Conférence du 14 janvier 2017 de Philippe Ploncard d'Assac
Extrait :
"Ce n'est pas une société secrète, mais une superposition de sociétés secrètes, qui fait que les bas grades ne savent rien des buts de la haute maçonnerie".
« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Conférence du 14 janvier 2017 de Philippe Ploncard d'Assac
Extrait :
"Ce n'est pas une société secrète, mais une superposition de sociétés secrètes, qui fait que les bas grades ne savent rien des buts de la haute maçonnerie".
Un article intéressant de
la Maçonnerie cherche à se payer la Haute Finance, véritable enfer pour la conscience de gauche, pour prendre la maîtrise des flux financiers au plan mondial.La divulgation des archives du cabinet Mossak Fonseca à Panama sur les montages off-shore provoque un scandale d’une plus grande ampleur que Wikileaks et l’affaire Snowden. Un pool mondial de cent journaux piloté par la maçonnerie a organisé les fuites. A travers une critique vertueuse des paradis fiscaux, la cible est la Haute Finance.
L’opération de presse est magnifique et va durer plusieurs semaines. Le premier scandale de Panama, voilà un peu plus de cent vingt ans, n’a bouleversé que la France, le nouveau sera mondial. Onze millions cinq cent mille fichiers sont tombés dans les mains de quatre cents journalistes répartis entre cent sept rédactions dans soixante-seize pays de vingt sept langues. Ils concernent des montages off shore utilisés par le cabinet Mossak Fonseca, en lien avec plus de cinq cent banques, pour réduire les impôts d’innombrables particuliers et sociétés. Par tous les moyens même légaux. Parmi les « clients », on compterait, d’après les premières fuites publiées, un millier de Français, 128 dirigeants politiques et hauts fonctionnaires de niveau mondial, 12 chefs d’Etat et de gouvernement dont six en exercice (une source anglo-saxonne a parlé, elle, de 72, en poste ou retraités), plusieurs criminels recherchés par Interpol et 29 des plus 500 plus grandes fortunes mondiales répertoriées par le magazine Forges.
Des fuites calculées au millimètre pour un scandale mondial
Tout a été pensé pour faire saliver le public. Le père de l’un des deux fondateurs du cabinet volé, l’Allemand Jürgen Mossak, fut Waffen SS puis agent de la CIA. La liste complète, non pas des chéquards, mais des évadés fiscaux présumés coupables, ne sera publiée qu’en mai, mais déjà des fuites soigneusement ménagées révèlent quelques noms juteux. Le premier est une vedette mondiale dans le genre controversé, grand méchant pour les uns et sauveur pour les autres, Vladimir Poutine. Des « proches » auraient tripatouillé des affaires off-shore pour un montant total de deux milliards de dollars. Mais il y a aussi le roi d’Arabie saoudite, le président milliardaire ukrainien Porochenko, la fille du Chinois Li Peng, le père de David Cameron, Ian, et, en France, nos amis Cahuzac, Balkany, Patrick Drahi – pas de quoi surprendre la plus blanche des oies du Capitole, mais du monde qui fait causer sur le zinc. Plus surprenant est la présence sur la liste du premier ministre islandais Gunnlaugsson et de son épouse : on sait que l’Islande a fait un bras d’honneur aux système bancaire international et aux pressions mondialistes auxquelles elle se trouvait soumise lorsqu’elle s’est reconstruite toute seule après la banqueroute de 2008. Serait-ce une punition ? Hors politique, on note Michel Platini, Lionel Messi, et, toujours pour les amateurs de foot, des pontes de l’UEFA et de la FIFA. Ca va jaser chez les fans de Kro.
Panama, New York, Londres : la maçonnerie à la manœuvre
Maintenant, quelle est la cible de ce déballage de fuites ? Il faut se demander d’abord quel en est l’heureux réceptacle. Les « Panama papers », comme on les appelle, dérobés au cabinet Mossak Fonseca, sont actuellement « traités » par le Consortium international des journalistes d’investigation (acronyme anglais : ICIJ), un pool mondial des journaux dits de référence (et non dits de gauche), en France le Monde, en Angleterre le Guardian, aux Etats-Unis, le New York Times et The Post, en Allemagne die Süddeutsche Zeitung. C’est d’ailleurs à ce dernier qu’un mystérieux bienfaiteur aurait « donné gracieusement » les révélations. Chacun est libre bien entendu de croire à cette belle histoire, mais, donnés ou achetés, les fichiers ont été volés, et cela fait donc de l’ICIJ un receleur.
Dans le style moral propre à la maçonnerie, le consortium affirme que « Les documents montrent que les banques, les cabinets d’avocats et autres acteurs opérant dans les paradis fiscaux oublient souvent leur obligation légale de vérifier que leurs clients ne sont pas impliqués dans des entreprises criminelles. »
Cette vertueuse affirmation (que nulle preuve matérielle n’étaie pour l’instant), masque opportunément que le consortium est entré illégalement en possession des documents dont il fait ainsi l’analyse. C’est d’ailleurs ce que lui rappelle Ramon Fonseca Mora, directeur et fondateur, avec l’Allemand Jürgen Mossak, du cabinet dont les archives font aujourd’hui scandale. Il a qualifié de « crime » le vol des fichiers, et voit dans les fuites « une attaque contre le Panama car plusieurs pays n’apprécient pas que nous soyons très compétitifs pour attirer les entreprises »
Montages off-shore : la presse contrôlée, un tribunal mondial
Quoi qu’il en soit, le journalisme d’investigation évolue sans cesse. Naguère, le ministre de l’intérieur, ou son frère, ou la concierge du directeur du KGB, ou la femme de ménage de l’ambassade d’Allemagne, fournissait un dossier clé en main au journaliste d’investigation, qui prétendait ensuite avoir planqué pendant des semaines la nuit devant une poubelle pour en tirer toute la substantifique moelle. C’était flatteur. Aujourd’hui, les fuites sont officiellement versées à un consortium dont la seule utilité reconnue est de trier les données et de secréter une interprétation politique. Or sa fonction réelle est de se constituer en tribunal moral : la lutte contre l’évasion fiscale (mal absolu, puisqu’elle est le péché des riches, et qu’elle est réputée pouvoir masquer, dans les paradis fiscaux qui sont un enfer pour la conscience de gauche, le blanchiment de l’argent de tous les trafics, drogue, arme, prostitution, organes) est le moyen de justifier l’avènement d’un corps mondial de journalistes justiciers, chevaliers blancs de la maçonnerie chargés de pister les noirceurs de la Haute Finance.
L’argent de la Haute Finance intéresse la maçonnerie
Car, dans l’imbroglio des procédures lancées contre les paradis fiscaux, c’est bien elle, la Haute Finance, qui est la cible de l’appareil de surveillance patiemment construit par la maçonnerie mondiale pour prendre la maîtrise des flux financiers. L’OCDE, l’UE, l’ONU, et d’autres institutions internationales sujettes à l’influence de la maçonnerie ont chacune leur liste de paradis fiscaux, qui, bien que non définis légalement, sont leurs bêtes noires. On estime couramment que cinquante pour cent des flux financiers passent par ces paradis fiscaux, des fuites énormes qui échappent au contrôle des Etats normaux et des organisations internationales, d’où un manque à gagner incalculable.
Alors que la chasse aux activités criminelles ou délictuelles est l’objectif avoué, le véritable souci est de retrouver la maîtrise de cet argent – et surtout du pouvoir qui l’accompagne. Cela, bien sûr, au détriment de la Haute Finance internationale, qui n’a bâti ses fortunes et ne les maintient qu’en échappant à l’impôt – le plus souvent par l’anonymat que les montages off-shore permettent. Les fuites organisées par le vol des fichiers du cabinet de Panama provoquent à juste titre un scandale médiatique mondiale, mais leur vraie cible est sans ambiguïté la Haute Finance, que la maçonnerie entend mettre au pas dans son projet de gouvernance globale : l’argent sera le moyen du mondialisme, non son dirigeant, et les marchés n’en seront pas les maîtres, juste les contremaîtres.
Pauline Mille
Source: Montages off-shore : fuites et scandale mondial à Panama. La Maçonnerie se paie la Haute Finance, 4 avril 2016 16 h 11 min·
Source : Un quatuor maçonnique de bon augure, Blogs.l'express.fr, le 20 janvier 2016 9H56 | par François Koch http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/2016/01/20/un-quatuor-maconnique-de-bon-augure/
"Avec quatre obédiences, donc, étaient rassemblés près de deux-tiers de la franc-maçonnerie (116000 frères et sœurs sur 178000, selon mes statistques sur 23 obédiences). Elles seraient prêtes à réfléchir ensemble pour une «refondation de la République». Refondation? Ce n’est ni une Révolution, ni une réforme, mais re-bâtir, a exposé Jean-Michel Dardour, le président de FM&S. Une nécessité, a confirmé Daniel Keller, qui voit dans notre époque des similitudes avec la fin du Moyen Âge, où «la politique se fait de plus en plus au jour le jour, avec un gouvernail sans pilote». Et un message pour François Hollande!"
On a vu qu'en réalité il y a des similitudes non pas avec la "fin du Moyen Âge" (qui se situe vers 1453 et marque le début de l'Etat "moderne") mais avec le Xe siècle, où les invasions, la décadence et la défaillance de l'autorité publique carolingienne ressemblent étrangement à la situation actuelle de renonciation des autorités à défendre la sécurité les populations. Un pays - ils le disent eux-mêmes - où la politique se résume à un "gouvernail sans pilote", "un message pour François Hollande".
"Et les idées ont fusé, sur l’éducation et la solidarité, notamment. Daniel Keller propose que «l’Education soit une Grande Cause Nationale», avec un ministre pour 5 ans minimum, ou un Premier ministre en charge de l’Education nationale. Pour y parvenir, il veut «convoquer les républicains des deux rives». Marie-Thérèse Besson souhaite pour les politiques la limitation de la durée des mandats, leur non-renouvellement et le non-cumul."
"«L’Etat Providence est en bout de course», lance Daniel Keller qui demande que soit étudiée la question du revenu d’existence. Pour Madeleine Postal, la Solidarité est humaine, pas seulement financière: «Il fait changer le regard sur l’étranger, présenté comme un bouc émissaire». Et Marie-Thérèse Besson de raconter son voyage à Grande-Synthe, près de Dunkerque : «2500 personnes vivent dans la boue, avec des bébés et des enfants. C’est une porcherie. C’est une honte. Je propose que les quatre obédiences aient une action commune face aux pouvoirs publics afin que ce camp soit asséché, avec l’installation de toilettes et la distribution de repas.» la Grande Maîtresse ajoute que son obédience aide Gynécologues sans frontières."
Aucun mot pour les peuples de France laissés à l'abandon face par exemple à la politique de peuplement, politique d'abandon de Manuel Valls.
"Il a flotté au cours de cette réunion nous dit-on, un parfum d’unité, comme si la franc-maçonnerie allait pouvoir parler d’une seule voix. «Nous souhaitons une grande ouverture dans les relations interobédientielles», a lancé Philippe Charuel, fidèle à la nouvelle politique de la GLDF depuis son arrivée la Grande Maîtrise. «Je souscris à l’unité des quatre obédiences, à des projets communs, à des rencontres avec les politiques afin de leur dire ce que l’on pense», a renchéri madeleine Postal, précisant qu’elle aussi ira à Grande Synthe.
"«L’âge moyen des francs-maçons augmente.»
Il reste un petit problème à régler. Comme le reconnaît avec franchise Philippe Charuel, «les francs-maçons n’ont jamais été aussi nombreux, mais leur âge moyen augmente». 58 ans au GODF, car on y entre en moyenne à 45 ans. «Je vais aller dialoguer avec les jeunes dans les quartiers», annonce Keller. Charuel veut, lui, s’associer avec des jeunes qui ont des perspectives d’avenir pour atteindre ceux qui n’en ont pas. Une opération commune avec la GLFF.
Un «Bal des Obédiences.»
Nous l’avons compris, les quatre hauts dignitaires ont insisté sur ce qui les unis. Nous verrons si cela se concrétise dans l’action. Et si d’autres grandes obédiences les rejoignent : GLNF, GLAMF, GLTSO, GLMF ou GLMU. Très en forme, Marie-Thérèse Besson a même proposé, en conclusion de cette très sérieuse rencontre, un «Bal des Obédiences». Et Daniel Keller de lui promettre la première danse. Le réchauffement interobédientiel est vraiment dans l’air. Quasi collé-serré."
(Fin de citation)
Dans la video « Gustave Flaubert et le Grand Orient » (à partir de 10:04), Olivier Roney, interrogé par Eric van Den Baivère de la Librairie "Notre Dame de France", au sujet du premier tome de son ouvrage sur « Flaubert et le Grand Orient de France », retrace rapidement une histoire, peu connue, celle des liens entre le pouvoir et la franc-maçonnerie en France depuis Louis XV, liens toujours aussi puissants sans jamais que l'exigence démocratique ne puisse réellement contrôler qui fait quoi (inexistence de toute déclaration d'appartenance à la franc-maçonnerie devant la dite "représentation" du peuple ou "Parlement")
Il ne faut pas s'étonner aujourd'hui des conséquences concrètes du verrouillage politique réalisé par la franc-maçonnerie sur la vie des Français, en termes de diminution de nos droits et libertés, de trucages des votes, de mépris des voeux réels du peuple, d'accroissement des écarts de richesses et des inégalités, de disparition de la culture, d'augmentation de l'illetrisme, de la baisse du niveau scolaire au palmares mondial, de l'ascenseur social en panne (enquête PISA), de dévoiement des valeurs et des principes millénaires qui ont fondé la France, ainsi qu'en terme de "changement de civilisation" souhaité par les élites oligarchiques [1], afin que la consommation tourne au mieux et conduise le peuple au "bonheur".
Extrait:
"Louis XV entre en conflit avec la Couronne d'Angleterre quant à la Succession de la Couronne d'Autriche. Cette lutte politique entre la France et l'Angleterre va, au bout du compte, faire que Louis XV va interdire une maçonnerie, qui est une maçonnerie anglaise et qui s'appelait la 'Grande Loge de France'. Pourquoi ? Parce qu'il s'est aperçu qu'il y avait à travers cette maçonnerie anglaise des attaques du royaume de France qui avaient été mises en place. On retrouve cet épisode dans le livre d'Alexandre Dumas, Joseph Balsamo (1853). Malgré tout, le système maçonnique étant un système de contrôle du peuple, il a été favorable à la reconstruction d'une franc-maçonnerie 'française' (les guillemets sont de nous. Ndlr.) et cette maçonnerie française va s'appeler le 'Grand Orient de France'.
Alors qui va diriger le 'Grand Orient de France' ? C'est tout simplement les cousins. C'est la Cour de Versailles. C'est les Montmorency-Luxembourg, le duc d'Orléans, Saint-Simon. Grâce à ce réseau qu'il reconstruit avec ses cousins, il va pouvoir contrôler et être informé de ce qui se passe dans le pays, maîtriser le royaume. A partir de là on peut se poser la question de la vraie utilité de la maçonnerie pour le pouvoir.
Et on a un autre épisode très intéressant, (celui) des manigances du
Alors, c'est vrai que Louis XVI, à cette époque, n'était pas très vigilant de ce qui se passait. Cela a donc donné carte blanche au duc d'Orléans pour déstabiliser le pays. Sauf que cela a dérapé. Et l'on est arrivé au moment de la Terreur, où les bourgeois et les aristocrates se sont retrouvés eux-mêmes très rapidement sous le couperet de la guillotine (dans un processus bien défini par l'historien Patrice Gueniffey reprenant le concept de "radicalisation cumulative du discours" à Hans Mommsen dans "Le National-Socialisme et la société allemande, Paris, Fondation de la Maison des sciences de l'homme, 1997, p. 67-99. Ndlr.) [2]
Ce qui a d'ailleurs décidé Talleyrand à en finir avec Robespierre. Talleyrand, c'est un franc-maçon, un des principaux dirigeants du 'Grand Orient de France' à cette époque et il va s'organiser pour en finir avec Robespierre. Donc, la franc-maçonnerie (après l'avoir ouverte: 80% des guillotinés était des petites gens. Ndlr.) va mettre un terme à la Terreur et tout, doucement, reconstituer le tissu social qui avait été en quelque sorte malmené.
On arrive avec Bonaparte. De nouveau, qui va être à la tête du 'Grand Orient de France' ? Son frère. Puis, sous Napoléon III, qui encore une fois sera 'Grand Maître du Grand Orient de France' ? Lucien Murat, un cousin de Napoléon III. Et comme cela ne se passe pas très bien avec Murat, il va le remplacer par un Maréchal, le Maréchal Magnan, qui n'étant pas maçon, va être 'initié' en 48 heures et nommé d'office 'Grand Maître du Grand Orient de France'...
Arrive -ce qui est le plus étonnant-, au moment de la Commune, on nous fait croire que la franc-maçonnerie s'est levée avec le peuple pour organiser une révolution. Mais c'est faux, parce que nous avons à ce moment-là, sous Thiers (2e président de la IIIe république 1871-1873), un 'Grand Maître du Grand Orient de France', qui s'appelle Laribière, qui au moment de la Commune s'est tout de suite rangé aux côtés de Thiers, puisque de toutes façons, c'est Thiers qui tenait la franc-maçonnerie. Et les malheureux dissidents francs-maçons qui sont restés sur les barricades, ceux qui n'ont pas été tués par les balles des soldats, ont été dénoncés et livrés à Thiers, qui les aura par la suite faite exécuter ou déporter. Donc la franc-maçonnerie à cette époque-là, a été contre la Commune et aux côtés de Thiers dans cette guerre civile.
Et l'on s'aperçoit au bout du compte, que la franc-maçonnerie et l'Etat, c'est la même chose.
L'affaire des fiches qui aura lieu au début du XXe siècle, nous montre le fonctionnement de la franc-maçonnerie. Comment ça marche ? Vous avez des loges, à partir de là des travaux, des travaux qui remontent, arrivent dans les mains de celui qui dirige (un président, un empereur, un roi). A partir de là, des actions politiques vont être menées pour conserver la stabilité du pays (ou au contraire précipiter le chaos.. Ndlr.). Donc, la franc-maçonnerie a toujours été un instrument du pouvoir. A partir de là, on peut aussi démystifier cette idée de complot maçonnique, puisque la franc-maçonnerie, c'est l'Etat.
[
]Et c'est parce que Flaubert va être confronté à cela, qu'il va avoir du souci, parce que quand il écrit "Le Candidat" (1874), il attaque le pouvoir. [Add. Ndlr. C'est à cette époque que l'auteur sera confronté aux pires manigances orchestrées par les Franc-Maçon de la très célèbre république des frères. Aujourd'hui on ne peut que constater, avec stupeur, que la censure autour de l'œuvre de Flaubert perdure, derrière le masque de l'élitisme, par cette même obédience, le Grand Orient de France. Source]
... (Et depuis) c'est toujours la même histoire. Et aujourd'hui, il y a deux tendances au 'Grand Orient de France', la tendance proche de Bartolone (Ndlr. Voir ici et là.) et la tendance proche de Hollande. Il y a les hollandistes et les barteloniens. Et bien évidemment c'est la mouvance hollandiste qui tient le 'Grand Orient de France', puisque Daniel Keller est proche du président la république.
Encore une fois, on est sur le même schéma.
(Dans Le Candidat), Flaubert attaque l'hypocrisie, la sournoiserie des politiciens. En 1874, à un an de l'amendement Wallon (qui définit la nature du régime politique comme une "république"), Flaubert met directement en cause le système. Il continuera jusqu'à quelques mois avant sa mort, puisqu'à ce moment-là, Zola songeait à un journal et il voulait avec Maupassant, écrire un certain nombre d'articles, dont le thème était "les tyrans du XIXe siècle".
Il (Flaubert) mettait en cause les grands responsables, qui étaient les hommes de finance. Il attaquait les élus, mais aussi ceux qui les financent. De cette dernière partie de son travail, il dira en montrant du doigt la maison Rothschild : 'Les misérables sus sommés -les Rothschild- ont fait verser plus de larmes que Waterloo et Sedan.' Donc là, il est en confrontation directe avec cette bourgeoisie rouennaise - donc les grands financiers qui sont chapotés par Rockefeller et Rothschild -, le 'Grand Orient de France' étant, entre guillemets, racheté par ces grandes puissances financières.
Alors naturellement, cela lui a causé un certain nombre de problèmes financiers qui le pousseront jusqu'à la ruine. On peut aller jusqu'à se poser la question de savoir si on l'a pas un peu aidé."
"Puisque Flaubert meurt dans la misère, en 1880", précise
Olivier Roney a présenté son livre "Gustave Flaubert et le Grand-Orient de France" sur Tv-Libertés, dans l'émission Perles de Culture, présentée par Anne Brassié :
Extrait (à partir de 12:28):
"Au milieu du XIXe siècle, on est confronté à un phénomène qu'ils appellent le phénomène des Contre-Lumières, cela signifie que la franc-maçonnerie n'a plus véritablement de volonté spirituelle, mais prend fondamentalement une dimension économique. Et donc ce sont les industriels qui s'emparent de ce réseau (de la franc-maçonnerie) pour instaurer une forme d'emprise sociale. Et la franc-maçonnerie à ce moment-là devient politique. Et donc à l'époque (on est après la guerre de 1870), avec le pétrole, on a à la tête de la franc-maçonnerie des hommes d'affaires qui sont très puissants.
Anne Brassié, citant Flaubert dans le livre d'Olivier Roney, explique que "le constat de Flaubert est très violent" :
"De temps à autres, dans les villes, j'ouvre un journal. Il me semble que nous allons rondement, nous dansons non pas sur un volcan, mais sur la planche d'une latrine qui m'a l'air passablement pourrie. La société prochaine ira se noyer dans la merde de 19 siècles et l'on gueulera raides."
Olivier Roney explique alors qu'à ce moment-là (fin XIXe siècle),
"la culture, ce n'est pas bien. Il faut surtout ne pas parler de culture. Donc, pas de latin, pas de grec. Il faut que les gens restent suffisamment stupides et abrutis pour pouvoir bien consommer. Aujourd'hui, on est dans cette situation-là, et on peut se retrouver dans la phrase de Gustave Flaubert." (Fin de citation)
Dans un entretien à BTLV, Olivier Roney explique :
"C'est l'Oligarchie qui décide de contrôler la connaissance, qui décide de dire ceci ou de ne pas dire cela.
...On est carrément là-dedans, et à Rouen, encore une fois, oui. Parce que là, quand moi j'ai présenté une exposition sur le voyage en Egypte au Musée Flaubert, dès que j'ai commencé à m'intéresser à la franc-maçonnerie de Gustave Flaubert, alors là, cela a été une omerta totale, interdit de subvention ou de quoique ce soit.
Il y a aussi un maillage politique fabiusien qui vous empêche de bosser même pour la petite ville du coin parce que le maire est socialiste et qu'ils sont tous pour un et tous pourris... On est verrouillé."
Notes
[1] Mariage homosexuel: "une réforme de civilisation" pour Christiane Taubira", Publié le 07-11-2012 à 11h40
[2] "La 'Révolution' échappe en effet à toute définition stable. Elle est la promesse vague de liberté et de bonheur qui ouvre un espace infini aux spéculations. Il ne peut exister sur ces questions (d'ordre métaphysique, Ndlr.) aucune définition qui fasse autorité. Sitôt formulée, toute définition de la révolution s'expose à la concurrence d'autres définitions qui en approfondiront la nature et en radicaliseront les objectifs. Là réside le moteur de la dynamique révolutionnaire qui, d'outrance en surenchère dans la définition des fins et le choix des moyens, conduit inexorablement à travers un processus de radicalisation cumulative du discours, à la violence." (Patrice Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 230.)
Le Valais Suisse renforce la transparence démocratique en imposant aux magistrats francs-maçons de déclarer leur appartenance maçonnique :
Justice et franc-maçonnerie: mais qui a peur de la transparence?
Doit-on imposer aux magistrats de l’ordre judiciaire et du ministère public du canton du Valais l’obligation d’annoncer leur éventuelle appartenance à une société secrète, comme le suggère une motion UDC adoptée au Grand Conseil valaisan. La réponse de Jean-Luc Addor, conseiller national UDC de Savièse
Cette question a agité le monde politique valaisan cet automne. En septembre, le Grand Conseil, traitant alors des liens d’intérêts que les députés doivent indiquer, a refusé à une majorité de deux voix (et cinq abstentions…) une proposition pourtant soutenue par son Bureau d’étendre l’obligation d’annonce à l’appartenance à un club service ou une loge maçonnique. En novembre, malgré l’opposition d’une alliance du PLR et de la gauche, une majorité UDC/PDC a en revanche accepté clairement une motion UDC pour une transparence complète dans l’indication des liens d’intérêts.
[...] L’UDC ne méconnaît pas l’enseignement de l’Eglise catholique, qui considère l’appartenance à une loge comme incompatible avec l’enseignement chrétien. Elle dont les statuts se réfèrent expressément au droit naturel et chrétien, n’ignore pas que l’ésotérisme de l’idéologie maçonnique, avec les rites initiatiques qui l’accompagnent, le primat et l’autonomie proclamés de la raison par rapport à toute vérité révélée, entre autres, ne correspondent pas à cet enseignement. Toutefois, la motion UDC, loin de faire la fixation que d’aucuns lui prêtent sur la franc-maçonnerie, a voulu appréhender des problématiques qui vont au-delà et qui touchent au fonctionnement de l’Etat et particulièrement de cette institution essentielle qu’est la Justice: celle de la transparence et des sociétés secrètes, ce que les loges sont incontestablement (essayez simplement de demander à un maçon la liste de ses «frères» ou l’accès au rituel d’initiation…).
La transparence est dans tous les discours, à commencer par ceux de la gauche. Elle est également consacrée par la loi, qui en fait un principe fondamental de l’activité de l’Etat. Elle en garantit en effet la crédibilité. Il ne s’agit pas de mettre tout le monde à nu, mais simplement de faire en sorte que les élus et les magistrats agissent en pleine lumière; dans ce sens, il est bon que les citoyens connaissent les intérêts et – c’est le sujet – les fidélités qui lient leurs représentants. Or, en Valais, l’obligation d’indiquer les liens d’intérêts n’incombe en l’état qu’aux députés et aux conseillers d’Etat. Et dans un contexte où la Justice valaisanne fait face à certaines critiques, à l’heure où le Valais se dirige sans doute vers la création d’un conseil de la magistrature, l’UDC, suivie par le Conseil d’Etat et par le PDC, estime normal que cette obligation d’annonce soit étendue aux magistrats de l’Ordre judiciaire et du Ministère public.
[...] le fait, pour un magistrat, d’appartenir à une société secrète, d’être lié par un serment obscur, c’est la quintessence de l’opacité, une opacité que le procureur français Eric de Mongolfier a dû affronter lorsqu’il a été envoyé au Parquet de Nice, alors réputé pour ses collusions maçonniques. C’est cela que l’UDC veut éviter, dans l’intérêt des citoyens, des justiciables qui ont droit à une Justice réellement indépendante et crédible.
Car enfin, qui a peur de la lumière? Ou peut-être, qui a intérêt à travailler dans l’ombre?
A quand la même chose en France et la déclaration officielle des lobbys maçonnique devant la représentation "nationale" ?
Ca sentait la franc-maçonnerie derrière l'acharnement de Valls et de l'appareil de parti du PS contre l'élu régional PS Masseret qui refuse de se désister aux Régionales avec des motifs solides de pluralisme des voix dans notre société que l'Oligarchie monopolistique refuse (tout en s'étonnant de la montée de l'abstention...) Il ne faudra pas s'étonner ensuite de la rupture de la base et de l'appareil dirigeant complètement déconnecté des réalités du terrain, en complète autarcie - refusant toute autocritique après une gifle électorale -, la sécession des gens qui n'en peuvent plus de cette manière de faire la politique et de cette magouille politicienne qui, en outre, depuis trente ans, n'a fait que faire monter le FN...
C'est confirmé :
Source: Grand Orient de France demande au PS Jean-Pierre Masseret de se retirer, BfmTv, 08/12/2015 à 16h52
. Mode de scrutin : ils ont changé les règles du jeu, ils risquent d'être éliminés
Rappel de propositions : Un mix de monarchie et de démocratie (tirage au sort ou suffrage universel au sein des "corporations libres", élections dans chaque village). Monarchie et démocratie n'étant pas antinomiques, depuis 3000 ans et nos ancêtres les Gaulois, la souveraineté monarchique en France émane de la souveraineté d'un peuple libre qui comprend qu'un roi sans liens (ab-solu) indépendant des lobbies, peut rendre à notre pays sa liberté.
Contre l'"âge des ombres", nous proposons d'instaurer immédiatement la transparence comme exigence démocratique avec une déclaration officielle des lobbys maçonnique devant la représentation parlementaire.
Le journaliste et éditeur Jean Robin est déjà l’auteur de plus d’une trentaine de livres. Habitué à l’investigation, il s’est attelé à rédiger Le livre noir des francs-maçons qu’il a sous-titré Affairisme, complots, influence occulte et antidémocratique, etc. Tout un programme !
Ce livre débute par une série de rappels historiques au sujet de la franc-maçonnerie en France. Jean Robin s’attarde sur la seconde guerre mondiale. Il est bon de savoir, par exemple, que 96 parlementaires francs-maçons sur 116 ont voté les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain.
Au chapitre Affairisme l’auteur égrène une litanie de scandales récents impliquant des francs-maçons de toutes obédiences.
Jean Robin aborde également les liens entre Force Ouvrière et la franc-maçonnerie et dresse une liste de personnalités politiques, de journalistes, d’écrivains, de syndicalistes, d’industriels, en précisant l’appartenance maçonnique de chacun. La longue liste de francs-maçons condamnés vient compléter cette galerie de portraits.
Riche en citations, cet ouvrage démontre aussi les liens entre franc-maçonnerie et satanisme, examine les réseaux maçonniques au sein de la police ou encore dans le monde du sport.
Enfin, Jean Robin conclut par des informations sur divers scandales maçonniques à travers le monde, comme une confirmation d’une quasi marque de fabrique propre à ces forces occultes à travers le temps et à travers les lieux.
Le livre noir des francs-maçons, Jean Robin, éditions Tatamis, 204 pages, 16 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
Le Parlement du canton du Valais envisage d'obliger les élus membres d'une loge maçonnique à "annoncer une telle appartenance".
Le bureau du Grand Conseil (Parlement) du canton du Valais doit proposer une modification de son règlement introduisant une obligation pour tout élu franc-maçon de se dévoiler. L'information, publiée la semaine dernière dans Le Nouvelliste, le quotidien de Sion, révèle que cette initiative a été prise par les démocrates-chrétiens, la principale formation du canton, et l'Union démocratique du centre, un parti d'extrême droite comme son nom ne l'indique pas. Canton bilingue de 330 000 habitants, le Valais est l'une des régions les plus catholiques de Suisse. Dans les écoles, un crucifix est accroché au-dessus du bureau de l'enseignant.
C'est d'ailleurs en Valais que monseigneur Marcel Lefebvre, fondateur de la Fraternité Saint-Pie X, a installé le séminaire international d'Écône. En 1988, il y sacrait quatre évêques traditionalistes sans l'aval de Rome. Ce qui lui avait valu une excommunication [depuis levée par Benoît XVI. NdCR.]. Cette proposition du bureau du Grand Conseil valaisan vise tout particulièrement la Grande Loge suisse Alpina, reconnue par la Grande Loge d'Angleterre, la principale obédience helvétique, dont les effectifs sont estimés entre 4 000 et 5 000 membres.
« Si cette loge maçonnique était vraiment sans danger, pourquoi est-elle si secrète ? » interroge un lecteur du Nouvelliste, tandis qu'un autre imagine des connexions entre la maçonnerie et des « managers de vin du Valais ». Le canton, réputé pour son vin blanc, a été éclaboussé récemment par un scandale touchant un très important vigneron.
D'autres, en revanche, ironisent en réclamant que les homosexuels soient également obligés de se dévoiler [sauf que les homosexuels n'échangent pas de serment de secret et d'entraide. Cf. Sophie Coignard: "un Etat dans l'Etat". NdCR.]. « Ils se tiennent certainement les coudes entre eux, non ? » « Et pourquoi pas les députés qui trompent leur conjoint ? » s'amuse un autre lecteur. Si les obédiences maçonniques, traditionnellement très discrètes en Suisse, n'ont pas réagi, en revanche, Jean-Noël Cuénod, journaliste et franc-maçon, est monté au créneau. « C'est dans les régions où les étrangers sont les moins nombreux que l'on vote le plus xénophobe. [...] C'est dans un canton où il y a peu de francs-maçons, le Valais, que l'on s'apprête à prendre contre eux des mesures discriminatoires », s'étonne-t-il.
Rédacteur en chef du mensuel La Cité (et ancien correspondant de La Tribune de Genève à Paris), Jean-Noël Cuénod ne cache pas son appartenance à la loge La Constance à Aubonne, en Suisse, et à La Pensée écossaise, au Grand Orient de France, à Paris. Sur son blog, intitulé « Un plouc chez les bobos », le journaliste écrit le 7 septembre que la proposition valaisanne constitue une « violation de la Convention européenne des droits de l'homme, signée et paraphée par la Suisse »
« La Franc-Maçonnerie n'a plus l'impact ni l'influence qu'elle a pu avoir autrefois sur la société ».
J'apprends à l'instant le décès d'Emmanuel Ratier dont je me suis toujours bien gardé de rapporter les informations. Paix à son âme.
"Emmanuel Ratier est décédé mercredi à l’âge de 58 ans d’un accident cardiaque." [1] Le décès d’Emmanuel Ratier est survenu hier, mercredi 19 aout 2015, et à notre connaissance, l’information est venue en premier lieu du carnet de Thibault de Chassey. Puis c’est Contre-info qui a repris, Panamza, FdeSouche, Égalité & Réconciliation, Breiz-info, Paul Eric Blanrue, Jeune Nation, Médias-Presse.info et bien d’autres… [2]
Attendons d'en savoir plus sur ce décès.
Pour quelles raisons me suis-je toujours méfié de ce journaliste bien en vue dans les milieux dits "patriotes" nationaux ?
En 2005, j'avais réalisé un article sur Christ-Roi.net à ce sujet pour critiquer selon laquelle "la Franc-Maçonnerie n'a plus l'impact ni l'influence qu'elle a pu avoir autrefois sur la société." J'avais pensé à l'époque pouvoir laisser à Ratier le bénéfice d'une erreur grossière sur ce sujet sensible.
Toutefois, compte tenu de l'augmentation de l'audience de ce journaliste dans les milieux catholiques nationaux, j'avais fait une recherche dont j'avais conservé le résultat, au cas où. On retrouve sa position trouble sur la franc-maçonnerie dans l'émission Le Libre Journal de Jean-Gilles Malliarakis sur Radio Courtoisie enregistrée le 22 septembre 2005, diffusée le 23 et le 24 septembre 2005), dont le sujet était « La crise actuelle de la franc-maçonnerie. Alain Bauer : escroc ou tocard ?». Cette émission de Radio Courtoisie était réalisée à l'occasion de la sortie du livre d'Alain Bauer « Le Crépuscule des Frères, La Fin de la Franc-Maçonnerie? », Editions de La Table Ronde (1 sept. 2005). Selon Alain Bauer, cité dans cette émission, la franc-maçonnerie serait « en crise ». Jean-Gilles Malliarakis se tourna alors vers son invité Emmanuel Ratier, journaliste auteur de la revue « Faits & Documents » [3], pour lui demander : « pourquoi et en quoi peut-on parler – et certains en parlent sans point d'interrogation - d'une crise au sein des principales obédiences maçonniques françaises ?». Pour Emmanuel Ratier,
« pour la couverture du livre, en réalité le plus important c'est le point d'interrogation, c'est-à-dire que quand on a des invitations de personnalités – qu'elles soient francs-maçonnes ou non – en loges, où elles vont délivrer une "planche", ... pratiquement à 90%, il y a toujours un point d'interrogation.
… Là il (Alain Bauer) ne s'engage pas du tout, il dit "la fin de la franc-maçonnerie", point d'interrogation.
Si il était un peu courageux, il ne mettrait pas de point d'interrogation » (au titre de son livre), affirmait Emmanuel Ratier.
« Je pense qu'il (Alain Bauer) a fait le tour de franc-maçonnerie et qu'il pense à autre chose. Il a essayé de l'instrumentaliser en partie à son profit pendant qu'il y était Grand maître, il a en partie réussi. Et puis il est parti et à nouveau c'est retombé dans la médiocrité et le néant en matière d'influence politique à haut niveau », ajoutait Emmanuel Ratier.
Selon Ratier, dans cette émission en 2005, la franc-maconnerie est « en crise », « en déliquescence ». Il y expliquait que
« la fraternelle la plus efficace actuellement à Paris s'appelle "les enfants de Cambacérès", qui regroupe des francs-maçons homosexuels ».
Emmanuel Ratier était présenté dans cette émission par Malliarakis comme connaissant « le sujet » de la franc-maconnerie « au moins aussi bien que » (Alain Bauer)... Alain Bauer est un franc-maçon du Grand Orient de France.
n se demande pourquoi ?L'émission est écoutable ici :
http://www.dailymotion.com/video/xev9ft_alain-bauer-le-crepuscule-des-frere_news
Pour soutenir sa thèse selon laquelle la franc-maçonnerie aurait une « moindre influence » (sic), Ratier fit une différence parmi les loges maçonniques entre la «Grande loge nationale française» et le «Grand Orient».
Le Grand Orient, « cette forme de franc-maçonnerie a échoué dans les autres pays, même en Afrique. Je dirais que la crise du Grand Orient s'inscrit dans la crise d'autres mouvements du même type. En fait, c'est-à-dire des espèces d'associations fermées. »
Il évoqua la « courbe vieillissante » des membres la franc-maconnerie pour en expliquer la crise :
« Le B'Naï B'Rith connaît une crise depuis plusieurs années, tout simplement parce que les gens ont vieilli. Le problème du Grand Orient de France c'est que les gens ont totalement vieilli. C'est d'ailleurs pour cela qu'au convent de septembre (2005, Ndlr.) ils ont décidé de baisser la capitation, c'est-à-dire la cotisation qui doit être à peu près de l'ordre de 350 euros par an. Plus l'initiation : plus on montre dans les grades, plus il faut de matériel et s'équiper. Donc c'est très coûteux », expliquait Emmanuel Ratier.
... Dans les grades supérieurs, on est obligé de changer de tablier, de couleurs. On a une épée, un chapeau, des livres, Il y a des livres, des rituels. A chaque fois on est obligé d'acheter autre chose. Donc à chaque fois il y un coût réel et ce qui fait que quelqu'un qui a entre 18 et 25 ans et même 30 ans, cela peut lui faire un coût trop élevé, … C'est une des raisons pour laquelle ils ont un problème de recrutement ».
« On est passé de 40 à 55 ans en moyenne », ajoutait-il.
(Il s'agit d')« Une association de seniors de plus de 60 ans », « en France on adhère de moins en moins à une association », « les manifestations syndicales » n'attirent plus personne « parce que cela n'intéresse plus les gens, la politique », affirma-t-il. On se demande pourquoi Ratier fait de la publication d'informations politiques son travail si la politique n'intéresse plus personne ?
« La tentative d'Alain Baueur a été de rendre du lustre au Grand-Orient de France et d'en refaire une puissance influente », expliquait Ratier.
Jean-Gilles Malliarakis lui répondit : « mais elle est très influente, c'est là où je ne suis pas d'accord avec vous ».
article « Dieudonné serait-il franc-maçon ? » publié sur le site Alyaexpress-news, le 1er janvier 2014,
selon l'Emmanuel Ratier
a été membre d’une loge maçonnique se rattachant à l’obédience de la Grande Loge nationale française, versée dans l’ésotérisme.Cette appartenance maçonnique de Ratier expliquerait sa connaissance de la franc-maconnerie "au moins aussi bien que" Alain Bauer.
etombée "dans la médiocrité et le néant en matière d'influence politique à haut niveau
En août 2013, un grand maître" franc-maçon affirmait que le "mariage pour tous" était une disposition adoptée en loges par le Grand Orient.
Notes
[1] Décès d'Emmanuel Ratier, documentaliste de l'extrême droite, Libération, Dominique ALBERTINI 20 août 2015 à 12:45
[2] http://quenelplus.com/a-la-une/mort-du-dernier-veritable-journaliste-emmanuel-ratier.html
[3]
Le gouvernement du Pays de Galles s’apprête à évincer les cours d’éducation religieuse et à interdire l’enseignement du christianisme dans les écoles afin « de relever le défi de la cohésion communautaire » et de « l’extrémisme ».
Le ministre gallois de l’Education Nationale, Huw Lewis, a affirmé devant le parlement gallois : « J’ai l’intention que nous rebaptisions l’éducation religieuse et que nous la transformions en un cours de religion, de philosophie et de problématiques éthiques – dans lesquel il y aurait un engagement explicite à laisser les enfants travailler sur les questions éthiques et la citoyenneté pour leur permettre de réfléchir sur ce que signifie être un citoyen dans un pays libre. »
A la fin du mois de juin, une « étude indépendante des programmes et des engagements au Pays de Galles » du professeur Graham Donaldson, un ancien inspecteur de l’éducation nationale, a recommandé que les écoles galloises fassent de leurs élèves des « citoyens du monde informés et ‘éthiques’ ».
Avant le Pays de Galles, c’est la Grande-Bretagne qui voulait interdire l’enseignement du christianisme
Quelques semaines plus tôt, un rapport avait également examiné le rôle de la religion dans le cursus britannique. Les conclusions de ce rapport recommandent que le temps d’adoration soit supprimé et que les cours d’éducation religieuse soient dispensés à la maison ou le week-end, c’est-à-dire en dehors des écoles.
Le président de la Campaign For Real Education, Chris McGovern, un enseignant de 35 ans qui a participé à l’élaboration de la réforme de l’éducation, a mis en garde contre une « grave erreur » : « La chrétienté a sa place dans chaque école. Vous ne pouvez appréhender aucun aspect important de la civilisation occidentale – que ce soit l’art, la culture, la musique, les institutions religieuses ou politiques – sans comprendre la chrétienté (…) C’est fondamental, cela définit notre société et c’est notre religion nationale. Si vous supprimez la chrétienté, vous supprimez la mémoire nationale et la société en tombe malade. », a-t-il affirmé.
La suppression du christianisme dans les écoles empêche l’intégration et promeut l’extrémisme
Interrogé sur le fait que les rapports préconisent la suppression de l’enseignement religieux chrétien pour lutter contre le communautarisme et l’extrémisme, il ajoute : « Je pense qu’ils ont fait ce lien simplement parce que certaines minorités non chrétiennes pensent qu’elles n’ont pas besoin d’apprendre ce qu’est la chrétienté. En réalité, c’est le contraire qui est vrai. Puisque la chrétienté définit notre société, c’est le moyen d’intégrer les plus jeunes dans la société britannique (…) Sinon, vous aurez des ghettos éducatifs dans lesquels les enfants n’auront pas accès à la philosophie de notre civilisation. »
Pour illustrer son propos, Chris McGovern a exposé l’exemple historique de sociétés athées militantes telles la Chine maoïste, l’Empire soviétique ou l’Allemagne nazie.
Il met en garde : « Le gouvernement britannique a un nouvel agenda appelé ‘les valeurs britanniques’. Nicky Morgan (député et secrétaire d’État à l’éducation) a changé les règles et les nouvelles ‘valeurs’ que les écoles sont obligées de promouvoir sont la tolérance de toutes les idées et l’acceptation du point de vue de quiconque ne serait pas d’accord. Cela semble convaincant, mais c’est une forme de relativisme. Les enseignants sont obligés de placer des valeurs extrémistes sur le même plan que des points de vue plus raisonnables. Je l’ai vu moi-même dans certaines écoles. C’est dangereux ; cela prive les enfants d’un accompagnement moral réel et peut donc servir à promouvoir l’extrémisme et le manque de cohésion communautaire que le gouvernement tente de contrer ».
Cette mise en garde a déjà montré sa légitimité au vu de l’accroissement de l’extrémisme laïciste ou islamiste dans les sociétés occidentales.
L’Association des humanistes britanniques a déclaré, par la bouche d’un de ses militants en charge de l’éducation : « La philosophie et l’éthique ont été longtemps été négligées dans les écoles et il est très encourageant de voir que le gouvernement gallois est également de cet avis. Nous n’avons que peu de détails et nous devons éviter de spéculer sur les conséquences pratiques de ces réformes. Ce que nous ne voulons pas voir, naturellement, c’est une dilution de l’enseignement que les enfants reçoivent sur les croyances – religieuses ou non – des autres [nous soulignons]. L’éducation joue un rôle essentiel dans la cohésion sociale et dans l’éducation littéraire, historique et culturelle. »
Et qu’importe les dommages collatéraux, tant que le christianisme est remplacé par des ‘valeurs’ maçonniques.
Béatrice Romée
Source:
Les républiques sont des oligarchies, intervention d'Yves Marie Adeline, sur le plateau de TV Libertés.
À force de matraquage, la religion de l’« humanisme » s’est peu à peu imposée comme croyance religieuse. Une récente décision du Bureau américain des prisons vient d’ajouter à sa visibilité.
Est « humaniste » celui qui aime l’Homme et sa nature déchue, à condition qu’il soit sans limite, sans exigence, sans frontière et sans Dieu créateur. L’ « humanisme » puise son idéologie dans les doctrines franc-maçonnes : il rejette le Dieu créateur pour adopter le « paradigme » panthéiste et holistique. En reniant le Dieu créateur, l’humanisme n’abandonne pas l’idée de religion : il la transpose pour faire de l’homme, de l’univers et de l’évolution son Dieu immanent. Il singe le vocabulaire de la religion pour mieux la remplacer.
D’autres branches de la maçonnerie et de l’humanisme se réclament du strict athéisme et de la « pensée rationnelle ». Elles ne sont que l’antichambre des branches mieux « éclairées ».
Il y a peu encore, cette idéologie restait discrète. Ce temps semble révolu : le bureau fédéral américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse parmi d’autres, dont pourront se revendiquer les prisonniers qui le désirent. Ils pourront donc célébrer la « journée de Darwin » et bénéficier des équipements jusqu’à maintenant réservés aux détenus croyants.
Après l’armée, le Bureau des prisons ajoute l’humanisme dans sa liste des croyances religieuses
Le Bureau fédéral des prisons a également consenti à ajouter une rubrique sur l’humanisme dans son manuel sur les croyances et pratiques religieuses des prisonniers. Les autorités des prisons devront désormais prendre en compte les requêtes des prisonniers humanistes : accéder au matériel d’étude, observance des fêtes religieuses, demande de temps ou d’espace pour pratiquer leurs activités religieuses. Il y a un peu plus d’un an, c’était déjà l’armée américaine qui ajoutait l’humanisme à sa liste des croyances religieuses reconnues.
Il est encore impossible de savoir combien de prisonniers s’identifient comme humanistes pour la simple raison qu’ils ne le revendiquaient nulle part. Maintenant qu’ils pourront inscrire ce courant comme préférence religieuse dans les fichiers du bureau des prisons, il sera possible de les compter.
Les prisonniers qui se réclament de l’humanisme pourront désormais fêter la « journée de Darwin »
Cette décision du Bureau des prisons est la conséquence d’une plainte déposée l’année dernière par le prisonnier Michael Holden, soutenu par l’Association humaniste américaine. Cette dernière trouvait anormale que les prisonniers « humanistes » n’aient pas le droit de former un groupe d’étude dans la prison fédérale de Sheridan, dans l’Oregon, alors que les autres prisonniers croyants peuvent le faire.
Michael Holden, emprisonné depuis plus de 10 ans pour un vol à main armé, expliquait en mai 2014 que tous les athées n’étaient pas humanistes mais qu’il souhaitait pour sa part pouvoir pratiquer.
« En tant qu’humanistes, nous croyons que l’humanité a la capacité de transcender nos différences et de trouver un terrain d’entente pour rendre le monde meilleur ». Depuis que la plainte a été déposée, Holden a donc obtenu le droit d’organiser son groupe d’étude, qui pourra durer aussi longtemps qu’il y aura au moins deux prisonniers pour y participer. Il pourra sans doute réfléchir à la manière de rendre le monde meilleur en braquant d’honnêtes gens…
Mais il pourra également fêter la journée de Darwin, le 12 février, jour anniversaire de la naissance du naturaliste. Les humanistes se servent de cette journée pour célébrer les sciences : pour marquer la date, Holden a pensé que les prisonniers pourraient regarder un film et réclamer un repas particulier… À quand la journée mondiale de Darwin, sous l’égide de l’ONU et fériée sur l’ensemble de la planète au nom de l’humanisme ?
Béatrice Romée
Mots-clés : humanisme croyance religieuse prison
Source : Le Bureau américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse, Reinformation.Tv, 31 juillet 2015 20 h 05 min·
Alors que, les années passées, un voile épais était jeté sur les réunions du groupe mondialiste "Bilderberg", les media du grand courant se voient contraints cette année république universelle" démoniaque.
de parler de la "réunion des maîtres du monde" (sic). A n'en pas douter, une consigne a dû être donnée à la réunion Bilderberg 2014 de jouer la carte de la médiatisation dans les media pour la réunion 2015 afin de couper l'herbe sous le pied des personnes dénonçant les complotistes maçonniques mondialistes qui depuis deux cents ans tentent de conduire le monde vers leur "
Cette année, une dépêche Afp sortie d'une arrière loge [1] informe le public français que :
"le groupe Bilderberg réunit tous les ans, les hommes d’influence des continents européens et américains pour discuter des enjeux de notre monde. Surnommée la réunion "des maîtres du monde", le colloque se tient cette année de jeudi 11 à dimanche 14 juin à Telfs-Buchen, près d'Innsbruck (ouest). Ce club secret fermé aux journalistes et où les invités s’engagent à ne pas dévoiler le contenu de leur discussion est cette année présidé par Henri de Castries, PDG de Axa.
Le groupe, dont l'objectif affiché est de "promouvoir le dialogue entre Europe et l'Amérique du nord", confirme la présence de 140 participants issus de 22 pays à sa 63e conférence, qui se tiendra à Telfs-Buchen, près d'Innsbruck (ouest). Cette année, pour la première fois, un communiqué de presse a annoncé la réunion et la liste des participants.
Plusieurs Français assisteront à la réunion 2015 dont le maire de Bordeaux, Alain Juppé..., Laurence Boone, la conseillère économique du président français François Hollande, Jean-Dominique Senard, PDG de Michelin ou Laurent Bigorgne, directeur de l’institut Montaigne.
Des grands patrons seront présents: le PDG de Google, Eric Schmidt, d’Airbus, Thomas Enders, de Goldman Sachs, Robert Zoellick, de Volvo, Svanberg Carl-Henric. Des hommes politiques et présidents de think thank assisteront également aux discussions confidentielles «des maîtres du monde».
La dépêche Afp précise que :
"les thèmes des discussions retenus cette année traiteront de la sécurité, des technologies de l'information et des grands dossiers géopolitiques en cours."
Les thèmes retenus traiteront-ils de la surveillance généralisée par Big brother et de la manière de mater les peuples qui se révolteraient?...
Un exemple caricatural du silence des media alignés les années passées jusqu'ici fut donné par les journalistes Yves Calvi et Jean-François Kahn qui en 2008 dans l'émission "C dans l'Air" ayant pour thème "Qui gouverne le monde?" osèrent déclarer les yeux dans les yeux pour le premier n'en avoir "jamais entendu parlé"..., et "connais pas" pour le second...
Notes
[1]
« Des lois comme l'avortement, l'euthanasie ou le mariage homosexuel ont été étudiées et mûries dans les loges avant d'être votées par les députés », confirme Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon.
Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le raconter. C'est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé aujourd'hui de 60 ans, et qui en a passé 24 au sein d'une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France). Son livre Pourquoi j'ai cessé d'être franc-maçon (Éd. Pierre Téqui) est un témoignage passionnant sur les années que l'auteur a passé dans la franc-maçonnerie. Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s'était éloigné de l'Église), il a compris que la religion catholique et l'idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d'en sortir. Le processus de son retour à la foi a été très long.
Mais ce n'était pas encore la conversion complète …
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. Serge Abad Gallardo: la franc-maçonnerie est une religion qui fait de l'homme son propre dieu
. "La franc-maçonnerie, un chemin incompatible avec la foi chrétienne" (Serge Abad-Gallardo)
. Franc-maçonnerie derrière le "mariage pour tous" : Un "grand maître" franc-maçon avoue !
. Peut-on être franc-maçon et catholique, par le docteur Caillet
Boris le Lay évoque la possibilité d'une mise sur la touche de François Hollande pour 2017 et la mise en orbite de Valls par les réseaux occultes.
Le Front national "dédiabolisé" qui envisage d'exclure le père fondateur [1] est un calque d'une loge maçonnique dont le
Notes
[1] Marine Le Pen a annoncé que le président d'honneur devra se soumettre aux instances disciplinaires de son parti, qu'elle s'opposera à sa candidature en Paca et enfin demandé qu'il démissionne de ses fonctions. (Le Figaro, Jean-Marie Le Pen accuse sa fille de se «soumettre au système, Par Marc de BoniMis à jour le 10/04/2015 à 10:46 Publié le 10/04/2015 à 09:33 )
A propos de la Loi Macron et la disparition des jours fériés catholiques en toute discrétion, on peut dors et déjà avancer que dans quelques mois ou années, les républicains s’empareront de l'amendement à la loi Macron-Rothschild [1] supprimant des jours fériés catholiques Outre-mer pour justifier la suppression de ces mêmes jours fériés chômés ... en France métropolitaine.
La loi Macron et la disparition des jours fériés catholiques
Publié dans Politique, le vendredi 20 février 2015 par Pierre Guillemot
[...] Profitant de l’impasse médiatique sur les débats, six députés des DOM-TOM en ont profité pour déposer un amendement (n° 29-92) visant à ajouter un article à la loi Macron. La fronde parlementaire ayant fait le choix de focaliser une bonne partie de son opposition sur la question du travail le dimanche, même si les raisons n’ont rien à voir avec le respect de la tradition catholique, ces députés ultramarins ont saisi l’opportunité en toute discrétion. L’objet de cet article est de permettre aux préfets de ces territoires de remplacer des jours fériés catholiques par d’autres. Comme il se doit, en bons laïcards ils ont visé le lundi de Pâques, l’Ascension, le lundi de Pentecôte, l’Assomption et la Toussaint.
À l’occasion des discussions concernant cet amendement, Emmanuel Macron a fait part de ses réticences, notamment quant au risque d’inconstitutionnalité, mais en définitive, le texte a été adopté via la procédure du vote à main levée. La liste des jours fériés modifiables a même été quelque peu allongée dans le but de ne plus considérer le 1er janvier et Noël comme jours fériés. Le républicain étant particulièrement précautionneux pour tout ce qui relève de son pré carré, de ses marottes, précaution a été prise afin de garantir que le texte de loi, dans son article 82 bis, précise que les dates du 1er mai, 8 mai, 14 juillet et 11 novembre ne puissent pas être remplacées par un autre jour férié local.
On aurait tort de considérer l’adoption de cet amendement comme une lubie ultramarine, un particularisme local qui ne remettra rien en cause. Ce serait oublier que les républicains ont pris l’habitude de recourir à la méthode des petits pas, autrement appelée « technique de la porte entrouverte ». La mécanique est simple. Plutôt que de risquer une opposition frontale, comme ce fut le cas au début des années 80 lorsque les Français descendirent pour défendre l’école privée, ils font le choix du compromis en faisant adopter un texte qui apparaît comme un compromis censé satisfaire toutes les parties. Mais eux considèrent qu’il ne s’agit que d’une étape. Lorsque le PACS fut adopté, ils avaient tous juré qu’il n’y aurait jamais de mariage homosexuel. La suite, nous la connaissons. Il faut bien avoir à l’esprit que la moindre concession consentie est prise comme une avancée, et que le combat doit continuer pour encore et toujours plus de nouveaux droits et de « progrès ».
Soyez assurés que les républicains dans quelques mois ou années s’empareront de cet amendement adopté pour s’attaquer à l’existence de ces mêmes jours fériés chômés en France métropolitaine.
Pierre Guillemot
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Plutôt que de supprimer des jours fériés catholiques Outre-Mer, il a pu être avancé qu'il eut été préférable d'en créer de nouveaux. Ce qui n'est pas notre position vu que la France est chrétienne et non mondialiste et multiculturelle. Il a aussi pu être envisagé le blasphème d'entre les blasphèmes : supprimer des jours fériés laïques (1er mai, 8 mai, 14 juillet, 11 novembre) pour les remplacer par des jours fériés d'autres religions. Cette pensée blasphématoire a été dès le départ interdite, religion de la république ™, oblige ! Mais ajouter de nouveaux jours fériés chômés, pour les autres communautés et traditions religieuses, eut été tout autant impensable pour les tenants du socialisme pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques ...
Ce lien rapproché, ténu, quasi incestueux, entre le pouvoir et les banksters internationaux, doit être mis en perspective avec le discours de François Hollande candidat à l'élection présidentielle au Bourget le 22 janvier 2012 qui dénonçait le monde la finance : « Mon véritable adversaire n'a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, et pourtant il gouverne (...), c'est le monde de la finance. » Un discours que François Hollande élu s'est empressé de mettre à la poubelle.
: une vieille technique maçonnique.
Redoutable parade à la révélation du secret des francs-maçons vers 1750
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Guerre des Farines - Franc-maçonnerie - Duc d'Orléans
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Ajoutons qu'en 1788-1789, Necker rappelé au trône, eut lieu une flambée des prix agricoles due (dit la légende républicaine) aux mauvaises récoltes. Or une autre réalité a été occultée par nos mystificateurs républicains : la libéralisation du prix des grains et une famine provoquée.
Necker affamera ce peuple pour le forcer à l'insurrection; les frères excitateurs enverront de Paris les harpies des faubourgs demander du pain à Louis XVI.
De retour au trône,
(Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'Histoire du jacobinisme, tome 2, Editions de Chiré, Poitiers 2005, p. 458.)
L'historienne Marion Sigaut a expliqué cette flambée des prix agricoles par l'introduction sous Turgot (1775) de la libéralisation du prix des subsistances et du libéralisme économique. Le plus grand pas qu'ait à faire l'administration vers la régénération du royaume , expliquait Turgot. Le dogme laissez-faire, laissez passer , c'est à ce moment-là que cela se joua. Laisser faire, c'était laisser les ouvriers travailler sans les corporations; laisser passer, c'était laisser passer les marchands et les marchandises.
Vers un cours de citoyenneté à l’école garanti par le Grand Orient ? Le Grand Orient de France a bien l’intention de proposer ses services à Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, qui a annoncé que 1.000 premiers « formateurs » seront préparés avant la fin de l’année scolaire, afin d’ « aborder avec les élèves les questions relatives à la citoyenneté, à la laïcité, à la lutte contre les préjugés ».
Dans son circulaire n°855 daté 23 janvier 2015, le grand Orient de France saute sur l’occasion. Christophe Habas, 2ème Grand Maître Adjoint chargé de la laïcité, et André Rongière, Grand Officier chargé de l’École, mobilisent les loges maçonniques du GODF afin qu’elles fournissent rapidement leurs recommandations concernant l’ «enseignement laïque de la morale».
La République « en danger » entend imposer un «parcours citoyen» aux élèves, de l’école élémentaire à la terminale. Pour aboutir à un citoyen formaté par la franc-maçonnerie ?
Toujours au sujet des accointances entre le gouvernement et la franc-maçonnerie, comme nous l’avions déjà-écrit, le 2 février, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a reçu à déjeuner les représentants des différentes obédiences maçonniques. « Terrine de joue de bœuf, sandre rôti et gâteau chocolat » pour cette rencontre entre le ministre et six hauts gradés de la franc-maçonnerie. Vous avez dit « forces occultes » ? |
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« Le serpent dit à la femme : "Non, vous ne mourrez pas, mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux". » (Génèse, 3,4)
Nantes. Peut-on être chrétien et franc-maçon ?
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S. Brent Morris, 33° du « rite maçonnique écossais » (1) a déclaré dans cette video :
« 10% du public exècre les francs-maçons, et nous ne devons rien faire pour changer leur opinion. 10% du public hait les francs-maçons, et nous ne devons rien faire pour changer leur opinion. 80% du public n'a jamais entendu parler de nous, n'a aucune idée de qui nous sommes ni de ce que nous faisons. C'est là l'audience que nous ciblons. »
Notes
(1) http://en.wikipedia.org/wiki/S._Brent_Morris
le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou,
« Ces terroristes ont tué des journalistes à Paris. [...] Ils portent différents noms : ISIS, BOKO HARAM, HAMAS, AL SHABAB, AL QAIDA, HEZBOLLAH. Mais ils sont tous poussés par la même haine et le même fanatisme assoiffé de sang. Ils cherchent tous à détruire nos libertés et à nous imposer une tyrannie violente et moyen-âgeuse. C'est un combat mondial. Traduire en justice les meurtriers de Paris en est le commencement (de ce combat NDLR.) Ensuite, devra suivre un large assaut contre les forces de l'islam à travers le monde : c'est un combat que chacun doit mener. »
Cette déclaration a été occultée par tous les media.
Si tel devait être le cas, ce serait une nouvelle guerre mondiale avec des conscrits français envoyés faire la guerre pour Israël ... L'histoire du Rav Ron Chaya "Comment arrivera la victoire d'Israël", des deux cocqs (occidentaux contre musulmans) tirés par les cheveux, contraints d'entrer en guerre pour le grand profit d'Israël, deviendrait réalité.