Les républiques sont des oligarchies, intervention d'Yves Marie Adeline, sur le plateau de TV Libertés.
« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Les républiques sont des oligarchies, intervention d'Yves Marie Adeline, sur le plateau de TV Libertés.
À force de matraquage, la religion de l’« humanisme » s’est peu à peu imposée comme croyance religieuse. Une récente décision du Bureau américain des prisons vient d’ajouter à sa visibilité.
Est « humaniste » celui qui aime l’Homme et sa nature déchue, à condition qu’il soit sans limite, sans exigence, sans frontière et sans Dieu créateur. L’ « humanisme » puise son idéologie dans les doctrines franc-maçonnes : il rejette le Dieu créateur pour adopter le « paradigme » panthéiste et holistique. En reniant le Dieu créateur, l’humanisme n’abandonne pas l’idée de religion : il la transpose pour faire de l’homme, de l’univers et de l’évolution son Dieu immanent. Il singe le vocabulaire de la religion pour mieux la remplacer.
D’autres branches de la maçonnerie et de l’humanisme se réclament du strict athéisme et de la « pensée rationnelle ». Elles ne sont que l’antichambre des branches mieux « éclairées ».
Il y a peu encore, cette idéologie restait discrète. Ce temps semble révolu : le bureau fédéral américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse parmi d’autres, dont pourront se revendiquer les prisonniers qui le désirent. Ils pourront donc célébrer la « journée de Darwin » et bénéficier des équipements jusqu’à maintenant réservés aux détenus croyants.
Après l’armée, le Bureau des prisons ajoute l’humanisme dans sa liste des croyances religieuses
Le Bureau fédéral des prisons a également consenti à ajouter une rubrique sur l’humanisme dans son manuel sur les croyances et pratiques religieuses des prisonniers. Les autorités des prisons devront désormais prendre en compte les requêtes des prisonniers humanistes : accéder au matériel d’étude, observance des fêtes religieuses, demande de temps ou d’espace pour pratiquer leurs activités religieuses. Il y a un peu plus d’un an, c’était déjà l’armée américaine qui ajoutait l’humanisme à sa liste des croyances religieuses reconnues.
Il est encore impossible de savoir combien de prisonniers s’identifient comme humanistes pour la simple raison qu’ils ne le revendiquaient nulle part. Maintenant qu’ils pourront inscrire ce courant comme préférence religieuse dans les fichiers du bureau des prisons, il sera possible de les compter.
Les prisonniers qui se réclament de l’humanisme pourront désormais fêter la « journée de Darwin »
Cette décision du Bureau des prisons est la conséquence d’une plainte déposée l’année dernière par le prisonnier Michael Holden, soutenu par l’Association humaniste américaine. Cette dernière trouvait anormale que les prisonniers « humanistes » n’aient pas le droit de former un groupe d’étude dans la prison fédérale de Sheridan, dans l’Oregon, alors que les autres prisonniers croyants peuvent le faire.
Michael Holden, emprisonné depuis plus de 10 ans pour un vol à main armé, expliquait en mai 2014 que tous les athées n’étaient pas humanistes mais qu’il souhaitait pour sa part pouvoir pratiquer.
« En tant qu’humanistes, nous croyons que l’humanité a la capacité de transcender nos différences et de trouver un terrain d’entente pour rendre le monde meilleur ». Depuis que la plainte a été déposée, Holden a donc obtenu le droit d’organiser son groupe d’étude, qui pourra durer aussi longtemps qu’il y aura au moins deux prisonniers pour y participer. Il pourra sans doute réfléchir à la manière de rendre le monde meilleur en braquant d’honnêtes gens…
Mais il pourra également fêter la journée de Darwin, le 12 février, jour anniversaire de la naissance du naturaliste. Les humanistes se servent de cette journée pour célébrer les sciences : pour marquer la date, Holden a pensé que les prisonniers pourraient regarder un film et réclamer un repas particulier… À quand la journée mondiale de Darwin, sous l’égide de l’ONU et fériée sur l’ensemble de la planète au nom de l’humanisme ?
Béatrice Romée
Mots-clés : humanisme croyance religieuse prison
Source : Le Bureau américain des prisons vient de reconnaître l’humanisme comme une croyance religieuse, Reinformation.Tv, 31 juillet 2015 20 h 05 min·
Alors que, les années passées, un voile épais était jeté sur les réunions du groupe mondialiste "Bilderberg", les media du grand courant se voient contraints cette année république universelle" démoniaque.
de parler de la "réunion des maîtres du monde" (sic). A n'en pas douter, une consigne a dû être donnée à la réunion Bilderberg 2014 de jouer la carte de la médiatisation dans les media pour la réunion 2015 afin de couper l'herbe sous le pied des personnes dénonçant les complotistes maçonniques mondialistes qui depuis deux cents ans tentent de conduire le monde vers leur "
Cette année, une dépêche Afp sortie d'une arrière loge [1] informe le public français que :
"le groupe Bilderberg réunit tous les ans, les hommes d’influence des continents européens et américains pour discuter des enjeux de notre monde. Surnommée la réunion "des maîtres du monde", le colloque se tient cette année de jeudi 11 à dimanche 14 juin à Telfs-Buchen, près d'Innsbruck (ouest). Ce club secret fermé aux journalistes et où les invités s’engagent à ne pas dévoiler le contenu de leur discussion est cette année présidé par Henri de Castries, PDG de Axa.
Le groupe, dont l'objectif affiché est de "promouvoir le dialogue entre Europe et l'Amérique du nord", confirme la présence de 140 participants issus de 22 pays à sa 63e conférence, qui se tiendra à Telfs-Buchen, près d'Innsbruck (ouest). Cette année, pour la première fois, un communiqué de presse a annoncé la réunion et la liste des participants.
Plusieurs Français assisteront à la réunion 2015 dont le maire de Bordeaux, Alain Juppé..., Laurence Boone, la conseillère économique du président français François Hollande, Jean-Dominique Senard, PDG de Michelin ou Laurent Bigorgne, directeur de l’institut Montaigne.
Des grands patrons seront présents: le PDG de Google, Eric Schmidt, d’Airbus, Thomas Enders, de Goldman Sachs, Robert Zoellick, de Volvo, Svanberg Carl-Henric. Des hommes politiques et présidents de think thank assisteront également aux discussions confidentielles «des maîtres du monde».
La dépêche Afp précise que :
"les thèmes des discussions retenus cette année traiteront de la sécurité, des technologies de l'information et des grands dossiers géopolitiques en cours."
Les thèmes retenus traiteront-ils de la surveillance généralisée par Big brother et de la manière de mater les peuples qui se révolteraient?...
Un exemple caricatural du silence des media alignés les années passées jusqu'ici fut donné par les journalistes Yves Calvi et Jean-François Kahn qui en 2008 dans l'émission "C dans l'Air" ayant pour thème "Qui gouverne le monde?" osèrent déclarer les yeux dans les yeux pour le premier n'en avoir "jamais entendu parlé"..., et "connais pas" pour le second...
Notes
[1]
« Des lois comme l'avortement, l'euthanasie ou le mariage homosexuel ont été étudiées et mûries dans les loges avant d'être votées par les députés », confirme Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon.
Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le raconter. C'est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé aujourd'hui de 60 ans, et qui en a passé 24 au sein d'une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France). Son livre Pourquoi j'ai cessé d'être franc-maçon (Éd. Pierre Téqui) est un témoignage passionnant sur les années que l'auteur a passé dans la franc-maçonnerie. Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s'était éloigné de l'Église), il a compris que la religion catholique et l'idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d'en sortir. Le processus de son retour à la foi a été très long.
Mais ce n'était pas encore la conversion complète …
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. Serge Abad Gallardo: la franc-maçonnerie est une religion qui fait de l'homme son propre dieu
. "La franc-maçonnerie, un chemin incompatible avec la foi chrétienne" (Serge Abad-Gallardo)
. Franc-maçonnerie derrière le "mariage pour tous" : Un "grand maître" franc-maçon avoue !
. Peut-on être franc-maçon et catholique, par le docteur Caillet
Boris le Lay évoque la possibilité d'une mise sur la touche de François Hollande pour 2017 et la mise en orbite de Valls par les réseaux occultes.
Le Front national "dédiabolisé" qui envisage d'exclure le père fondateur [1] est un calque d'une loge maçonnique dont le
Notes
[1] Marine Le Pen a annoncé que le président d'honneur devra se soumettre aux instances disciplinaires de son parti, qu'elle s'opposera à sa candidature en Paca et enfin demandé qu'il démissionne de ses fonctions. (Le Figaro, Jean-Marie Le Pen accuse sa fille de se «soumettre au système, Par Marc de BoniMis à jour le 10/04/2015 à 10:46 Publié le 10/04/2015 à 09:33 )
A propos de la Loi Macron et la disparition des jours fériés catholiques en toute discrétion, on peut dors et déjà avancer que dans quelques mois ou années, les républicains s’empareront de l'amendement à la loi Macron-Rothschild [1] supprimant des jours fériés catholiques Outre-mer pour justifier la suppression de ces mêmes jours fériés chômés ... en France métropolitaine.
La loi Macron et la disparition des jours fériés catholiques
Publié dans Politique, le vendredi 20 février 2015 par Pierre Guillemot
[...] Profitant de l’impasse médiatique sur les débats, six députés des DOM-TOM en ont profité pour déposer un amendement (n° 29-92) visant à ajouter un article à la loi Macron. La fronde parlementaire ayant fait le choix de focaliser une bonne partie de son opposition sur la question du travail le dimanche, même si les raisons n’ont rien à voir avec le respect de la tradition catholique, ces députés ultramarins ont saisi l’opportunité en toute discrétion. L’objet de cet article est de permettre aux préfets de ces territoires de remplacer des jours fériés catholiques par d’autres. Comme il se doit, en bons laïcards ils ont visé le lundi de Pâques, l’Ascension, le lundi de Pentecôte, l’Assomption et la Toussaint.
À l’occasion des discussions concernant cet amendement, Emmanuel Macron a fait part de ses réticences, notamment quant au risque d’inconstitutionnalité, mais en définitive, le texte a été adopté via la procédure du vote à main levée. La liste des jours fériés modifiables a même été quelque peu allongée dans le but de ne plus considérer le 1er janvier et Noël comme jours fériés. Le républicain étant particulièrement précautionneux pour tout ce qui relève de son pré carré, de ses marottes, précaution a été prise afin de garantir que le texte de loi, dans son article 82 bis, précise que les dates du 1er mai, 8 mai, 14 juillet et 11 novembre ne puissent pas être remplacées par un autre jour férié local.
On aurait tort de considérer l’adoption de cet amendement comme une lubie ultramarine, un particularisme local qui ne remettra rien en cause. Ce serait oublier que les républicains ont pris l’habitude de recourir à la méthode des petits pas, autrement appelée « technique de la porte entrouverte ». La mécanique est simple. Plutôt que de risquer une opposition frontale, comme ce fut le cas au début des années 80 lorsque les Français descendirent pour défendre l’école privée, ils font le choix du compromis en faisant adopter un texte qui apparaît comme un compromis censé satisfaire toutes les parties. Mais eux considèrent qu’il ne s’agit que d’une étape. Lorsque le PACS fut adopté, ils avaient tous juré qu’il n’y aurait jamais de mariage homosexuel. La suite, nous la connaissons. Il faut bien avoir à l’esprit que la moindre concession consentie est prise comme une avancée, et que le combat doit continuer pour encore et toujours plus de nouveaux droits et de « progrès ».
Soyez assurés que les républicains dans quelques mois ou années s’empareront de cet amendement adopté pour s’attaquer à l’existence de ces mêmes jours fériés chômés en France métropolitaine.
Pierre Guillemot
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Plutôt que de supprimer des jours fériés catholiques Outre-Mer, il a pu être avancé qu'il eut été préférable d'en créer de nouveaux. Ce qui n'est pas notre position vu que la France est chrétienne et non mondialiste et multiculturelle. Il a aussi pu être envisagé le blasphème d'entre les blasphèmes : supprimer des jours fériés laïques (1er mai, 8 mai, 14 juillet, 11 novembre) pour les remplacer par des jours fériés d'autres religions. Cette pensée blasphématoire a été dès le départ interdite, religion de la république ™, oblige ! Mais ajouter de nouveaux jours fériés chômés, pour les autres communautés et traditions religieuses, eut été tout autant impensable pour les tenants du socialisme pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques ...
Ce lien rapproché, ténu, quasi incestueux, entre le pouvoir et les banksters internationaux, doit être mis en perspective avec le discours de François Hollande candidat à l'élection présidentielle au Bourget le 22 janvier 2012 qui dénonçait le monde la finance : « Mon véritable adversaire n'a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, et pourtant il gouverne (...), c'est le monde de la finance. » Un discours que François Hollande élu s'est empressé de mettre à la poubelle.
: une vieille technique maçonnique.
Redoutable parade à la révélation du secret des francs-maçons vers 1750
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Guerre des Farines - Franc-maçonnerie - Duc d'Orléans
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Ajoutons qu'en 1788-1789, Necker rappelé au trône, eut lieu une flambée des prix agricoles due (dit la légende républicaine) aux mauvaises récoltes. Or une autre réalité a été occultée par nos mystificateurs républicains : la libéralisation du prix des grains et une famine provoquée.
Necker affamera ce peuple pour le forcer à l'insurrection; les frères excitateurs enverront de Paris les harpies des faubourgs demander du pain à Louis XVI.
De retour au trône,
(Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'Histoire du jacobinisme, tome 2, Editions de Chiré, Poitiers 2005, p. 458.)
L'historienne Marion Sigaut a expliqué cette flambée des prix agricoles par l'introduction sous Turgot (1775) de la libéralisation du prix des subsistances et du libéralisme économique. Le plus grand pas qu'ait à faire l'administration vers la régénération du royaume , expliquait Turgot. Le dogme laissez-faire, laissez passer , c'est à ce moment-là que cela se joua. Laisser faire, c'était laisser les ouvriers travailler sans les corporations; laisser passer, c'était laisser passer les marchands et les marchandises.
Vers un cours de citoyenneté à l’école garanti par le Grand Orient ? Le Grand Orient de France a bien l’intention de proposer ses services à Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, qui a annoncé que 1.000 premiers « formateurs » seront préparés avant la fin de l’année scolaire, afin d’ « aborder avec les élèves les questions relatives à la citoyenneté, à la laïcité, à la lutte contre les préjugés ».
Dans son circulaire n°855 daté 23 janvier 2015, le grand Orient de France saute sur l’occasion. Christophe Habas, 2ème Grand Maître Adjoint chargé de la laïcité, et André Rongière, Grand Officier chargé de l’École, mobilisent les loges maçonniques du GODF afin qu’elles fournissent rapidement leurs recommandations concernant l’ «enseignement laïque de la morale».
La République « en danger » entend imposer un «parcours citoyen» aux élèves, de l’école élémentaire à la terminale. Pour aboutir à un citoyen formaté par la franc-maçonnerie ?
Toujours au sujet des accointances entre le gouvernement et la franc-maçonnerie, comme nous l’avions déjà-écrit, le 2 février, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a reçu à déjeuner les représentants des différentes obédiences maçonniques. « Terrine de joue de bœuf, sandre rôti et gâteau chocolat » pour cette rencontre entre le ministre et six hauts gradés de la franc-maçonnerie. Vous avez dit « forces occultes » ? |
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S. Brent Morris, 33° du « rite maçonnique écossais » (1) a déclaré dans cette video :
« 10% du public exècre les francs-maçons, et nous ne devons rien faire pour changer leur opinion. 10% du public hait les francs-maçons, et nous ne devons rien faire pour changer leur opinion. 80% du public n'a jamais entendu parler de nous, n'a aucune idée de qui nous sommes ni de ce que nous faisons. C'est là l'audience que nous ciblons. »
Notes
(1) http://en.wikipedia.org/wiki/S._Brent_Morris
le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou,
« Ces terroristes ont tué des journalistes à Paris. [...] Ils portent différents noms : ISIS, BOKO HARAM, HAMAS, AL SHABAB, AL QAIDA, HEZBOLLAH. Mais ils sont tous poussés par la même haine et le même fanatisme assoiffé de sang. Ils cherchent tous à détruire nos libertés et à nous imposer une tyrannie violente et moyen-âgeuse. C'est un combat mondial. Traduire en justice les meurtriers de Paris en est le commencement (de ce combat NDLR.) Ensuite, devra suivre un large assaut contre les forces de l'islam à travers le monde : c'est un combat que chacun doit mener. »
Cette déclaration a été occultée par tous les media.
Si tel devait être le cas, ce serait une nouvelle guerre mondiale avec des conscrits français envoyés faire la guerre pour Israël ... L'histoire du Rav Ron Chaya "Comment arrivera la victoire d'Israël", des deux cocqs (occidentaux contre musulmans) tirés par les cheveux, contraints d'entrer en guerre pour le grand profit d'Israël, deviendrait réalité.
Face aux terroristes islamistes, Claude Bartolone, le président de l'Assemblée nationale, invité du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro dimanche 18 janvier 2015, a eu une idée géniale, il a prôné "la religion de la république" ! Il fallait y penser !
Où est passée la laïcité ? Où est passée la "charte de la laïcité" ? Où sont les grands donneurs de leçons de démocratie devant cette nouvelle religion d'Etat ? Où sont l'auto-questionnement, et la remise en question devant les morts ? Y aura-t-il un "débat" démocratique sur cette théocratie (gnostique maçonnique) assumée ? Nous en doutons... Place à la certitude et au fanatisme... républicain.
Les plus grands criminels sont tout en haut de la pyramide, c'est bien connu. Une nouvelle affaire de corruption vient éclabousser la franc-maçonnerie oligarchique installée au coeur de nos institutions. Alain Bauer, le franc-maçon présenté par les media comme "spécialiste de la délinquance" (sic) serait-il lui-même un grand délinquant ? Il aurait en effet perçu 1,4 millions d’euros de la Caisse des Dépôts et Consignation depuis 2007 pour des notes inutiles sur les "risques sécuritaires dans le monde et en France", dont la Caisse chargée de gérer l'argent public n'avait aucun besoin réel :
Alain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôts
28 novembre 2014 | Par Laurent Mauduit
Alain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôts, sous la direction générale d'Augustin de Romanet puis de Jean-Pierre Jouyet. Un contrat annuel de 200 000 euros portait sur les questions de sécurité. Plusieurs milliers d'exemplaires du guide gastronomique Champérard, contrôlé à 50 % par le criminologue, ont aussi été achetés par la Caisse.
C'est une nouvelle en apparence microcosmique mais qui en dit long sur les intrigues, les jeux d’influence et les passe-droits qui se nouent parfois dans les coulisses du pouvoir : ami intime de l'actuel premier ministre et ancien grand maître du Grand Orient de France, Alain Bauer, qui use de sa qualité de professeur en criminologie pour décrocher des missions de conseil en sécurité auprès des grandes entreprises, a bénéficié de contrats et d’avantages secrets auprès de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), du temps où celle-ci avait pour directeur général Augustin de Romanet, puis à nouveau sous Jean-Pierre Jouyet. Mais selon nos informations, le nouveau patron de la Caisse, Pierre-René Lemas, a décidé de remettre de ...
Source: Mediapart http://www.mediapart.fr/journal/france/281114/alain-bauer-profite-de-contrats-de-complaisance-la-caisse-des-depots?onglet=full
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Didier Migaud met en garde régulièrement le peuple sur la gaspillage des fonds publics et la nécessité d'être rigoureux au point de menacer les ménages modestes de la remise en cause de la sécurité sociale (alors que l'Etat oublie de recouvrir 132 milliards de ressources tous les ans). Laurent Mauduit apprend aux lecteurs de Médiaparat que l'hypermadiatisé donneur de leçons en rectitude criminelle bénéficiait de " contrats de complaisance ", ce qui rappelle confusément la procédure contre Xavière Tibéri. La coloration pénale de l'affaire interpellera la justice, compte tenu de son obligation d'impartialité, de la clameur publique que soulève l'article de Laurent Mauduit et de la nature criminelle des faits qui imposent d'agir. Selon ce qu'expose l'article : " D’abord parce qu’il était très onéreux : 200 000 euros par an, TVA comprise. Ensuite parce qu’il s’agissait de sommes dépensées totalement à fonds perdus. Alain Bauer se bornait en effet en contrepartie des sommes qu’il empochait à transmettre à la CDC quelques notes sur les risques sécuritaires dans le monde et en France, notes qui pour la Caisse n’avaient strictement aucune utilité, selon les nombreux témoignages que nous avons pu recueillir. " Alain Bauer aurait ainsi perçu, depuis 2007, 200 00 euros par an, soit 1 million 400 mille euros pour des rapports dont personne n'avait rien à faire ; à commencer par la Caisse de dépôts et de consignation, qui gère de l'argent public et qui est une institution financière publique. Alain Bauer aurait ainsi bénéficié de versements d'argent public en contrepartie d'aucune prestation réellement justifiée. Le spécialiste autoproclamé de la délinquance serait-il lui même un délinquant ?
Source: Mediapart, Alain Bauer sera-t-il poursuivi avec la même sévérité qu'il réclame contre les petits délinquants ? |
Note de Christ-Roi.
Edwy Plenel, directeur du journal Mediapart qui rapporte cette affaire de détournement d'argent public par Alain Bauer, est un agent américain.
Au-delà du détournement d'1,4 millions d’euros, la divulgation au grand public de cette affaire de vol d'argent public en bande organisée semble recouvrir en fait un règlement de compte interne et une lutte d'influence au coeur de l'Oligarchie pour prendre la plus grosse part du gâteau, entre francs-maçons d'obédience laïciste "Grand Orient de France" d'une part et francs-maçons américano-sionistes d'autre part.
Le site Mediapart d'Edwy Plenel vous rapportera en effet "tout ce qu’on vous cache et qui ne dérange pas les Américains". Le journaliste Olivier Berruyer l'explique sur Les Crises.fr :
Je rappelle certains propos de Mitterrand (qui n’avait QUE les services secrets à son service) sur Edwy Plénel :
Confirmé par une autre source :
Source: http://www.les-crises.fr/fn-ils-sont-vraiment-enormes-chez-mediapart/ |
Comme d'habitude, cette affaire sera enterrée, les oligarques continueront de se partager le gâteau tranquillement en détournant l'argent des Français, pendant que vous rembourserez leur dette.
Une intéressante analyse trouvée sur le site Reinformation.tv explique le processus conduisant du "melting pot" au "salad bowl", puis à la révolution mondialiste au travers de l'évolution de la politique de l'immigration aux Etats-Unis.
Nous en profiterons pour faire quelques rappels au sujet du complot maçonnique des Illuminés, visant à l'édification d'une République universelle, ses aboutissements en 1789, 1917 et aujourd'hui.
Barak Obama […] a justifié son décret de régularisation des immigrés clandestins par la volonté de « réparer le système d’immigration », en panne selon lui depuis la dernière grande régularisation décidée par le Républicain Ronald Reagan en 1986 (sous la pression notamment du lobby du citrus californien).
[…] Derrière la régularisation des immigrés clandestins, une gestion trotskiste du « salad bowl »
L’expérience de précédentes régularisations, tant aux Etats-Unis qu’en Europe, lui donne sans conteste raison : elles ont toujours fonctionné comme un violent appel d’air pour une nouvelle vague d’immigrants irréguliers. Dans ce contexte, les apparentes conditions restrictives énoncées par Obama ne sont que des précautions rhétoriques. Selon des informations fiables, il serait déjà en train de préparer un accès plus facile aux certificats de résidence permanente et aux « green cards » qui sont le rêve juridique de tout immigrant aux Etats-Unis. Sa prétention à se situer dans la tradition américaine est donc une mauvaise plaisanterie : sans doute l’Amérique est-elle une nation de migrants, mais chacun sait le contrôle draconien auquel elle a longtemps soumis l’immigration d’une part, et le soin avec lequel elle veillait à l’intégration des nouveaux arrivants, fondée sur la fierté d’appartenir à leur nouvelle patrie. C’est ce qu’on appelait le melting pot, le creuset où se fondaient les immigrants, devenus des Américains avant tout même s’ils se montraient fiers de leurs origines, Irlandais, Italiens ou autres. Aujourd’hui le melting pot a cessé de fonctionner, remplacé par un salad bowl où les communautés se juxtaposent sans former un tout harmonieux ni se soucier d’un destin commun.
Au bout du processus, la révolution mondialiste
C’est ce processus centrifuge dont Obama se sert et qu’il accentue depuis sa première élection. On se souvient que son concurrent Mac Cain avait obtenu en 2008 la majorité absolue chez les électeurs Américains « de souche », Obama faisant campagne en Espagnol auprès des Chicanos et se prévalant de sa femme Michelle pour séduire les Afro-américains. A peine fut-il élu qu’il critiquait la Constitution et ses rédacteurs Wasp (Anglo-saxons, blancs et protestants), et lançait des programmes ostensiblement orientés pour favoriser les minorités « colorées » (c’est la terminologie américaine) et hispaniques. Il mettait en principe les idées de son « père » intellectuel le trotskiste Alinski, dont il avait expérimenté les méthodes à ses débuts « d’organisateur de communauté » à Chicago au début des années quatre-vingt : après l’échec de la révolution prolétarienne, il s’agit d’utiliser les communautés ethniques, religieuses ou sexuelles pour subvertir l’Etat. Dans cette perspective, la régularisation des immigrés clandestins et l’appel d’air qu’elle ne manquera pas de provoquer sont un coup de maître. En accentuant le déséquilibre du salad bowl actuel, ils dilueront un peu plus l’identité américaine et permettront de faire un peu plus pression sur les institutions (par le jeu notamment des associations et de la justice) pour dynamiter tant la société que l’Etat. Voilà un pas concret vers la transformation d’une puissance nationale en patrie de la révolution mondialiste. |
Note de Christ-Roi. Ce processus allant du "salad bowl" à la révolution mondialiste s'inscrit dans le cadre de l'ancien complot illuminati du XVIIIe siècle qui trouva des accomplissements dans la Révolution de 1789 et celle de 1917.
Ce complot vise depuis plus de deux siècles a édifier "en silence" un gouvernement mondial contrôlé par les adeptes de la Secte des Illuminés, "pour le bonheur de l'humanité" (Cf. Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 136-137).
Quelques rappels à ce sujet :
Ce gouvernement mondial aura prétendu éliminer les inégalités alors que lui-même, dans sa
"subordination générale & graduation des supérieurs", a établi la hiérarchie et l'autorité la plus complète.
Satan se flatte des résultats du Code Illuminé :
« Il n'existera plus ni Empire ni loi, l'anathème prononcé sur les Nations & sur leur Dieu, sur la société & sur ses lois, aura réduit en cendres nos autels, nos palais & nos villes, nos monumens des arts & jusqu'à nos chaumières...
Le dernier Spartacus contemplant ces ruines & s'entourant de ses Illuminés, pourra leur dire: Venez & célébrons la mémoire de Weishaupt notre Père. Nous avons consommé les mystères. Des lois qui gouvernaient les hommes, ne laissons plus au monde que les siennes. Si jamais les nations & leur religion & leur société & leur propriété pouvaient renaître, ce Code de Weishaupt les a détruites; ce Code seul les détruirait encore.
Il le dira, le dernier Spartacus; & les Démons aussi sortiront des enfers pour contempler cet oeuvre du Code illuminé, & Satan pourra dire: voilà les hommes devenus ce que je voulais. Je les chassais d'Eden; Weishaupt les chasse de leurs villes, & ne leur laisse plus que les forêts. Je leur appris à offenser leur Dieu; Weishaupt a su anéantir & l'offense & le Dieu. J'avais laissé la terre leur rendre encore le prix de leur sueur; Weishaupt frappe la terre de stérilité. Ils la défricheraient en vain; le champ qu'ils ont semé ne sera plus à eux. Je leur laissais leurs riches & leurs pauvres, leur inégalité; Weishaupt leur ôte à tous le droit de rien avoir...; & pour les rendre tous égaux, il les fait tous brigands. Je pouvais jalouser leurs restes de vertu, de bonheur, de grandeur même sous les lois protectrices de leurs sociétés, de leur patrie; Weishaupt maudit leurs lois & leur patrie, & ne leur laisse plus que le stupide orgueil, l'ignorance & les moeurs du sauvage errant, vagabond & abruti... En les rendant coupables, je leur laissais encore le repentir & l'espoir du pardon; Weishaupt a effacé le crime & le remords; il ne leur laisse plus que leurs forfaits sans crainte & leurs désastres sans espoir... »
(A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 430-431).
L'Illuminé se dit "Patriote" cependant qu'il travaille à la destruction des peuples, nations & patries
Ce gouvernement mondial surviendra alors que l'Illuminé aura déclaré dans le même temps être "Patriote" (discours à l'extérieur) et aura travaillé à la destruction des peuples, des nations et des patries (actions à l'intérieur des institutions). (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 183-186).
Ce gouvernement mondial surviendra alors que l'Illuminé, au nom de son égalité et de sa liberté, aura appris à détruire l'amour de la famille plus encore que l'amour national et l'amour des patries.
« Il n'est plus de liens pour la secte infernale. Tous ceux de la nature, comme tous ceux des gouvernemens & de la religion s'effacent dans les derniers mystères de Weishaupt. » (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 286).
L'Illuminé se dit "cosmopolite" ou "citoyen de l'Univers". Sa patrie, c'est l'Univers. Dans la Secte, il n'y a plus de patrie. "Ce mot seul de patrie est un blasphème contre les droits de l'homme, l'égalité et la liberté. » (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, t. III, p. 304).
« Il [l'illuminé] ne prétend aimer tous les hommes également que pour se dispenser d'en aimer un seul véritablement. Il déteste l'amour national & patriotique, parce qu'il hait les lois des nations & celle de la patrie. Il déteste jusqu'à l'amour de la famille & il y substitue l'amour universel, parce qu'il n'aime pas davantage & les concitoyens & sa famille, qu'il n'aime le Chinois, le Tartare & le Hottentot, ou le Barbare qu'il ne verra jamais; & parce qu'il lui faut pour tous la même indifférence. Il étend ce lien pour annuler sa force & son action. Il se dit citoyen de l'univers, pour cesser d'être citoyen dans sa patrie, ami dans ses sociétés, père & enfant dans sa famille. Il nous dit aimer tout d'un pôle à l'autre, pour n'aimer rien autour de lui... De nouveaux sophismes viennent lui persuader que la faute originelle du genre humain est réellement d'avoir abandonner l' égalité, la liberté de la vie sauvage, par l'institution des lois civiles... » (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 186-187).
Le Code illuminé, ancêtre du communisme, veut détruire la propriété:
J.J. Rousseau, père de Weishaupt. "Les fruit de la terre sont à tous, la terre n'est à personne". (Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 281-283).
« Les progrès du sophisme sont ici remarquables. Que ce qu'ils sont déjà, nous dise ce qu'ils seront un jour. Le Genevois (Rousseau), sophiste de la liberté & de l'égalité, prévenant les leçons du moderne Spartacus (Nom de guerre du fondateur des Illuminés de Bavière, Adam Adam Weishaupt. Ndlr.) nous avait fait entendre cet oracle; "Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire, ceci est moi, & trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile." Le Genevois sophiste avait ajouté: "Que de crimes, que de guerres, de meurtres, de misères & d'horreurs n'eût point épargné au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant les fossés, eût crié à ses semblables: gardez-vous d'écoutez cet imposteur; vous êtes perdus, et si vous oubliez que les fruits sont à tous, & que la terre n'est à personne!" (Discours sur l'inégalité, 1753, 2è part.)
[L'abbé Barruel explique :] Qu'il aurait épargné de forfaits & de spoliations à la Révolution française, ce même sophiste si, renonçant à son désastreux paradoxe, il avait su donner au genre humain des leçons plus vraies, plus réfléchies; & s'il nous avait dit:
"Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire: ceci n'est à personne, je le cultiverai; de stérile, je le rendrai fertile; je ferai ce que la nature exige de moi pour en tirer ma subsistance, celle de mon épouse, celle de mes enfants; & ce terrain sera à moi. Le Dieu de la nature, qui ne l'a encore donné à personne, l'offre, & le donnera au premier cultivateur pour fruit de ses travaux. - Le premier qui, tenant ce discours, seconda le voeu de la nature & trouva des hommes assez sages pour l'imiter, fut le bienfaiteur du genre humain. Il apprit à ses enfans qu'ils n'étaient pas faits pour disputer aux animaux ou pour se disputer entre eux les fruits sauvages de la terre. Il leur dit qu'il était des vertus domestiques & civiles, préférables à la vie vagabonde & trop souvent féroce des Nomades. Sa postérité fut bénie; ses générations se multiplièrent. S'il ne put prévenir tous les fléaux, il arrêta au moins ce premier des fléaux, cette stérilité qui étouffe le germe de la vie, & ne laisse aux forêts que des hommes épars, trop souvent semblables au lion & au tigre, à qui seuls elles sont destinées.
Si Jean-Jacques [Rousseau] eût tenu ce langage, il se fût évité l'ignominie d'être le père de Weishaupt; mais la sottise humaine, baptisée du nom de "Philosophie", prodigue des éloges au paradoxe du Genevois; le sophiste Bavarois s'empare du Code de Jean-Jacques, & le délire de l'orgueil est puni par le délire de la scélératesse. Ce qui n'avait été dans les maîtres que le paradoxe d'une folle indépendance, sans perdre sa sottise, devient dans les élèves une désastreuse conspiration.
Il n'est plus temps de dire simplement: Ce sont là les chimères des Sophistes; il faut dire aujourd'hui (en 1798, Ndlr.):
Ce sont là les complots qui se trament contre vos propriétés; les complots qui déjà vous expliquent tant de spoliations révolutionnaires; celle de l'Eglise, celle de la Noblesse, celle de nos Marchands, celle de tous les riches propriétaires. -Je veux le dire, ce sont là des chimères; mais ce sont les chimères de Weishaupt, du démon des brigands conjurés, du démon le plus riche en sophismes, le plus fécond en artifices, pour les réaliser.
Ce que Jean-Jacques [Rousseau] a dit à ses Sophistes, le nouveau Spartacus [Weishaupt] le dit à ses légions illuminées:
Les fruits sont à tous, la terre n'est à personne; il le dit dans ses antres, & il ajoute: Quand la propriété a commencé, l'égalité, la liberté ont disparu; & c'est au nom de cette égalité, de cette liberté qu'il conspire, qu'il invite les conjurés à rendre aux hommes la vie patriarchale . »
(Cf. A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 281-283).
Le projet illuminé veut détruire le christianisme. La négation du péché originel.
« Sous prétexte de découvrir une Religion plus parfaite, il (Weishaupt) leur a persuadé - aux adeptes - que le Christianisme du jour n'est que Superstition & tyrannie. Il leur a soufflé toute sa haine pour les prêtres & pour l'état actuel des Gouvernements. C'en est assez pour l'aider à détruire; il se gardera bien de leur dire ce qu'il veut édifier... »
(A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 151).
« Lorsque nous entendons la Secte prononcer avec enthousiasme le mot de morale, souvenons-nous de cette définition. Sans cela, tous ces mots d' honnêtes gens ou de vertu, de bons & de méchans, seraient intintelligibles dans la bouche des adeptes. Avec cette définition seule, l'honnête homme est celui qui travaille à l'anéantissement de la société civile, de ses lois & de ses chefs; le méchant, c'est tout homme qui travaille au maintien de cette société. Il n'est point d'autre crime crime, ou point d'autre vertu dans le Code Illuminé.
L'homme "est méchant parce que la Religion, l'Etat, de mauvais exemples le pervertissent.[Ce postulat moderne qui est aussi celui de Jean-Jacques Rousseau - l'homme est né bon, c'est la société qui le corrompt - est une négation satanique du péché originel qui enseigne que l'homme est né avec la tache du péché originel, et qu'il doit se sanctifier pour faire sa fin dernière. Ndlr.] Il serait bon si l'on cherchait à le rendre meilleur, s'il était moins de gens intéressés à le rendre méchant, pour étayer leur puissance sur la méchanceté.
[...] La thèse [illuminée] est assez perverse pour que nous nous y arrêtions un instant.
[...] La morale [illuminée] [...] ne sera point cette morale [catholique] qui, en dégradant l'homme, le rend insouciant pour les biens de ce monde, lui interdit la jouissance des plaisirs innocens de la vie, lui inspire la haine de ses frères... »
( A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, 1798, t. III, p. 202-206).
La morale illuminée niant le péché originel, commet une erreur sur la nature de l'homme. Cette erreur fait que l'expérience communiste en Urss a échoué et fera que l'idéologie illuminée, déconnectée du réel - et le Gouvernement mondial - échouera pour la même raison. Cf. "La gauche et le peuple, un divorce consommé". Si bien que l'expérience moderne que nous vivons depuis le XVIIIe siècle pourra être analysée par l'historien du futur comme une grande hérésie portant sur le péché originel. Or, s'attaquer au dogme du péché originel c'est nier l'intervention de Satan dans ce monde, c'est nier la nécessité de l'Incarnation et de la Rédemption en Christ, c'est supprimer tout le plan divin de restauration de l'Humanité déchue.
La morale des "droits de l'homme", de la "liberté", de l'"égalité", outil de destruction de toutes religions.
« Voici le mot réservé dans l'initation au dernier grade de l'Illuminisme (Mage ou philosophe Illuminé) :
Souvenez-vous aussi combien dans ces premiers grades nous vous avons parlé de morale & de vertu, mais combien les études que nous vous prescrivions & les leçons que nous vous donnions, rendaient & la vertu & la morale indépendantes de toute religion; combien, en vous faisant l'éloge de la Religion, nous avons su vous prévenir qu'elle n'était rien moins que ces mystères & ce culte dégénérés entre les mains des Prêtres. Souvenez-vous avec quel art, avec quel respect simulé nous vous avons parlé du Christ & de son Evangile, dans nos grades d'Illuminé majeur, de Chevalier Ecossais & d' Epopte; comment nous avons su, de cet Evangile, faire celui de notre raison; & de sa morale, celle de la nature; & de la religion, de la raison, de la morale, de la nature, faire la religion, la morale des DROITS DE L'HOMME, de l' égalité, de la liberté.
"Nous avons eu en vous bien des préjugés à détruire, avant de vous persuader que cette prétendue Religion du Christ n'était que l'ouvrage des Prêtres, & de l'imposture & de la tyrannie. S'il en est ainsi de cet Evangile, tant proclamé, tant admiré, que devons-nous penser de toutes les autres religions? Apprenez donc qu'elles ont toutes les mêmes fictions pour origines; qu'elles sont également toutes fondées sur le mensonge, l'erreur, la chimère & l'imposture. Voilà notre secret... »
( A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, , 1798, t. III, p. 262-263).
« Si pour détruire tout christianisme, toute religion, nous avons fait semblant d'avoir seuls le vrai Christianisme, seuls la vraie religion; souvenez-vous que la fin sanctifie les moyens, que le sage doit prendre pour le bien tous les moyens du méchant pour le mal. Ceux dont nous avons usé pour vous délivrer, ceux que nous prenons pour délivrer un jour le genre humain de toute religion, ne sont qu'une pieuse fraude que nous nous réservons de dévoiler dans ce grade de Mage ou de Philosophe Illuminé » (Archives du Code Illuminé cité in A. Barruel, ibid., t. III, p. 264).
[...] Cet objet de tant de ruses & de tant d'artifices, est de conduire les adeptes au plus monstrueux athéisme, & de persuader à tous les peuples que toute religion n'est que l'invention d'ambitieux imposteurs; que pour le délivrer du despotisme de l'imposture & RECOUVRER LES FAMEUX DROITS DE L'HOMME, la Liberté, l'Egalité, il faut commencer par anéantir toute Religion, tout culte, tout autel, cesser de croire en Dieu. » (A. Barruel, ibid., t. III, p. 269).
En 1790, Brissot, l'agent de la banque britannique, invoquant l'autorité de Machiavel, rétorqua à Clermont-Tonerre : « Rappelez-vous, l'axiome : 'qui veut la fin, veut les moyens'" (Cf. Le Patriote français, n° 201, 25 février 1790, p. 5-8, cité in P. Gueniffey, La Politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire, Fayard 2000, réed. Tel Gallimard, Mesnil-sur-l'Estrée 2003, p. 89).
Pour ce faire, « la guerre de la liberté, est une guerre sacrée, une guerre commandée par le ciel; et comme le ciel elle purifie les âmes. ... Au sortir des combats, c'est une nation régénérée, neuve, morale; tels vous avez vu les Américains: sept ans de guerre ont valu pour eux un siècle de moralité. ... La guerre seule peut égaliser les têtes et régénérer les âmes. » (Jacques-Pierre Brissot de Warville, discours du 16 décembre 1791, cité in Lucien Jaume, Le Discours jacobin et la démocratie , Fayard, Saint-Amand-Montrond 1989, p. 71.)
« Il faut incendier les quatre coins de l'Europe, notre salut est là »(Brissot cité in Considér. sur la nature de la Révol., Mallett du Pan, p. 37).
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Manifeste du Parti communiste, ou Manifeste communiste (Fac similé de la couverture de l'édition originale) |
Plus tard, au XIXe siècle, les héritiers de la Révolution de 1789, « les communistes placeront la guerre civile "au coeur du projet communiste, tel qu'il apparaît dès 1848 dans le Manifeste du Parti communiste où Marx, évoquant la lutte des classes, parle de "la guerre civile plus ou moins latente au sein de la société actuelle, jusqu'au point où elle éclate en révolution ouverte et où le prolétariat jette les fondements de sa domination par le renversement violent de la bourgeoisie."
La conclusion du Manifeste est fort claire : "Les communistes déclarent ouvertement qu'ils ne peuvent atteindre leurs objectifs qu'en détruisant par la violence l'ancien ordre social." »
(Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 76.)
Encore une fois, la fin justifie les moyens pour les révolutionnaires modernes. En octobre 1917, Lénine le rappellera : "Cette guerre pourra être violente, sanguinaire, elle pourra coûter la vie de dizaines de milliers de propriétaires fonciers, de capitalistes et d'officiers qui épousent leur cause. Le prolétariat ne reculera devant aucun sacrifice pour sauver la révolution." » (Lénine, Oeuvres, Paris/Moscou, Editions sociales/Editions en langues étrangères, 1959, t. 26, p. 62, cité in Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 78 et 99.)
« Dès septembre 1917, il (Lénine) n'a de cesse de pousser les bolcheviks à la prise du pouvoir par une insurrection qui ouvrirait la voie à une guerre civile, étape indispensable de la transformation socialiste de la société russe. » (Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 99.)
« Comme dans le cas des interprétations républicaines de la Révolution française, la terreur instaurée dans les régimes communistes a longtemps été mise sur le compte des "circonstances" : la Révolution suscitait l'émergence de résistances contre-révolutionnaires responsables de la guerre civile et qui devaient donc, "nécessairement" et "inévitablement", être écrasées." » ( Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 117.)
« Les méthodes mises en oeuvre sont diverses : fusillades de masse, prise et fusillade d'otages, massacre de la famille impériale à partir de juillet 1918, décret sur la "terreur rouge" le 5 septembre 1918, création de camps de concentration le 4 septembre 1918, utilisation de l'arme de la faim dans les villes (cartes de rationnement), déportations de masse, utilisation de la famine contre la paysannerie, etc. » (Communisme et totalitarisme, Stéphane Courtois, Collection Tempus, 2009, p. 120.)
Les guerres de l'Empire aujourd'hui dans le monde, les génocides (en Ukraine), l'instrumentalisation de l'individualisme (ethnique, sexuel, religieux), sont autant de moyens mis au service de leur Nouvel ordre mondial communiste et athée.
. De Gettysburg à Goldman Sachs : D'un monde libre à un monde communiste
« Au début de la Révolution, personne ou presque n'imaginait sérieusement que la France pût un jour cesser d'être une monarchie. [...] L'idée de transformer la France en république ne rassembla, jusqu'à Varennes au moins (jusqu'au complot de Varennes devrait-on dire lorsqu'on précise que c'est le franc-maçon La Fayette qui suggéra à Louis XVI de s'enfuir en empruntant tel chemin pour le faire arrêter et juger pour haute trahison... Mémoires pour servir à l'Histoire du Jacobinisme, Augustin Barruel, Nldr.), qu'une poignée de sectateurs. [...] Longtemps ils passèrent inaperçus. [...] On commença à parler de l'existence d'une faction républicaine vers le printemps 1790, au moment d'ailleurs où le roi finissait d'être dépouillé de toute prérogative caractéristique de la souveraineté. » ( P. Gueniffey, Histoire de la Révolution et de l'Empire , Perrin, Collection Tempus, Paris 2011, p. 89.)
La conspiration républicaine du 10 août 1792
Le 10 août 1792, journée au cours de laquelle fut envahie l'Assemblée ainsi que le Palais des Tuileries (siège du pouvoir Exécutif pris d'assaut), un directoire secret entre les amis de La Fayette et de Brissot lâcha des « manifestants » préparés politiquement et militairement pour susciter cette insurrection parisienne non spontanée (Cf. Gérard Maintenant, Les Jacobins, collection Que sais-je? PUF, Paris 1984, p. 52-58) qui devait aboutir à la proclamation de la « république » en septembre 1792.
« Dès lors, on les entend dire dans leur club, ce que Brissot écrivait ensuite aux généraux de sa Révolution: 'Il faut incendier les quatre coins de l'Europe, notre salut est là' (Voyez Considér. sur la nature de la Révol. par M. Mallett du Pan, p. 37).
[...] L'historien pourra trouver toute l'histoire de cette atroce révolution du 10 août, dans les discours du député Louvet (journaliste, conventionnel régicide, député aux Cinq-Cents): 'nous la voulions, nous autres jacobins, parce qu'à coup sûr la paix tuait la république...' » (Jean-Baptiste Louvet, dit Louvet de Couvray, cité in A. Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme, Editions de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 2, p. 473.)
Le génocide vendéen montre ce fait historique d'un pouvoir révolutionnaire et républicain parisien qui massacra la population française qui eut le tort de s'opposer et de se lever devant des dispositions et une politique extraordinaire inconnues jusqu'ici (levée en masse, conscription obligatoire, impôts, lois liberticides d'atteinte à la liberté religieuse, liberté d'association, etc.). En voici un petit résumé.
Le 1er octobre 1793, un « rapport sur la Vendée » à la Convention dite « nationale », du député membre du Comité de Salut Public (CSP), Barère, prescrit l'anéantissement et l'extermination de la Vendée.
Une loi du même jour de la Convention dite « nationale » créée l'Armée de l'ouest en vue de l'« extermination des brigands vendéens ». Le mot « extermination » est employé par les « élus » de la dite « république ». Le mot « brigand » désigne tous les habitants de la Vendée qualifiés collectivement de « race impure qui souille territoire de la République ».
Ce même mois d'octobre 1793, le CSP prend la direction du génocide mis en œuvre par « petits bouts de papiers » (Reynald Secher, Du Génocide au Mémoricide). Le 27 novembre 1793, le CSP nomme Turreau général de l'armée de l'Ouest.
Barrère à la convention en décembre 1793 déclare encore :
« Les colonnes infernales (de Turreau) ont pour consigne de PASSER A LA BAIONNETTE TOUS LES HABITANTS, y compris FEMMES ET ENFANTS, qu'elles rencontreront sur leur passage…, de BRÛLER TOUS LES VILLAGES, METAIRIES, BOIS ET LANDES, après en avoir enlevé tous les subsides, grains et fourrages. »
Ces mots sont repris et mis en ordres par le général révolutionnaire Turreau en date du 17/01/ 1794 cité par Gautherot et par Grignon.
Le 21 Janvier 1794, Turreau lance ses « colonnes infernales » pour exterminer la Vendée.
L'un des chefs de ces colonnes, Amey, va jusqu'à faire jeter dans les fours de campagne les femmes et les enfants qu'on lui amène : « C'est ainsi, dit-il, que la 'République' doit faire cuire son pain! »
Un autre chef républicain, Beysser, se vante « de porter au milieu des combats et des revues un pantalon fait avec la peau préparée et tannée des Vendéens qu'on écorchait après la bataille. » Les républicains prirent des vendéens et en firent des peaux tannées.
Les troupes républicaines, massacrent jusqu'à des enfants de quelques jours, tel le petit Bossard de la Rabatelière; ailleurs, - et le fait s'est produit plusieurs fois... - on éventre les bébés vendéens qu'on tient suspendus au bout des baïonnettes.
« A Châtillon, à l'endroit dit des quatre routes, les soldats républicains égorgent une mère et son nourrisson; ils enfilent ensuite l'enfant avec une broche et le font rôtir au foyer, en mettant la broche dans la main de la mère après lui avoir coupé la tête. » (Gautherot, L'épopée Vendéenne, p. 403.)
« Une fois entre deux noyades (celles de Nantes par Carrier), s'étant rendus à Clisson, ils dressèrent un immense bûcher, placèrent dessous des barils vides et dessus cent cinquante femmes qu'ils firent brûler pendant la nuit. La graisse de ces malheureuses remplit les barils qui furent transportés à Nantes et vendus au commerce. " Cette opération économique, écrivit Carrier, produisait une graisse mille fois plus agréable que le Saindoux. » (Crétineau-Joly, Histoire de la Vendée militaire, II, 72.)
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Le 28 février 1794, aux Lucs sur Boulogne, 110 enfants âgés de moins de 7 ans furent massacrés. (Cf. Marie Auguste Huchet, "Le massacre des Lucs-sur-Boulogne et le martyrologue du curé Barbedette, 1983)
Les Républicains, une fois entrés dans le village, rassemblèrent la population devant l'église. Les villageois n'étaient guère en mesure de se défendre, la population comptait principalement des vieillards, des femmes, des enfants. Matincourt choisit de ne pas faire de quartier ; il souhaita que l'opération se fasse en économisant le plus de cartouches possibles. Les soldats firent entrer la population dans l'église jusqu'à ce que l'église s'avérant trop petite pour pouvoir contenir toute la population, les Républicains mirent leur baïonnette au canon, chargèrent et massacrèrent toutes les personnes restées à l'extérieur. Les portes de la chapelle furent refermées, emprisonnant les civils à l'intérieur. L'église fut incendiée et des tirs de canons provoquèrent son éboulement. |
Le 28 février 1794, c'est le jour du grand massacre aux Lucs : le républicain Chapelain, marchant à la suite des assassins du général Cordelier, ceux-là même qui venaient de ravager la petite bourgade, notait dans son carnet-journal : « Aujourd'hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter, à peu de frais, toute une nichée de calottins qui brandissaient leurs insignes du fanatisme. Nos colonnes ont progressé normalement. »
Le massacre des Lucs, ressemble au drame d'Oradour sur Glane. Dans la chapelle, plus de 500 noms sont gravés sur des plaques de marbre blanc. Ils furent brûlés vifs. Des familles entières ont péri. La chapelle Notre Dame du Petit Luc est un endroit bien émouvant, où chaque nom nous rappelle qu'en ces lieux l'homme s'est vautré dans l'ignominie. Et cette ignominie a vu la naissance de la république dite "française".
Les colonnes infernales avaient pour mission de détruire les rebelles et les soldats les poursuivaient à travers toute la campagne.
« J'ai fait fûreter les fossés, les haies et les bois. C'est là que je les ai trouvés blottis, tout a été passé par le fer. » (général Grignon, chef de la 1ère colonne).
Les gens qui étaient restés dans les villages n'étaient pas mieux traités : incendiés avec leurs maisons, ou fusillés, ou tués à coups de sabre et de baïonnettes, pour épargner la poudre et pour faire durer le plaisir.
Les tueurs étaient des tortionnaires qui coupaient des membres et des têtes, éventraient les victimes et les torturaient.
« Monsieur Morinière, sa femme et deux domestiques, sur leur refus de crier Vive la République, eurent la langue arrachée, les yeux crevés, les oreilles coupées... Un voisin, sa femme et sa soeur furent suspendus par le menton à des crampons de fer. »
En mars 1794 le nombre des victimes est de 118 à La Chapelle-Basse-Mer et de 563 aux Lucs. (Chiffres Extrait de "Les paysans en guerre" de Jean Gallet)
Le 7 février 1794, aux Landes-Genusson, une centaine de femmes, d'enfants, de vieillards sont massacrés. A une jeune fille qui préfère la mort à la souillure, on arrache un à un les ongles puis les seins.
Pendant que les bandes républicaines assassinaient, violaient, incendiaient, pillaient, liquidaient les habitants de la Vendée, la République perpétuait les mêmes exécrables forfaits dans toute la France, à Paris, à Lyon, à Angers, à Nantes, à Rochefort, etc. (Marquis de la Franquerie, La Vierge Marie dans l'Histoire de France, éd. Résiac, Montsûrs 1994, p. 219-220.)
Pendant que le peuple français était génocidé, les banquiers internationaux faisaient leur blé. Les descendants des républicains de 1789 liquidèrent la monarchie russe en 1917 avec l'aide des banques de Wall street et du lobby des trafiquants de monnaie internationaux.
Ils font la même chose aujourd'hui dans le Donbass (Ukraine) avec le soutien des banques, de l'ONU, de l'OTAN et de l'Union européenne, en liquidant les habitants, violant, torturant le peuple qui s'oppose au coup d'Etat atlantiste à Kiev, comme le peuple vendéen s'était opposé au coup d'Etat de 1792-1793.
Parmi les premier décrets de l’Assemblée dite « nationale », il y a la suppression de tout le droit social (les communautés de métiers) et la libéralisation du prêt à intérêt jusque-là interdit comme délit (usure) par un millénaire en accord avec les règles de l'Eglise.
La première Banque dite « de France » peut enfin naître sous Napoléon, prince de la Révolution. Elle arrive chez nous, un siècle après celle d'Angleterre. Elle marque la date de naissance de la ploutocratie des banksters internationaux.
Les ordres de liquidation de la Vendée vinrent d'en haut, de l'Assemblée dite « nationale » (une assemblée d'escrocs et d'assassins en grande majorité francs-maçons) et du Comité de Salut public (premier organe du gouvernement révolutionnaire).
Au total, la « République » « française » est née dans un bain de sang caché (mémoricide : aucun manuel scolaire d'histoire n'en parle, il s'agit de sauver la « république ») planifié et organisé.
Un coup d'Etat soutenu par la banque.
Le génocide vendéen fut accompagné d'une guerre européenne déclenchée à l'instigation des girondins (Brissot était l'agent de la banque britannique. Cf. R. Sédillot, Le Coût de la Terreur, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1990, p. 213, 214. Il était également accéssoirement secrétaire général et trésorier de chancellerie du duc d'Orléans, Grand Maitre du Grand Orient de France... Cf. Bernard Faÿ, La Grande révolution 1715-1815, Le Livre contemporain, Paris 1959; p. 183, 345 et suivantes, 367, 369, 407). La guerre européenne révolutionnaire se termina à Waterloo en 1815 avec le décollage de la dynastie Rothschild, l'avènement de la finance internationale et des banques centrales.
L'addition des pertes dues à la Révolution et à l'Empire est de 400 000 morts pour les guerres jusqu'en 1800; un million pour les guerres napoléoniennes; 600 000 pour les guerres intestines; et l'échafaud pour mémoire. […] Deux millions de morts" (René Sédillot, Le coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin Mesnil-sur-l'Estrée 1987, p. 24-28).
S'agissant du bilan humain du « génocide en Vendée », l'historien René Sédillot explique :
« L'estimation totale des victimes varie du simple au sextuple: au plus bas 100 000, au plus haut 600 000. Les 117 000 disparus que retient Reynald Secher (Le Génocide franco-français: la vendée-Vengé, P.U.F.) ne concernent que les départements de la "Vendée militaire". Le nombre le plus élevé est celui de Pierre Chaunu, qui s'exprime en maître démographe, celui aussi dont fait état Alexandre Sanguinetti dans son Histoire du soldat. Il s'entend pour les bleus et blancs confondus, pour les tués à l'arme blanche, au fusil de chasse, au fusil modèle 1777, pour les victimes de la maladie, de la disette sur une terre brûlée, des exécutions sommaires, pour les blessés qui succombent dans l'impossibilité où l'on est de les soigner: les guerres civiles sont inexorables.
On retiendra ici un nombre médian, de l'ordre de 400 000. Il concerne à la fois les insurgés morts au combat (les résistants à l'oppression), en Bretagne et en Vendée, les morts du camp républicain, et ceux des autres provinces de l'Ouest – de la Normandie à la Gironde…
Ce tragique décompte doit être encore complété par les victimes de multiples luttes fratricides, notamment dans le Lyonnais, en Provence ou en Corse; par les victimes des Terreurs blanches: celle de 1795 au temps des Compagnons de Jéhu, celle de 1815 au temps des "Verdets", lors de l'assassinat du maréchal Brune à Avignon, du général Ramel à Toulouse. Tous ces règlements de comptes entre Français portent le bilan global des guerres civiles aux alentours de 600 000 unités.
Refaisons l'addition des pertes dues à la Révolution et à l'Empire:
400 000 morts pour les guerres jusqu'en 1800;
un million pour les guerres napoléoniennes;
600 000 pour les guerres intestines;
et l'échafaud pour mémoire.
Voilà nos deux millions de morts. » (René Sédillot, Le coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin Mesnil-sur-l'Estrée 1987, p. 24-28).
Près de 80% des personnes guillotinées sous la Révolution étaient des petites gens. Les ouvriers ont été envoyés par charrettes entières à la guillotine.
« Les décapitations [...] concernent pour 28% des paysans, pour 31% des artisans et des ouvriers, sans doute pour plus de 20% des marchands ... 8 à 9% des nobles, pour 6 à 7% des membres du clergé... » (René Sédillot, Le Coût de la Révolution française, Vérités et Légendes, Perrin, Mesnil-sur-l'Estrée 1984, p. 24.)
Au XIXe siècle, c’est tout le régime manufacturier mis en place par la Ière république qui a été un génocide social.
« La Révolution aura fait reculer la législation sociale de trois-quarts de siècle. » (René Sédillot)
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“Vendée, du génocide au mémoricide” : entretien avec Reynald Secher [audio]
La première logique totalitaire apparaît sous la "Révolution française" (Stéphane Courtois)
Les USA veulent instaurer un ordre hiérarchique dans le monde (diplomate russe)
22:06 19/11/2014 MOSCOU, 19 novembre - RIA Novosti
La communauté internationale assiste à une tentative d'établir un ordre mondial rigoureusement hiérarchisé et ayant la forme d'une pyramide au sommet de laquelle on trouverait les Etats-Unis et leurs alliés, a déclaré mercredi à RIA Novosti la représentante permanente de la Russie auprès de l'UNESCO, Eleonora Mitrofanova. "Le comportement de ce genre fait généralement en sorte que l'opinion de la plupart des pays membres de l'Onu est complètement ignorée", a indiqué la diplomate. Mme Mitrofanova a annoncé mardi que l'UNESCO avait décidé de fermer son bureau à Moscou au second semestre 2015 en raison de difficultés financières.
Source: http://fr.ria.ru/world/20141119/203025287.html |
Les francs-maçons déclarent régulièrement, comme dernièrement dans une campagne publique contre « la dangereuse résurgence de l'antimaçonnisme », qu'ils travaillent « à visage découvert avec les portes ouvertes » et que la « la franc-maçonnerie ne travaille pas repliée dans ses temples, à l'insu de tout le monde. » (1)
Qu'en est-il réellement ?
Cliquez sur l'image pour voir la video sur youtube :
Cette vidéo montre la cérémonie satanique du serment de secret maçonnique où l'initié jure "sur les trois grandes lumières de la franc-maçonnerie", de "ne jamais révéler aucun des secrets de la franc-maçonnerie [...] à qui n'a pas qualité pour les connaître," [...] et d'aimer ses frères et soeur et de les "aider" par ses "conseils et ses actions" [serment d'entraide, ndlr.].
L'initié "jure tout cela [...] sous peine", s'il devait y manquer, à "avoir la langue arrachée et la gorge coupée."
Jurer de "ne révéler aucun des secrets de la franc-maçonnerie à qui n'a pas qualité pour les connaître" sous peine d'"avoir la gorge coupée"... est difficilement compatible avec un travail fait en pleine lumière, "à visage découvert avec les portes ouvertes"...
Notes
(1) Daniel Keller in "Une campagne contre l'antimaçonnisme", Lefigaro.fr avec AFP Mis à jour le 26/10/2014 à 11:11 Publié le 26/10/2014 à 11:07 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/26/97001-20141026FILWWW00041-le-grand-orient-en-campagne-contre-l-antimaconnisme.php
. La franc-maçonnerie lance une "campagne contre l'antimaçonnisme"
"Money Masters", les maîtres de la monnaie.
Suite de la première partie :
La loi de la Réserve fédérale de 1913 et l'impôt sur le revenu.
(à partir de 02h03)
Malgré tous les soupçons de fraude et de corruption, la loi fut votée par le Sénat le 22 décembre 1913, alors que la plupart des sénateurs avaient quitté la ville pour les fêtes, et que les instigateurs s'étaient assurés que rien ne pouvait être fait avant longtemps après Noël.
Le jour où la loi fut adoptée, le congressiste Charles Augustus Lindbergh (le père du célèbre aviateur qui relia le premier Paris à New York, en 1927, à bord de son avion "Spirit of Saint Louis", ndlr.) avertit prophétiquement ses compatriotes :
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Charles August Lindbergh |
"Cette loi établit le plus gros trust sur terre. Quand le président a signé cette loi, le gouvernement invisible de la puissance monétaire sera de fait légalisé.
Le peuple ne s'en apercevra pas tout de suite, mais l'addition est reportée seulement de quelques années... Le pire crime législatif de tous les temps a été perpétré par cette loi bancaire."
En plus de ça, quelques semaines auparavant, le Congrès a également fait passer une loi concernant l'impôt sur le revenu.
Les banquiers avaient un système produisant une dette étatique pratiquement illimitée. Comment payer les intérêts de cette dette sans toucher au montant initial ?
Auparavant, le gouvernement fédéral recevait seulement les impôts sur les importations et la production.
Dorénavant, tout comme la Banque d'Angleterre, les paiements des intérêts seraient garantis par les impôts directement prélevés sur le peuple.
Il est intéressant de noter qu'en 1895 la Cour suprême déclara inconstitutionnelle une loi similaire d'impôt sur le revenu.
En 1909, la Cour suprême déclara également inconstitutionnelle l'impôt sur les sociétés.
Le sénateur Aldrich soutint donc au Congrès un projet d'amendement constitutionnel permettant l'impôt sur le revenu. Certains affirment que ce 16ème amendement ne fut jamais ratifiés par les nécessaires 3/4 des états (50 états fédérés du pays).
En d'autres termes le 16ème amendement pourrait être illégal.
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Comme vous pouvez le voir sur le Graphique de l'inflation cumulée aux Etats-Unis depuis la création de la FED en 1913, il y a eu 2275% d'inflation. |
Un an après que la loi sur la Réserve fédérale fut approuvée, le congressiste Charles Lindbergh expliqua comment la FED créait ce que l'on appelle désormais les "cycles économiques" et comment elles les utilisait à son profit :
"Pour faire monter les prix, tout ce que l'équipe de la Réserve fédérale doit faire, c'est de diminuer les taux d'intérêts, produisant ainsi une augmentation du crédit et un marché boursier au plus haut; puis lorsque les hommes d'affaires sont habitués à ces conditions, on fait tourner la roue, on augmente cette fois arbitrairement les taux d'intérêts. Par un effet pendulaire de boom et de crash du marché, cela cause de violentes fluctuations dues à la variation des taux.
... Voilà le plus étrange et le plus dangereux avantage accordé par n'importe quel gouvernement ayant existé, désormais entre les mains de cette classe privilégiée.
... Ils connaissent par avance les moments les plus avantageux pour créer les paniques financières. Ils savent aussi quand arrêter ces paniques.
L'inflation et la déflation fonctionne pour eux de manière égale, comme ils contrôlent toute la finance.
Charles Lindbergh ne se trompait que sur un point : la plupart des nations européennes empruntaient déjà à leurs banques centrales depuis des décennies, et parfois même des siècles (pour l'Angleterre et la France, ndlr.).
Le congressiste Louis McFadden, Président de la Commission bancaire et monétaire entre 1920 et 1931, fit la remarque suivante sur la loi de la Réserve fédérale :
"Un super Etat contrôlé par les banquiers internationaux et les industriels internationaux oeuvrant ensemble pour réduire en esclavage le monde, pour leur seul plaisir. "
Un autre président de la Commission bancaire et monétaire, durant les années 1960, le texan Wright Patman, déclara :
"Aujourd'hui aux Etats-Unis, nous avons en fait deux gouvernements. Nous avons le gouvernement légal établi. Et nous avons le gouvernement indépendant, hors contrôle et imprévisible du système de la Réserve fédérale, manipulant les leviers monétaires, réservés au Congrès d'après la Constitution. ."
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Président Woodrow Wilson. Portrait, 2 décembre 1912 |
Trois ans après le passage de l'Acte sur la Federal Reserve, même le président Woodrow Wilson jugeait différemment son action durant son premier mandat à la Maison Blanche :
"Nous sommes devenus l'un des gouvernements les plus mal gérés, l'un des plus contrôlés du monde civilisé; nous n'avons plus un gouvernement d'opinion libre issu de la majorité, mais un gouvernement dirigé par l'opinion et la coercition d'un groupe restreint d'hommes puissants. (mensonge de la démocratie élective des partis).
Certains des hommes les plus importants des Etats-Unis, dans le commerce ou l'entreprise, sont effrayés par quelque chose. Ils savent qu'il existe quelque part un pouvoir si bien organisé, si subtil, si vigilant, si réactif, si complet, si influente, qu'ils feraient mieux de ne pas parler trop fort, si c'est pour en dire du mal."
Avant sa mort en 1924, le président Woodrow Wilson, réalisera tout le mal qu'il a fait aux Etats-Unis, en confessant :
"J'ai inconsciemment ruiné mon gouvernement."
Les principaux journaux saluèrent la promulgation de la loi sur la Réserve fédérale de 1913, déclarant par exemple : "Maintenant, les dépressions seront scientifiquement prévenues." La réalité était que désormais, les dépressions pourraient être scientifiquement créées !
La Première guerre mondiale.
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Pour les banquiers centraux les aspects politiques de la guerre importaient beaucoup moins que les profits potentiels. Et rien de mieux qu'une guerre pour créer de la dette. L'Angleterre était le meilleur exemple à cette époque.
Durant les 119 années ayant suivi la création de la Banque "d'Angleterre" et la déroute de Napoléon à Waterloo, l'Angleterre fut en guerre pendant 56 années. Et le reste du temps elle se préparait à la guerre.
Pendant la 1ère Guerre mondiale, les Rothschild allemands prêtaient de l'argent à l'Allemagne, les Rothschild britanniques prêtaient de l'argent à l'Angleterre et les Rothschild français prêtaient de l'argent à la France. Aux Etats-Unis, J.P. Morgan était le pourvoyeur en matériel militaire des Britanniques et des Français. En fait, six mois avant le début du conflit, J. P. Morgan devint le plus gros consommateur de la terre, dépensant 10 millions de $ par jour. [...]
Beaucoup des banquiers de New York se sont enrichis avec la guerre.
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Le récent livre de Nomi Prins, "ALL THE PRESIDENTS’ BANKERS: The Hidden Alliances that Drive American Power" (Tous les banquiers des Présidents, Les alliances cachées qui conduisent le pouvoir américain), traite de Woodrow Wilson et la collaboration de Jack Morgan pour financer les Alliés dans les premiers jours de la Guerre. Cette collaboration fournit l'un des exemples les plus forts de la coopération étroite entre la présidence américaine et les plus hauts niveaux de la banque internationale. |
Le président Woodrow Wilson désigna Bernard Baruch pour chapauter les industries de guerre. Selon l'historien James Perloff, Bernard Baruch tout comme les Rockefeller, engrangèrent 200 millions de $ durant la guerre.
Mais le profit n'était pas le seul motif, il y avait aussi de la revanche dans l'air.
Les trafiquants de monnaie n'avaient jamais pardonné au Tsar d'avoir soutenu Abraham Lincoln durant la Guerre civile américaine.
La Russie était également la dernière nation européenne à refuser d'avoir une banque centrale privée.
Trois ans après le début de la 1ère Guerre mondiale, la révolution (dite Ndlr.) "russe" remplace le régime tsariste par un gouvernement communiste.
Jacob Schiff de Kuhn, Loeb & Company se réjouit sur son lit de mort d'avoir envoyé 20 millions de $ afin d'abattre le tsar.
L'argent afflua également d'Angleterre, toujours dans le but de soutenir la "révolution".
Pourquoi les hommes les plus riches du monde finançaient-ils le communisme, ce système qui plaidait ouvertement la destruction du capitalisme, système qui les avait enrichis ?
Le chercheur Garry Allen nous l'explique :
"Si on comprend que le socialisme n'a pas comme programme le partage des richesses mais est en réalité une méthode pour mieux consolider et contrôler la richesse, alors le paradoxe apparent qui est celui de voir des hommes très riches faire la promotion du socialisme n'est en fait pas du tout un paradoxe. En fait cela devient logique, c'est même le meilleur outil pour ces mégalomanes avides de pouvoir.
Le communisme, ou plus précisément le socialisme, n'est pas le mouvement des masses opprimées, mais bien celui de l'élite économique."
Comme l'écrivait W. Cleon Skousen dans son livre paru en 1970 "Le capitalisme mis à nu" (The Naked capitalist) :
"D'où qu'il vienne, le pouvoir cherche à gagner toujours plus de pouvoir.
Il est inévitable que les très riches ne se contenteront plus de leur propre fortune mais chercheront à contrôler celle du monde tout entier.
Pour atteindre cet objectif, ils sont parfaitement en mesure de soutenir les ambitions politiques de certains opportunistes aux dents longues, afin de renverser les gouvernements en place, et d'établir une dictature mondiale centralisée."
Mais que se passerait-il si ces révolutionnaires devenaient incontrôlables et essayaient de s'emparer du pouvoir détenu par les "super-riches" ?
L'axe Wall Street / City Londres choisit de courir le risque.
Les décideurs tentèrent de contrôler les groupes révolutionnaires communistes, en leur envoyant de grandes quantités d'argent si ils se montraient dociles, ou en contractant l'émission monétaire et en finançant l'opposition, en cas de perte de contrôle.
Lénine commença à comprendre que bien qu'il soit le maître absolu de la nouvelle Union soviétique, il n'était pas celui qui maniait le pouvoir financier; quelque chose d'autre avait secrètement le contrôle :
"L'Etat ne fonctionne pas comme nous le souhaiterions. La voiture n'obéit pas. Un homme est aux commandes et semble la diriger, mais la voiture ne va pas dans la direction voulue. Elle bouge comme le souhaitent d'autres forces."
Qui est à la manoeuvre ?
Le représentant Louis McFadden, président de la Commission bancaire et monétaire durant les années 1920 jusqu'a la Grande Dépression de 1930, l'explique ainsi :
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Louis Thomas McFadden |
"Le cours de l'histoire russe a été en fait grandement influencée par les manoeuvres des banquiers internationaux.
Le gouvernement soviétique a reçu de la Réserve fédérale des fonds du Trésor des Etats-Unis par l'intermédiaire de la Chase Bank.
L'Angleterre nous a soutiré de l'argent grâce aux banquiers de la 'Réserve fédérale' et l'a prêté à un fort taux d'intérêt au gouvernement soviétique.
Le barrage du Dniepr a été construit grâce à des fonds occultes provenant du Trésor des Etats-Unis avec l'aide de la déloyale et corrompue équipe de la Réserve fédérale, ainsi que des banquiers de la Réserve fédérale."
En d'autres termes, la FED et la Banque d'Angleterre avaient passé commande aux banquiers internationaux qu'ils contrôlaient afin de créer un monstre, monstre qu'ils continueront à alimenter durant plusieurs décennies, avec des "révolutions" communistes, des guerres, et plus important : de la dette.
En 1992, le journal du Washington Times publia que le président russe Boris Eltsine déplora que l'essentiel de l'aide étrangère soit détournée "retournant directement dans les coffres des banques occidentales en tant que remboursement de la dette."
[...] Il serait idiot d'ignorer la cause première de la 1ère Guerre mondiale, ainsi que ceux qui ont le plus profité de la guerre. Le rôle des trafiquants de monnaie n'est pas une stupide théorie conspirationniste, ils ont un objectif très personnel, un objectif politique, celui d'obtenir un gouvernement mondial totalitaire, avec les trafiquants de monnaie aux commandes du pouvoir financier, afin de contrôler n'importe quel politicien qui surgirait en tant que leader.
La Grande Dépression.
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Société des Nations - Drapeau de la Ligue des Nations (1939–1941) |
Maintenant que les trafiquants de monnaie contrôlaient chaque économie nationale, la prochaine étape serait de consolider le tout par un gouvernement mondial, qui fut la priorité de la Conférence sur la paix à Paris, peu après la 1ère Guerre mondiale. Il fut appelé la "Société des nations" (Ligue of Nations). Mais à la surprise de Paul Warburg et Bernard Baruch qui assistèrent à la Conférence de la paix en présence du président Woodrow Wilson, le monde n'était pas encore prêt à faire tomber les frontières. Le nationalisme était encore ancré dans les coeurs. Par exemple, Lord Curzon, Secrétaire britannique aux Affaires étrangères, ironisa et dit que la Société des Nations était une bonne plaisanterie, et ce même si le gouvernement britannique approuvait cette initiative politique.
Ne craignant pas d'humilier le président Wilson, le Congrès américain n'approuva pas non plus la Société des Nations. Malgré le fait qu'elle avait été ratifiée par de nombreuses nations, sans l'argent du Trésor américain, la Société des Nations disparut. Après la 1ère Guerre mondiale, le public se lassa de la politique internationaliste du démocrate Woodrow Wilson. Aux élections présidentielles de 1920, le républicain Warren Harding réunit plus de 60% des votes. Warren Harding était un farouche opposant au bolchévisme, ainsi qu'à la Société des Nations.
Malgré le fait que la guerre avait endetté les Etats-unis jusqu'à 10 fois plus que la guerre civile, l'économie américaine était encore en croissance.
Quand John Coolidge succéda à Harding, il poursuivit la politique économique de Warren Harding, par de lourdes taxes sur les importations et une diminution des impôts nationaux. Le résultat fut une croissance économique et des recettes de l'Etat en augmentation. Mais tout cela devait être stoppé ! Comme ils l'avaient déjà fait dans le passé, les trafiquants de monnaie décèdent de briser l'économie américaine. La Réserve fédérale commença d'inonder le pays avec de l'argent, augmentant l'émission monétaire de 60% en quelques années. L'argent était abondant. C'est pourquoi on appelle ces années les "20 rugissantes".
Quand tout fut programmé en avril 1929, Paul Warburg, le père de la Réserve fédérale, envoya un memo secret à destination de ses amis les prévenant de l'effondrement économique et la dépression nationale étaient inéluctables. En août 1929, la FED commença à retirer l'argent. Les géants de Wall street de l'époque, John D. Rockefeller, J. P. Morgan, Bernard Baruch, etc. se retirèrent des marchés peu avant le crash, convertissant leurs avoirs en liquide ou en or. Le 24 octobre 1929, les grands banquiers de New York exigèrent de se faire rembourser les dettes dans les 24 heures. En conséquence, les courtiers et les actionnaires durent vendre en catastrophe pour couvrir leurs pertes, se fichant désormais du prix des actions qu'ils vendaient. Cela conduisit à une chute de la bourse et au célèbre "mardi noir".
Selon Kenneth Galbraith, auteur du "Grand crash de 1929", au plus fort de la chute boursière, Bernard Baruch était avec Winston Churchill, dans la gallerie des visiteurs de Wall Street, ici, afin de contempler la panique et l'impressionnant remue ménage en cours à l'étage inférieur.
Entre 1929 et 1933, la FED réduisit encore son émission monétaire de 33%.
Alors que de nombreux américains ignorent que la FED fut aussi responsable de la Dépression, ce fait est cependant parfaitement connu des grands économistes.
Milton Friedman, économiste lauréat du prix nobel d'économie en 1996 déclara lors d'un entretien téléphonique en janvier 1996 :
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Milton Friedman |
"La Réservé fédérale a définitivement causé la Grande Dépression en contractant d'un tiers l'émission monétaire en circulation entre 1929 et 1933."
Mais l'argent perdu par de nombreux Américains durant la Grande dépression n'a pas été perdu pour tout le monde. Il a été redistribué entre quelques-uns ayant vendu juste avant le crash et ayant acheté de l'or, valeur refuge quand surgit une dépression.
Mais l'argent américain a aussi traverser les mers...
Alors que le président Herbert Hoover tentait de relancer l'économie, alors que des millions d'Américains souffraient de la faim, des millions de $ ont servi à reconstruire l'Allemagne des dommages causés par la Grande Guerre.
8 ans avant que Hitler n'envahisse la Pologne, le représentant Louis McFadden avertit le Congrès que les Américains étaient en train de financer l'ascension vers le pouvoir d'Hitler :
"Après la 1ère Guerre mondiale, l'Allemagne est tombée dans les bras des banquiers internationaux "allemands". Ces derniers ont acheté la maison Allemagne et désormais elle leur appartient, l'entrée, le salon et la chambre à coucher avec. Ils ont ruiné les industries, les hypothèques des terrains, le contrôle de la production, , le contrôle de tous les biens utilitaires. Les banquiers internationaux allemands [...] ont aussi fourni chaque dollar de l'argent que Hitler a utilisé durant sa coûteuse campagne, dans le but de créer une menace pour le gouvernement de Henrich Brüning. Lorsque Brüning refusa d'obéir aux ordres des banquiers internationaux, Hitler fut mis en avant pour maintenir les Allemands dans la soumission.
Grâce à l'équipe dirigeante de la Réserve fédérale, plus de 30 milliards de $ d'argent américain a été envoyé en Allemagne. Vous avez tous entendu parler des dépenses qui ont eu lieu en Allemagne. Des logements modernes, des grands planetariums, des gymnases, des piscines, des autoroutes publiques, des usines superbes. Tout cela a été construit avec notre argent. Tout cela a été donné à l'Allemagne par l'équipe de la Réserve fédérale.
L'équipe dirigeante de la Réserve fédérale a tellement envoyé de milliards de $ à l'Allemagne, qu'ils n'osent même nous donner le montant total."
Franklin D. Roosevelt / Deuxième Guerre mondiale.
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Franklin D. Roosevelt |
Franklin D. Roosevelt fut élu président en 1932. Une fois en poste, des mesures d'urgence furent décrétées concernant le système bancaire, augmentant un peu plus le pouvoir de la FED sur l'émission monétaire. C'est seulement à ce moment-là que la FED commença à lâcher la bride et à injecter à nouveau de l'argent en faveur du peuple américain très fragilisé.
Franklin Roosevelt avait d'abord accusé les trafiquants de monnaie d'avoir engendré la Grande Dépression. Voici ce qu'il dit lors de son discours d'investiture, le 4 mars 1933 :
"Les pratiques de ces trafiquants de monnaie sans scrupule sont condamnées par le tribunal de l'opinion publique, rejetées par les coeurs et les esprits des hommes. Les trafiquants de monnaie se sont enfuis des sièges du temple de notre civilisation."
[...] Toutes les nations impliquées dans le conflit (de la 2ème Guerre mondiale, ndlr.) multiplièrent leurs dettes. Aux Etats-Unis, la dette fédérale augmenta de 43 millions de $ en 1940 à 257 milliards en 1950, soit une augmentation de 598%. Entre 1940 et 1950, la dette japonaise augmenta de 1348%, la dette française de 583%, et la canadienne de 417%.
Après la guerre, le monde fut divisé en deux camps économiques: l'économie communiste planifiée d'un côté et le monopole capitaliste de l'autre, les deux luttant dans une fructueuse course aux armements. Ce fut le moment pour les banquiers de faire le point sur les trois étapes permettant de centraliser les systèmes économiques du monde entier, et d'achever leur gouvernement mondial ou "Nouvel Ordre Mondial". Les différentes étapes de ce plan sont :
1. La domination des banques centrales sur les économies nationales du monde entier.
2. Centraliser les économies régionales, avec l'Union monétaire européenne, ou le traité de libre échange commercial du NAFTA, par exemple.
3. Centraliser l'économie mondiale grâce à une banque centrale mondiale, une monnaie mondiale, et la fin des indépendances nationales, en abolissant les taxes sur les importations, à l'aide du GATT (OMC).
L'étape 1 a déjà été accomplie depuis longtemps. Les 2 et 3 sont déjà bien avancées et sur le point d'aboutir.
Que se passe-t-il pour l'or ? De toutes les banques centrales, le plus gros détenteur d'or est le Fonds Monétaire International (FMI). Le FMI et les banques centrales détiennent les 2/3 des réserves mondiales en or (en 1996)., leur permettant de manipuler le marché de l'or.
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Fort Knox - US Bullion Depository (Réserve d'or américaine)
En 1933, le président Franklin D. Roosevelt émet l'ordre 6102 qui interdit la possession pour les particuliers américains de pièces d'or, de lingots d'or (gold bullion) et de gold certificate, les forçants à les vendre à la réserve fédérale. Il convainc les Américains de donner leur or en arguant que rassembler les ressources nationales était nécessaire pour sortir les Etats-Unis de la dépression. En 1936, le département du trésor commence la construction du dépôt Bullion à Fort Knox, sur des terrains transférés de l'US Army. Le Gold Vault (coffre d'or) est terminé en décembre 1936. La majorité des réserves d'or des États-Unis y sont transférées. |
[...] La mauvaise solution consisterait à adopter une monnaie s'appuyant sur l'or. Beaucoup d'Américains pensent que l'or se trouve toujours à Fort Knox. Or, cet or a été volé...
A la fin de la 2ème Guerre mondiale, Fort Knox abritait plus de de 700 millions (20 000 tonnes) d'once d'or, soit le pourcentage incroyable de 70% de l'or mondial. Combien en reste-t-il ? Personne ne le sait. Malgré le fait que la loi fédérale exige un audit financier annuel de l'or de Fort Knox, le Trésor a systématiquement refusé d'en réaliser un seul. Un contrôle de ce qui reste ici n'a pas été effectué depuis que le président Dwight Eisenhower n'en réclame un, en 1953.
L'or de Fort Knox, avec les années, a été vendu aux trafiquants de monnaie européens, au prix de 35 $ l'once. Cela s'est passé à un moment où il était illégal pour les Américains d'acheter de l'or à Fort Knox. Il y a le cas scandaleux de la famille Firestone qui créa de nombreuses filiales afin d'acquérir l'or de Fort Knox et de l'envoyer ensuite en Suisse. Ils ont été arrêtés, puis inculpés.
Finalement, en 1971, tout l'or pur avait été secrètement évacué de Fort Knox, pour faire son retour vers Londres. Une fois sorti tout l'or de Fort Knox, le président Richard Nixon clôt le "dossier or" en abrogeant la loi de 1934 de Franklin D. Roosevelt sur les réserves d'or de la Réserve fédérale, permettant finalement aux Américains d'acheter légalement de l'or. Les cours de l'or augmentèrent. 9 ans plus tard, l'or se vendait 880 $ l'once, 25 fois plus que la valeur pour laquelle il avait été vendu à Fort Knox.
On pense que que certains au gouvernement étaient au courant de cette manoeuvre et finiront par lâcher le morceau. La plus grosse fortune de l'histoire du monde ? Volée. Tout comme dans le film de James Bond, "Goldfinger". En réalité, l'auteur de la série des James Bond, Ian Fleming, fut le chef du MI5 (pour Military Intelligence, section 5), les Services britanniques de contre-espionnage. Certains pensent qu'il a écrit cette histoire en guise d'avertissement, comme beaucoup d'auteurs de fictions le font.
Le dépouillement en or de Fort Knox, une attaque délibérée sur le Trésor américain, a dû se dérouler sur plusieurs années, pour être réalisé. En fait, 40 ans.
Un article d'un journal de New York, daté de 1974 mettait en cause la famille Rockefeller d'avoir manipulé la FED, afin de liquider l'or de Fort Knox à un prix cassé, à destination de spéculateurs anonymes européens. Trois jours plus tard, la source anonyme de cette histoire, Louise Auchincloss Boyer, chuta mystérieusement de la fenêtre du 10ème étage de son appartement de New York. Comment Mlle Boyer était-elle au courant de la connexion entre les Rockefeller, et l'or de Fort Knox ? Pendant longtemps elle fut la secrétaire de Nelson Rockefeller.
Les 14 années suivantes, Ed Durrel, un riche industriel de l'Ohio, s'impliqua personnellement pour trouver la vérité concernant l'or de Fort Knox. Malheureusement il n'atteignit jamais son objectif premier: un audit complit sur les réserves d'or de Fort Knox. Le gouvernement a choisi de ne pas le faire. On peut donc en conclure qu'il est effrayé par la vérité que l'audit pourrait révéler.
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Ronald Reagan, portrait 1981 |
Quand le président Ronald Reagan accéda à son poste en 1981, ses amis conservateurs le pressèrent d'étudier la possibilité de revenir au standard or, ultime moyen de freiner les dépenses gouvernementales. Reagan nomma donc un groupe appelé la "Commission sur l'or" afin d'étudier la situation et de faire un rapport au Congrès. Ce que cette Commission sur l'or de Reagan rapporta au Congrès en 1982, fut une révélation choquante concernant cet or : le Trésor américain n'avait absolument rien, plus rien.
Tout l'or de Fort Knox n'était plus entre les mains de la Réserve fédérale, ce groupe de banquiers privés gardiens de la dette nationale.
La vérité sur l'affaire est que personne n'a vu autant d'argent public volé, et mis à la disposition d'un petit groupe d'investisseurs privés: les trafiquants de monnaie.
Le Fonds Monétaire International (FMI) / Banque mondiale.
Revenons un peu en arrière sur les conséquences de la 1ère Guerre mondiale. Les banquiers internationaux "pacifiques" clamèrent que seul un gouvernement mondial mettrait fin aux guerres mondiales. Ils prônaient un gouvernement mondial qui reposerait sur ttrois pieds :
1. (Bien évidemment...) Une banque centrale mondiale, appelée la Banque des règlements internationaux (Bank of International Settlements),
2. un organisme judiciaire mondial, appelé la Cour Internationale de Justice, basée à La Haye aux Pays-Bas.
3. et un organisme mondial exécutif et législatif, appelé la Société des Nations.
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Carrol Quigley |
Comme le soulignait le mentor du président Clinton, l'historien Carroll Quigley, dans son livre datant de 1966, "Tragedy and Hope", Tragédie et Espoir :
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Selon Quigley, les puissances du capitalisme financier (1850-1932) avaient pour ambition créer un système mondial de contrôle financier dans les mains du secteur privé capable de dominer le système politique de chaque pays et l'économie mondiale;
Lire "Voilà pourquoi nous sommes esclaves et ignorants" au sujet des huit banques privées "américaines" propriétaires de la FED. |
"Les pouvoirs du capitalisme financier avaient un objectif précis, rien de moins que celui de créer un système mondial de contrôle financier, aux mains du privé, capable de dominer les systèmes politiques de chaque pays, et l'économie du monde tout entier.
Les banques centrales du monde entier contrôleraient ce système de type féodal, et agiraient de concert grâce à des accords secrets décidés au cours de fréquentes réunions et conférences.
L'apogée de ce système serait d'avoir une banque pour les accords internationaux à Bâle, en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales mondiales, elles-mêmes étant des corporations privées.
Chaque banque centrale tendra à dominer son gouvernement grâce à sa capacité à contrôler les emprunts du Trésor, à manipuler les échanges extérieurs, à influencer le niveau d'activité économique du pays, et à corrompre les politiciens conciliants en les gratifiant de récompenses importantes en provenance du monde des affaires."
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Henry Cabot Lodge |
Malgré les fortes pressions des banquiers internationaux et de la presse, une poignée de sénateurs américains, menés par le sénateur Henry Cabot Lodge, maintiendront les Etats-Unis éloignés de ces plans. Sans la participation des Etats-Unis, la Ligue était condamnée.
De façon incroyable, alors que les Etats-Unis avaient rejeté la Banque centrale mondiale, la BIS (Bank of Interntional Settlements), BRI (ou Banque des Règlements Internationaux), la Réserve fédérale à New York ignora le gouvernement et envoya un représentant en Suisse, afin de participer aux rencontres des banquiers centraux jusqu'en 1994, date à laquelle les Etats-Unis se décideront à y participer.
Leurs plans de gouvernement mondial échouèrent finalement, les banquiers utilisèrent alors leur bonne vieille méthode, une autre guerre (2ème guerre mondiale ndlr.) permettrait de faire plier les résistances, en plus des gains substantiels engendrés. A cette fin, Wall Street soutint financièrement l'Allemagne avec la banque Thiessen liée aux intérêts Herman à New York, tout comme la Chase Bank (et la Banque Kuhn, Loeb & Co de Jacob Schiff) soutint financièrement la "révolution" bolchévique en Russie, durant la 1ère Guerre mondiale.
La Chase Bank était contrôlée par la famille Rockefeller. Dans le même temps, il y eut une fusion avec la Wrburg Manhatyan Bank pour former la Chase Manhatan Bank.
Leur stratégie fonctionna. Avant la fin de la 2ème Guerre mondiale, le Gouvernement mondial était de nouveau à l'ordre du jour.
En 1944, à Bretton Woods dans le New Hampshire, le FMI et la Banque mondiale furent créés grâce à l'appui des Etats-Unis. La seconde Ligue des Nations, rebaptisée les "Nations Unies" fut créée en 1945. Il y eut aussi une nouvelle Cour internationale de Justice. Toute opposition effective d'avant-guerre à ces entités internationales avait disparu dans la fureur de la guerre, comme cela avait été prévu.
Ils avaient créé un cartel de banques s'appuyant sur les banques centrales du monde, leur permettant d'accroître leur capacité d'influencer les politiques de crédit des banques de toutes les nations.
Le FMI s'est vu conférer la capacité d'émettre une monnaie mondiale appelée "Special Drawing Rights" ou SDR (DTS, ou Droits de tirages spéciaux). Aujourd'hui (1996, ndlr.), le FMI a émis un excès de 30 milliards de $ de SDR. Des nations membres ont imprimé leur monnaie de façon à pouvoir l'échanger contre des SDR. En 1968, le Congrès approuva la loi autorisant la FED à accepter les SDR en tant que réserves aux Etats-Unis, mais aussi à pouvoir émettre des billets de la FED en échange de SDR. Cela signifie qu'aux Etats-Unis, les SDR font partie des normes monétaires.
Et pour l'or ? Les SDR sont partiellement convertibles en or, et avec les 2/3 de l'or mondial détenu par les banques centrales du monde, les trafiquants de monnaie peuvent encore structurer la future économie mondiale, selon le mode qui leur est le plus profitable.
Gardez à l'esprit que tout comme la FED, le FMI est contrôlé par son équipe de gouverneurs, lesquels sont les décisionnaires des différentes banques centrales, ou les décisionnaires des différents départements nationaux du Trésor, contrôlés par leurs banques centrales.
La capacité de vote au FMI donné aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, équivaut de fait, à ce que la FED et la Banque d'Angleterre aient le réel contrôle sur le FMI.
Tout comme la FED contrôle l'émission de monnaie aux Etats-Unis, la BIS (BRI ou Banque des règlements internationaux), le FMI et la Banque mondiale, contrôlent l'émission monétaire du monde.
Nous voyons ainsi se repdoduire la duperie des goldsmiths non seulement à l'échelle nationale avec les banques centrales mais maintenant au niveau international avec les trois branches des banques centrales mondiales.
Aujourd'hui, ces organisations (BIS, FMI, Banque mondiale) appelées "Banque centrale mondiale", diminuent-elles ou accroissent-elles le crédit mondial ? Oui.
[...] Les nations devenaient les valets d'une banque centrale supranationale contrôlée par la poignée des banquiers les plus riches. A mesure que le FMI créait de plus en plus de SDR en échange d'in simple justificatif comptable, de plus en plus de nations recouraient aux emprunts pour payer les intérêts de la dette, rendant ainsi celle-ci incontrôlable. La Banque mondiale centrale avait désormais le pouvoir de vie ou de mort économique sur ces nations, décidant lesquelles recevraient des crédits et lesquelles en seraient privées.
Malgré les volontés affichées de lutte pour le développement et contre la pauvreté, le résultat fut un transfert de richesse de ces nations fragilisées vers les trafiquants de monnaie des banques centrales contrôlant le FMI et la Banque mondiale.
Par exemple, en 1992, les nations affaiblies du Tiers-Monde qui avaient demandé des prêts à la Banque mondiale, payèrent 198 millions de $ de plus aux banques centrales des pays développés, afin de recapitaliser la Banque mondiale, comparativement aux sommes qu'elles avaient elles-mêmes reçues comme aides de la Banque mondiale. Tout cela augmente perpétuellement une dette qui ne soulage que temporairement la pauvreté, elle-même engendrée par les précédents prêts.
Mais très vite, les remboursements excédèrent les montants des prêts. En 1992, la dette de l'Afrique atteignait 290 milliards de $, 2,5 fois plus qu'en 1980, entraînant une augmentation de la mortalité infantile, du chômage, une détérioration des écoles, des logements, ainsi qu'une baisse générale du niveau de vie en Afrique.
Conclusions.
Même s'il serait absurde d'ignorer le rôle joué par les Rothschild, les Warburg, Schiff, Morgan ou Rockefeller, dans l'étude de l'histoire de la banque centrale et du système de réserves fractionnaires, gardez à l'esprit que désormais les banques centrales et les grandes banques commerciales ont maintenant plus de trois siècles d'existence et qu'elles sont largement impliquées dans la vie économique de nombreuses nations. Ces banques ne dépendent plus d'habiles individus, tels que Nathan Rothschild. Il y a quelques années, la question de l'appartenance était importante, mais plus maintenant.
Par exemple, la Banque "d'Angleterre" et la Banque "de France" furent toutes deux nationalisées après la 2ème Guerre mondiale, et rien ne changea, absolument rien.
France : 1945 / 1975, "30 Glorieuses", années de progrès économiques.
1973 : Loi Pompidou / Giscard, dite Loi Rothschild, fin des prêts à taux équivalents à zéro de la Banque de France. Le président Pompidou était un ancien de la banque Rothschild !
Elles se sont maintenues en place, ont continué à croître, désormais protégées par de nombreuses lois. Elles ont corrompu les politiciens et acheté les media, et sont toujours aussi imperturbables au changement des générations. Les trois siècles précédant leur ont accordé une aura de respectabilité. Elles continuent d'évoluer au sein d'un système que personne ne remet en question. Et leurs représentants se comptent parmi les innombrables conseils d'administration d'organisations philanthropiques.
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Se focaliser aujourd'hui sur des individus ou des familles en particulier, ou essayer d'identifier qui sont les actuels détenteurs du pouvoir n'est pas utile à la cause, et ne sert que de diversion. Le problème est plus important que ça. Il s'agit d'un système bancaire corrompu qui s'est maintenu et se maintient encore afin de consolider les richesses aux mains de quelques-uns seulement. Voilà notre problème économique aujourd'hui. Changez les noms des principaux acteurs d'aujourd'hui, et le problème perdurera, il n'y a aucun doute là-dessus.
Idem parmi les masses bureaucratiques de la Banque mondiale, des banques centrales et des banques internationales, seule une infime fraction a une idée de ce qui se passe réellement. Il y a fort à parier qu'ils seraient horrifiés d'apprendre que leur travail consiste en fait à entraîner un terrible appauvrissement et une progressive mise en esclavage de l'humanité, en faveur de quelques immensément riches ploutocrates.
Donc, il ne faut pas pointer du doigt quelques individus, le problème transcende également le spectre politique normatif d'une "droite" ou d'une "gauche". Que ce soit le communisme, le socialisme, ou même le capitalisme, tous ont été utilisés par les trafiquants de monnaie. Aujourd'hui, ils profitent des deux bords du nouveau spectre politique. Le grand état-Providence prôné par la dite "gauche" contre le néo-conservatisme "laissez faire" capitaliste de la "droite", souhaitant un état le moins actif possible. Dans tous les cas, ce sont les banquiers qui gagnent.
La réforme monétaire est l'action politique la plus importante que cette nation doive affronter.
Pourquoi sommes-nous si endettés ?
Parce que nous travaillons dans un système où l'argent est de la dette émise et contrôlée par les banquiers privés (centraux ndlr.). Certains pensent que la Federal Reserve (FED) est une agence du gouvernement, mais le Président ne désigne que tous les 4 ans deux des sept membres de l'équipe dirigeante de la FED. Et il les désigne pour une durée de 14 ans, 4 de plus que ses possibles mandats (4 ans plus 4 ans). La vérité est que le président ne nommerait jamais une personne que Wall Street n'approuve pas.
Certains disent que la FED ne souhaite que la stabilité monétaire. Eddie George, le directeur de la Banque d'Angleterre (1993-2003) nous dit que c'est le rôle primordial d'une banque centrale. En fait, le curseur de la stabilité économique montre une faillite totale de cette affirmation.
Ainsi, en comptant les 25 premières années de son existence, la FED a causé trois grandes crises économiques, y compris la Grande Dépression, et en moins de 30 ans, elle a conduit l'économie américaine dans une période d'inflation jamais vue jusque-là.
Encore une fois, il ne s'agit pas d'une théorie conspirationniste, il s'agit d'un fait parfaitement connu des meilleurs économistes. Comme l'a rappelé le prix Nobel d'économie Milton Friedman :
"La quantité de monnaie, les prix et la production sont décidément plus instables depuis la création du système de la Réserve fédérale qu'auparavant.
La période la plus dramatique de la production fut biensûr la période entre les deux guerres, laquelle inclut les sévères contractions monétaires de 1920-1921, 1929-1933, et 1937-1938.
Aucune période dans l'histoire américaine ne connaît d'aussi violentes contractions. Cette évidence me persuade qu'au moins un tiers de l'augmentation des prix durant et après la Première guerre mondiale est attribuable à l'établissement du système de la Réserve fédérale et que la sévérité de chaque contraction majeure, 1920-1921, 1929-1993 et 1937-1938, est directement imputable aux différentes actions des autorités de la FED.
N'importe quel système donnant autant de pouvoir et autant de discrétion à un si petit groupe d'hommes ayant pu faire autant d'erreurs, excusables ou pas, et dont les conséquences sont si importantes, est au final un mauvais système. C'est un mauvais système pour ceux qui croient en la liberté, uniquement parce qu'il accorde à quelques hommes d'aussi grands pouvoirs décisionnels, sans que le pouvoir politique n'ait son mot à dire.
Voici l'argument clé contre toute indépendance de la banque centrale.
Pour paraphraser George Clemenceau, "La monnaie est une chose trop sérieuse pour la laisser aux mains des banquiers centraux.""
Nous devons apprendre de notre histoire avant qu'il ne soit trop tard.
Pourquoi les politiciens ne peuvent-ils pas contrôler la dette fédérale ?
Parce que toute notre monnaie est créée à partir de dette. Encore une fois, c'est un système de monnaie-dette.
Notre monnaie est initialement créée pour acheter d'innombrables obligations gouvernementales américaines.
Que pouvons-nous faire contre cela ?
Nous pouvons nous débarasser totalement de la dette du pays, en 1 ou 2 ans, simplement en achetant des obligations avec des billets américains sans dette, tout comme Abraham Lincoln en avait émis (greenbacks).
Biensûr cela pourrait entraîner une inflation énorme du fait que notre monnaie est actuellement multipliée à cause du principe bancaire des réserves fractionnaires.
Mais il existe une solution ingénieuse, proposée en partie par Milton Friedman, consistant à maintenir la quantité de monnaie stable, tout en évitant l'inflation et la déflation, et en diminuant également la dette. Alors que le Trésor achète des obligations sur le marché ouvert avec des billets US, les fonds propres des réserves des banques locales seront proportionnellement augmentés, ainsi le montant d'argent en circulation sera constant. Dès que les obligations sont achetées avec des billets du Trésor US, elles seront déposées en argent disponible immédiatement, cette monnaie étant nécessaire pour les banques afin d'augmenter leurs réserves. Une fois que toutes les obligations américaines seront remplacées par des billets US, les banques auront des réserves proches de 100%, au lieu de l'actuel système des réserves fractionnaires. A ce moment-là, l'immeuble de l'ex FED servira uniquement de coffre pour les chéquiers et les billets US. La loi sur la Réserve fédérale ne sera plus nécessaire et pourra être abrogée. Le pouvoir monétaire pourra revenir à nouveau au Département du Trésor. Il n'y aura plus d'expansion ou de contraction monétaire par les banques.
Grâce à ce moyen, la dette nationale peut être remboursée en seulement un an. Et la FED, ainsi que le système des réserves fractionnaires pourront être abolis, sans banqueroute nationale, effondrement financier, inflation, déflation ou n'importe quoi qui pourrait affecter les modes habituels du commerce des Américains.
Pour une personne lambda, la différence est que pour la première fois depuis que la loi de la Réserve fédérale a été passée en 1913, les impôts commenceront à baisser... Une réelle bénédiction nationale pour vous, un peu moins pour les amis banquiers d'Hamilton.
Nous avons proposé une loi sur la réforme monétaire, elle se trouve à la fin de cette video.
Indubitablement, les banquiers argueront que l'émission monétaire débarrassée de sa dette causera une importante inflation, et ils feront d'autres prédictions tout aussi apocalyptiques, mais rappelez-vous que c'est le système des réserves fractionnaires qui est la cause de 90% de toute l'inflation, et non pas les billets sans dette utilisés pour rembourser les déficits gouvernementaux.
Notre système des réserves fractionnaires et le système bancaire basé sur la dette sont les réels problèmes.
Comme l'a dit dans les années 1920, le directeur de la Banque d'Angleterre, sir Josiah Stamp, en évoquant le système bancaire moderne des réserves fractionnaires :
"Les services bancaires ont été conçus dans l'iniquité et le péché. Les banquiers possèdent la planète terre. Eloignez-les d'elle, mais laissez-leur le pouvoir de créer la monnaie et de contrôler le crédit, et ils créeront d'un trait de plume assez d'argent pour l'acheter à nouveau. Ecartez les banquiers de cet énorme pouvoir, et toutes les grands fortunes comme la mienne, disparaîtront ou devront disparaître, au bénéfice et à la joie du monde dans lequel nous vivons.
Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banquiers, et payer le prix de votre propre mise en esclavage, laissez-les continuner de créer de la monnaie et contrôler le crédit. "
Comme Milton Friedman l'a souvent souligné, il n'y a pas de profonde dépression économique sans forte contraction monétaire.
Dans notre système, seule la FED et la BRI (Banque des règlements internationaux), avec la coopération des banquiers des Etats-Unis, ou la combinaison des grands banquiers de Wall Street, peuvent causer une dépression.
EN d'autres termes, notre économie est si importante et résiliente qu'une dépression ne peut pas être causée par un simple accident. A mesure qu'ils réformaient le système bancaire, ils étendaient sans cesse leur pouvoir, afin de contracter ou de faire croître notre économie, selon leur bon vouloir.
La seule solution est d'abolir la FED et le système des réserves fractionnaires, et de se retirer de la BRI. Ce sont les seuls moyens qui briseront le pouvoir des banques internationales sur notre économie.
Et gardez à l'esprit que la seule bourse des échanges, ne peut pas causer de sévère dépression. Seule une très violente contraction de l'offre monétaire peut causer une très vilaine dépression. L'effondrement de la bourse en 1929 entraîna le transfert de richesse de 3 milliards de $. La FED diminua le crédit de 33% durant les quatre années suivant 1929, avec le résultat d'un transfert de de 40 milliards de $ appartenant aux classes moyennes US, au seul profit des grandes banques. Ensuite, l'indépendante FED maintint cette contraction monétaire durant une décennie entière. Seule la 2ème Guerre mondiale mit fin aux souffrances infligées par la FED au peuple américain.
Si nous commençons à réformer le système monétaire, les trafiquants de monnaie feront ce qu'ils ont fait en 1929 et 1930: faire effondrer la bourse des échanges, et utiliser cette excuse pour diminuer l'émission monétaire.
Mais si nous sommes déterminés à lutter pour récupérer le contrôle de notre monnaie, nous pouvons redresser la situation, peut-être en quelques mois, à mesure que les billets du Trésor circuleront et remplaceront les billets (avec la dette) émis par les banquiers.
Certains se demandent pourquoi les banquiers internationaux provoquent des dépressions économiques. Ne tuent-ils pas la poule aux oeufs d'or ? Rappelez-vous ce que disait Larry Bates, au début de cette video :
"En période de bouleversement économique, de crise économique, la richesse n'est pas détruite, elle est seulement transférée.."
Avons-nous des indications sur les futurs projets des trafiquants de mon
naie à notre encontre ? Voici ce que disait David Rockefeller, le directeur de la Chase Manhattan Bank, la plus grande banque de Wall Street :
"Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une gigantesque crise, les nations accepteront ensuite le Nouvel Ordre Mondial."
Ainsi, une crise est-elle nécessaire pour accomplir plus rapidement leur projet. La question est de savoir quand cette crise arrivera-t-elle ?
Les incessantes augmentations d'impôt, la perte de centaines de milliers d'emplois délocalisés font que les classes moyennes américaines sont en grand danger. Merci au passage aux accords commerciaux de libre-échange comme le GATT (OMC), ou NAFTA (ALENA). Sans réformes, les classes moyennes seront sacrifiées, laissant seulement place aux très riches et aux très pauvres, comme on le voit déjà dans de nombreuses parties du monde.
Au fil des années, nous avons été avertis par des membres du Congrès, des présidents, des industriels ou des économistes. Les chefs religieux ont aussi averti du danger. En 1898, le pape Léon XIII disait cela :
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Léon XIII |
"D'un côté nous avons un camp qui possède le pouvoir parce qu'il possède la richesse, qui a sous emprise tout le travail et tout le commerce; qui manipule pour son seul bénéfice et son seul intérêt toutes les sources d'approvisionnement , et qui est lui-même puissamment représenté dans les cercles politiques. De l'autre côté, il y a la multitude indigente et impuissante, malheureuse et en souffrance.
L'usure rapace, qui bien que condamnée plusieurs fois par l'Eglise, reste sous une forme différente mais tout aussi coupable pratiquée par des hommes avares et cupides.
C'est ainsi qu'un petit nombre d'hommes très riches, est capable de maintenir les masses dans la pauvreté presque mieux que ne peut le faire l'esclavage."
Plus récemment, pendant la Grande Dépression US, le pape Pie XI parlait du même problème :
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Pie XI |
"De nos jours, ce n'est pas seulement la richesse qui est accumulée, mais ce sont aussi un pouvoir immense ainsi qu'une domination économique despotique qui sont concentrés entre les mains de quelques-uns.
Ce pouvoir devient particulièrement irrésistible quand il est exercé par ceux qui, contrôlant la monnaie, sont capables de disposer du crédit, de déterminer son débit, et de maîtriser pour ainsi dire les artères de tout le corps économique, empoignant entre leurs mains, le coeur tout entier de l'économie, de façon à ce que personne n'ose même respirer contre leur volonté."
Informez vos amis.
Lorsque la dépression arrivera, il y aura les conservateurs qui proposeront les solutions ficelées par les banquiers internationaux.
Attention au retour du standard or. Parce qu'il n'y a jamais eu auparavant autant d'or sous la coupe d'institutions internationales, comme la Banque mondiale ou le Fond Monétaire International. Rappelez-vous en 1929 nous avons déjà eu une monnaie adossée à l'or et durant les quatre premières années de la Grande Dépression...
Attention également aux monnaies régionales, et même mondiale, ce sont des chevaux de Troie des banquiers internationaux.
Nous espérons contribuer efficacement au débat national sur la réforme monétaire. Il convient à chacun de faire son devoir, de rester cohérent dans son projet de vie.
Que Dieu nous éclaire afin de réformer notre nation et de nous faire progresser nous-mêmes.
Comme le disait le pape Pie XI :
"De quoi un homme profiterait-il le plus qu'une meilleure distribution et utilisation des richesses, à quoi lui servirait-il de posséder le monde entier si c'est pour perdre son âme ?
A quoi cela servirait-il de leur apprendre les principes en économie, si ils se permettent cela, par pur égoïsme, par démesurée et sordide cupidité, 'en entendant les commandements du Seigneur, ils font tout le contraire.'". »
. 100e anniversaire de la FED : d'un monde libre à un monde communiste
. Argent dette : la Banque d’Angleterre vend la mèche
. Money as debt - L'argent dette (Le documentaire de Paul Grignon - 2006)
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Money Masters, How international bankers gained control of America. Les maîtres de la monnaie, Comment les banquiers internationaux ont pris le contrôle de l'Amérique |
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Abraham Lincoln |
[...] Peu importe si on fait passer une nouvelle loi constitutionnelle permettant d'équilibrer notre nouveau budget [Ndlr. en France par exemple, l'engagement du gouvernement le 27 octobre d'économiser 3,6 milliards pour le budget 2015, a pu donner l'impression d'une maîtrise du déficit alors que la cause du déficit budgétaire depuis 1973 - loi Rothschild Pompidou - n'est jamais dénoncée et que la dette ne cesse d'augmenter], notre situation ne va faire qu'empirer si l'on ne traite pas le problème à sa source.
Quelle est la solution à ce problème national ?
Premièrement, informer. C'est l'objectif de cette video.
Deuxièmement, nous devons absolument reprendre le contrôle de notre propre monnaie.
[...] C'est cette même solution qui a été envisagée à différents moments de l'histoire des Etats-Unis, par Benjamin Franklin, Thomas Jefferson, Andrew Jackson, Martin Van Buren et Abraham Lincoln.
En 1913, le Congrès a créé une Banque centrale indépendante mensongèrement dénommée ""Federal Reserve" (Réservé fédérale), un monopole permettant d'émettre la monnaie américaine. La dette générée par cette firme quasi privée tue l'économie américaine.
Qui sont des "trafiquants de monnaie" dont parlait James Madison ?
[...] 1000 ans après la mort de Jésus-Christ, les trafiquants de monnaie ont été actifs dans l'Angleterre médiévale. Ils manipulaient toute l'économie anglaise. Ils étaient les fondeurs d'or ou artisans appelés "goldsmiths". Ils ont été les premiers banquiers dans le sens où ils ont commencé à stocker l'or des autres dans leurs propres coffres.
Le premier papier monnaie était un simple reçu équivalent à l'or entreprosé par les goldsmiths. Le papier monnaie était utilisé car il évait de transporter avec soi d'importantes quantités de pièces d'or et d'argent.
Les goldsmiths se sont ensuite aperçus qu'une fraction seulement des déposants venait retirer leur or en même temps. Ils commençèrent à abuser du système. Ils s'aperçurent qu'ils pouvaient imprimer plus de billets qu'ils n'avaient d'or en leur possession et que personne ne s'en apercevrait. Ils purent ainsi utiliser ce surplus d'argent et recevoir les intérêts correspondants. C'est le début du système bancaire des "réserves fractionnaires".
Ils purent ainsi prêter beaucoup plus d'argent qu'ils n'en avaient en réalité dans leurs réserves.
Ainsi, si vous déposiez 1000 dollars en or dans leurs coffres, ils pouvaient faire crédit à d'autres personnes pour 10 000 $ en papier monnaie, et gagnaient encore des intérêts dessus. Et personne ne s'apercevaient de la supercherie.
Par ce procédé, les goldsmiths sont devenus de plus en plus riches et en ont profité pour acheter toujours plus d'or.
Aujourd'hui, ... toutes les banques des Etats-Unis ont le droit de proposer 10 fois plus d'argent qu'elles ne possèdent d'argent en réserve.
Sans compter les taux d'intérêt à 8% annuel, en réalité il ne s'agit donc pas de 8% de revenus par an mais bien de 80%.
Voilà pourquoi les immeubles bancaires sont toujours les plus grands des villes...
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Abbaye de Westminster (Londres), construite dans le style gothique français au XIIIe siècle. |
Au "Moyen Âge", le droit canonique de l'Eglise catholique interdisait formellement de prêter de l'argent avec intérêt.
Ce concept avait déjà été édicté par Aristote et saint Thomas d'Aquin.
L'intérêt était contraire à la raison et à la justice.
En accord avec les règles de l'Eglise au "Moyen Âge", l'Europe a interdit les intérêts sur prêts de monnaie et qualifait ce délit d'"usure".
Pour tous les penseurs, quelque soit la religion, la fraude, l'oppression des pauvres, et l'injustice étaient clairement immoraux.
Comme nous allons le voir, le prêt des réserves fractionnaires correspond à une fraude, induit une augmentation de la pauvreté, et réduit la valeur de l'argent pour tous les utilisateurs de cette monnaie.
Dans les années 1500, le roi Henri VIII assouplit les règles contraignantes contre l'usure. Les trafiquants de monnaie sautèrent sur l'occasion. Ils mirent en ciculation de façon importante et durant des décennies des pièces d'or et d'argent. Mais quand la reine Marie I accéda au trône d'Angleterre, elle réactiva les anciennes lois contre l'usure. Les trafiquants de monnaie accumulèrent tout l'argent métallique en circulation, plongeant l'économie dans le chaos. Quand la soeur de Marie I, Elisabeth I fut couronnée, elle fut déterminée à reprendre le contrôle de la monnaie anglaise. Sa solution fut de mettre en circulation les pièces d'or et d'argent du trésor public et de contrôler l'approvisionnement, à l'abri des trafiquants de monnaie.
[...] La "révolution anglaise" de 1642.
Financé par les trafiquants de monnaie, Olivier Cromwell a détrôné le roi Charles Ier, purgé le parlement et fait exécuter le roi. Immédiatement cela a permis aux trafiquants de monnaie de consolider leur pouvoir financier. Le résultat fut que dans les 50 années suivantes, les trafiquants de monnaie plongèrent la Grande-Bretagne dans une série de guerres coûteuses. Ils s'approprièrent un terrain de 1000 miles carrés dans le centre de Londres, plus connu aujourd'hui sous le nom de City of London. Cette zone est encore considérée comme l'un des trois centres financiers majeurs du monde.
Le conflit avec la branche des Stuart permit aux trafiquants de monnaie de s'allier avec les Pays-Bas pour financer l'invasion de Guillaume d'Orange en 1688 dans le but de se débarrasser des Stuart du trône d'Angleterre.
La Banque d'Angleterre.
A la fin du XVIIe siècle, l'Angleterre était ruinée financièrement. 50 années de guerre continue contre la France et les Pays-Bas l'avait considérablement affaiblie. Désespérés, les membres du gouvernement se tournèrent vers les trafiquants de monnaie afin d'avoir des crédits leur permettant d'atteindre leurs objectifs politiques.
Le prix fut élevé: le gouvernement fonda une banque centrale privée pouvant émettre de la monnaie, créée à partir de rien.
C'est ainsi que naquit la première banque centrale possédés par des intérêts privés et sournoisement appelée la "Banque d'Angleterre" afin de faire croire à la population qu'elle faisait partie du gouvernement, alors que cela n'était pas le cas.
Les investisseurs dont les noms n'avaient jamais été révélés, étaient supposés apporter comme capital 1,25 millions de livres anglaises en pièces d'or, afin d'acheter leurs actions bancaires. Mais seulement 750 000 livres furent comptabilisées.
Malgré cela, la banque fut établie en 1694 et commença à proposer plusieurs fois la quantité d'argent, qu'elle ne possédait en réalité pas en réserve, le tout avec des intérêts bancaires. En échange, la Banque prêta aux politiciens britanniques tout l'argent dont ils avaient besoin aussi longtemps que la dette pourrait être remboursée par les impôts payés par le peuple britannique.
La légalisation de la Banque d'Angleterre équivaut en quelque sorte à une fraude permettant aux intérêts privés de la banque de s'emparer de la circulation monétaire nationale.
Malheureusement à présent, quasiment toutes les nations du monde ont une banque centrale aux mains d'intérêts privés, se servant de la "banque d'Angleterre comme modèle".
Le pouvoir de cette première banque centrale fut tel qu'il prit bientôt le contrôle total de l'économie nationale. Cela équivaut ni plus ni moins à une ploutocratie ou à une prise du pouvoir par les riches. C'est comme donner le pouvoir à l'armée ou à la mafia. Le danger de la tyrannie est extrême.
L'escroquerie d'une banque centrale privée est en fait un impôt déguisé.
La nation vend des obligations à la banque centrale, et les hommes politiques, alors qu'ils ne sont pas habilités à le faire, décident des hausses d'impôt pour rembourser la dette. Mais ces obligations sont achetées avec de l'argent que la banque centrale crée à partir de rien.
Plus d'argent en circulation signifie une diminution de la valeur de l'argent.
Le gouvernement obtient tout ce qu'il veut mais le peuple le paye par de l'inflation.
La nation britannique fut inondée de monnaie, les prix doublèrent dans tout le pays.
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Inflation au Royaume-Uni entre 1750 et 1998 Source: History of UK inflation (ONS & House of Commons Research Paper 02/44, July 11, 2002) |
En 1698, la dette du gouvernement avait augmenté de 1,25 initialement à 16 millions de livres. Les impôts ont augmenté sans cesse afin de payer tout cela.
Avec la monnaie britannique assujettie, l'économie anglaise connut une succession de croissances et de dépressions. Exactement le genre d'inconvénients que la banque centrale était censée empêcher...
L'ascension des Rothschild.
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Mayer Amschel Bauer Rothschild (1744-1812)
Son ascension s'accéléra lorsqu'il obtint les faveurs du prince Guillaume IX de Hesse, ami de la dynastie maçonnique de Hanovre et dont la mère était Marie de Hanovre, princesse de Grande-Bretagne
Il prit part, en sa présence, à des rencontres de francs-maçons en Allemagne. |
50 ans après que la Banque d'Angleterre ait ouvert des portes un goldmsith juif du nom de Mayer Amschel Bauer (1744-1812) ouvrit en 1743 à Francfort en Allemagne un commerce de négoce dont il était le comptable. Au-dessus de la porte d'entrée il plaça un blason représentant un aigle romain sur un bouclier rouge. Le commerce fut connu sous le nom de "bouclier rouge", en allemand "roten-schild". Quand son fils Amschel mayer Bauer (1773-1855) hérita du négoce il décida de changer le nom en "Rothschild".
Amschel se rendit compte que prêter de l'argent aux gouvernements et aux rois était plus rentable que de prêter à des individus privés. Les prêts sont non seulement plus importants mais ils sont garantis par les impôts nationaux.
Mayer eut 5 fils. Il les intia à toutes les possibilités permettant de faire de l'argent et les envoya dans les grandes capitales européennes dans le but d'ouvrir des succursales de l'entreprise familiale.
Son premier fils Amschel Mayer (1773-1855) resta dans l'établissement financier familial à Francfort.
Le second fils, Salomon, partit à Vienne en Autrice.
Le troisième fils, Nathan (1777-1836), le plus doué, fut envoyé à Londres à l'âge de 21 ans, en 1798, soit 100 ans après la fondation de la Banque d'Angleterre.
Karl, le quatrième fils, partir à Naples en Italie.
Le cinquième fils, Jacob, s'établit à Paris. [il participera avec sa famille au financement de l'effort de guerre de la coalition menée par la Grande-Bretagne contre Napoléon Ier. Ndlr.]
Avec Napoléon en action (et la Révolution "en marche" en Europe... Ndlr.), les opportunités d'investissement dans la guerre étaient illimitées. [Ndlr. Selon le livre de Jüri Lina, "Sous le signe du scorpion" (Stockholm 1998), c’est Mayer Amschel, fondateur de la dynastie des Rothschild, qui depuis Francfort, finança les Illuminés de Bavière d'Adam Weishaupt. Le contrôle des maçonneries fut solennellement scellé au château de Wilhelmsbad (relire le Balsamo d’A. Dumas), château propriété de... Mayer Amschel Rothschild, le 16 juillet 1782. C’est à l'occasion de ce "convent" de Wilhelmsbad que la Révolution dite "française" décida la mort de Louis XVI et de Gustave de Suède (cette information recoupe celle de l'abbé Barruel et de Mgr Delassus...) La tête de l’empereur Léopold d’Autriche fut également mise à prix. Ces trois assassinats furent exécutés. Un comité secret de la Révolution fut constitué. On y retrouve un certain nombre des futurs "vedettes" politiques de cette période, notamment Talleyrand, Mirabeau (qui voyant Louis XVI arriver aux Etats-Généraux déclara "voici la victime"...) côtoyant des magiciens ou philosophes tels que Mesmer, Cagliostro, Lavater, L.C. de St Martin, etc.. Aux Etats-Unis, les illuminati oeuvreront pour que les U.S.A. s’inspirent du système bancaire des pays européens (Angleterre, France) et confient l’émission et la circulation de leur monnaie à des organismes privés (FED) afin d’endetter l’État à des taux d’intérêt non maîtrisables. Jüri Lina est l'auteur du documentaire "Dans l'Ombre d'Hermès, les secrets du communisme"]
Nathan Rothschild déclara qu'en 17 ans de présence en Angleterre il avait multiplié son capital de 20 000 livres donné par son père par plus de 2500 fois.
S'entraidant familialement, la richesse des Rothschild augmenta encore considérablement.
Vers le milieu du 19e siècle, ils contrôlaient complètement les banques européennes.
Ils ont financé Cecil Rhodes, permettant à son établissement de posséder le monopole des mines d'or et de diamant en Afrique du Sud.
Aux Amériques ils ont financé les lignes des chemins de fer des Harriman, les lignes de chemin de fer et la presse des Vanderbilt et la sidérurgie des Carnegie, et beaucoup d'autres encore.
Durant la 1ère Guerre mondiale, on pensait que J.P. Morgan était l'homme le plus riche des Etats-Unis, mais à sa mort on se rendit compte qu'il n'était qu'un homme de main des Rothschild. Quand le testament de Morgan a été rendu public, on s'est aperçu qu'il ne possédait que 19% des compagnies J.P. Morgan.
Vers 1850, (en France) James Rothschild était en possession de 600 millions de francs, soit 150 millions de plus que toutes les autres banques françaises réunies.
A présent, observons les résultats engendrés par la Banque d'Angleterre sur l'économie britannique et comment ils furent une des raisons de la "Révolution" américaine.
La Révolution américaine.
Les Anglais ont dû endurer 4 guerres coûteuses en Europe depuis la création de leur Banque centrale privée, la Banque d'Angleterre.
Pour financer ces guerres, le gouvernement britannique s'est lourdement endetté auprès des banques. Il lança alors un programme afin de réformer les taxes en provenance des colonies américaines, tout cela dans le but de rembourser les intérêts aux banques... Mais aux Amériques, le fouet d'une banque centrale privée n'avait pas encore claqué.
Le parlement britannique vota l'Acte monétaire de 1764 (Currency Act) qui interdisait aux coloniaux d'imprimer leur propre monnaie et les obligeait à payer leurs impôts en pièces d'or et d'argent. Ce qui forçait les colonies à adopter le standard or ou argent.
Pour ceux qui pensent que le retour au standard or serait la solution au problème monétaire actuel, regardez ce qui s'est passé aux Etats-Unis par la suite :
La Banque de l'Amérique du Nord.
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Independence Hall (Philadelphie) |
Après la fin de la Révolution, le Congrès continental se réunit à l'Independence Hall (Philadelphie) avec comme objectif de trouver de l'argent.
En 1781, les "révolutionnaires" désignèrent Robert Morris superintendant financier afin de créer une banque privée centrale. Cet homme était devenu très riche en faisant le commerce de matériel de guerre pendant la révolution.
Appelée "Banque de l'Amérique du Nord", la nouvelle Banque prit pour modèle la "Banque d'Angleterre". Ce qui permit d'appliquer le système des réserves fractionnaires et proposer de l'argent que la banque n'avait pas en réserve, engrangeant ainsi des intérêts considérables. ... Et tout comme la "Banque d'Angleterre", il acquit bientôt un monopole sur la monnaie nationale. Rapidement la menace apparut. La valeur de la monnaie américaine baissa constamment. 4 ans après, en 1785, le bail de la banque ne fut pas renouvelé. Le leader dans cette lutte à mort contre la banque, William Findley, de Pennsylvanie, expliqua ainsi ses griefs :
"Cette institution n'ayant pas d'autres principes que celui de l'avarice, n'a jamais varié d'objectifs : celui d'engranger toute la richesse, le pouvoir et l'influence de l'Etat."
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Alexander Hamilton, Secrétaire d'Etat au Trésor, partisan d'une banque centrale.
Son modèle était la banque dite "d'Angleterre" (première banque centrale dans l'histoire, fondée en 1694). |
Les hommes derrière la Banque de l'Amérique du Nord, Alexander Hamilton, Robert Morris, ainsi que le président de la Banque, Thomas Willing, ne baissèrent pas les bras.
Seulement six ans après, Alexander Hamilton, alors Secrétaire au Trésor, et son mentor Robert Morris soutinrent le projet au nouveau Congrès d'une nouvelle banque centrale privée.
Inventant le nom de la première banque des Etats-Unis, Thomas Willing fut le président de la nouvelle banque centrale. Les individus étaient les mêmes, seul le nom de la banque changeait.
La Convention constitutionnelle.
En 1787, les leaders coloniaux se réunirent à Philadelphie (Pennsylvanie) afin de remplacer les articles posant problème de la Confédération. Comme nous l'avons vu, Thomas Jefferson (futur 3e président de 1801 à 1809, Ndlr.) et James Madison se sont toujours opposés à une banque centrale privée. Ils avaient bien compris les problèmes occasionnés par la "banque d'Angleterre". Ils ne voulaient rien savoir, et comme le disait Jefferson :
"Si le peuple américain permet aux banques privées de contrôler l'émission de leur monnaie, d'abord à cause de l'inflation, puis à cause de la déflation, les banques et les organismes gravitant autour d'elles priveront le peuple de toute ses acquisitions jusqu'à ce que les fils se retrouvent un jour sans toit sur le continent que leurs pères ont conquis."
Alexander Hamilton, Robert Morris, Thomas Willing et les autres banquiers européens n'abandonnèrent pas. Ils convainquirent de nombreux délégués de la Convention constitutionnelle de ne pas accorder au Congrès la capacité d'émettre du papier monnaie. Les délégués se souvenaient du choc inflationniste du papier monnaie durant la révolution. Ils avaient cependant oublié comment le "Colonial Scrip" avait parfaitement bien fonctionné avant la guerre. Mais la banque d'Angleterre ne l'avait pas oublié. Les trafiquants de monnaie ne pouvaient pas laisser les Etats-Unis imprimer de nouveau leur propre monnaie. Ainsi, la Constitution ne trancha pas sur cette question... Cet oubli (volontaire ? Ndlr.) majeur laissa la possibilité aux trafiquants de monnaie de s'engouffrer dans la brèche, exactement comme ils l'avaient prévu...
La première banque des Etats-Unis.
En 1790, moins de trois ans après la signature de la Constitution, les trafiquants passèrent à nouveau à l'action. Le nouveau secrétaire du Trésor fut désigné : Alexander Hamilton proposa au Congrès une loi permettant d'avoir une banque centrale privée. Coïncidence, ce fut la même année que Amschel Rothschild déclara depuis son établissement bancaire de Francfort :
"Laissez moi émettre et contrôler la monnaie d'une nation, et je me moque bien de savoir qui écrit les lois."
Alexander Hamilton fut un agent des banquiers internationaux. Il voulait créer la "Banque des Etats-Unis" et il y réussit.
Quand Alexander Hamilton fut diplômé avocat en 1782, son premier poste fut d'être nommé conseiller de Robert Morris, le responsable de la Banque d'Amérique du Nord.
Quelques années plus tôt, Alexander Hamilton écrivit une lettre à Robert Morris dans laquelle il affirma :
"Une dette nationale, si elle n'est pas excessive, serait pour nous une bénédiction".
Une bénédiction pour qui ?
Après un an d'intenses débats, le Congrès approuva en 1791 le projet d'Hamilton et accorda un bail de 20 ans à l'établissement. La nouvelle banque centrale fut appelée la "première banque des Etats-Unis" ou BOS, à Philadelphie. Elle acquit le monopole total de l'émission de la monnaie américaine. Sachant que 80% des investisseurs du capital étaient aux mains de propriétaires privés, les 20% restant furent détenus par l'Etat fédéral US. Tout comme les précédents Banque d'Amérique du Nord et Banque d'Angleterre, les actionnaires privés n'ont jamais apporté le montant total du capital initial. Le gouvernement US apporta 2 millions de dollars en cash. Ensuite, la Banque utilisa le bon vieux tour de magie du système des réserves fractionnaires.
Tout comme la Banque d'Angleterre, les noms des investisseurs de la nouvelle banque ne furent jamais révélés.
Quelques années plus tard, tout le monde disait que les juifs Rothschild étaient la puissance derrière la vieille banque des Etats-Unis.
Le Congrès "acheta" à la banque afin d'éliminer soit-disant l'inflation. Qu'arriva-t-il ?
Durant les 5 premières années, le gouvernement des Etats-Unis acheta 8,2 millions de dollars à la banque des Etats-Unis. Durant cette même période de 5 ans, les prix augmentèrent de 72%. Thomas Jefferson en tant que nouveau Secrétaire d'Etat, observant l'endettement, fit la déclaration suivante :
"Je souhaite que cela soit possible d'obtenir un seul amendement de notre Constitution afin de préserver le gouvernement fédéral de leur pouvoir d'endettement."
L'ascension vers le pouvoir de Napoléon.
C'est à Paris que fut créée en 1800 la Banque "de France" (sur ordre des banquiers, ndlr.), à l'image de la Banque "d'Angleterre". Mais Napoléon décida que la France devait se délester de toute dette... et il ne fit jamais confiance à la Banque "de France". Il déclara :
"La main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L'argent n'a pas de patrie; les banquiers sont dépourvus de patriotisme et de décence : leur seul objectif est le gain."
Mort de la première Banque des Etats-Unis.
En 1811, un projet au Congrès devait renouveler le contrat de la Banque des Etats-Unis. Les représentants de la Pennsylvanie et de Virginie demandèrent au Congrès de faire voter voter une résolution afin de tuer la banque. La presse indépendante attaquait la banque l'appelant "le grand escroc", le "vautour", "le serpent" ou encore "le cobra". Si nous pouvions à nouveau avoir une telle presse aux Etats-Unis ! (pareil en France !). Le congressman P. B. Porter attaqua la banque et déclara dans l'enceinte même du Congrès :
"Si la concession est renouvelée, le Congrès insérera un serpent dans la Constitution qui un jour empoisonnera jusqu'au coeur les libertés de cette nation."
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Benjamin Franklin. “Join or Die”. Pennsylvania Gazette (Philadelphia), May 9, 1754. Newspaper.
Source: Serial and Government Publications Division, Library of Congres
http://www.loc.gov/exhibits/uscapitol/s1.html |
[Ndlr. Rappelons toutefois que le serpent était précisément premier symbole américain pré-révolutionnaire du franc-maçon Benjamin Franklin, qui avait pour slogan "Join or die" ("Rejoins-nous ou meurs") et que les Treize colonies de l'Empire britannique en Amérique du Nord qui donnèrent naissance aux États-Unis d'Amérique ont été forcées de former une union, symbolisée par le serpent de Benjamin Franklin. Ceci peut être vu à la Bibliothèque du Congrès (Library of Congres) Washington D.C. / USA.]
Le serpent "américain" fut même l'emblème utilisé par les Américains comme symbole sur leur drapeau avant l'adoption des étoiles et des rayures, avec deux de trois bobines autour des unités des soldats britanniques, commandé par Burgoyne et Cornwallis au moment de leur reddition, et formant trois 6... (Image ci-dessous) Source: http://www.loc.gov/pictures/item/96510312/
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Auteur : James Gillray, "The American Rattle Snake." Date Created/Published: [London] : Pubd. by W. Humphrey, No. 227 Strand, 1782 April 12th. |
Certains auteurs avancent que Nathan Rothschild mit en garde les Etats-Unis et qu'une guerre désastreuse menaçait si le contrat de la banque n'était pas prolongé.
Le projet de renouvellement fut rejeté par un seul vote de la Chambre, et éliminé par le Sénat. C'est le 4ème président, James Madison, qui était à la Maison Blanche, et était un opposant fervent à la Banque. Son vice président George Clinton rejeta le projet au Sénat et demanda la disparition (temporaire ?... ndlr.) de la Banque. 5 mois plus tard, l'Angleterre attaqua les Etats-Unis et engagea la guerre de 1812. Mais les Britanniques étaient toujours en lutte contre Napoléon et la guerre de 1812 se termina par un accord en 1814. Il suffirait seulement de 2 ans aux trafiquants de monnaie pour réinstaller avec succès une banque privée, cette fois plus forte que jamais. . .. .
Waterloo.
Certains chercheurs affirment que Napoléon a reçu 5 millions de livres de la Banque "d'Angleterre" afin de se réarmer. Mais il semble que ces fonds provenaient de la banque Uebard de Paris. Cependant, dorénavant, il sera devenu habituel que les banques centrales privées financent en même temps les deux camps opposés d'une guerre. Parce que la dette est le meilleur moyen de s'endetter. Une nation s'endette, quelque soit le montant, pour l'emporter. Le vaincu se voit accorder des crédits pour encore espérer, quand le vainqueur a juste assez d'argent pour l'emporter.
A Londres, Nathan Rothschil cherchait le moyen de prendre le contrôle de la bourse anglaise et même si possible de la banque "d'Angleterre". Il plaça un agent de confiance appelé Rothsworth au nord du champ de bataille, pas si loin de la Manche. Une fois la bataille terminée celui-ci traversa la Manche et il annonça la nouvelle à Nathan Rothschild 24 heures avant le courrier de Wellington. Rothschild se rendit à la bourse de Londres. Il fit sa mine des mauvais jours, parut atteint, les yeux baissés et donna à ses courtiers des ordres à la vente. Les investisseurs attentifs traduisirent Napoléon a gagné et Wellington a perdu. La bourse se mit à chuter immédiatement. Tout le monde vendit ses titres ainsi que les obligations du gouvernement anglais. Les prix se mirent aussitôt à fondre. Nathan Rothschild commença alors à acheter discrètement les titres dévalués grâce à ses agents tenus au courant quelques heures auparavant de la manoeuvre à effectuer. Mythe, légende, Chutzpah ? 100 ans plus tard, le New York Times écrivit que le petit-fils de Nathan Rothschild réclama qu'une décision de justice empêcha la parution d'un livre sur cette histoire financière. La famille Rothschild déclara que cette histoire était mensongère et diffamatoire. Mais la Cour de justice débouta les Rothschild et ordonna à la famille de payer tous les frais de justice adverses. Quoiqu'il en soit, au lendemain de Waterloo, Nathan Rothschild contrôlait non seulement la bourse de Londres mais également la Banque "d'Angleterre". Vers le milieur du 19ème siècle, la famille Rothschild était la plus riche du monde. Une xpert estima qu'elle contrôlait la moitié de la richesse du monde (C'est ce que l'on appelle la "liberté & l'égalité" ! ndlr.)
La deuxième banque "des Etats-Unis".
A Washington, en 1816, le Congrès fit passer une loi créant une nouvelle Banque centrale privée, appelée la deuxième Banque des Etats-Unis. Le gouvernement US contrôlait 20% des actions. La somme payée par le Trésor américain profita immédiatement aux banquiers. Les 80% des actions restantes furent créé à partir de la magie des réserves fractionnaires. Comme par le passé, les actionnaires principaux restèrent dans l'ombre. Mais on sait qu'environ 1/3 des actions fut vendue à des étrangers. Comme le dit un observateur à l'époque :
"Ce n'est pas exagéré de dire que la Seconde Banque des Etats-Unis est autant implantée aux Etats-Unis qu'en Angleterre."
C'est pourquoi en 1816, certains affirment que les Rothschild contrôlait la banque d'Angleterre mais également la nouvelle banque centrale privée aux Etats-Unis.
Andrew Jackson.
Andrew Jackson, élu président en 1828, était déterminé à tuer la banque. En 1832, son slogan de réélection était "Jackson, non à la banque!" Les trafiquants de monnaie (dont Nicholas Biddle) menaçèrent de déclencher une dépression si la banque n'était pas reconduite. Nicholas Biddle admit que la Banque diminuerait l'émission monétaire afin de forcer le Congrès à restituer à la banque ses prérogatives :
"Rien n'affectera le Congrès si ce n'est un peu plus de souffrance. Notre seul espoir est de continuer à contracter l'émission monétaire. Et je n'ai pas de doute que nous finirons par obtenir l'émission monétaire et la restauration du statut initial de la Banque."
La même chose se produit aujourd'hui dans le monde. Nicholas Biddle mit à exécution sa menace. La banque réduisit rapidement l'émission monétaire, empêchant le remboursement des anciennes dettes, et refusant de nouveaux crédits. Cela causa une panique financière suivie d'une dépression importante. Bien sûr, Biddle accusa Jackson d'être responsable de la crise, en l'accusant d'avoir retiré les fonds fédéraux de la banque. Les salaires et les prix ont chuté, le taux de chômage et les banqueroutes ont augmenté. Les journaux blâmaient Jackson à cause de cette situation. Après seulement quelques mois, le Congrès réuni en une "session de panique". Jackson fut officiellement désavoué au cours d'une résolution au Sénat, par 26 voix contre 20. Ce fut la première fois que le Congrès sanctionnait ainsi un président. Jackson répondit :
"Vous n'êtes qu'un nid de vipères ! J'ai essayé de les chasser, et par Dieu Tout-Puissant, ce sont eux qui me chassent!".
Puis un miracle se produisit, le gouverneur de Pennsylvanie se mit à soutenir le Président et à critiquer vertement la Banque. Nicholas Biddle fut supris en public en train de déclarer son plan de chute de l'économie. En avril 1834, la Chambre vota contre le renouvellement de la charte de la Banque. Une Commission spéciale fut désignée pour savoir si la Banque avait provoqué la dépression économique.
Quand la Commission se présenta à l'adresse de la Banque à Philadelphie, avec une ordonnance judiciaire lui permettant d'examiner les registres, Nicholas Biddle refusa de les lui livrer. Il ne lui autorisa pas non plus de vérifier les correspondances avec les membres du Congrès, ainsi que les prêts et avances financières accordés aux membres de la Banque. Il exclut de témoigner tant que la Commission ne retournerait pas à Washington.
Le 8 janvier 1835, Jackson paya la dernière traite de la dette nationale. Un endettement national provoqué par les banquiers achetant les obligations du Trésor en lieu et place des billets du trésor du gouvernement américain, sans endettement et sans intérêts à payer. Il fut le seul président à rembourser la dette nationale. Quelques semaines plus tard (comme par hasard ndlr.), le 30 janvier 1835, un homme nommé Richard Lawrence tenta d'assassiner Andrew Jackson, mais grâce à Dieu, les pistolets se sont enrayés. Lawrence fut reconnu non-coupable pour cause de démence. Les années suivantes, la Deuxième Banque des Etats-Unis cessa d'être la banque centrale nationale. Nicholas Biddle fut plus tard arrêté pour fraude. Jugé, il fut acquitté, mais il eut à nouveau très vite affaire avec la justice.
En fait, Jackson a si bien tué la Banque qu'il faudra 77 ans pour que les trafiquants de monnaie puisse retrouver leurs privilèges.
Abraham Lincoln.
Le système insidieux des réserves fractionnaires restait en vigueur dans les autres banques. Cela alimenta l'instabilité économique dans les années précédant la Guerre civile US.
Les trafiquants de monnaie changèrent de tactique. S'ils ne pouvaient pas obtenir leur banque centrale, les Etats-Unis se verraient mettre à genoux par une guerre civile, de la même manière qu'en 1812, lorsque la Charte de la Première Banque des Etats-Unis ne fut pas renouvelée.
Alors que les trafiquants de monnaie avaient perdu le contrôle 25 ans plus tôt, l'économie américaine était depuis devenue riche. C'était un exemple pour le reste du monde. Otto Von Bismarck, Chancelier d'Allemagne, l'homme qui réunit les états allemands quelques années plus tard, observateur des évènements, déclara :
"La division des Etats-Unis entre deux fédérations de force égale a été décidé en Europe par la grande finance internationale bien avant que ne débute la Guerre civile. Ces banquiers étaient effrayés à l'idée que les Etats-Unis, si ils demeuraient en un seul bloc et une seule nation, puissent obtenir leur indépendance économique et financière, renversant ainsi la domination financière des banquiers sur le monde."
Les trafiquants de monnaie proposèrent de faire crédit à l'Union moyennant des intérêts à hauteur de 24 à 36%. Lincoln répondit : "Merci, mais non."
Abraham Lincoln, au cours d'une conversation, demanda à Dick Taylor les solutions envisagées pour financer les armées de l'Union. Dick Taylor répondit :
"Lincoln, c'est facile; demandez simplement au Congrès de faire une loi autorisant l'impression de billets légaux du Trésor, payez vos soldats avec, et remportez également votre guerre avec."
En 1862 et 1863, Lincoln fit imprimer 450 millions de dollars en nouveaux billets, sans intérêts à payer pour le gouvernement fédéral. Pour les distinguer des autres papier monnaie, ils furent imprimés avec de l'encre verte sur le verso. Voilà pourquoi les billets furent appelés Greenbacks (versos verts).
Lincoln, qui comprit qui tiraient les ficelles, déclara :
"Le gouvernement doit créer, émettre et faire circuler toute la monnaie et le crédit nécessaire, afin de satisfaire les besoins du gouvernement et le pouvoir d'achat des consommateurs.
Le privilège de création et d'émission monétaire n'est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c'est aussi la plus grande opportunité du gouvernement.
En adoptant ces principes..., les payeurs feront l'économie d'énormes sommes d'intérêts. La monnaie cessera d'être le maître pour devenir le serviteur de l'humanité."
Lincoln autorisa quelques banquiers à signer l'Acte bancaire national. Ces nouvelles banques nationales privées seraient exemptées d'impôts et auraient le monopole sur la création d'une nouvelle forme de monnaie : les Banknotes, billets de banque. Les greenbacks continueraient de circuler et leur nombre ne serait pas augmenté.
Mais le plus important à noter est que l'intégralité de l'émission monétaire serait créée sans dette par des banquiers achetant des obligations du gouvernement permettant ainsi l'émission de billets de banque.
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Tsar Alexandre II de Russie |
Début 1863, Lincoln reçut un soutien inespéré du tsar Alexandre II de Russie qui, tout comme Otto Von Bismarck en Allemagne, connaissait les plans des trafiquants de monnaie et refusa catégoriquement l'implantation d'une Banque centrale privée en Russie. Si l'Amérique du Nord en réchappait et se sortait de ces griffes, la position du tsar serait également confortée.
Si les grands banquiers réussissaient à diviser les Etats-Unis, à les morceler entre le Royaume-Uni et la France, les deux nations disposant déjà d'une banque centrale, les banquiers menaceraient par la suite également la Russie.
C'est ainsi que le Tsar menaça qu'en cas d'intervention de la l'Angleterre ou de la France en faveur des états confédérés du Sud, la Russie considérerait cet acte comme une déclaration de guerre à la Russie. Le tsar ordonna à sa flotte du Pacifique de stationner au port de San Francisco.
Lincoln fut réélu l'année suivante en 1864. Si il avait vécu assez longtemps il aurait probablement mis fin au monopole des banques nationales qui lui a été imposé pendant la guerre (1er National Banking Act 1863, 2ème National Banking Act en 1864; fin du contrôle du gouvernement sur les banques). Le 21 novembre 164, il écrivait à un ami :
"Les puissances de l'argent oppressent la nation en temps de paix, et conspire contre elle dans les périodes difficiles. Elles sont encore plus despotiques qu'une monarchie, plus insolentes qu'une autocratie, et encore plus égoïstes qu'une bureaucratie."
Peu de temps après qu'Abraham Lincoln fut assassiné, Salmon P. Chase se lamenta un an plus tard de sa responsabilité dans la signature du 2ème Acte bancaire national.
Le chancelier Otto Von Bismarck déplora la mort d'Abraham Lincoln :
"La mort d'Abraham Lincoln est un désastre pour la Chrétienté. Aux Etats-Unis, il n'y a pas un seul homme qui ne lui arrive à la cheville. Je crains que les banquiers étrangers avec leurs esprits tortueux et machiavéliques ne prennent entièrement le contrôle des richesses de l'Amérique et l'utilisent pour corrompre méthodiquement la civilisation moderne. Ils n'hésiteront pas à plonger le monde chrétien dans les guerres et le chaos jusqu'à ce que la planète entière ne tombe entre leurs mains."
Bismarck comprenait parfaitement le plan des trafiquants de monnaie.
Les allégations sur la responsabilité des banquiers internationaux concernant l'assissant de Lincoln viendront en 1934 du Canada, soit 70 ans plus tard.
Gerald G. McGeer, un populaire et respecté avocat, fit de surprenantes accusations au cours d'un discours de 5 heures, à la Chambre des Communes du Canada, au cours duquel il critiqua l'endettement du Canada à cause du système bancaire.
Souvenez-vous qu'en 1934 nous sommes au paroxysme de la Grande Dépression et que celle-ci a aussi affecté le Canada. McGeer avait obtenu les preuves dans les archives publiques fournies par des agents des services secrets présents au procès de John Wilkes Booth (l'assassin d'Abraham Lincoln, ndlr.), après sa mort. Gerald McGeer affirma que Booth était un mercenaire au service des banquiers internationaux. McGeer révéla que Lincoln ne fut pas seulement assassiné parce que les banquiers internationaux souhaitaient une banque centrale privée mais aussi parce qu'ils souhaitaient imposer une monnaie indexée sur l'or. Et ce sont eux qui contrôlent le cours de l'or. Ils voulaient imposer aux Etats-Unis le standard or. Lincoln fit l'exact inverse en émettant les greenbacks US reposant sur la bonne foi et le crédit des Etats-Unis.
Moins de 8 ans après l'assassinat de Lincoln, le système monétaire dus tandard or fut introduit aux Etats-Unis.
Jamais depuis la mort de Lincoln les Etats-Unis ne parviendront à émettre des billets sans s'endetter.
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James Garfiel |
d dans les années 1870
[...] En 1881, le peuple américain élut Président le républicain James Garfield. Garfield comprit comment l'économie avait été manipulée. Après son investiture il prévint publiquement les trafiquants de monnaie en 1881 :
"Quiconque contrôle le volume monétaire d'un pays est le maître incontesté de toute l'industrie et du commerce.
Et quand vous réalisez que le système tout entier est facilement contrôlable, d'une manière ou d'une autre, par des hommes très puissants appartenant à une élite, vous n'avez pas à vous demander d'où viennent les périodes d'inflation et de dépression..."
Quelques semaines après cette déclaration, le 19 septembre 1881, le président James Garfield fut assassiné.
Les trafiquants de monnaie entamèrent la phase qu'ils appellent "tondre le troupeau" en créant une succession de booms économiques et de dépressions. En 1891 ils se préparèrent à faire chuter à nouveau l'économie US.
[...] Ainsi, depuis le passage de l'Acte bancaire national de 1863, ils furent capables de provoquer une succession de booms et de crashs économiques. Le but était de faire admettre que le système bancaire était devenu si instable qu'il fallait le consolider grâce à une banque centrale, une fois encore...
L'Île de Jekyll.
[...] Le partenaire de Warburg était Jacob Schiff qui, comme nous l'avons appris plus tard, finança à hauteur de 20 millions de $ les forces anti tsaristes en Russie.
Ces trois familles bancaires, les Rothschild, les Warburg, et les Schiff s'étaient toutes inter-mariées entre elles au fil des ans, de la même manière que leurs collègues banquiers nord américains, les Morgan, les Rockefeller, et les Aldrich.
Il fallait choisir le nom de la nouvelle banque et vendre le projet au peuple. La discussion s'est passée à l'hôtel Jekyll Island Club.
Aldrich pensait que le nom banque ne devait pas faire partie du nom à donner. Warburg voulait l'appeler la loi sur la "Réserve nationale" ou la loi sur la "Réserve fédérale". L'idée était de donner l'impression que le propriétaire de la nouvelle banque centrale mettrait fin à l'anarchie bancaire, mais aussi d'occulter le caractère monopolistique du nouvel établissement. Ce fut Aldrich, ce politicien égoïste qui insista pour l'appeler loi "Aldrich". Après neuf jours passés sur Jekyll Island, le groupe se dispersa. La nouvelle banque centrale serait très similaire à l'ancienne "Banque des Etats-Unis". Elle aurait le monopole de l'émission monétaire, et la capacité de créer de l'argent à partir de rien.
Comment la Réserve fédérale crée de l'argent à partir de rien ?
C'est un processus en 4 phases: Les obligations sont de simples promesses de paiement émises par le gouvernement. Les gens prennent des obligations afin d'avoir des intérêts sécurisés. Une fois le bon arrivé à échéance, le gouvernement le rachète, avec les intérêts, et l'obligation est ensuite détruite. Il existe aujourd'hui (en 1996) 3 600 milliards de $ d'obligations.
Maintenant, observons le processus de création monétaire de la Réserve fédérale (ou FED) : 1. Le comité du marché ouvert de la FED approuve l'achat des obligations US. 2. Les obligations sont achetées par la FED qui les revendra elle-même sur le marché. 3. La FED paie ces obligations avec du débit électronique et les revend aux banques, ces crédits reposant en fait sur rien, la FED les crée tout simplement. 4. Les banques utilisent ces dépôts comme réserves, elles peuvent prêter à leur tour plus de 10 fois le montant qu'elles possèdent en réserve, aux nouveaux emprunteurs, plus les intérêts.
De cette manière, si la FED acquiert 1 million de $ en obligations, ce sont 10 millions de $ qui se retrouvent dans les comptes des banques. La FED crée 10% de ce nouvel argent alors que les banques créent les 90% restant.
Pour réduire la quantité d'argent dans l'économie, le processus est inversé, la FED vend des obligations au public, et l'argent sort des banques locales. Les prêts doivent être divisés par 10 par rapport au montant vendu. Donc si la FED vend 1 million de $ d'obligations, le résultat est 10 millions de $ de moins dans l'économie.
Peu après sa création, la FED imposa une contraction monétaire importante dans les années 1930, provoquant ainsi la "Grande Dépression".
Il fallait faire croire au public que le gouvernement contrôlait la FED (et non l'inverse). Le plan spécifiait que la FED serait dirigée par un groupe de gouverneurs proposés par le président et approuvés par le Sénat. Mais tout ce que les banquiers avaient à faire était de s'assurer que leurs hommes seraient proposés comme gouverneurs. Ce n'était pas difficile. Les banquiers ont l'argent, et l'argent corrompt les politiciens.
Suite : "Money Masters", les maîtres de la monnaie (2/2)
Dans une société en proie au chômage, à la misère et à l'explosion des inégalités, au lieu de se remettre en question, le «grand maître» du «Grand Orient de France» (GODF) depuis l'été 2013, Daniel Keller, a lancé hier soir à Lille une campagne publique contre « la dangereuse résurgence de l'antimaçonnisme ». Cette campagne consiste en un cycle de conférences organisées dans huit villes françaises jusqu'en mai, à Strasbourg, Lyon, Avignon, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rouen, sur le thème de « l'antimaçonnisme » qui serait aujourd'hui « avec l'antisémitisme et l'homophobie l'un des trois symptômes de la crise de la République ».
Les frans-maçons ont tellement voulu « changer de civilisation », ils ont été tellement loin dans le détournement des institutions et de l'état de droit, les atteinte aux libertés fondamentales et à la loi naturelle qu'ils sont en train de créer aux-même leurs propres opposants qu'il sera difficile un jour de retenir.
Si l'on prend le thème de l'« homophobie » créé de toute pièce par les loges pour cliver et diviser une énième fois la société, les francs-maçons qui, d'ordinaire se targuent de défendre la « liberté de conscience », sont curieusement absents du débat des atteintes à cette liberté à cause du « mariage » homo qu'ils ont soutenu. Dans ce débat, ils ne proposent rien d'autre qu'une « campagne contre l'anti-maçonnisme ». Cette réponse est un peu courte au regard des conséquences sociales, culturelles et intellectuelles d'une telle «réforme de civilisation» souhaitée par une Christiane Taubira (comme si on changeait de civilisation comme on change de chemise!...)
Ce qui est enjeu c'est, outre la liberté de conscience, c'est la liberté religieuse elle-même (celles des ministres du culte) qui pourraient bientôt être bientôt contraints de « marier » contre leur conscience sous peine d'amende et de prison ! Mais ce n'est pas que cela, c'est la pensée et la raison elle-même qui est attaquée.
Aux Etats-Unis par exemple, s'agissant du «mariage» homo, l'Idaho et le Nevada ont été ajoutés le 7 octobre à la liste des États américains autorisant le « mariage » homo. Vingt-six États autorisent désormais cette union civile. Le lobby homosexualiste soutenu par la franc-maçonnerie a aussitôt entamé une nouvelle campagne contre les églises chrétiennes pour obliger les ministres du culte à « marier » ou aller en prison... Aller en prison c'est quand même mieux qu'être guillotiné au nom de la « liberté ou la mort » qui en 1789 décapita en priorité les petites gens... Mais cela reste une atteinte majeure aux libertés fondamentales. Le 17 Octobre dernier, deux homosexuels ont ainsi pris contact avec M. et Mme Donald et Evelyn Knapp, pasteurs d'une église évangélique pentecôtiste dans la charmante ville de Coeur d'Alene (Idaho) qui rejette le « mariage » homosexuel, comme beaucoup d'autres églises et communautés religieuses. Le maire de gauche Steve Widmyer a des pouvoirs de police importants comme dans de nombreux états américains et peut envoyer en prison ceux qui violent ses ordres. Le maire a ainsi notifié une ordonnance aux conjoints Knapp les enjoignant de célébrer le « mariage » entre les deux homosexuels sous peine de payer une amende de mille dollars par jour de retard dans la célébration du dit «mariage» et 180 jours de prison par jour de retard. En tant que maire - qui semble plus fort en mathématiques qu'en liberté religieuse – il a expliqué que cela signifiait que si les deux vieux bergers maintenaient leur refus pour un mois, soit trente jours, ils devraient payer une amende de 30 000 dollars et rester en prison quatorze ans. Le maire a déclaré qu'il n'y avait pas de violation de la liberté religieuse parce que - contrairement à l'Eglise catholique, mais d'une manière commune à de nombreuses dénominations protestantes - les mariages dans la communauté de bergers Knapp ne sont pas libres, mais soumis à payer une redevance fixe. En outre, sur demande, l'église prend soin des fleurs et de la musique, et de l'impôt régulier, émet une facture qui commence par une société ad hoc. On pourrait penser que cela met les catholiques à l'abri, mais le lobby LGBT veut construire un cas d'école: il pourra ensuite soutenir que même dans l’Eglise catholique, ceux qui s’y marient font une offre, qui constitue un paiement déguisé. Les deux pasteurs ont refusé de « marier » les homosexuels, en disant qu'ils préféraient aller en prison. En France, les maires sont contraints de « marier » sous peine d'amende par jour de retard.
Hier soir donc, dans le temple maçonnique construit il y a tout juste un siècle dans le Vieux-Lille, environ 150 personnes ont assisté à la conférence sur l'antimaçonnisme du XVIIIe siècle à nos jours. Un habitué des lieux a confié que plus d'un tiers des personnes présentes ne faisaient pas partie de l'obédience. «Nous avons décidé de prendre l'antimaçonnisme à bras le corps, d'abord pour le démystifier et puis pour montrer en quoi il était une menace pour les fondements de la République», a déclaré Daniel Keller.
Il est frappant de voir combien les francs-maçons ne voient pas que c'est leur positionnement de division et de clivage permanent, qui va à l'encontre même de l'idée de république comme chose de tous (res publica) et détruit la république mieux que quiconque.
Le philosophe Daniel Morfouace explique que « plus que la bulle papale de Clément XII en 1738, le véritable début de l'antimaçonnisme date de la publication des Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme par l'abbé Barruel à la fin du XVIIIe. » Les francs-maçons diront-ils que l'abbé Barruel a mis en garde deux siècles à l'avance contre le Nouvel Ordre mondial des francs-maçons sous cette «république universelle» voulue par les francs-maçons, ce qu'il qualifia de «régime universel dominateur», citant les Archives de la Secte des Illuminés ? (1)
Selon l'historien Yves Hivert-Messeca, un « climat épouvantable » a régné dans les années 1930 en France pour les maçons avec un projet de loi déposé en 1934 par quatre parlementaires pour son interdiction, finalement rejeté. La franc-maçonnerie sera mise hors la loi quelques années plus tard par le régime de Vichy.
Selon le troisième intervenant, le journaliste Jiri Pragman, « 2014 n'est certes pas 1934 ou 1940, mais il y a une résurgence de l'antimaçonnisme », venant des milieux catholiques hostiles au mariage pour tous, des évangélistes, des musulmans et plus généralement d'internet et des réseaux sociaux. « Tapez sur google «la franc-maçonnerie est une...» vous verrez que le moteur de recherche propose notamment «une secte satanique», a expliqué M. Pragman.
« Nous avons régulièrement des temples qui sont tagués dans différentes villes de France », a souligné Daniel Keller, qui a fait part du désir d'ouverture de son obédience, qui compte 50.000 membres répartis dans 1200 loges. « La maçonnerie ne travaille pas repliée dans ses temples, à l'insu de tout le monde. Nous faisons la démonstration à travers des manifestations comme celle là que nous travaillons à visage découvert avec les portes ouvertes », a-t-il ajouté, plaidant pour « la régénérescence de la République ». (2)
Question : l'échange du serment maçonnique de secret et d'entraide est-il ouvert au public ?
Les francs-maçons sont les représentants d'un monde ancien qualifié de « libéral », qui ne parvient néanmoins plus à enchanter le monde comme il a pu le faire autrefois en trompant les populations avec des slogans creux comme « Liberté & égalité » qui n'ont jamais servi que de prétexte à la libéralisation de la banque, à l'esclavage par la dette et aux travaux forcés. La Révolution vue comme cette faculté de changer le monde (volontarisme) est morte (les gens voient bien que la réalité ne se laisse pas changer indéfiniment et que tôt ou tard la nature reprend ses droits), le Progrès comme sens de l'histoire est mort avec le mythe communiste qui n'a jamais servi que les banques... Le socialisme prend le même chemin de la démystification. Hormis le mercantilisme, la marchandisation des corps et le néo-esclavagisme, les francs-maçons n'ont plus rien à offrir que la division sociale et la haine dans la division. Les révolutions de couleur et autres "printemps" ne sont jamais que des inféodations à l'OTAN. Aucun enchantement n'est possible lorsque l'horizon indépassable est celui de l'argent et de la réussite financière au détriment de son prochain.
Et ce n'est pas tout, après avoir aboli la liberté de conscience, dans leur société idéale, les francs-maçons ont aboli la pensée elle-même. La théorie du genre qu'ils soutiennent est un fascisme du langage et du raisonnement où la raison elle-même est abolie.
Concrètement, à présent, la liberté se réduit désormais à se mouvoir entre quatre murs dont les limites ont été définies dans les loges. C'est le monde Big brother.
Les francs-maçons sont démunis face à la nouvelle génération qui a pris conscience des graves lacunes du vieux monde qu'ils représentent.
Cette nouvelle génération secouera bientôt d'une manière ou d'une autre le joug des dominations qui l'asservissent (argent, finance cupide, corruptions, détournement de la démocratie et obstacles à toute représentation sincère, etc.).
L'abstention, la sécession de la jeunesse de l'Union européenne (73% des 18-35 ans n’ont pas voté aux dernières élections européennes) et le fossé croissant entre le peuple et les élites sont des signes clairs du rejet de la société des dits « bâtisseurs ».
«L'évolution est préférable à la révolution» a déclaré Vladimir Poutine, le vendredi 24 octobre. L'«antimaçonnisme» ne protégera pas les francs-maçons de cette prise de conscience supérieure et de la nécessité de cette évolution naturelle des sociétés vers un monde meilleur.
Personnellement sur Christ-Roi nous ne sommes donc pas contre les francs-maçons, ni même contre la franc-maçonnerie qu'il ne s'agit pas d'interdire (chacun est libre de penser ce qu'il veut... et de s'associer avec qui il veut...). Nous prions pour les francs-maçons et sommes pour leur conversion. Seulement nous pouvons dire qu'à partir du moment où les francs-maçons ont un projet politique (et ils en ont un sinon pourquoi existerait-il une «fraternelle parlementaire» ?), nous sommes pour leur déclaration officielle devant les assemblées.
Lorsque les francs-maçons veulent faire de la politique et avoir des responsabilités publiques, ils doivent venir à la lumière comme tout le monde et déclarer leur appartenance maçonnique au lieu de la cacher sous un obscur serment d'entraide. Cacher l'affiliation secrète à une organisation qui noyaute le pouvoir est un danger pour la république et la démocratie. Que l'on sache qui est qui, qui fait quoi, et qui est responsable de quoi est essentiel dans une société libre avancée.
C'est donc très simple : la transparence démocratique comme la déclaration devant l'assemblée parlementaire de tous les lobbies est une exigence à laquelle les francs-maçons devront répondre tôt ou tard. Se cacher derrière le petit doigt de l'« antimaçonnisme » ne changera rien à la nécessité de cette évolution.
Notes
(1) En 1786, un des hauts adeptes de cette société fut frappé par la foudre près de Ratisbonne. En ramassant son corps, la police bavaroise trouva sur lui des papiers tellement compromettants qu'elle arrêta les principaux membres de la Secte "Illuminati" après avoir saisi et publié tous les documents concernant cette association.
(2) Une campagne contre l'antimaçonnisme Par Lefigaro.fr avec AFP Mis à jour le 26/10/2014 à 11:11 Publié le 26/10/2014 à 11:07 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/26/97001-20141026FILWWW00041-le-grand-orient-en-campagne-contre-l-antimaconnisme.php
. Nouvelle édition (2005) des Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme