasser ses problèmes économiques, Staline a prévu une attaque (Opération Eclair) contre l'Allemagne et d'autres nations occidentales, le 6 juillet 1941. Pour mettre à exécution ses plans, Staline devait entériner deux traités, le premier, le 23 août 1939 avec l'Allemagne (Pacte Ribbentrop-Molotov), et le second, le 15 octobre 1939 (Pacte Staline-Churchill) avec l'Angleterre, ce dernier étant plus favorable. Le Secrétaire d'Etat à la guerre de Churchill signa les documents exécutifs de ce pacte, le 8 février 1940 à Londres.

 

L'Union soviétique n'avait aucune base en Finlande, alors le 30 novembre 1939, Staline attaque la Finlande sans même lui déclarer la guerre. La guerre d'hiver a commencé. Mais en Bessarabie (ajourd'hui la Moldavie), en Lithuanie, en Lettonie et en Estonie, les troupes soviétiques ont été admises à établir des bases. Le 21 juin 1940, des coups d'Etats sont organisés le même jour dans les trois Pays Baltes. Ensuite est arrivée la terreur communiste. "Maintenant brille sur nous le soleil de la constitution de Staline et dans les faits, elle prend déjà effet" [image: Johannes Vares Barbarus, chef du gouvernement des forces d'occupation]

 

A l'image nous voyons des victimes des Communistes en Estonie, dont Tartu, où les prisonniers ont été jetés dans les puits des prisons [image: Centre pénitentiaire de Talllinn, Estonie].

 

Dans la nuit du 14 juin 1941, des dizaines de milliers de personnes sont déportées des Etats baltes vers la Sibérie. Les Communistes voulaient déporter plus de 700 000 Estoniens et ne laissaient derrière que 358 000 tout juste comme administrateurs, mais il n'y avait pas assez de temps.

 

L'Estonie s'est vue inondée par un flot de centaines de révolutionnaires internationaux venus de différents pays pour terroriser, torturer et tuer les meilleurs éléments en accord avec les standards des pratiques communistes. Parmi eux, il y avait Idel Jakobson venu de Lettonie pour être à la tête de la section des investigations du NKVD. Il a envoyé beucoup d'Estoniens à la mort. Lénine: "Quest-ce que le pouvoir des Soviets?" Comme Lénine, beaucoup d'Estoniens demandèrent: c'est quoi le pouvoir soviétique ? La réponse était simple : prison, meurtres de masse et travail pour esclaves [image : prison centrale de Tallinn].

 

Le 22 juin 1941, les troupes d'Hitler envahissent l'Empire soviétique pour prévenir une attaque soviétique planifiée. Les Services Secrets allemands l'avaient apprise et avaient préparé une contreattaque appelée : "Opération Barbarossa". 3,8 millions de soldats soviétiques se rendent eux-mêmes. Ils refusent de se battre pour Staline. C'est dans une Estonie qui souffre l'Enfer communiste que les Allemands pénètrent et son accueillis dans l'enthousiasme comme des libérateurs. Les Allemands permettent aux Estoniens de conserver leur drapeau national.

 

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Lavrenti Beria, Chef de la police politique de Staline.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la tête du NKVD, Lavrenti Beria, était connu pour être un infâme boucher. Il commit ses crimes en les collant sur le dos des nazis. Il a envoyé 20 millions d'âmes dans les camps de travail pour esclaves. Dans les camps allemands, les choses étaient différentes [image: "Images provenant des camps allemands"]


Après la défaite allemande par les USA, la Grande-Bretagne et l'Union soviétique, de nouveaux territoires en Europe de l'Est ont été mis sous la main de l'Union soviétique par les puissances occidentales.

 

En 1946, l'Union soviétique commença à tenter de faire rapatrier ses réfugiés, la plupart partis en France. Des dizaines de milliers d'Emigrants russes crurent la propagande et espérèrent que les Communistes étaient devenus plus humains. Leur réveil a été brutal. Ils n'avaient aucune idée du fait que l'Union soviétique avait grandement besoin de nouveaux esclaves. Les plus jeunes d'entre eux étaient envoyés dans des camps d'esclaves pour le travail, pendant que les plus vieux étaient fusillés directement. Les familles étaient séparées. Tout cela se passait dans le port d'Odessa [Ukraine, Mer Noire]. Les femmes étrangères voyaient leurs passeport confisqué [image: tiré du film "Est-Ouest"]. On avait besoin de millions d'esclaves. Alors furent créés les camps d'esclaves pour étrangers avec le consentement tacite des dirigeants occidentaux.

 

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Wladimir Iljitsch Lenin, Bundes archiv Bild

Dans un décret signé par Lénine en 1919 (sur lequel était écrit : "Publication interdite!"), tous les étrangers reconnus "sans valeur" devaient être envoyés en camps de concentration.


Un citoyen américain, John Noble, a été emprisonné à Dresde [Allemagne], le 5 juillet 1945. Le fait qu'il avait l'immunité diplomatique suisse ne l'a pas sauvé lui et sa famille. John Noble a écopé d'une peine de 15 ans en camps d'esclaves à Vorkouta. Vorkouta était connu pour être une destination de non-retour. "Je me souviens du Général Maslenikov lorsqu'il arriva à Vorkouta. Il est  venu dans notre camp et dans bien d'autres. Il nous a demandé de nous lever afin que nous nous exprimions. Il nous a dit : 'Tout le monde est libre de parler. Personne ne sera puni'. Il se trouve que personne ne s'est levé. Alors il répéta encore et encore, et encore... Puis finalement, environ vingt hommes se sont levés. Le premier était un professeur d'histoire de l'Université de Leningrad. Et il dit : 'Je sais que pour ce que j'ai à dire je risque de me prendre au moins dix ans de plus à ma peine'. Et le Général Maslenikov a dit : 'Non, non il ne vous arrivera rien. Vous avez la liberté de parole.' Alors ce professeur a énuméré toutes les étapes de l'esclavagisme dans l'histoire de l'humanité. Et quand il est arrivé à la situation présente, il a dit : 'Général, jamais un régime d'esclavage pareil, aussi brutal, aussi inhumain n'avait vu le jour jusqu'alors que celui que nous vivons actuellement.' Il n'a pas reçu dix ans supplémentaire à sa peine, il a été fusillé."


A Varkouta, un total de 2 millions d'esclaves ont travaillé dans 40 mines de charbon, et usines de ciment et briques. Des documents révèlent que plus de 60 000 étrangers, dont des Finlandais et des Roumains, ont été amenés à Petchora en Komi.

 

Pas même avant 1955 le Président Eisenhower demanda que l'on relâche John Noble. Il fut finalement relâché en 1955.

 

Le nouveau dictateur Nikita Kroutchev relâcha dans les années 1950 des camps d'esclaves, plus de 200 000 étrangers issus de 45 pays.


En 1945, dans le Nieder-Schlesien dans l'Est de l'Allemagne, l'Armée Rouge a mis la main sur 25 immenses wagons de chemin-de-fer contenant du matériel d'archives ultra-sensibles, dont des documents provenant de différentes loges maçonniques en Allemagne, France, Belgique, Hollande, Luxembourg, Pologne et Tchécoslovaquie. Les documents donnent une image compréhensible du pouvoir secret exercé par l'Internationale franc-maçonnerie. Tout le matériel a été expédié à Moscou et a constitué la base des Archives spéciales de l'Union Soviétique : le fond "OSOBY ARKHIV/OA." De cette façon avec ces archives secrètes maçonniques, Staline tenait en laisse plusieurs politiciens francs-maçons en Occident qui craignaient que leurs activités hautement sensibles soient révélées.

 

Les minutes enregistrées lors de rencontres à la Grande Loge d'Allemagne en 1917, mentionnent la déclaration suivante : "L'anarchiste et révolutionnaire Lénine... représentent actuellement et conformément les idéaux politiques de la franc-maçonnerie internationale"...

 

On y trouve également beaucoup de documents maçonniques essentiels concernant le rôle des sociétés secrètes dans le monde politique.

 

Staline est devenu une sérieuse menace pour l'élite qui a décidé qu'il devait être éliminé.

 

L'un des conspirateurs était Lazar Kaganovitch, membre du Politburo. Les tablettes médicales que prenait régulièrement Staline ont été échangées avec d'autres dont Molotov avait dit que c'était de la mort-aux-rats. Beria se sentait aussi menacé et avait développé son propre plan; nom de code : Mozart. Il s'assura que Staline n'eut point reçu d'aide médicale pendant 12-13 heures et trois jours plus tard, le 5 mars 1953, Staline meurt.

 

Après la mort de Staline, plusieurs révoltes éclatent dans diférents camps de travail d'esclaves et qui provoqua la levée de 22 millions d'esclaves. La révolte à Vorkouta commença le 1er août 1953, et la révolte à Karaganda (Kazakhstan) le 16 mai 1954 [image: tiré du film "Les Cannibales"]

 

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Essai nucléaire de Totskoïe, le 14 septembre 1954.

 

L'exercice sous le commandement du maréchal Joukov, connu sous le nom de code « boule de neige » testait des armes nucléaires sur les personnes...

Il impliquait une détonation aérienne d'une bombe atomique aussi puissante que les deux bombes utilisées dans les attaques américaines sur Hiroshima et Nagasaki réunies. L'objectif affiché de l'opération était la formation militaire pour briser les lignes de défense fortifiées d'un adversaire utilisant des armes nucléaires.

Une armée de 45 000 soldats marchèrent dans la zone autour de l'épicentre, peu après l'explosion atomique. L'exercice fut réalisée le 14 septembre 1954, au nord du village de Totskoïe dans l’oblast d'Orenbourg, en Russie, dans le district militaire du sud de l'Oural.

 

L'exercice n’est devenu largement connu qu'en 19933. Les soldats qui participèrent à l'exercice ne savaient pas qu'ils avaient pris part à un test nucléaire sur des hommes. 45 000 personnes furent délibérément exposées aux radiations nucléaires. Les soldats reçurent l'ordre qu'il y aurait un exercice militaire normal avec une explosion nucléaire fictive et que ce serait filmé.

 

Les militaires ne récurrent pas d'équipement de protection, Les habitants de certains villages (Bogdanovka et Fedorovka) qui étaient situés à environ 6 km de l'épicentre de la prochaine explosion furent évacués temporairement à l'extérieur d’un cercle de 50 km de rayon. La plupart des population locale ne fut cependant jamais avertie.

 

Des milliers de personnes qui furent soupçonnés d'avoir cherché de l'aide dans les hôpitaux locaux auront la surprise, plus tard, de constater que leurs dossiers médicaux, avaient disparu de l'hôpital régional. Ce fait fut confirmé par un ancien soldat qui avait participé à l’exercice, Alexeï Petrovitch Vavilov, lors d’un entretien pour le programme de télévision Podrobnosti (chaîne de télévision INTER), plus de 50 ans plus tard.

 

Plus d'un demi-siècle plus tard, cette question est toujours sous le contrôle strict du gouvernement fédéral. Les membres des forces de l'ordre locales continuent de harceler les journalistes qui tentent d'obtenir des images du ploygone d’essai.

La terreur continua tout de même sous Nikita Kroutchev. Entre autres choses, il donna l'ordre de tester une bombe atomique sur des êtres humains près du village de Totskoïe, le 14 septembre 1954 [image: "provenant du Bureau du KGB"]. Observez l'impact !

 

Le putsch en Chine par les Communistes a été planifié au moins depuis la Conférende de Potsdam à l'été 1945. Les Etats-Unis souhaitaient que soit dissimulé son rôle dans ce processus. Ceci a été confirmé par le Représentant du Département d'Etat, Owen Lattimore qui a dit : 'Le problème est comment leur permettre (la Chine) de sombrer sans faire que cela se voit que ce sont les Etats-Unis qui les y ont poussés'. Au début, les Chinois pro-communistes s'entretuèrent les uns les autres à cause de leurs convictions politiques. Ensuite, ils se mirent à manger les gens. Juste les tuer n'était pas suffisant. Par contre, en mangeant la chair de ses ennemis, l'on pouvait démontrer sa conscience de classe. Vous n'aviez qu'à torturer les gens d'abord, ensuite les éventrer et sortir leurs estomacs pendant qu'ils étaient encore en vie. Comme vous abattriez un cochon, vous en extirperiez le coeur et le foie pour les attraper et les manger. Au pic de cette mode épidémique, la viande humaine était même préparée pour les repas des réceptions du comité révolutionnaire de la ville de Wuxuan. Les victimes du Communisme en Chine uniquement sont au nombre de 140 millions d'âmes.

 

Avec le temps qui passe, les dysfonctionnements de l'Union soviétique commencent à devenir de plus en plus évidents. Il était temps de liquider le système défaillant. Au printemps 1990, l'Union soviétique faisait face à une crise monétaire aigüe où le produit intérieur brut a fondu à 2%, l'inflation s'envole d'au moins 23% par an, ainsi que des pénuries de toutes sortes sur les biens de consommation. Une vague de grèves a aggravé la situation. En 1991, entre 14 et 19 milliards de dollars en devises étrangères ont été envoyées à l'étranger. Le résultat a été une production qui s'est drastiquement effondrée. L'Union soviétique s'effondre. Après la désintégration du communisme, de nombreux criminels communistes devinrent francs-maçons à travers toute l'Europe de l'Est. A l'image nous voyons leur rite d'initiation en Ukraine : le président Leonid Kravtchouk devient franc-maçon, ainsi que son ministre de la Défense, Procureur national, et fameux chanteur populaire, Josef Kobzon. Dans le centre de Kiev, nous voyons bien ce symbole maçonnique connu, qui est présent dans toutes les loges [image: mappe-monde Ndlr]. A New York ou à Dallas. Tous ensemble avec Vladimir Poutine, nous pouvons poser cette question : "C'est quoi ce signe maçonnique ?"

 

En Estonie, c'est pareil; les gens malhonnêtes ont recueilli protection dans les sociétés secrètes. Ici [image] nous avons Arno Köörna, Secrétaire du Parti, à l'Université de Tartu en 1950 et un informateur communiste. Il est devenu "Grand Maître" maçonnique d'Estonie. A cause de lui, des centaines d'enseignants et d'étudiants ont été persécutés. On peut constater que Silvio Berlusconi, et bien d'autres politiciens occidentaux ont reçu protection pour leurs activités criminelles grâce aux sociétés secrètes. La carte de membre de Berlusconi à la loge P2 [ndt: Propaganda Due] comporte le numéro 1816.

 

 

Même l'Union européenne a été créée sous le signe du Scorpion puisque le 1 novembre 1993. Dans le cercle de la réforme de de l'organisation franc-maçonnique européenne, nous pouvons voir une certaine similitude avec l'actuel drapeau de l'Union européenne.

 

Le meeting Bilderberg des Illuminati de l'année 2003 a retenu Jose Manuel Barroso ainsi que l'année suivante et il a été acclamé en tant que dirigeant de l'Union européenne.

 

 

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John Quincy Adams, sixième président des Etats-Unis (1825-1829), fils de John Adams, le second président des Etats-Unis.

Le président américain, John Quincy Adams (1825-1829) pensait que : "La maçonnerie devrait être abolie à tout jamais." Il déclara : "Elle est mauvaise - essentiellement mauvaise - une graine du Diable qui ne pourra jamais produire de bien. L'existence d'un tel ordre est une tache de puanteur sur la morale de la communauté."

 

La franc-maçonnerie continue de nous tourmenter sous de nouvelles formes. Le mondialisme (globalisme) n'est rien d'autre que ce vieux communisme mais sous une forme différente. Son but suprême est de détruire toute conscience nationale. La conscience nationale est la plus grande menace pour la franc-maçonnerie internationale.


Hermès ricane de l'ignorance des humains car nous ne voyons toujours pas, malgré les tromperies de la franc-maçonnerie, et nous continuons de croire en leurs projets [Tous leurs projets ne sont pas intrinsèquement mauvais - au contraire un piège serait de s'opposer frontalement à leurs dénominations au motif qu'ils seraient des projets maçonniques alors que souvent chrétiens à la base, ces projets subvertis et déformés, ne sont que des leurres (Ex: la laïcité chrétienne subvertie en laïcisme, religion occulte de la franc-maçonnerie) destinés à nous faire oublier leur véritable pouvoir de domination sur la société.].

 

Ainsi, ne croyez pas tout ce que vous disent ces faux détenteurs de puissances ! Pensez par vous-mêmes, et les secrets du monde vont commencer à s'ouvrir devant vous ! Même le pouvoir secret des francs-maçons peut être brisé.
[nous l'avons vu, un des moyens pour briser le secret maçonnique est d'établir une loi de transparence et de responsabilité démocratique  imposant aux forces de l'ombre qui font de la politique à se déclarer devant les assemblées dites "représentatives", afin que le peuple sache réellement qui est qui, qui fait quoi, et qui est responsable de quoi... Ndlr.]


Jesus-Christ--lumiere-du-monde--Evangile-selon-Saint-Jean.jpg Jesus-J-ai-Confiance-en-vous---Christ-misericordieux.jpg 
"De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : "Moi, je suis la lumière du monde" (Evangile selon saint Jean- 8, 12.)

L’image du Christ Miséricordieux vient d'une vision mystique de 22 février 1931 révélée à sainte Faustine. L’Image représente le Christ Ressuscité portant les stigmates de la Passion au mains et aux pieds. L’image nous parle de l’amour miséricordieux de Dieu pour l’homme. Cet amour est révélé pleinement dans le mystère pascal du Christ. D’autre part, elle rappelle aux fidèles d’avoir la confiance en Dieu et le devoir d’aimer les prochains. Les paroles situées en bas de tableau parlent de cette attitude de confiance « Jésus j’ai confiance en Toi ». Pour tous ceux qui vénéreront cette image, Jésus a promis le progrès (croissance) dans la foi, une bonne mort et beaucoup d’autres grâces et bienfaits.

Les Illuminati ne peuvent pas d'un côté brandir la lumière de la Vérité et de l'autre chercher à la fuir ["Quiconque, en effet, commet le mal hait la lumière et ne vient pas à la lumière de peur que ses oeuvres ne soient démontrées coupables, mais celui qui fait la vérité vient à la lumière." Evangile selon Saint Jean 3, 20-21.], telle la taupe fuyant la lumière du soleil. Les forces obscures échoueront inévitablement et la lumière atteindra à nouveau l'âme des hommes.

 

Ceux qui ignorent les 300 millions de victimes du communisme portent une responsabilité morale.

 

Fin.

 

. La première logique totalitaire apparaît sous la "Révolution française" (Stéphane Courtois)

. Contre le Nouvel Ordre mondial : en finir avec la "révolution" (Ière partie)

. Les racines occultistes du socialisme (un article de Vive le Roy du 1er février 2010)

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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 13:53

"L'histoire pourrait être quelque chose d'extraordinaire si seulement elle était vraie"

(Léon Tolstoï)

 

Wall Street et sa Révolution bolchévique. La chronologie et la description des dessous-de-table autour des révolutions russes (bolchéviques) de 1905 et 1917. [En vert, nos commentaires]

 

Juri-Lina---I-skuggan-av-Hermes--Kommunismens-hemligheter--.jpg

Début du documentaire :


"Les francs-maçons qui leurrèrent les gens avec le communisme - le documentaire affiche les images d'Adam Weishaupt (fondateur des Illuminés de Bavière dont la doctrine était un proto-communisme), Marx et Lénine, Ndlr. -, invoquèrent la protection d'Hermès, afin de cacher leurs secrets de bains de sang."


Hermès est assimilé dans la littérature gnostico-ésotérico maçonnique au dieu bon, tandis que le dieu véritable est assimilé au démon. Cette allégorie rapportée au christianisme assimile Hermès (qui a apporté le feu à l'humanité) à Lucifer (qui a apporté la connaissance à l'humanité), et fait de lui le dieu bon, cependant que le véritable Dieu, serait mauvais pour les hommes parce qu'il voulait garder pour lui le feu et la connaissance. Vous l'aurez compris, dans une inversion totale, cette littérature maçonnico-ésotérico gnostique fait du démon, Dieu, et de Dieu, le démon. On retrouve cette inversion du Bien et du Mal dans le communisme et dans les écrits de Karl Marx.

 

Le documentaire poursuit :

 

"Tout comme Hermès, les démagogues aujourd'hui cachent la vérité et la malmènent grâce à la rhétorique. Ainsi l'ont peut dire avec assurance que toutes les déceptions politiques et idéologiques ont pris naissance dans l'ombre d'Hermès."


D'où le titre du documentaire, "Dans l'ombre d'Hermès. Les Secrets du communisme".

"Dans l'Ombre d'Hermès. Les Secrets du Communisme" ("In the shadow of Hermes. The Secrets of Communism"), est un documentaire écrit et produit en 2009 par le journaliste dissident estonien (ex rép. d'URSS) exilé en Suède, Juri Lina qui a eu accès à d'importantes archives soviétiques ouvertes aux chercheurs à partir de 1991 lors de la Pérestroïka, jusque là inaccessibles et inédites. Le documentaire est tiré du livre "Sous le signe du Scorpion" (Stockholm, Suède, 1994 & 1999).

 

Nous présentons ci-dessous ce documentaire video de Juri Lina sous-titré en français, avec la transcription littérale de l'information délivrée, sans autre commentaire critique. Vous trouverez dans cet article la première partie (video) de ce documentaire. La seconde partie sera publiée prochainement et sera ajoutée en lien (en fin d'article) le jour de sa publication.

 

L'auteur établit l'identité entre la conspiration des Illuminés de Bavière au XVIIIe siècle et le communisme.

 

Rappelons auparavant que le projet des Illuminés de Bavière consistait, pour résumer, à la mise en place d'un "régime dominateur universel" tourné contre l'alliance des trônes et de l'autel, et réalisé "pour le bonheur de l'humanité...", mais "en silence..." Ce projet travaille à la destruction des "peuples, nations & patries", la destruction de la propriété, et la destruction de "l'amour de la famille, plus encore que l'amour national et l'amour de la patrie".

Le genre, cette "théorie fascisante" ou "théorie qui n'existe pas" aujourd'hui (de la même manière que le "complot qui n'existe pas"...), la corruption des moeurs, ne sont que les derniers avatars d'un plan déterminé de destruction de la société et de la famille mis en place au XVIIIe siècle par les Illuminés. Le tout a été réalisé au moyen d'une vision instrumentalisée et subvertie des "droits de l'homme" (maçonnique), de la laïcité, de la "liberté" et de l'"égalité", tournés contre toute religion qui n'est pas celle des francs-maçons.

 

En deux heures, le documentaire de Jüri Lina présente tous les noms des personnes et organisations ayant fomenté, financé et activé les événements historiques majeurs de 1905 et 1917.

 

L'essentiel du matériel-source est issu des fonds d'archives de l'Union Soviétique ouverts aux Chercheurs à partir de 1991 pendant la période de la Perestroïka.

 

Dans ce documentaire vous découvrirez les réels acteurs et les motifs des "révolutions", exactement tout ce qui ne figure pas dans les manuels scolaires et la "version officielle" historique.
 

Il s'agit d'une version totalement "révisée" de l'Histoire du XXe siècle qui est dans le sillage des travaux de Eustache Mullins ("La Réserve Fédérale Américaine") et de Anthony C. Sutton ("Wall Street et la Révolution bolchévique").

 


 

 

« Le dimanche 13 janvier 1917, le bateau à vapeur Montserrat arriva sur l'île Ellis à New York. A bord se trouvait le révolutionnaire international, Leïba Bronstein, plus connu sous le nom de Léon Trotsky, ainsi que sa famille.

 

Trotsky démarra son voyage de Barcelone en Espagne, le 25 décembre 1916. Il voyagea en première classe et non en troisème comme il l'indiqua dans ses Mémoires. Les titres de voyage de Trotsky sont toujours gardés aux Etats-Unis aux archives des services de l'immigration. Dans d'autres archives il y a une invitation pour l'Amérique, qui peut être tracée et attribuée à son "frère" maçonnique Jacob Schiff, russophobe, et qui est président de la Banque Kuhn, Loeb & Co située à Wall Street, New York City. Schiff a financé et entraîné des "Révolutionnaires" internationaux venant de Russie.

 

Depuis 1890, en coopération avec le B'Naï B'Rith qui prit une part active dans la "révolution" de 1905. Entre 1900 et 1902, 10.000 révolutionnaires venant de Russie furent entraînés aux Etats-Unis. Leur mission était de retourner en Russie et d'écraser le régime tsariste. Schiff a aidé financièrement le coup d'Etat raté de 1905. Ce pauvre fère maçon Trotsky commença immédiatement à mendier et demanda assistance dans sa mission pour détruire la Russie. Il séjourna d'abord dans l'hôtel chic Astor à Time Square. Plus tard, lui et sa famille séjournèrent dans une luxueuse demeure au 1522 Vyse Avenue dans le Bronx (avec la location payée trois mois à l'avance par Jacob Schiff).

Dans ses mémoires, Trotsky décrit son appartement meublé d'"ouvrier" avec "lumières électriques, fourneaux de cuisine à gaz, baignoire, téléphone, ascenseur automatique..." "et même une bouche de vide-ordure". Une limousine avec chauffeur était fournie gratuitement pour son usage...

"Ma seule occupation à New York a été celle d'un Socialiste Révolutionnaire", disait plus tard Trotsky. Il écrivit quelques articles pour un petit journal marxiste : le Novy Mir. Son bureau éditorial se situait au 77 de la Place St Mark à East Village où travaillait Nicolas Boukharine et Moïsei Goldstein, dont le nom révolutionnaire était Volodarsky.

Il écrivit également en langue yiddish (ndt: germano-hébreux) pour le journal marxiste Der Forverts.

Trotsky fit également des discours et des lectures aux émigrants de Russie à l'Université Libre de East Village à la East Seventh (7th) Street.

Léon Trotsky devint un membre de l'ordre maçonnique B'Naï B'Rith (ndt: loge exclusivement réservée aux Juifs) en janvier 1917; organisation qui aida plus tôt les "révolutionnaires" en Russie.

Jacob Schiff prit soin des contacts entre le "mouvement révolutionnaire" en Russie et le B'Naï B'Rith.

ERNST-NOLTE--La-Guerre-civile-europeenne--National-sociali.jpgLeïba Bronstein devint aussi un membre de la loge maçonnique "française" Art et Travail, à laquelle il appartint.

Le franc-maçon Winston Churchill vérifia en 1920 que Trotsky était aussi un Illuminatus (Ndt: de l'Ordre des Illuminés de Bavière).

[Note de Christ-Roi : l'historien allemand Ernst NOLTE, dans son livre La Guerre civile européenne, National-socialisme et bolchévisme 1917-1945, rapporte une citation de Winston Churchill : "C'est Winston Churchill en personne qui écrivit dans l'un de ses articles :

 

"Ce mouvement, chez les Juifs, n'est pas nouveau. Depuis l'époque de Spartakus Weishaupt (pseudonyme du chef des Illuministes allemands au XVIIIe siècle, Ndt.) jusqu'à celle de Karl Marx puis, plus tard encore, celle de Trotski (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxemburg (Allemagne) et Emma Goldman (Etats-Unis), cette conjuration mondiale visant à renverser la civilisation et à révolutionner la société par désir d'empêcher toute évolution, par jalousie et envie et sous prétexte de réaliser une égalité impossible, est en pleine croissance. [...] [Ce mouvement] fut la force motrice qui se cachait derrière chacun des mouvements subversifs du XIXe siècle; aujourd'hui, ce ramassis de personnalités extraordinaires venues des bas-fonds des grandes villes européennes et américaines a pris le peuple russe au collet et s'est pratiquement rendu le maître incontesté d'un immense empire."

(Source: Winston Churchill, cité in Alex P. SCHMID, Churchills privater Krieg. Intervention und Konterrevolution im russischen Bürgerkirieg, november 1918- märz 1920, Zurich, 1974, p. 312., cité in ERNST NOLTE, La Guerre civile européenne, National-socialisme et bolchévisme 1917-1945, Collection Tempus, Paris 2011, p. 169.]

 

Leon-Trotsky--ou-Trotski-.jpg
 Leïba Bronstein, alias Léon Trotsky (ou Trotski)

On peut lire ceci dans le "Manuel Initiation secrète au 33e degré" : "la franc-maçonnerie n'est rien de plus et rien de moins que la révolution en action", "une incessante et guerroyante conspiration". Par conséquent il n'est pas très étrange que Leïba Bronstein commença à étudier la franc-maçonnerie, ainsi que l'histoire de sociétés secrètes sérieusement en 1898 et continua ces études pendant les deux années qu'il passa en prison à Odessa (ndt: Ukraine). Il prit plus de 1000 pages de notes. Le Lexique franc-maçon "Internationaler Freimaurer-Lexikon" répugne à admettre que Leïba Bronstein arriva au bolchévisme grâce à l'étude de la franc-maçonnerie. Trotsky a écrit ses mémoires "Ma Vie" : "Ce fut pendant cette période que je m'intéressa à la franc-maçonnerie. Pendant plusieurs mois, et avec avidité, j'étudiais des livres sur son histoire; livres offerts par des parents et des amis en ville. Voilà donc pourquoi des marchands, artistes, banquiers, officiels et avocats du premier quart du XVIIe siècle, commençèrent à se faire appeler eux-mêmes francs-maçons et essayèrent de recréer les rituels du Moyen-Âge. Mais au fond quel était l'objet de cette étrange mascarade ? Graduellement le tableau devenait plus clair. Dans certaines branches de la franc-maçonnerie, des éléments évidents d'un féodalisme réactionnaire étaient prééminents, comme dans le système écossais (rite).

Au 18e siècle, les francs-maçons devinrent l'expression d'une politique militante d'illumination, comme dans le cas des Illuminati, qui furent les signes avant-coureurs de révolutions. Sur leur gauche, ils culminèrent avec les Carbonari. "J'ai écrit en tout petits caractères des extraits de nombreux livres, entrecoupés de mes propres réflexions sur la franc-maçonnerie" (Bronstein alias Trotsky).

 

Statue-de-la-Liberte.jpg

Colonne-de-Juillet.jpg

La Liberté éclairant le monde. "Statue de la Liberté"

 

Son concepteur, Frédéric Auguste Bartholdi, né à Colmar en 1834 était Franc-maçon tout comme Gustave Eiffel qui conçut l’ossature en fer de l’édifice.

 

Elle tient dans une main la table de la loi, celle des constitutionnalistes américains. Et dans l'autre, la « Flamme de l’Illumination » maçonnique.

 

Le Flambeau portant la flamme fait référence à Lucifer qui « porte la lumière » et qui se trouve dans toutes les loges.

« Génie de la Bastille » sur la Colonne de Juillet à Paris, « ange tutélaire » de la république maçonnique.

 

L'"ange" tient dans sa main gauche des chaînes brisées, un flambeau allumé dans sa main droit. Il court (sa jambe droite est levée et seule la pointe de son pied gauche touche terre) au-dessus d’un globe.

 

La statue tourne le dos à l’est et donne donc l’impression de courir à grande vitesse en direction de l’ouest. Elle tourne le dos à l’orient, tourne le dos au soleil levant. « Orient » est l’un des noms messianiques de Notre-Seigneur Jésus-Christ (cf. par exemple la cinquième des grandes antiennes « O » précédant Noël : Luc I, 78.) La liturgie de l’Eglise est « orientée », c’est-à-dire qu’elle est célébrée en direction du soleil levant, qui symbolise le Christ ressuscité, vainqueur des ténèbres, et elle manifeste aussi de la sorte l’attente du retour glorieux de ce même Jésus-Christ (cf. « comme l’éclair qui part de l’orient et brille jusqu’à l’occident ainsi sera l’avènement du Fils de l’homme », Matth. XXIV,27).

 

Source: Le Blog du Mesnil,

Lucifer, « ange tutélaire » de la république maçonnique.

La statue de la Liberté était un cadeau des francs-maçons français, parmi lesquels Frédéric Auguste Bartholdi et Gustave Eiffel, du Grand Orient de France offert aux francs-maçons de New-Ork en 1886. Une réplique plus petite a été érigée la même année sur une île de la Seine à Paris. Elle est censée représenter la déesse romaine Libertas, mais en fait elle est l'impératrice babylonienne Semiramis, la "sainte-Patronne" des Illuminati. Dans sa main droite elle tient une torche et dans sa gauche elle porte la Déclaration d'Indépendance. Le symbole de la statue de la Liberté est aussi la colombe, Columbia. Pour le grand public la torche est un symbole de liberté, tandis que pour les francs-maçons elle implique le contrôle et la manipulation. La première pierre a été posée par le "Grand Maître" de New York William A. Brodie le 8 août 1884 (Ndlr. La dédicace aux francs-maçons de New York lors du 100e anniversaire de la dépose de la première pierre de la "statue de la Liberté" indique le 5 août 1884 et non le 8 août), accompagnée de rituels magiques conduits et en la présence de milliers de francs-maçons américains.


La statue de la Liberté a été officiellement inaugurée sous le signe du Scorpion, le 28 octobre 1886, à nouveau en présence de milliers de francs-maçons. Lors de telles cérémonies, les francs-maçons américains utilisent des céréales, du vin et de l'huile, comme toujours, rappelant le Deutéronome, qui demande un sacrifice. Les francs-maçons "sacrifient" cela usant d'anciens symbolismes pour assurer prospérité et bénir d'importantes entreprises. Les francs-maçons souhaitant maintenir leur rôle dominant dans la société du futur.


Statue de la Liberté, première pierre posée par le Grand

 La première pierre de la Statue de la Liberté, posée par le "Grand Maître" de New York William A. Brodie le 5 août 1884. Cette plaque est dédicacée aux francs-maçons de New York lors du 100e anniversaire de cet évènement historique, le 5 août 1984.

 

At this site on August 5, 1884, the cornerstone of the pedestal of the Statue of "Liberty Enlightening The World" was laid with ceremony by William A Brodie, Grand Master of Masons in the State of New York. Grand Lodge members, representative of the United States and French Governments, Army and Navy officers, members of foreign legations, and distinguished citizens were present. This plaque is dedicated by the Masons of New York in Commemoration of the 100th anniversary of that historic event.

August 5, 1984


Tour-de-Sauron-Novus-Ordo-Seclorum.jpgLe "Grand Maître" de Rome, Adriano Lemmi, a expliqué les tactiques maçonniques dans les années 1870 : "La franc-maçonnerie a pour but de former et diriger l'opinion publique. ... Elle lutte afin de placer ses propres dirigeants dans les services de sécurité, la législature ainsi que dans les postes politiques les plus élevés."

 

Les capitalistes internationaux voulaient démarrer une "révolution" à St Petersbourg à la suite de la défaite de la Russie dans la guerre russo-japonaise de 1905. L'organisateur en chef, Alexandre Parvus, reçut deux millions de livres sterling de la part du Japon pour instiguer la prise du pouvoir en Russie. Un total de 50 millions de dollars a été investi dans la "révolution russe" de 1905. Le Japon a fourni des armes aux "révolutionnaires". Selon les activités des "révolutionnaires", le colonel Motojiro Akashi était un ancien militaire attaché en Russie lorsque les francs-maçons planifièrent l'évènement. Le banquier américain Jacob Schiff s'assura qu'aucune banque ne prêtât d'argent aux Russes. Au même moment il supporta les groupes "révolutionnaires" en Russie. Les capitalistes internationaux voulaient s'emparer du pouvoir en Russie au nom des ouvriers. Derrière ces activités étaient entre autres des sociétés secrètes comme le B'Naï B'Rith, dont le quartier général était situé à Washinton D.C./USA.


En 1905, la Terreur assuma des proportions sans précédents. Les fanatiques commencèrent à tuer les populations "à l'aveuglette". 50.000 personnes furent tuées ou blessées dû à ce chaos révolutionnaire.

Dans les années 1905-1906, le tsar dénommé Peter Stolypine, Ministre de l'Intérieur en avril 1906, est quelque temps après promu Premier ministre. Stolypine n'avait pas d'autre choix que de déclarer la loi martiale afin de combattre la terreur et la "révolution". Au final, Stolypine mit un terme à la terreur et à la "révolution". 35.000 "révolutionnaires" s'envolèrent à l'étranger; pour la plupart aux Etats-Unis, qui devint un sanctuaire à terroristes.  

Peter Stolypine reprit le contrôle de la situation en juin 1907. Par la suite, la Russie commença à se remettre des atrocités de Trotsky et de Parvus.

La maison de Stolypine a subi un attentat à la bombe le 26 août 1906 par des francs-maçons radicaux. Les victimes furent des visiteurs et des soldats. Bilan : 27 morts et 40 blessés. Parmi les victimes il y avait le fils et la fille du Premier ministre Stolypine. Sa fille fut soufflée de l'intérieur de la maison par la force de l'explosion. Elle resta estropiée pour le restant de sa vie.

Les réformes de Stolypine allaient très loin. Les journaux étaient en substance autorisés à publier ce qu'ils voulaient. Tous les partis politiques étaient permis. L'armée de terre et la marine ont été modernisées. Le scientifique et politicien britannique Bernard Pares avait aussi admis que les sept années de la période 1907-14, d'un point de vue économique, devaient être vues sans aucun doute comme les meilleures de toute l'histoire russe. Durant cette période, les paysans devinrent les propriétaires des 3/4 de la terre.

 

Après les réformes de Stolypine, la Russie commença à produire plus de céréales que les Etats-Unis, le Canada et l'Argentine tous réunis. 80% du lin dans le monde est issu de la production russe. La Russie produisant 40% du grain mondial, était surnommée "le grenier à blé du monde". Les dirigeants maçonniques de St Petersburg commencèrent à devenir nerveux.

 

A 21 heures, dans la soirée du 14 septembre 1911, le Premier ministre Stolypine fut blessé par le terroriste et agent de police Mordekaï Bogrov à l'opéra de Kiev. Ceci se passa lors de l'entracte du "Tsar Saltan" de Rimsky Korsakov, en la présence du tsar Nicolas II. Stolypine fut mortellement touché. Il mourut quatre jours plus tard. Avec cet assassinat, les forces obscures allaient pouvoir mettre un terme aux enquêtes menées par le gouvernement russe sur leurs activités subversives. Avant cela, les francs-maçons avaient cumulé dix tentatives d'assassinat sur Stolypine. Ils réussirent leur onzième coup.

 

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Marx, Lénine, Trotzky et leur "frères" étaient de grands admirateurs du coup d'état d'une secte qu'a été la "révolution" française, et la prenaient toujours en exemple, se considérant tous comme ses "enfants".

(Source : B. Nicolaïevski et O. Maenchen-Helfen, Karl Marx, éditions Gallimard, 1937).

En décembre 1916, les francs-maçons intensifièrent leurs efforts en Russie et en mars 1917, des pénuries de pain manigancées en fait par les francs-maçons provoquèrent une rebellion [la même méthode - la famine - fut employée en 1789 par Necker pour forcer les Parisiens à se révolter. Cette méthode sera de nouveau employée en Ukraine dans les années 1930. Ndlr.] Ils usèrent de pénuries de pain à Petrograd et ce en dépit du fait qu'il y avait du pain à foison en Russie à ce moment-là.

 

Le 12 mars, le coup d'Etat connu sous le nom de "Révolution de février" éclata. Trois jours plus tard, le 15 mars, le tsar Nicolas II à Pskov, face à la possibilité de voir toute sa famille tuée, abdiqua. La couronne passa du tsar Nicolas II à Michaël, son plus jeune frère. Les francs-maçons étaient toutefois déterminés à broyer le régime tsariste. Et Michaël fut forcé d'abdiquer le lendemain même.

 

Le franc-maçon Pavel Milyukov, qui devint Secrétaire des Affaires étrangères dans le gouvernement provisoire, admit dans ses mémoires que le Coup de Février était un complot maçonnique. Le public naïf était ravi, mais lorsque le nouveau gouvernement maçonnique initia une énorme vague de terreur contre l'opposition, leurs sourire se figèrent et furent remplacés par des grimaces choquées. Les premières victimes furent 4.000 policiers. Les foules s'emparèrent d'eux, les frappèrent à mort et traînèrent leurs corps à travers les rues. Ensuite commençèrent les assassinats d'officiers; parmi eux, l'Amiral von Wiren. Le deuxième jour après le coup d'Etat, Kerensky a fait relâcher des prisons tous les criminels. Il y avait 10.000 criminels qui furent relâchés dans Petrograd. Dans d'autres villles, les portes des prisons furent également ouvertes. C'est alors que l'anarchie commença. Les criminels détruisirent les entrepôts, les magasins, les transports ferroviaires. Les gens étaient assassinés et pillés. Alexandre Kerensky était Secrétaire du Conseil Suprême maçonnique "russe" et dirigeant du Grand Orient "de Russie".

 

"A savoir s'ils étaient presque tous francs-maçons, cela ne fait aucun doute; cela veut donc dire qu'il s'agissait d'un complot maçonnique." (Sergej Semanov, historien)

 

A nouveau, la piste et les documents nous ramènent ici au quartier général du Grand Orient à Paris.

 

Antony-C.-Sutton---Wall-Street-and-the-Bolshevik-Revolution.jpgAu printemps, le Gouvernement provisoire reçut une aide d'un million de dollars de la banque de Schiff, la Kuhn, Loeb & Co, ainsi que des fonds provenant d'autres banques. Jacob Schiff commença à financer Léon Trotsky afin d'installer la seconde phase de la "révolution". Le colonel Edward M. House, un conseiller très influent, du Président Woodrow Wilson, constata que Wilson avait très rapidement (et illégalement) produit un passeport américain pour la personne de Trotsky, de sorte qu'il puisse retourner en Russie et qu'il y  accomplisse un putsch.

 

Le banquier de Wall Street Paul Warburg devient le patron politique de Trotsky. Normalement on peut espérer n'importe quoi d'un citoyen américain lorsqu'il s'agit de supporter les alliés des Etats-Unis dans sa guerre contre l'Allemagne et de sauver des vies de soldats américains. Mais ce n'est pas de cette façon que Paul Warburg et ses acolytes virent la chose : la Russie devra être détruite et un régime esclavagiste communiste devra être mis en place.

 

D'après des documents du Département d'Etat ("Wall Street and the Bolshevik Revolution", Antony C. SUTTON), Jacob Schiff était également un membre de l'organisation maçonnique B'naï B'rith, ainsi que ses compagnons Félix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, Isaac Seligman, et bien d'autres, et ils avaient établi les plans dès 1916 pour renverser le Tsar russe.

 

Don-Jordan-and-Michael-Walsh--White-Cargo--The-Forgotten-Hi.jpgEn avril 1917, Jacob Schiff confirma lui-même et officiellement qu'il avait fourni l'aide financière aux révolutionnaires qui fit que le tsar dût abdiquer de force.

 

Pourquoi cette folle volonté ? Pour répondre à cette question nous avons besoin d'examiner brièvement la réelle histoire des Etats-Unis. La résistance contre les tentatives britanniques de taxer ses colonies en Amérique du nord n'a pas été le réel motif de la Révolution américaine. La vérité est bien plus perturbante que cela. Les francs-maçons avaient besoin d'une base pour leurs activités criminelles.

La franc-maçonnerie américaine a servi au XVIIIe siècle à protéger le crime organisé incluant la contrebande d'opium, la piraterie, et plus tard un trafic illégal d'esclaves. Elle a aussi servi à décevoir le public et réécrire l'histoire. Les familles maçonniques des Roosevelt, des Morgan et autres ont caché leur odieux passé de contrebandiers d'opium et de pirates. A l'origine, ce sont des milliers de personnes de races blanches qui sont kidnappées et sont transportées de Grande-Bretagne vers l'Amérique en tant qu'esclaves.

Nicholas HAGGER, The secret founding of the America, the re 

 

Serpent---Premier-symbole-americain-pre-revolutionnaire-.jpg Liberte--Egalite--Fraternite-ou-la-mort.gif

 Le serpent, premier symbole américain pré-révolutionnaire de Benjamin Franklin.

 

Image : Benjamin Franklin. “Join or Die”. Pennsylvania Gazette (Philadelphia), May 9, 1754. Newspaper. Serial and Government Publications Division, Library of Congres.

 

« Benjamin Franklin consulted Baroque emblem books to find an appropriate symbol for the union of the colonies. A French source provided the image of a cut snake with the motto that translated as "Join, or Die." »

 

Benjamin Franklin a consulté des livres d'emblème baroques pour trouver un symbole approprié pour l'union des colonies. Une source française a fourni l'image d'un serpent avec la devise qui se traduit comme "Se joignent, ou Meurent."

 

Source: http://www.loc.gov/exhibits/uscapitol/s1.html

 

 

La république maçonnique ne laisse pas le choix : acceptez le monde nouveau ou mourez !

Les Etats-Unis n'ont pas été fondés sur un idéal de liberté et de démocratie.  

 

Benjamin Franklin, membre de l'infâme Loge Les Neuf Soeurs du Grand Orient de France (The Nine Sisters) avait pour slogan "Join or die" ("Rejoins-nous ou meurs").

 

Les Treize colonies [colonies de l'Empire britannique d'Amérique du Nord qui donnèrent naissance aux États-Unis d'Amérique] ont été forcées de former une union, symbolisée par le serpent. Ceci peut être vu à la Bibliothèque du Congrès (Library of Congres)  Washington D.C. / USA.

 

Les Neuf Soeurs utilisèrent un slogan similaire pendant la Révolution "française" : "Sois mon frère ou je te tuerai" [Liberté, égalité, fraternité ou la mort].

 

Les Neuf Soeurs ont étroitement coopéré avec les Illuminati qui opéraient sous le nom de "Jacobins". L'ordre des Illuminati a été fondé par Adam Weishaupt en 1776 à Ingolstadt en Bavière. Les Jacobins portèrent un bonnet Phrygien rouge comme les esclaves romains affranchis pour montrer leur esprit révolutionnaire. L'influence des Illuminati est visible partout dans la capitale américaine : à la Bibliothèque du Congrès, aux Archives nationales (National Archives), ainsi qu'au Capitol. George Washington essaya de restreindre l'influence des Illuminati mais sans succès.

L'une des réelles causes de la Guerre civile américaine aura été que les francs-maçons, sous Albert Pike, ont essayé d'établir le plus grand royaume d'esclaves au monde incluant Cuba et le Mexique, et qui aurait eu pour nom La Confédération américaine avec pour capitale Richmond (Virginie, USA). Les différentes loges ont agi dans ce sens.

 

American-snake.jpg

 Auteur : James Gillray, "The American Rattle Snake." Date Created/Published: [London] : Pubd. by W. Humphrey, No. 227 Strand, 1782 April 12th.

 

« Published when peace negotiations had begun, this etching suggests the futility of further British efforts to suppress forcibly the Americans. The American rattlesnake boasts: "Two British Armies I have thus Burgoyn'd, And room for more I've got behind." A sign is posted over a vacant third coil:"An Apartment to Lett for Military Gentlemen." »

 

Publié au début des négociations de paix (en 1782), cette gravure suggère la futilité de nouveaux efforts britanniques pour réprimer par la force les Américains. Le serpent à sonnettes américain dispose : "deux Armées britanniques pour lesquelles j'ai ainsi Burgoyn'd (?) Et une salle de plus j'ai derrière." Un écriteau est affiché sur un troisième encerclement vide : "un Appartement pour Messieurs les Militaires."

 

« Cartoon shows "American" snake, the emblem used by Americans as a device on their flag before the adoption of the stars and stripes, with two of three coils around units of British soldiers, commanded by Burgoyne and Cornwallis at time of their surrender. Gillray is lampooning the British war effort. The verse printed below the image reflects the widespread sympathy in England for the American cause. » Source: http://www.loc.gov/pictures/item/96510312/

 

Le dessin montre le serpent "américain", l'emblème utilisé par les Américains comme symbole sur leur drapeau avant l'adoption des étoiles et des rayures, avec deux de trois bobines autour des unités des soldats britanniques, commandé par Burgoyne et Cornwallis au moment de leur reddition.  

Gillray lance des satires contre l'effort de guerre britannique. Le vers imprimé au-dessous de l'image reflète la sympathie répandue en Angleterre pour la cause américaine.

 


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Abraham Lincoln, November 1863.

 

Abraham Lincoln fut président des Etats-Unis du 4 mars 1861 au 15 avril 1865.

Le non franc-maçon et républicain Abraham Lincoln a été élu Président en novembre 1860 à la grande stupeur des francs-maçons. Lorsqu'il entra en fonction à Washington D.C. il fut immédiatement la cible d'une tentative d'assassinat. La fois suivante c'était son propre secrétaire de la Guerre, Edwin Stanton, qui fut impliqué. Stanton était franc-maçon. C'est alors que le dirigeant maçonnique, le général Albert Pike trouva une autre solution : la guerre civile qui démarra le 12 avril 1861.  

L'opposition fit pression sur Lincoln afin qu'il établisse une banque centrale; Lincoln y était opposé [Cf. 150e anniversaire - De Gettysburg à Goldman Sachs : D'un monde libre à un monde communiste].

Tourné vers la Russie pour demander aide, le Tsar alexandre II envoya sa flotte militaire pour aider Lincoln et donc rejoignit la guerre. Les francs-maçons haïssaient Lincoln qui mit fin à leur grand rêve d'établir un régime esclavagiste mondialisé. Cinq jours après la fin de la Guerre civile le 9 avril 1865, le franc-maçon du 33e degré John Wilkes Booth tira mortellement sur le Président Lincoln au Théâtre Ford (Ford Theater). L'année suivante, une tentative avait été faite de faire la même chose contre le Tsar Alexandre II.

 

Après la Guerre civile, Pike fut traîné au Tribunal et condamné à de la peine de prison pour trahison. Les francs-maçons se tournèrent vers le Président Andrew Johnson, un franc-maçon du 4e degré. Le 22 avril 1866, le Président Johnson le gracia et tout juste le jour d'après Pike lui paya une visite à la Maison-Blanche. Le 20 juin 1867, le Président Johnson passa du 4e degré au 32e selon le rite écossais.

 

La Maison-Blanche a été modélisée selon l'Ancien manoir maçonnique de Dublin. Les obélisques sont associés aux sacrifices. Un obéliques maçonnique composé de 14 sections avec la torche Illuminati (la flamme de Lucifer) au sommet, a été érigé en 1941 sur Dealy Plaza à Dallas (Texas), près de l'endroit où le Président Kennedy fut assassiné le 22 novembre 1963 (sous le signe du Scorpion). L'obélisque est situé sur le 33e parallèle.

 

Kennedy
 J.F. Kennedy, président des Etats-Unis, 20 janvier 1961 – 22 novembre 1963

 

Le 4 juin 1963, le Président John F. Kennedy signe l'Executive order n° 11110 [ordre exécutif] qui redonnait au gouvernement les pleins pouvoirs de battre sa propre monnaie sans avoir à faire usage de la très privée Federal Reserve (FED). Le Président Kennedy voulait retirer des Conseillers militaires américains du Vietnam, et aussi empêcher Israël de produire des armes nucléaires, ce qui le mit en position d'ennemi face au franc-maçon David Ben-Gourion, le Premier ministre d'Israël. Il n' y avait aucune chance que le tireur d'élite, peu doué, Lee Harvey Oswald, puisse arriver trois coups de feu incluant deux touchés en l'espace de 5,6 secondes à partir de sa prétendue place cachée au sixième étage du dépôt bibliothécaire situé sur la rue Elm Street à Dallas. L'avocat du district Jim Garrison à New Orleans croit qu'il devait y avoir au moins trois tireurs d'élite impliqués dans la fusillade. Les images non-censurées révèlent que Kennedy a reçu plus que deux coups dont au moins un venant de face. Peu de temps après, la bouc-émissaire Oswald fut assassiné à son tour.

 

Kennedy fut remplacé par le franc-maçon haut-gradé Lyndon Baines Johnson, qui fit tout ce qui était en son pouvoir pour sceller la vérité sur le meurtre.

 

Les francs-maçons sont vraiment vindicatifs. Le capitaine William Morgan avait découvert certains des terribles secrets maçonniques lorsqu'il tenait une position centrale dans la Loge n° 433 à Batavia (New York). Il voyagea à travers tous les Etats-Unis pour alerter les autres loges maçonniques. En 1826 il expliqua cela qu'il était de son devoir d'alerter le public des plans secrets des francs-maçons. Morgan signa un contrat avec l'éditeur, le colonel David C. Miller afin d'exposer les activités cachées des dirigeants maçonniques. Les francs-maçons kidnappèrent Morgan et le jetèrent dans le fleuve Niagara. L'un des conspirateurs, John Whitney confessa le meurtre à son médecin sur son lit de mort en 1860. A Batavia, un monument a été érigé en 1882, en l'honneur de William Morgan où l'on peut lire : "[...] un citoyen de Batavia respectable et martyr de la liberté d'écrire et de dire la Vérité, qui a été noyé... par les francs-maçons et assassiné pour avoir voulu révéler les secrets de leur ordre."

 

Jacob Schiff, et quelques autres francs-maçons hauts-gradés, ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour punir la Russie et y introduire le plus cruel système d'esclavage que le monde n'ait jamais connu. A new York, le 27 mars 1917, Trotsky, alors âgé de 37 ans, embarque avec sa famille et accompagné de 275 terroristes internationaux et aventuriers sur le navire Kristianiafjord affrété pour l'Europe, afin de finaliser la "révolution" en Russie. Divers criminels Communistes américains et des courtiers [brokers] de Wall Street les accompagnent également. La réflexion la plus intéressante que Trotsky ait faite sur la Russie était : "Notre pays libéré par la révolution".

 

Le 3 avril 1917, alors que le kristianiafjord faisait escale à Halifax, Nouvelle-Ecosse / Canada, la police des frontières canadienne arrête Léon Trotsky, sa femme et ses deux enfants, ainsi que cinq autres "Socialistes russes" : Nikita Mukhin, Leïba Fishelev, Konstantin Romanenko, Grigorï Chudnovsky, Gerons Melitchansky. Les proches camarades de Trotsky, Volodarsky, et Uritsky, restèrent à bord. Trotsky a été arrêté parce qu'un télégramme a été envoyé à partir de Londres le 29 mars 1917. Il révélait que Bronstein (Trotsky) ainsi que ses compagnons Socialistes étaient en chemin pour la Russie pour y déclencher une révolution contre le gouvernement et que Trotsky avait reçu 10.000 dollars des Allemands dans ce but. Effectivement, en fouillant Trotsky la police trouva ce montant. Il expliqua que l'argent venait de la part des Allemands mais qu'il n'avait aucun commentaire à faire sur ce sujet. Les Canadiens suspectèrent Trotsky de collaboration avec les Allemands. Ce furent les Services secrets britanniques, pour lesquels Trotsky était un agent, qui voulaient nettoyer Trotsky de toute suspiscion à travers cette manoeuvre. Ceci fut confirmé par des documents issus des archives nationales canadiennes [Canadian National Archives]. Des officiels canadiens reçurent même des instructions pour que Trotsky ne fasse pas de travaux forcés dans les camps de détention. Les autorités britanniques savaient que l'Etat-major Général allemand de 1915 avait financé Kerensky, Lénine et d'autres agitateurs russes. Soudainement, un contre-ordre demandant de relâcher Leïba Bronstein et ses effets venait de l'Ambassade britannique à Washington. L'ambassade avait reçu une requête du Département d'Etat à Washington pour libérer Bronstein (Trotsky) en tant que citoyen américain possédant un passeport américain.

Washington demanda que les Canadiens aident Bronstein par tous les moyens. Selon des explications d'Américains, c'était Kerensky qui voulait que Trotsky soit relâché. Trotsky a en effet été relâché cinq jours plus tard, le 4 mai. Plus tard, tout avait été fait au maximum pour dissimuler ces faits du public canadien, depuis que les autorités réalisèrent qu'en relâchant Trotsky ils avaient prolongé la Guerre mondiale.

Après Trotsky, ce sont 8.000 "révolutionnaires" parlant le Yiddish qui arrivèrent. Le Socialiste Estonien Alexandre Keskula suggéra à l'ambassadeur allemand en Suisse Gisbert von Romberg, le 7 septembre 1914, que Lénine soit utilisé comme cheval-de-Troie pour faire faire signer une paix séparée par la Russie avec l'Allemagne.

Le franc-maçon Alexandre Parvus (de son vrai nom Israël Gelfand) qui organisa la "révolution" de 1905 a été chargé en 1915 d'enrôler Lénine et ses camarades en tant qu'agents allemands. Keskula confia également 250.000 marks aux bolchéviques. L'objectif allemand était que les Bolchéviques puissent entrer dans une paix séparée avec l'Allemagne, une fois emparés du pouvoir. Plus tard, Parvus clamait que c'était lui qui avait tiré la plupart des ficelles par derrière dans le coup d'état de février 1917 lorsqu'il vivait sur la place Stureplan à Stockholm/Suède.

Le comte Ulrich von Brockdorff-Rantzau envoya un télégramme secret à partir de Copenhague/Danemark au Ministre de l'Intérieur à Berlin, le 2 avril 1917 : "Nous devons immédiatement essayer d'apporter un chaos aussi étendu que possible en Russie. Au même moment nous devons éviter de nous impliquer visiblement nous-mêmes dans la course à la révolution russe. Mais en secret nous devrions tout faire pour exacerber les antagonismes entre les partis modérés et les partis extrémistes, depuis que nous sommes assez intéressés en la victoire de cette dernière parce que le coup d'état serait alors inévitable."

L'entrée de Lénine en Russie a été approuvée par le chancelier Théobald von Bethmann-Hollweg, un membre de la famille banquière Bethmann, à Francfort-sur-le-Main/Allemagne. Le 9 avril, Lénine et son équipe démarrent un séjour qui partira de Berne en Suisse pour finir à Petrograd en Russie (ex St-Petersburg) [Ndt: future "Leningrad"] Le Major Général allemand Max Hoffmann écrivit plus tard : "Nous n'avions ni su ni prévu le danger qu'encourait l'Humanité des conséquences de l'éparpillement des Bolchéviques en Russie."

 

Le wagon dans lequel voyagent Lénine et ses 32 compagnons qui aurait été plombé-scellé est là encore, un autre mythe. Les autorités allemandes ont demandé aux "révolutionnaires" de ne pas quitter le wagon et des officiers allemands les ont accompagnés. Lénine arrive à Stockholm Gare centrale un peu avant 10h00 du matin, le vendredi 13 avril 1917. Le maire Socialiste de Stockholm, Carl Lindhagen, rencontra Lénine et ses compagnons à la Gare centrale [Stocholm Central Station] Il y avait un politicien socialiste du nom d'Erik Palmstierna qui avait suspecté que Lénine pourrait devenir dangereux et il suggéra d'organiser une provocation policière à la gare afin de pouvoir tirer sur Lénine dans le tumulte qui en résulterait. Les autres se mirent à lui rire au nez.

 

Lénine n'est resté que 8 heures à Stockholm. Il passa la plupart de ce temps à l'Hôtel Regina sur la Rue Drottninggatan. Il continua sur Aparanda à 06h37 dans la même soirée. Avant son départ, les Socialistes suédois eurent le temps de lui acheter un costume et sa fameuse casquette mondialement connue dans le magasin PUB.

Au même moment, Lénine rencontre Hans Steinwachs qui était le patron de l'espionnage allemand en Scandinavie.

Fabian Mannson, un dirigeant de l'Union organisa une collecte parmi les membres du Parlement.

Même le ministre des Affaires étrangères sudédois, pourtant de droite, Arvid Lindman, donna à Lénine 100 couronnes (beaucoup d'argent pour l'époque). Un franc-maçon en aidait un autre.

Le Comité suédois d'Assistance aux Réfugiés donna à Lénine également 3.000 couronnes.

Il arrive à Petrograd Finland Station le 16 avril à 23h10. Le franc-maçon Nicolaï Chkheidze qui était le Président du Soviet de Petrograd, l'accueillit avec des fleurs et lui prononça un discours de bienvenue. Steinwachs envoie le télégramme suivant pour Berlin, le 17 avril : "Le voyage de Lénine en Russie s'est bien déroulé. Il agira précisément de la façon que nous voulons."

 

Un total de 25.000 "révolutionnaires" internationaux entrent en Russie. Le dirigeant illuminati Guiseppe Mazzini proclama : "la vieille Europe est en train de mourir", prononçant une sentence de mort aux empires, aux monarchies et à l'aristocratie. "Telle est notre finalité vers laquelle tous les efforts possibles doivent être faits."

 

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Loge des neuf Soeurs, une loge maçonnique d'avant 1789

En 1914, Lénine devient membre de la plus subversive des loges du Grand Orient : les Neuf Soeurs [où fut "initié" Voltaire, le 7 avril 1778. Ndlr.]

 

Les francs-maçons comptèrent sur l'ignorance des travailleurs qui ne voyaient pas l'ombre d'Hermès et dans laquelle leur mouvement créera leur propre esclavage et en seront leurs victimes.

 

Au début, les francs-maçons suédois étaient tellement sûrs d'eux qu'ils n'ont même pas pris la peine de cacher la connexion symbolique entre la Social-démocratie et la franc-maçonnerie; comme nous pouvons le voir ici sur cet étendard de corporation ouvrière (image: bannière de l'Union de 1883). Les travailleurs ont été trahis par eux d'un côté et par la bourgeoisie de l'autre.

 

En juillet 1917, une information sur des contacts que Lénine et Trotsky auraient pris avec les Services d'Intelligence allemands ont fuité dans les journaux. Le gouvernement interdit la publication de ces documents sensibles. Mais un petit journal, le Verbe Vivant ignore l'interdiction et les publie. L'article de Grigorï Alexinsky & Vassili Pankratov mentionne des financements allemands pour la fête de Lénine du 18 juillet. L'argent allemand a été transféré de la Banque impériale allemande à Berlin via la Nya Banken (Olof Aschberg) à Stockholm, pour finir sur la Banque de Sibérie à Petrograd. Le jour suivant, d'autres journaux ont également commencé à publier des télégrammes révélant des transferts de fonds financiers allemands à l'adresse des Bolchéviques à Petrograd sous divers prétexte d'innocence.

L'agent du Gouvernement Provisoire, présent à Stockholm, aida les Bolchéviques en passant en contrebande des fonds allemands vers Petrograd à l'aide de sacs de coursier. Ceci paraît manifeste si l'on en croit la correspondance de Lénine avec Ganetsky-Furstenberg. Tout cela était extrêmement embarrassant pour le Gouvernement Provisoire. Lénine commença à publier dans un grand nombre de journaux et périodiques; au total : 41 publications. Les fonds ont servi aux Bolchéviques qui payaient 10 à 17 roubles pour participer à des grèves ou à des manifestations, et 120 à 149 roubles pour des actes de violence. Le 20 juillet, le Gouvernement Provisoire ordonna l'arrestation de Lénine, ainsi que Grigorï Zinoviev et Léon Kamenev (alias Rosenfeld). Le 22 juillet, à 23h00, Lénine quitta Petrograd avec Zinoviev. Mais la chose la plus remarquable et la plus énigmatique est que, en dépit de l'ordre d'arrestation, personne n'a appréhendé Lénine et personne ne voulait l'arrêter malgré le fait que plus tard la propagande soviétique défendait le contraire.

Le ministre de la Justice Alexandre Kerensky devient le Premier ministre. C'est en tant que Procureur que Andreï Vyshinsky fut responsable de traduire les Bolchéviques en justice. Durant l'ère stalinienne, il envoya plusieurs Bolchéviques à la mort, ayant été reconnus coupables d'être des agents britanniques.

Une soit-disant "Délégation de la Croix-Rouge" se rendit en Russie en août 1917 avec pour intentention de parlementer avec les dirigeants bolchéviques sur la finalisation des détails des l'ascension des Rouges au pouvoir. Parmi les membres de cette délégation, sept étaient des docteurs, les autres étaient des banquiers venus de New York, parmi lesquels, John P. Morgan Jr. et Jacob Schiff.

Le 1er septembre, Lavr Kornilov, Commandant en chef de l'Armée russe, ordonna à ses cosaques d'attaquer Petrograd. Le 7 septembre, Kornilov dit à son chef d'équipe : "Il est temps d'aller pendre les partisans des Allemands et les espions, à commencer par Lénine. Et nous devons détruire les Soviets de sorte qu'ils ne puissent plus se reformer à nouveau !" Kerensky est alors pris de panique. Lors de l'insurrection de Kornilov, le Gouvernement provisoire et les Bolchéviques coopèrent contre lui. La partie était lancée pour les deux camps. Lénine avait "oublié" son slogan : "Pas de soutien au Gouvernement Provisoire !"

D'après les Archives du Déparement d'Etat, David Francis, l'ambassadeur américain à Petrograd, avait bien été mis au courant des plans des Bolchéviques. La Maison Blanche a su six semaines à l'avance quand les Bolchéviques allaient prendre le pouvoir. Cet évènement a été arrangé afin qu'il tombe le 8 novembre, c'est-à-dire afin qu'il coïncide avec l'anniversaire de Trotsky. Le président des Etats-Unis Woodrow Wilson a su à l'avance que le putsch des Bolchéviques provoqueraient une prolongation de la Guerre mondiale. Mais il n'a rien fait pour arrêter leurs plans. Bien au contraire. Il fit tout ce qui était en son pouvoir pour les y aider. Les Etats-Unis ont été la seule nation à faire d'immenses profits sur la guerre. Toutes les puissances belligérantes ont perdu de gigantesques sommes et sont arrivées à devoir aux Etats-Unis un total de 14 milliards de dollars. Il avait été calculé que l'élite financière internationale avait réalisé un total de 208 milliards de dollars avec la guerre.

 

Le gouvernement britannique était aussi informé des plans des Bolchéviques puisqu'il avait recommandé à ses sujets de quitter la Russie au moins six semaines avant le Putsch. Les autorités savaient parfaitement que Lénine était à Petrograd. La soeur de Lénine, Maria, confirma cela à un officiel. Le gouvernement provisoire ne fit rien du tout pour poursuivre ou arrêter Lénine. Les plans des Bolchéviques pour s'emparer du pouvoir n'était un secret pour personne. Le grand public n'était pas ignorant de la chose, ni même le Gouvernement Provisoire. Zinoviev et Kamenev avaient décrit assez ouvertement leurs plans dans le journal Novaya Zhizn, le 31 octobre. Lénine avait également parlé de ces plans publiquement à de nombreuses occasions. Les autorités connaissait dans le détail les plans des Bolchéviques. Donc, s'ils n'étaient pas impliqués dans la conspiration, pourquoi n'ont-ils donc rien fait ? Kerensky refusa d'ordonner l'envoi de troupes à Petrograd comme on le lui avait suggéré.

Trotsky avait déjà formé un comité militaire révolutionnaire le 25 octobre. Le pouvoir avait été transféré en secret à ce comité le 3 novembre. Lénine qui était né le 23 avril 1870 et non le 22, n'avait même pas organisé l

a prise du pouvoir. C'est Trotsky qui organisa tout, et Trotsky n'avait même pas voulu autoriser Lénine à entrer dans Smolny, le Quartier général des conspirateurs. Lorsque le pouvoir fut finalement entre les mains des Bolchéviques, Lénine dit à Trotsky en allemand : "Es schwindelt !", "j'en suis étourdi !". Aux environs de 6 heures, le Principal de l'Académie d'Artillerie à Mikhaïlovsk ordonna à ses cadets de quitter le Palais d'Hiver. Les Cosaques aussi s'en allèrent. Le Palais d'Hiver fut tout simplement remis aux Bolchéviques. Le Gouvernement Provisoire n'avait en fait perdu aucune autorité. Les représentations théâtrales continuèrent cette soirée-là et les restaurants restèrent ouverts. Personne ne remarqua quoique ce soit d'inhabituel. Trotsky confirma le 7 novembre à 14h35 que le Gouvernement Provisoire n'existait plus.

 

Lenine.jpeg

"Le dernier acte se joue le 18 janvier 1918, d'abord dans la rue, où Lénine, pour la première fois depuis mars 1917, fait tirer sur une manifestation pacifique de partisans de l'Assemblée, provoquant une douzaine de morts et des dizaines de blessés. ... La nuit même l'Assemblée est dispersée par la force. Sa mort officialise la naissance du régime totalitaire."

(Stéphane Courtois, Communisme et totalitarisme, Tempus 2009, p. 86-87.)

A 22h00 le Congrès des Soviets proclama : "Le Pouvoir du Gouvernement repose sur le Comité Militaire Révolutionnaire ! " Les Gardes Rouges restèrent un moment à l'extérieur du Palais d'Hiver malgré l'absence de gardes aux entrées. Il n'y eut aucune tempête sur le Palais d'Hiver. Tout se passa dans le calme. Pas la moindre goutte de sang. Les Gardes Rouges attendirent juste que leur temps soit venu d'y entrer. Ils attendirent jusqu'à 1h30 du matin. Lorsque les Bolchéviques passèrent sereinement les grilles sans surveillance, ils firent une petite ballade dans les halls et couloirs et accueillirent les "défenseurs"... Des défenseurs qui n'opposèrent aucune résistance mais juste une attitude amicale. Le membre du Comité Miliaire Révolutionnaire et ami de Trotsky, Vladimir Antonov-Ovseyenko, ainsi que ses Gardes Rouges atteignirent le hall Malachite juste un peu avant 02h00 et restèrent à attendre derrière la porte qui mène à la Chambre du Conseil du Gouvernement Provisoire. Le Gouvernement (sans Kerensky), et ce contre toute raison, s'était rassemblé ici. Pourquoi ? Antonov-Ovseyenko était resté à regarder l'horloge. Les Gardes Rouges et les Marins étaient également plantés là à attendre le signal de Antonov-Ovseyenko. Ils attendirent là pendant environ dix minutes. A 02h10, Antonov-Ovseyenko dit aux Gardes Rouges : "Para!" ("C'est l'heure !") Il ouvre la porte et dit quelque chose de très obscur : "Messieurs, votre temps est levé!" Une petite étude astrologique approfondie indique que le Soleil venait juste alors précisément dans le centre du signe du Scorpion (14°58'). Le Scorpion est le huitième signe du zodiaque; le signe du crime et de la mort. Trotsky fêta son 38e anniversaire le 26 octobre (8 novembre) 1917 [Ndt. Calendrier catholique romain vs orthodoxe] et cet immense spectacle était devenu son cadeau d'anniversaire.

Les Bolchéviques ont perdu les élections parlementaires mais continuent de gouverner et lorsque les masses protestent, les Gardes Rouges ouvrent le feu et tuent dix personnes à l'ouverture de l'Assemblée Constituante, le 5 janvier 1918.

C'est ainsi que les Bolchéviques commençèrent à terroriser et à piller ouvertement, sous le slogan : "volez ce qui a été volé !" Lénine saisit de nombreux riches. Les Tchékistes arrêtent des familles entières et torturent les enfants devant leurs parents et les femmes devant leurs maris afin de saisir l'or qu'ils auraient. Cette gigantesque opération de vol avait l'aspect d'un business démentiel.

 

2ème partie :

 

Jüri Lina: 2-2 Dans l'Ombre d'Hermès. Les Secrets du Communisme" (VOSTFR, "In the shadow of Hermes. The Secrets of Communism")

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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 19:27

 

 

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 12:57

Republique-universelle.jpgLa franc-maçonnerie tisse sa toile. Après avoir créé le terrorisme islamique, enfant damné du bellicisme occidental au Proche et au Moyen-Orient, la solution de l'état totalitaire maçonnique est de s'en prendre à ce qu'il a lui-même créé et financé dans le monde.

Le gouvernement a refusé de modifier l'article 9 de son projet de loi contre le terrorisme : il pourra bloquer des sites internet sans autorisation du juge.

Oubliez la "démocratie", bienvenue dans l'état policier ! Cette loi est une porte ouverte à la censure de tous les sites d'information non-alignée. On se demande bien où est passée leur "liberté d'expression" ?! Où est le Conseil constitutionnel ? Où sont les grands défenseurs de la "démocratie" dans le monde ? 

 

L'Assemblée nationale a voté jeudi matin le projet de loi "lutte contre le terrorisme", porté par  [le franc-maçon Ndlr.] Bernard Cazeneuve sous l'impulsion du  [franc-maçon Ndlr.] Manuel Valls. Le ministre de l'Intérieur a fait adopter, dans un grand exercice d'acrobatie politique, l'article 9 qui prévoit le blocage des sites internet par l'exécutif, sans décision préalable du pouvoir judiciaire : une mesure contre laquelle il avait voté lorsqu'il était député et que l'UMP l'avait proposée en 2010.  

 

[Par un heureux hasard... et dans une belle unanimité des "représentants de la nation", Ndlr.] [c]ette mesure était soutenue par les groupes PS, UMP, UDI ou encore SRC [...] dans un consensus plus que perturbant [plus que troublant..., dirions-nous ! Ndlr.]

 

"Nous sommes là pour être utiles à la République en la protégeant du terrorisme", a expliqué dans la nuit de mercredi à jeudi Bernard Cazeneuve, faisant fi des dures critiques venant de quelques députés de tous bords, ceux qui s'impliquent depuis des années dans les dossiers numériques. Las ! En dépit de toute logique, en dépit des contresens criants, l'Assemblée a validé le texte du gouvernement, dont nous avions déjà signalé les dangers en juillet.

 

Source: http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/loi-antiterroriste-les-deputes-ont-vote-la-censure-du-web-francais-18-09-2014-1864329_506.php

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6 septembre 2014 6 06 /09 /septembre /2014 15:47

 

Breivik-anders-franc-macon--Le-Monde--27-juillet-2014-.jpg


Chauprade.jpg

Le 12 août 2014, Marine Le Pen a déclaré dans un entretien à "Tablet magazine" (une revue juive américaine en ligne), qu'elle fera d'Aymeric Chauprade son "très probable ministre des Affaires étrangères", selon les termes recueillis par son interviewer.

 

Source article (en anglais) : Tablet Magazine

http://www.tabletmag.com/jewish-news-and-politics/183350/frances-toxic-hate-4-le-pen-2?all=1

 

Détail révélateur : le journaliste qui a réussi à convaincre Marine Le Pen de s'exprimer auprès du lectorat juif américain n'est pas un inconnu pour le microcosme parisien des lettres et des médias. Il s'agit de Marc Weitzmann, un écrivain français vivant entre Paris et New-York.

 

Autrefois chroniqueur aux Inrockuptibles, l'homme s'est surtout distingué par sa participation au Meilleur des mondes, revue emblématique des néonconservateurs français attachés au renforcement de l'axe Washingt