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Christ Roi

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22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 06:33
Source: https://uncutnews.ch/wir-erleben-das-comeback-der-experimentellen-impfstoffe-die-nach-der-niederlage-der-nazis-1945-verboten-wurden/

Source: https://uncutnews.ch/wir-erleben-das-comeback-der-experimentellen-impfstoffe-die-nach-der-niederlage-der-nazis-1945-verboten-wurden/

Depuis au moins 2500 ans, la pratique de la médecine repose sur le serment d'Hippocrate : la tâche du médecin est de guérir les malades ou du moins de veiller à ce que leur état de santé ne se détériore pas. Ce principe a disparu depuis les Lumières. Le but de la médecine n'était pas de guérir, mais de savoir. L'attention a commencé à passer du patient au médecin. Le sujet est le médecin et le patient est l'objet, d'où le nom de « patient ».

 

Elle était argumentée avec une conception erronée du « progrès scientifique » qui masquait un problème de classe : des expérimentations étaient menées sur des marginalisés tels que les pauvres, les prisonniers, les internés, les esclaves, les Indiens, les prostituées… Depuis le XVIIIe siècle, les médecins de l'Europe les colonies ont mené des expériences sur des esclaves noirs et leur ont même délibérément inoculé des maladies telles que la variole. En 1884, Pasteur écrivit à l'empereur du Brésil pour lui demander la permission d'infecter les condamnés à mort avec le choléra afin de tester sur eux des traitements médicaux.

 

Dans les camps de concentration, le fascisme exprimait pleinement la "nouvelle médecine". L'unité 731, créée par le Japon en 1932, a tué plus de 10 000 prisonniers qui ont été utilisés comme cobayes humains. En 1944, le médecin-chef de l'armée japonaise Nakamura Hirosato a tué 900 Indonésiens en leur injectant un vaccin expérimental contenant une toxine tétanique modifiée chimiquement. Le Troisième Reich a également mené des expériences à grande échelle sur les antifascistes emprisonnés à Auschwitz, Buchenwald, Dachau et Natzwzeiler. Les médecins nazis ont vacciné les détenus avec des agents pathogènes tels que la typhoïde, la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie à la recherche de vaccins ou pour développer des traitements médicaux.

 

Après la Seconde Guerre mondiale, vingt médecins et trois nazis ont été inculpés de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité et traduits en justice à Nuremberg. Pour leur défense, les nazis ont fait valoir que le serment d'Hippocrate ne s'appliquait pas en temps de guerre et que l'État pouvait placer les intérêts de la science au-dessus de ceux de l'individu au profit du collectif. Cependant, le jugement du tribunal militaire a établi dix critères d'évaluation des expériences médicales, qui sont maintenant connus sous le nom de « Codex de Nuremberg ».

 

La réglementation légale des expériences médicales est donc une conséquence de la défaite du fascisme lors de la Seconde Guerre mondiale. Elle est à la fois nationale et internationale et s'est historiquement construite sur la base du consentement libre et éclairé du sujet. L'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, adopté par l'Assemblée générale des Nations Unies le 16 décembre 1966, stipule que « nul ne peut être soumis à des expériences médicales ou scientifiques sans son libre consentement ».

 

L'Association médicale mondiale, une organisation non gouvernementale de médecins fondée en 1947, a adopté la Déclaration d'Helsinki en juin 1964, qui affirmait le Code de Nuremberg et rappelait la nécessité d'un « consentement libre, éclairé et exprès ». Il existe des dizaines de réglementations similaires dans chaque association professionnelle, dans les répertoires législatifs des différents pays, dans les règles de l'Union européenne telles que la Convention d'Ovideo et dans les organismes internationaux.

 

La conclusion est qu'un médecin qui effectue une expérience sur des personnes sans leur consentement préalable commet un crime grave.

 

En 2002, la Cour européenne des droits de l'homme a jugé que l'imposition d'un traitement sans le consentement du patient constitue « une violation de l'intégrité physique de la personne concernée » et que « la vaccination obligatoire en tant que traitement médical involontaire est une ingérence dans le droit à la vie privée ». .

 

Mais les expériences médicales n'ont pas pris fin en 1945, comme nous l'avons déjà expliqué ici à plusieurs reprises. Dans les années 1940 et 1950, le MIT (Massachusetts Institute of Technology) a donné du granola radioactif à des enfants souffrant de problèmes psychiatriques. Nous avons éclairci le faux traitement des Noirs atteints de syphilis à Tuskegee entre 1932 et 1972, la contamination d'enfants handicapés mentaux par l'hépatite par deux médecins de la Wilowbrook State School de New York entre 1956 et 1972. Il en va de même des expériences sur 20 000 Américains avec la thalidomide, un sédatif responsable de graves malformations fœtales qui ont duré jusqu'en 1961,

 

Le 8 avril dernier, au plus fort de la pandémie, l' arrêt Vavricka de la Cour européenne des droits de l'homme a modifié la jurisprudence en la matière en déclarant que certains vaccins peuvent être rendus obligatoires, ce qui est la pratique actuelle. A l'instar du service militaire, certaines vaccinations sont obligatoires par la loi et sont donc massivement et indistinctement vaccinées, même dès la naissance.

 

Cependant, l'arrêt Vavricka fait référence à un cas de 2015 et à des vaccins qui ont déjà été testés, et non à ceux qui doivent encore être testés, comme c'est le cas pour les vaccins qui sont administrés dans le cadre de la pandémie actuelle et qui le sont grâce à la vague de l'hystérie déclenchée par la pandémie dans le monde n'a reçu qu'une approbation « d'urgence » de l'Agence européenne des médicaments.

 

L'agence elle-même admet avoir accordé hâtivement l'approbation "sur la base de données moins complètes que normalement requises", de sorte que le fabricant est obligé de "fournir des données cliniques complètes à l'avenir". Les rapports d'évaluation européens de l'Agence ajoutent que les laboratoires pharmaceutiques doivent fournir « les résultats de l'étude principale » dans un délai de deux ans.

 

Il ne fait donc aucun doute que nous sommes en présence d'une expérience massive en dehors d'un laboratoire sans précédent dans l'histoire de la médecine. Hormis l'incertitude entourant la nouvelle technique d'ARNm, l'Agence reconnaît qu'"aucune étude de cancérogénicité n'a été menée" pour le vaccin Moderna et "aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n'a été menée" pour les vaccins Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson.

 

Par conséquent, ces vaccins ne peuvent pas être prescrits.

 

Quiconque s'est déjà rendu dans un centre de vaccination peut désormais juger si les agents de santé qui s'occupent des candidats leur posent des questions, leur demandent leur consentement, les informent du caractère expérimental du vaccin avec lequel ils vont être vaccinés, ou s'il le bétail espère-t-il sortir indemne de l'expérience.

 

Les entreprises n'embauchent pas d'employés qui ne sont pas vaccinés et peuvent licencier ceux qui sont déjà sur la liste de paie. Il leur suffit d'inscrire les vaccins sur leurs plans « risques professionnels ». Cela s'appelle-t-il « libre consentement » ou est-ce un crime de coercition ?

 

Demandez à ceux qui ont besoin d'un vaccin de s'inscrire dans une école, de voyager, d'entrer dans un magasin ou d'assister à un concert. Est-ce un consentement ou est-ce un chantage permanent ?

 

En février, la Galice a tenté d'introduire des vaccinations obligatoires, et El Confidencial titrait un article : « Hitler's Galicia is Coming ». Heureusement, la Cour constitutionnelle l'a empêché, du moins pour le moment.

 

En mai, les îles Baléares, communauté autonome dirigée par Francina Armengol, pharmacienne et membre du PSOE, ont approuvé la vaccination obligatoire, mais uniquement pour « certains groupes » de travailleurs qu'elle n'a pas définis. Un autre gouvernement "progrès" que Vox a une nouvelle fois contrecarré le projet de loi, qui a assigné la cour constitutionnelle contre le décret.

 

Source: https://uncutnews.ch/wir-erleben-das-comeback-der-experimentellen-impfstoffe-die-nach-der-niederlage-der-nazis-1945-verboten-wurden/

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22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 06:32
Source: https://uncutnews.ch/hochrangiger-freimaurer-will-mittels-big-reset-zur-weltdiktatur/

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Le même mois où Klaus Schwab publiait son livre sur la "Grande Réinitialisation", le philosophe et franc-maçon italien (33e degré) Giuliano Di Bernardo présentait son livre aux idées totalitaires. De 1990 à 1993, il a été Grand Maître de la Grande Oriente d'Italia et a ensuite fondé la Gran loggia regolare d'Italia - la Grande Loge régulière d'Italie. Aujourd'hui, il dirige sa propre loge : l'Accademia degli Illuminati, qui aurait son siège à Vienne.

 

Elle présente son projet dans son livre « Il futuro di Homo sapiens », paru l'année dernière. Le franc-maçon prône la création d'un « homme nouveau » par une restructuration radicale du monde.

 

Il écrit également que les pandémies seront "normales" à l'avenir. Ils seront alors la règle plutôt que l'exception, estime Di Bernardo. La question n'est donc pas de savoir comment l'empêcher, mais comment le contrôler, dit-il.

 

La seule solution, a déclaré le franc-maçon, est la dictature, et il cite la Chine en exemple. Selon lui, ce pays montre qu'il sait maîtriser les pandémies. Les citoyens ont peur de la pandémie mais ne sont pas encore prêts à accepter le contrôle social qui existe en Chine. Mais, selon Di Bernardo, c'est le seul moyen de contrôler une pandémie.

 

Le franc-maçon n'est pas un défenseur de la démocratie et prône un gouvernement mondial composé d'une petite élite. Une dictature mondiale. Tout indique que les choses vont dans ce sens. Un récent rapport de l'ONU a appelé à la création d'un "système de surveillance mondial", apparemment pour lutter contre les pandémies. En outre, le chef de l'OMS, Tedros, a mis en garde contre une nouvelle pandémie qui serait "encore plus meurtrière".

 

Vers la fin de son livre, Di Bernardo écrit remarquablement que les "Illuminati" doivent être impliqués dans les plans d'un gouvernement mondial dictatorial. Schwab et Di Bernardo puisent-ils aux mêmes sources ? Ont-ils les mêmes objectifs ? Vraisemblablement.

 

SOURCE: WOCHENBLICK

Source: https://www.wochenblick.at/bedrohlich-freimaurer-chef-will-per-great-reset-zur-welt-diktatur/

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22 juillet 2021 4 22 /07 /juillet /2021 06:21
Source: https://uncutnews.ch/karte-der-tyrannei-die-laender-in-denen-impfung-obligatorisch-ist/

Source: https://uncutnews.ch/karte-der-tyrannei-die-laender-in-denen-impfung-obligatorisch-ist/

Comme le note Niall McCarthy de Statista, la France rejoint une liste d'une quinzaine de pays qui ont décidé d'imposer un certain nombre de vaccinations.

 

Comme le montre notre carte, l'obligation n'est jusqu'à présent obligatoire pour l'ensemble de la population que dans trois pays : le Tadjikistan, le Turkménistan et la Cité du Vatican.

Dans d'autres pays, il existe des vaccinations obligatoires pour les travailleurs de la santé ou pour certaines professions qui nécessitent des niveaux élevés de contact humain, notamment au Royaume-Uni, en Italie et en Grèce.

 

Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

En Russie, par exemple, la vaccination des travailleurs des services est obligatoire dans certaines villes comme Moscou et Saint-Pétersbourg, tandis qu'aux États-Unis, l'obligation s'applique seulement dans quelques localités. San Francisco a récemment annoncé qu'elle rendrait la vaccination obligatoire pour les 35 000 travailleurs de la ville.

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21 juillet 2021 3 21 /07 /juillet /2021 18:57

"Les analyses faites sur ces personnes (les doubles vaccinés) montrent qu'elles n'ont plus de chance d'attraper la maladie", a assuré Jean Castex aujourd'hui. (Source: Lci)

 

Or, 85% des contaminés du personnel soignant d'un hôpital en Hollande étaient des vaccinés. En contradiction totale avec les déclarations du Premier ministre. Qui ment selon vous?  (Source)

Alain Houpert : "Ce vaccin ne protège pas ! Il y a quelques mois on citait en exemple l'Israël, l'Angleterre maintenant, on ne les cite plus parce qu'ils sont tous vaccinés et ça flambe donc il y a un problème avec ce vaccin." (Source)

Jean Castex pris en flagrant délit de mensonge (Source)

"Les analyses faites sur ces personnes (les doubles vaccinés) montrent qu'elles n'ont plus de chance d'attraper la maladie", assure Jean Castex

"les personnes vaccinées n'auront plus à s'isoler si elles sont cas contacts", assure Jean Castex dans LE13H de TF1 LCI  

 

Le Premier ministre Jean Castex a indiqué ce mercredi sur TF1 que les personnes doublement vaccinées ne seront plus considérées comme "cas contacts". Ainsi, elles n'auront plus à s'isoler automatiquement pendant sept jours, comme c'est le cas aujourd'hui, si elles croisent une personne positive au Covid-19. Une annonce qui confirme des propos tenus mardi par son ministre de la Santé, Olivier Véran promettant alors une "évolution" des règles en la matière.

 

"Quand vous êtes doublement vacciné, le risque résiduel d'être touché par le Covid est très faible", faisait alors valoir Olivier Véran. "Et le risque de faire des formes graves est encore plus faible que celui-ci". Dans la même ligne, Jean Castex a souligné ce mercredi que "les analyses faites sur ces personnes montrent qu'elles n'ont plus de chance d'attraper la maladie". En prenant cette nouvelle mesure sanitaire, le gouvernement entend prouver, notamment aux plus réticents, que "la vaccination, ça marche" pour endiguer la flambée épidémique.

Source: https://www.lalibre.be/planete/sante/2021/07/20/des-virologues-neerlandais-mettent-en-garde-le-variant-delta-se-propage-egalement-via-les-personnes-vaccinees-Q2YOQY3BHVEYTJBQT4OJLQA6LY/

Source: https://www.lalibre.be/planete/sante/2021/07/20/des-virologues-neerlandais-mettent-en-garde-le-variant-delta-se-propage-egalement-via-les-personnes-vaccinees-Q2YOQY3BHVEYTJBQT4OJLQA6LY/

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21 juillet 2021 3 21 /07 /juillet /2021 17:33
Source: https://uncutnews.ch/in-der-zweiten-woche-in-folge-gab-es-in-den-usa-mehr-todesfaelle-nach-der-covid-impfung-als-todesfaelle-durch-das-virus-selbst/

Source: https://uncutnews.ch/in-der-zweiten-woche-in-folge-gab-es-in-den-usa-mehr-todesfaelle-nach-der-covid-impfung-als-todesfaelle-durch-das-virus-selbst/

uncut-news.ch

21 juillet 2021

Santé / méthodes de guérison / médecine alternative / nutrition

 

Le site Web du VAERS a publié ses chiffres hebdomadaires vendredi. Il y a maintenant 11 140 décès signalés dus au vaccin COVID aux États-Unis. Il s'agit d'une augmentation par rapport aux 9 125 décès signalés lors de la vaccination COVID-19 de la semaine dernière.

 

Le nombre de décès liés aux vaccins a grimpé en flèche cette année en termes absolus. Selon les propres données du CDC.

 

 

La base de données VAERS contient des informations sur les rapports d'événements indésirables non vérifiés (maladies, problèmes de santé et/ou symptômes) suite à la vaccination avec des vaccins homologués aux États-Unis. Le site Web du gouvernement du CDC est lié à la plate-forme VAERS.

 

Il y a deux semaines, le VAERS a signalé 6985 décès liés aux vaccins COVID. La semaine dernière, ce nombre est passé à 9048.

 

Ce nombre est maintenant de 11 140

 

« La base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) contient des informations sur les rapports d'événements indésirables non confirmés (maladies, problèmes de santé et / ou symptômes) suite à la vaccination avec des vaccins homologués aux États-Unis. Les rapports sont acceptés par tout le monde et peuvent être soumis par voie électronique sur www.vaers.hhs.gov. »

 

Plus de 400 000 réactions indésirables au vaccin COVID ont été signalées.

 

La semaine dernière : il y a eu un total de 1 918 décès dus au COVID-19 aux États-Unis.

 

La semaine dernière: il y a eu 2 092 décès dus au vaccin COVID – selon le site Web VAERS lié au CDC.

 

Cela signifie qu'il y a eu 174 décès de plus dus aux vaccins Covid aux États-Unis que les décès de Covid au cours de la semaine dernière.

 

Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux ?

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21 juillet 2021 3 21 /07 /juillet /2021 17:04

Charles Sannat publie un édito (extrait-ci-dessous) qui donne un éclairage historique sur une note des renseignements.

 

Contrairement au tweet de BfmTv, le mouvement n'est pas "anti-vaccin" mais anti-passe sanitaire tout court puisque se trouvent dans les manifestations toutes les catégories de la population, des non vaccinés aux vaccinés eux-mêmes qui ont reçu le vaccin mais qui n'acceptent pas la mise en place d'une société à deux classes, les citoyens qui conserveraient tous leurs droits (sous réserve de masques, confinements, et couvre feu) et les sous-citoyens qui n'auraient droit à plus de vie sociale du tout.

Passe sanitaire : les services de renseignements inquiets. Source: twitter.com/BFMTV/status/1417421721804709888?s=20

Passe sanitaire : les services de renseignements inquiets. Source: twitter.com/BFMTV/status/1417421721804709888?s=20

Selon la note des renseignements, elle (la contestation) se distingue tant par la diversité de ses participants (des retraités, des familles, des membres du personnel soignant, ...) que par son ampleur. (CNews)

 

Extrait de l'édito de Charles Sannat :

 

Comme vous le savez, je considère que la non-violence est un principe fondamental à suivre dans les luttes sociales, car il faut gagner le cœur de la population pour gagner la victoire finale et côté cœur, le déficit de la macronie est une évidence que même la propagande digne de la Pravda de nos grands médias ne peut pas cacher.

 

C’est pour cela que le boycott des lieux où le pass sanitaire est exigé doit être total.

 

En effet, tous les non-vaccinés peuvent accéder à ces lieux sur présentation d’un test PCR. Boycottez tous ces endroits systématiquement. Et les vaccinés et les détenteurs d’un pass, doivent faire de même et c’est aussi la présence importante de vaccinés qui inquiète le pouvoir. Tapez les au cœur, dans l’argent, les profits et les bénéfices.

 

Samedi prochain, il y aura encore de grosses manifestations, sans précédent historique lors des mois de juillet ou août. La chaleur de l’été et le climat orageux réunissent toutes les conditions pour que cela explose à la figure d’un gouvernement et d’un chef de l’Etat qui a décidé de punir sa population.

 

Si le rapport des services de renseignements est juste et si je partage l’essentiel des constat dressés, ils n’ont pas dit le pourquoi.

 

Alors je vais vous dire mon analyse en espérant qu’elle inspire un peu de compréhension à ceux qui nous gouvernent avant qu’il ne soit trop tard pour la stabilité de notre nation, et que de cette compréhension jaillisse un peu de sagesse, et pourquoi pas, un peu aussi d’instinct de survie.

 

Jamais un roi n’a déclaré qu’il allait pourrir la vie des gens !

 

Jamais un roi, jamais un empereur, jamais un président du conseil, ou un président de la république, jamais un dirigeant, dans les 2 000 ans d’histoire de la Gaule de Jules César à nos jours n’a dit ou déclaré qu’il allait pourrir la vie de son peuple et rendre la vie impossible à ses gens. Encore une fois, certains l’ont fait ou certaines politiques menées ont pu conduire à cela, mais jamais, ô jamais cela n’a été le point de départ de décisions politiques.

 

Voilà messieurs du renseignements, la raison profonde de ce qui va déferler sur le pays, voilà la cause de l’incendie terrible qui couve et que vient d’allumer le pompier pyromane de l’Elysée.

 

Il en est le seul et unique responsable et vient de créer les conditions d’un tsunami social et sociétal unissant toutes les catégories de Français ce qui rend de fait la situation considérablement plus dangereuse que lors des protestations des gilets jaunes.

 

Les renseignements sont inquiets ?

 

Ils ont raison.

 

Le pire est devant nous, et là aussi Castex à raison.

 

On ne peut pas décemment pourrir la vie des gens en croyant que tout se passera bien. Et je ne suis ni pour ni contre, j’énonce ce qui semblera une évidence dans quelques mois.

 

Espérons simplement que le gouvernement reculera à temps ce dont il ne prend pas le chemin, mais il serait bien inspiré de se faire « retoquer » volontairement par le Conseil Constitutionnel afin de sortir du cul-de-sac politique dans lequel il vient de s’engager pour notre plus grand malheur à tous.

 

Le manque de sagesse qui inspire les décisions depuis maintenant 4 ans est tel, que le pire est à redouter.

 

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

 

Préparez-vous !

 

Charles SANNAT

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20 juillet 2021 2 20 /07 /juillet /2021 13:33
https://www.lifesitenews.com/news/france-on-the-brink-of-becoming-a-totalitarian-health-dictatorship-prominent-philosopher

https://www.lifesitenews.com/news/france-on-the-brink-of-becoming-a-totalitarian-health-dictatorship-prominent-philosopher

La France sur le point de devenir une dictature totalitaire de la "santé" : éminent philosophe

 

Pierre Dulau, philosophe et professeur de philosophie à l'université de Strasbourg a fait ces commentaires lors d'une récente conférence dans laquelle il a également évoqué son nouveau livre analysant l'impact des mandats de masque sur le contrat social et l'importance unique du visage humain.

 

Par Peter Levinson

PARIS, France, 19 juillet 2021 ( LifeSiteNews ) — Un éminent philosophe français a dénoncé la récente décision du gouvernement français d'imposer des passeports COVID pour de nombreuses activités de base, avertissant que la France entre maintenant dans une ère d'"hygénisme totalitaire".

 

Pierre Dulau, philosophe et professeur de philosophie à l'université de Strasbourg a fait ces commentaires lors d'un récent entretien avec le site d'information français "Aletia", au cours duquel il a également évoqué son nouveau livre analysant l'impact des mandats de masque sur le contrat social et la importance unique du visage humain.

 

Le livre de Dulau a été co-écrit par son collègue philosophe et professeur de philosophie Martin Steffens et publié le 29 Avril 2021.

 

Un résumé du livre, qui peut être trouvé sur la librairie en ligne française « La Procure », se lit comme suit :

 

Une réflexion sur le visage comme organe politique et comme fondement du contrat social, à l'heure où cet organe est masqué à cause de la crise sanitaire. Soulignant l'importance du visage humain dans les relations sociales, les deux auteurs réfléchissent aux conséquences psychologiques de la crise, dévoilant une stratégie de résistance à l'atmosphère actuelle de négativité.

 

Le livre fait partie d'un courant politique et philosophique croissant qui aborde et s'oppose au développement progressif de ce que les auteurs du livre appellent une "société hygiéniste" et de ce que certains manifestants lors de récentes manifestations à l' échelle nationale appelaient une "dictature sanitaire".

 

Au cours de l'entretien, M. Dulau a d'abord abordé la question des mandats de port de masque qui, en France, sont imposés dans les espaces publics, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, depuis près d'un an. Le mandat de port de masque dans les espaces extérieurs en France a été levé il y a seulement un mois.

 

Dulau a commencé l'entretien par un rappel bien nécessaire de la signification et de l'importance du visage humain :

 

Il est important avant tout de comprendre ce qu'est un visage. Le visage humain est à la fois ce qui montre notre singularité et ce qui fait de nous des êtres sociaux. D'un côté il exprime ce qui rend chacun irremplaçable et unique, de l'autre c'est aussi ce qui ne nous appartient pas : mon visage est la partie de moi que je ne peux pas voir car il est immédiatement offert aux autres.

 

Commentant les répercussions que la mesure du mandat du masque peut avoir sur la société, l'auteur a expliqué :

 

A quoi sert le masque ? Il nous dépersonnalise, car il rend invisible notre singularité, certes, mais – ce qui est sans doute pire encore – il nous exclut du regard de la communauté. Pourtant cet aspect fait partie de ce qui constitue notre être ! Littéralement parlant, on pourrait dire que le masque nous "abîme" ! Ainsi, si le masque nous protège, il le fait au prix de ce qui nous rend humains. Il ne faut pas se féliciter qu'une telle mesure puisse devenir une nouvelle norme sociale.

 

Dulau a ensuite évoqué l'idée de "distanciation sociale", un terme devenu omniprésent depuis le début de la crise. Lorsqu'on lui a demandé de partager ses réflexions sur le sens réel de ces mots, Dulau a commenté :

 

Tout d'abord, je pense que cette expression est une contradiction en soi. La promesse de la société (…) est de permettre à chacun de surmonter la distance qui le sépare des autres. Mettre la distance au cœur de la société, c'est admettre qu'il n'y a pas de société mais seulement un agrégat d'individus réunis uniquement par le destin. Deuxièmement, il faut souligner que grammaticalement parlant, le mot "distanciation" est une forme continue. Il indique un processus, un mouvement qui ne donne aucune indication de jamais s'arrêter. C'est ce qu'il faut craindre...

 

Enfin, interrogé sur le pass sanitaire, Dulau a fait part de son inquiétude face à l'érosion des libertés sous prétexte de sauvegarde de la santé :

 

Ce que je trouve alarmant au sujet des mesures prises récemment, c'est qu'elles prévoient de diviser la citoyenneté en échelons et en rangs en fonction de l'état de santé supposé des individus. Revenons sur la définition de l'esclave dans les temps anciens. Qui est l'esclave ? Celui qui préfère la vie à la liberté.

 

L'interview de Dulau a également fait l'objet d'un commentaire de l'abbé Gabin Hachette de la Société Sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX) publié la semaine dernière sur La Porte Latine, le site Internet de la FSSPX pour le district de France. L'abbé Gabin a noté que "Martin Steffens et Pierre Dulau voient dans notre époque actuelle un tournant, celui d'une transition vers un nouveau type de société sous prétexte sanitaire : l'apparition du virus Sars-CoV-2."

 

Selon cette idée, la France semblerait être dans sa dernière étape de transition vers cette nouvelle société, le président français Emmanuel Macron ayant annoncé la semaine dernière la décision d'imposer la vaccination au personnel soignant et un passeport COVID à tout citoyen français de plus de 12 ans.

 

Non seulement des milliers de personnes se sont rassemblées dans les rues pour s'opposer aux nouvelles mesures, mais les politiciens français de tous les partis politiques, de gauche comme de droite, ont commencé à prendre la parole pour les dénoncer.

 

Lundi, suite à l'annonce des nouvelles mesures : Gilbert Collard, membre du parti souverainiste français RN (Rassemblement national), dans une interview à RT France a évoqué la mise en place d'une "dictature de la vaccination".

 

"Je ne suis pas contre le vaccin. Je ne suis ni pour ni contre le vaccin. Mais je pense que tout le monde devrait avoir des options et je considère que forcer la population à se faire vacciner (...) constitue une violation de la liberté de disposer de son propre corps, et je pense que ce n'est pas normal", a déclaré Collard.

 

Jeudi, Nicolas Dupont-Aignan, fondateur du parti gaulliste et souverainiste Debout La France, a déclaré à la chaîne de télévision française LCI que les nouveaux mandats sont "une grave violation de notre modèle de société".

 

Dans une vidéo qu'il a postée lundi sur YouTube, Dupont-Aignan a dénoncé ce qu'il a qualifié de "mesures liberticides, contraires aux principes fondamentaux de la République" et a qualifié le président Macron de "dangereux", allant jusqu'à dire : "cet homme est devenu fou." Dupont-Aignan a également lancé une pétition contre l'imposition du passeport COVID suite à l'annonce de Macron.

 

Même Jean-Luc Mélenchon, un homme politique d'extrême gauche et fondateur du parti politique français La France Insoumise, a appelé Macron à revenir sur sa décision dans un tweet qu'il a publié mardi dernier qui disait :

 

Contradictions, aberrations : les décisions de Macron sentent la discrimination sociale et l'abus de pouvoir. Exemple : le laissez-passer sanitaire obligatoire sera contrôlé par des policiers non vaccinés. Bienvenue au pays de l'absurdité.

 

Depuis lundi, le nombre d'intellectuels, d'hommes politiques et de journalistes français qui critiquent la politique de Macron augmente d'heure en heure. L'espoir de beaucoup maintenant est qu'une décision du Conseil constitutionnel, la plus haute autorité constitutionnelle de France, empêchera les propositions de devenir loi. Les députés français se réuniront mercredi en session extraordinaire du Parlement pour débattre du projet de loi qui introduirait les mandats.

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20 juillet 2021 2 20 /07 /juillet /2021 13:09

Nous l'écrivions ici le 13 juillet dernier : " le ... raisonnement (pas de droits pour les non-vaccinés) de rupture du pacte social à sens unique et contre une catégorie de la population est un jeu dangereux pour les oligarques. D'une part, cela divise les Français en deux classes montées l'une contre l'autre, ... D'autre part, au jeu de l'État défaillant, si l'État peut refuser de prendre en charge la réa de quelqu'un qui aura refusé la vaccination expérimentale, cette personne pourra tout aussi bien à titre de réciprocité refuser de payer ses impôts. Qu'est-ce qui empêchera alors cette personne de demander à verser ses cotisations sociales ailleurs qu'à la sécurité sociale, dans un organisme qui (par exemple) respectera ses engagements, les droits de la personne, bref qui respectera le contrat social ? Cette personne ne sera-t-elle pas justifiée à demander, en contre-coup, un nouveau pacte social, plus juste ?"

Une boîte de Pandore.

Interdire l’hôpital aux non-vaccinés, ou la fin du monopole de la sécurité sociale

Interdire l’hôpital aux non-vaccinés, ou la fin du monopole de la sécurité sociale

par Éric Verhaeghe.

 

La loi Macron qui se prépare devrait interdire l’accès des non-vaccinés aux hôpitaux, « sauf en cas d’urgence » affirme l’article 1 (2e alinéa). Cette mesure constitue une déflagration en termes de respect des droits humains les plus élémentaires, difficile à imaginer dans une démocratie comme la France. Concrètement, un malade du cancer, un diabétique, un porteur d’une infection de longue durée, ne pourra plus se faire soigner normalement dans son hôpital habituel, sauf à accepter d’être vacciné. Les conséquences à long terme de cette mesure inique seront immenses sur la mortalité des Français et sur l’espérance de vie moyenne, sans commune mesure avec le nombre de décès peut-être évités du fait de la vaccination générale. Surtout, cette mesure remet totalement en cause le « contrat social » de 1945 et le principe même de la sécurité sociale, dont le monopole ne survivra pas. Voici pourquoi.

 

Interdire l’hôpital aux non-vaccinés devrait avoir une conséquence douloureuse sur le monopole de la sécurité sociale. Ce point n’a pas été clairement vu par Emmanuel Macron, mais il s’agit là d’un effet boomerang redoutable qui devrait percuter de plein fouet le motif officiel de la « protection » des Français qui a servi à justifier cette mesure de ségrégation.

 

Interdire l’hôpital aux non-vaccinés : quelle mauvaise idée !

Dans l’avalanche d’éléments de langage couvrant les non-vaccinés de sarcasmes, une disposition a fait l’objet de peu de commentaires, mais elle constituera pourtant, le moment venu, si elle est maintenue dans le projet de texte qui est présenté aujourd’hui au Conseil des Ministres, un poison aussi rapide que violent pour le gouvernement et pour l’ensemble de l’édifice de la protection sociale en France. Il s’agit de l’interdiction qui sera faite aux non-vaccinés d’accéder aux hôpitaux et, plus généralement, aux établissements accueillant des personnes vulnérables, hors « cas d’urgence ».

 

On n’a pas bien mesuré encore les conséquences humaines, humanitaires, démographiques, de cette disposition dont la violence est probablement sans égale depuis une centaine d’années dans le monde, et pas seulement en France.

 

Premièrement, et c’est au fond le point le plus bénin, elle interdira aux non-vaccinés de rendre visite à leur grand-mère dans une maison de retraite, à leur enfant hospitalisé après une mauvaise chute au ski, à l’épouse, au frère, à la sœur, victime d’une crise cardiaque. Elle interdira aussi au non-vacciné de rendre un dernier hommage à un proche décédé à l’hôpital.

 

Deuxièmement, elle interdira aux non-vaccinés cancéreux, diabétiques, insuffisants de tous ordres, de se rendre à l’hôpital pour leurs soins ordinaires, pour leurs visites de contrôle, ou pour des diagnostics plus poussés. Bref, elle aura le même effet que le confinement l’an dernier. À long terme, cette mesure aura de lourdes conséquences sur la mortalité des personnes les plus faibles, dans de bien plus larges proportions que les morts du COVID prétendument évitées par la vaccination.

 

Bref, cette mesure est non seulement absurde, mais elle est cruelle et inhumaine. Il faut se demander par quelle manipulation le gouvernement en place a pu inoculer tant de haine à la majorité silencieuse des vaccinés.

 

Un problème juridique majeur pour l’assurance-maladie

Mais au-delà de ces considérations morales devenues anecdotiques dans une société dystopique, la mesure d’interdiction va soulever une difficulté juridique de premier ordre dont les apprentis sorciers au pouvoir n’ont pas encore mesuré l’ampleur.

 

Depuis la loi de financement de la sécurité sociale pour 2016, l’État a en effet instauré une « protection universelle maladie » (PUMA), contrepartie du monopole de l’assurance -maladie en France. Comme le précise très clairement le site de l’assurance-maladie :

 

« Toute personne qui travaille ou réside en France de manière stable et régulière a droit à la prise en charge de ses frais de santé à titre personnel et de manière continue tout au long de sa vie : tel est le principe de la protection universelle maladie ».

 

Ce droit, qui a mis longtemps à émerger, se fonde sur le principe de la cotisation obligatoire ou de l’imposition obligatoire des revenus pour financer la sécurité sociale. Comme tout revenu est obligé de financer cette machine monopolistique, tout imposé ou tout cotisant doit y avoir droit.

 

On voit bien ici le problème qui se pose : l’obligation légale ne pourra plus être remplie, puisque l’État interdit, par une décision administrative, l’accès aux soins et à la protection universelle. Nous sommes ici dans le même cas de figure que le contentieux entre les assureurs et les restaurateurs victimes d’une perte d’exploitation due au confinement. Du fait d’une mesure administrative, l’assureur ne peut plus exécuter le contrat de protection auquel l’assuré a souscrit.

 

Problème à venir sur les cotisations sociales

Une première conséquence de cette restriction des prestations remboursables par cet assureur monopolistique qu’est la sécurité sociale tient au montant des cotisations : peut-on réellement facturer au tarif des vaccinés qui profitent de toutes les prestations un contrat d’assurance (présenté comme « solidaire », quelle bien étrange expression) qui est amputé de la part la plus importante de ses garanties ?

 

Non, bien entendu, et c’est le principe même de l’unicité du tarif qui se trouve mise en cause par la mesure gouvernementale. Au titre de la contributivité de la sécurité sociale, aucune juridiction ne pourrait soutenir que, à contributions égales, les droits ne sont plus les mêmes.

 

Le monopole de la sécurité sociale est mort

Assez logiquement, on voit bien que ce n’est pas seulement le principe de la cotisation sociale qui va souffrir de la mesure de discrimination décidée unilatéralement par Emmanuel Macron, mais le principe du monopole de l’assurance-maladie qui est fragilisé. Si les assurés sociaux ne peuvent plus avoir accès aux mêmes prestations qu’avant, et spécialement aux prestations les plus vitales, les plus importantes, de quel droit l’État les empêcheraient-ils de changer d’assureur, et de se tourner vers un assureur qui leur permet, par exemple, de bénéficier de soins renforcés à domicile, ou de soins hospitaliers dans des contrées plus accueillantes ?

 

Sauf à plaider un droit de l’État à exclure certains assurés de l’accès aux soins, on voit mal quel motif tiendrait devant le Cour de Justice de l’Union européenne pour obliger les non-vaccinés à financer une assurance-maladie qui ne leur apporte pas de garanties de santé suffisantes.

 

Politiquement, le combat dans lequel Emmanuel Macron s’est lancé semble donc à haut risque. Et juridiquement, il pourrait avoir des conséquences systémiques majeures : en interdisant l’accès aux soins pour certains assurés, il tue l’idéal de 1945 (où il en dévoile l’imposture profonde, puisqu’il ne s’agit pas de protéger, mais de dominer), et il en ruine les fondements juridiques.

 

En ce sens, l’interdiction de l’hôpital aux non-vaccinés est une bonne mesure. Elle ouvre les yeux sur ce que signifie vraiment la sécurité sociale.

 

source : https://lecourrierdesstrateges.fr | https://reseauinternational.net/interdire-lhopital-aux-non-vaccines-ou-la-fin-du-monopole-de-la-securite-sociale-enfin/

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20 juillet 2021 2 20 /07 /juillet /2021 12:17
Dr Ochs : "En Israël il y avait zéro mort avant le vaccin, chez les enfants, il y a déjà vingt-huit morts"

Condamné ce 14 juillet à un an d'interdiction d'exercer, pour dénonciation du protocole Covid gouvernemental, le Dr. Ochs (luxembourgeois) … exerce son droit de réponse aux journalistes lors de sa sortie du Conseil de discipline. Magistral malaise

 

Source

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20 juillet 2021 2 20 /07 /juillet /2021 09:56

Suivant les traces de Néron, Macron vient de faire des non-vaccinés les boucs émissaires de l’appauvrissement express des Français provoqué par les mesures démentes, erratiques et contradictoires qu’il a prises soi-disant contre le Covid, alors même que la maladie est relativement bénigne et ne touche qu’une frange réduite de la population qu’il aurait été facile de protéger et de soigner.

Pourquoi Macon ne fait-il pas brûler vifs les non-vaccinés ?

 

 

Si Macron ne fait pas brûler vifs les non-vaccinés, ce n’est pas par bonté d’âme, non, c’est parce qu’il en a besoin pour élargir sa base électorale à l’approche des élections présidentielles. Il a compris que la menace de l’extrême-droite ne faisait plus recette. Marine le Pen s’est ralliée à l’idéologie dominante (capitalisme, mondialisme, atlantisme et européisme) comme la gauche avant elle, et il est devenu impossible de diaboliser le Rassemblement National. Macron doit donc trouver une autre menace, et les non-vaccinés, qu’on peut aisément accuser de mettre en danger toute la population par leur inconséquence et leur manque de civisme, sont l’incarnation idéale d’une menace inexistante. C’est de la même manière qu’a fonctionné la menace terroriste. Entre le 11 septembre 2001 et le début de la « pandémie » de Covid-19, les terroristes authentiques ou fabriqués ont peuplé nos cauchemars et saturé nos médias. Les populations se sont habituées à voir leurs libertés fondre comme neige au soleil, alors même que la probabilité d’être victime d’un attentat était infinitésimale. Mais à force de servir, la menace terroriste s’était usée, et on ne peut que s’émerveiller de l’à-propos avec lequel le destin a sorti de son chapeau la menace sanitaire, pour le plus grand profit de la Caste.

 

[...]



Le vaccin n’a pas de fonction médicale. Il ne protège pas du Covid. Et, soit dit en passant, heureusement pour nous que le Covid, celui des médias, celui qui décime les populations, n’existe pas, sinon nous serions tous morts, vu que le vaccin semble plutôt aggraver l’épidémie et que les médicaments traditionnels nous sont interdits… Le vaccin a une fonction politique, il sert à opposer entre elles les deux classes sociales françaises. Il a pour rôle de monter l’une contre l’autre la bourgeoisie et la classe laborieuse : les cadres, le corps enseignant, les fonctionnaires, ceux qui travaillent dans les bureaux ou à distance, les retraités aisés, contre ceux qui ont les mains dans le cambouis et que la Caste méprise ou honore suivant le besoin qu’elle a d’eux.



[…]

 

 

Voilà la définition de la dictature que donne le Larousse :
« Dans le domaine de la politique, on appelle « dictature » un régime dans lequel une personne (dictateur), ou un groupe de personnes, disposant d’un pouvoir absolu, s’y maintient de manière autoritaire et l’exerce de façon arbitraire. »

On voit que Macron coche toutes les cases sans compter qu’il prend ses ordres de la Commission européenne qui est régie par une Constitution que les Français ont rejetée par un Référendum en 2005.

Voilà les raisons que j’ai trouvées à l’apathie de la population :

Les Français croient qu’il ne peut pas y avoir de dictature en France, pays de la liberté et des droits de l’homme.


Les Français croient que les gouvernements œuvrent pour leur bien. Ils ne peuvent pas croire que ceux qu’ils ont élus soient prêts à les détruire pour s’enrichir ou faire carrière.
Les Français ne se rendent pas compte qu’ils sont désinformés à longueur de journée et qu’ils subissent une propagande de tous les instants. Ils croient les médias et le gouvernement qui leur mentent sans arrêt ouvertement ou par omission.
Les Français ne pensent par eux-mêmes. Ils se contentent de répéter ce qu’ils entendent ou lisent dans les médias, mais cela ne les empêche pas de s’accrocher à leurs idées comme si leur vie en dépendait.
Les Français ont besoin de l’estime de leurs concitoyens et penser « comme tout le monde » les rassure.
Parce qu’ils croient le gouvernement, ses médias et ses « scientifiques » qui attisent la peur, la haine et la discorde, ou parce qu’ils ne savent plus qui croire, les Français sont gagnés par une forme d’hystérie collective aveugle, mais ils ne s’en rendent pas compte.
La plupart des gens attachent plus d’importance à leurs croyances qu’à la réalité. Au lieu de voir ce qui est, ils voient ce qu’ils croient qui est ou qui devrait être.


La propagande de guerre

 

La propagande de guerre n’est pas différente de la propagande Covid, elle engendre pareillement une forme d’hystérie collective qui balaie tout sur son passage comme un raz de marée. Il est plus facile d’entraîner les foules dans la folie que de les convaincre par la raison et le bon sens. Les pacifistes sont balayés par les bellicistes et le peuple chauffé à blanc se laisse entraîner dans une guerre dont il fera les frais. Le moindre argument de bon sens ou de logique, la moindre mise en garde, réserve ou hésitation est qualifiée de trahison.

Macron, discours du 16 mars 2020 (YouTube)

 

[...]

La haine du non-vacciné inonde les plateaux TV

 

 

J’écoutais tout à l’heure des éditorialistes sur BFM TV et Cie. C’est incroyable à quel point ils suintent la haine. Plus tyranniques que le tyran, plus venimeux que le serpent à sonnettes, les chiens de garde du pouvoir, tout hérissés d’indignation vertueuse, enveloppent de la même haine rance et tripale les non-vaccinés et les Gilets jaunes qui commettent le crime inexpiable de refuser de se soumettre, pour leur bien, aux diktats de la Caste. Ces donneurs de leçons ne nous pardonneront jamais d’avoir la prétention de savoir mieux qu’eux ce qui est bon pour nous. Et on voit bien qu’ils ne nous lâcheront pas, ce sera eux ou nous.

Mais il y a de la résistance et la résistance prend des chemins mystérieux. Elle vient souvent de là où on l’attendait le moins, car le courage n’a rien à voir avec les idéologies, dont on hérite généralement. Le courage vient de l’intérieur de nous-mêmes et il se manifeste souvent à l’improviste, au détour d’une situation insupportable, qui nous pousse, presque à notre insu, à prendre des risques personnels pour sauver des valeurs et/ou d’autres personnes. Les « courageux » sont presque toujours eux-mêmes surpris de leur courage car on ne décide pas d’être courageux, ce sont les circonstances et notre degré de force intérieure qui en décident. Comme on sait, il y a très peu de courageux. C’est pourquoi, je crois qu’il faut saluer le courage, d’où qu’il vienne. Par exemple celui de Lionnel Luca, le maire de Villeneuve Loubet, lors de son discours du 14 juillet.

Néron n’était pas courageux. C’était un psychopathe narcissique et sadique, un fou malfaisant et provocateur qui, comme tous les lâches, abusait de son pouvoir. A force d’excès, d’abus et de brutalités, il s’est retrouvé isolé. Le Sénat l’a démis et, pour échapper au châtiment des Parricides*, il s’est donné la mort. « Le Sénat a voté sa damnatio memoriae, et maudit sa mémoire. En Occident, il reste le symbole de ce que la Rome antique a enfanté de plus monstrueux », selon Wikipedia.

Macron n’a pas sa dimension tragique. Bien qu’il soit tout aussi isolé, comme il l’a reconnu lui-même quand il s’est plaint que nous soyons devenus : «une nation de 66 millions de procureurs », il ne paiera pas pour le mal qu’il nous a fait. Il ne sera pas tenu responsable de ses crimes. Il n’est qu’un Néron de pacotille, un Néron de passage. Il a emprunté les habits de Néron, comme un comédien endosse un rôle qui lui va comme un gant, pour remplir la mission que la Caste lui a confiée : piller la France et soumettre les Français. La Caste l’exfiltrera lorsqu’il aura fait ton temps pour le remplacer par un autre tyranneau à ses ordres (le favori semble être pour l’heure Xavier Bertrand) qui à son tour et à sa manière mettra la France et les Français en coupe réglée… pour leur bien, évidemment !

Une note d’espoir

 

Selon Michel Maffesoli, dont la pensée iconoclaste est toujours rafraîchissante, comme l’est celle d’Emmanuel Todd, la caste occidentale sent qu’elle perd son pouvoir et cela explique son durcissement. En effet la société est en train de changer, l’ère de l’individualisme hérité des Lumières touche à sa fin, et des communautés de vie et d’intérêt se créent partout. C’est ce que le pouvoir politico-financier combat en le traitant de « communautarisme » mais il a déjà perdu la bataille. Les gens se regroupent et partagent. Ils se remettent à vivre ensemble. Et comme on le sait, l’union fait la force !



Dominique Muselet

Montreuil, le 19 juillet 2021

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20 juillet 2021 2 20 /07 /juillet /2021 09:27
Ne paniquez pas ! Il n’est pas forcément nécessaire d’être un héros pour échapper à l’injection expérimentale forcée !

Il n’est pas forcément nécessaire d’être un héros pour échapper à l’injection expérimentale forcée !

Je fais partie de celles et ceux qui pensent qu’il suffit de dire « non » pour échapper à une mesure qui nous semble totalement inacceptable. J’ai d’ailleurs refusé le confinement, le port du masque, mes enfants ont dû quitter l’école, car ils n’étaient pas acceptés sans masque malgré un certificat médical. Le problème de la vaccination obligatoire ou du pass sanitaire ne se posent donc pas pour moi. Je n’aurai pas de passeport sanitaire, je ne me ferai pas un test PCR quand bien même il serait obligatoire pour faire des courses et mes enfants ne seront pas vaccinés pour aller en fac. Et hormis sous la menace d’une arme (et encore, car si cela devait arriver j’aurais probablement la mienne), ni ma famille ni moi-même ne serons injectés par ces produits inefficaces et dangereux… Il suffit de lire la littérature scientifique et ce qu’il se passe à l’étranger pour s’en convaincre…

Oui je pense qu’il suffit d’affirmer « je suis libre de… » pour échapper aux mesures dictatoriales.
Oui, mais… je ne suis pas tout le monde !

Il suffit de voir comment l’immense majorité des enfants ont été masqués à l’école y compris l’immense majorité des enfants des « résistants ».

Dans les faits, il n’est pas si simple de dire « non » et d’autant plus dans une société qui nous a appris à tout accepter au nom de la « sécurité ».

Il est urgent d’attendre !
Rappel sur l’obligation vaccinale ou le pass vaccinal.

Il n’existe strictement aucune obligation vaccinale Covid pour qui que ce soit en France.

À ce jour le pass sanitaire n’est obligatoire que pour certains concerts ou grands événements et pour partir à l’étranger et en Corse… Et c’est tout !

J’écrirai « pass vaccinal », car dès lors que les tests deviendraient payants et valables 24 h, vous comprendrez bien que l’on ne peut pas prévoir un budget de 10 000 euros par mois pour vivre.

Coup de bluff
Macron a fait croire que l’extension des premières obligations se ferait à partir du 21 juillet !

Ce qui est présenté comme « faits » n’est que « projets ». C’est un coup de bluff formidable parce qu’il va falloir voter des lois à l’assemblée, puis passage au Sénat, puis retour à l’assemblée. Il va aussi y avoir de nombreux amendements déposés. Il va falloir aussi que l’on statue sur l’aspect constitutionnel de ces lois et si elles ne vont pas à l’encontre de règlements européens, de traités internationaux ou autres. Sans compter tous les recours lancés tous azimuts par les défenseurs des droits de l’homme…

Bref, cela va prendre des semaines pour ne pas dire des mois et rien ne dit que cela aboutisse !

Ce qui fait le plus peur, c’est l’obligation vaccinale pour travailler ou se rendre à son travail.

Les restaurants, concerts et autres cinémas n’auront qu’à mourir s’ils s’abaissent à vouloir faire respecter ces lois iniques introduisant l’apartheid en France et des citoyens de seconde zone.

En premier lieu, ATTENDRE !
Il n’y a strictement aucune raison de se précipiter pour se faire injecter ces substances expérimentales en cours de test. Les français qui se sont précipités suite à l’annonce du dictateur ont affirmé que leurs vacances aux Caraïbes ou en Corse de cette année avaient plus de valeur que leur vie. Leurs précieuses vacances valaient bien de jouer à la roulette russe, quitte à avoir un cancer provoqué par cet ARNm dans 10 ou 20 ans ou des problèmes de fertilité ! Cela me semble fou, au regard des 10 000 décès reconnus de la vaccination (donc largement minimisés) aux USA et les centaines de milliers d’effets secondaires, dont certains à vie !

Alors quelles sont les stratégies possibles ?

L’impossibilité vaccinale !
Il va bien y avoir des médecins militants et courageux qui feront honnêtement leur travail en délivrant des certificats médicaux aux personnes qui ne peuvent se vacciner pour raison de santé. Il est de plus évident que les causes psychiatriques sont à prendre en compte, comment vacciner une personne phobique qui pourrait aller jusqu’à se faire du mal si on lui imposait l’injection ?

Le « prouve-moi que ta démarche est légale ! »
Dès lors qu’une autorité ou un commerce va vous dire de présenter un pass sanitaire ou un certificat de vaccination, vous êtes en droit que lui demander sur quels textes de loi elle base son affirmation.

Je n’aborderai pas l’aspect juridique qui va être largement développé par Carlo Brusa, président de réaction 19. Vous pourrez donc soit dire que la demande est illégale si elle relève purement d’un texte qui n’est pas une loi et le menacer de plainte au pénal. Et si d’aventure une loi avait vu le jour, vous pourrez lui signifier que cette loi est en contradiction totale avec des lois et traités existants et donc qu’elle n’a pas valeur légale. À ce titre, je ferais référence à une soignante résistante italienne qui, dans l’obligation de se vacciner, s’est rendue au centre de vaccination avec son avocat. L’obligation vaccinale étant imposée au nom de la solidarité et du contrôle de l’épidémie, celle-ci a demandé au médecin de lui signer un document indiquant que l’injection permettait d’empêcher la contamination et la propagation du virus. Bien évidemment, le médecin n’a pas signé et aucun médecin ne signera jamais un tel document parce que c’est faux. Sur ce, l’avocat a fait appel à la police pour faire constater le refus de signature du document. Cette femme a ainsi réussi à gripper le système : d’un côté une obligation vaccinale au nom de la solidarité et de l’autre une preuve que le vaccin n’est pas un vaccin, mais une thérapie…

La loi
Une procédure de licenciement ne se fait pas comme ça et il faudra probablement des mois pour qu’elle aboutisse si elle devait aboutir. Il est important de se faire conseiller en fonction des situations, de son emploi, etc.. En tout état de cause, j’imagine que tout document qui n’est pas envoyé en recommandé avec accusé de réception n’existe pas… Si la tournure devient juridique, frapper un grand coup le plus tôt possible et essayer de renverser la vapeur « Je vais porter plainte contre vous » afin de refroidir quelques ardeurs.
Je vous rappelle aussi que les juges de prud’hommes sont certainement moins aux bottes de l’État.
Tout ce qui pourrait faire peur à la hiérarchie d’un point de vue juridique ET d’un point de vue médiatique pourrait donc être de nature à les faire réfléchir…

Les « NON » je ne suis pas d’accord !
Le « non » peut prendre plusieurs formes…

Un « non je ne me ferais pas vacciner et ce n’est pas négociable… ».
Un « non je ne te dirai pas si je suis vacciné ou pas, cela ne te regarde pas, tu n’es pas mon médecin » qui peut aussi être formulé comme « mon information vaccinale relève du secret médical. »
Les stratégies de l’usure
Je vous rappelle que si cette mesure voit le jour, elle prendra probablement des semaines ou des mois pour passer de la théorie au décret d’application et qu’il est fort possible, s’il reste un peu d’État de droit, que la mesure passe aux oubliettes. Il n’est pas non plus impossible que si cette mesure devient obligatoire sur le papier, que soit elle ne sera jamais appliquée, soit les textes ne prévoiront pas de sanctions.
Donc l’important est de tenir !

« Oui je vais me vacciner ! »
Laisser pourrir… Un jour vous dites que vous avez pris rendez-vous, un jour vous dites que vous hésitez entre deux vaccins, etc. Vous dites « oui », mais vous faites « non » ! Grâce à cette stratégie, vous pouvez gagner quelques semaines…

« Demain, je te passe les papiers ! »
Vous dites que vous êtes vacciné, même si c’est entièrement faux et là aussi vous faites pourrir la situation… Plusieurs formulations existent comme « Je l’ai posé hier sur ton bureau » ou « je l’ai donné à Michel » (qui est en congé pour un mois). À noter que si c’est une administration qui le demande ou qu’il y a plusieurs responsables à ce poste dans l’entreprise, pourquoi ne pas changer d’interlocuteur. Par exemple mardi je vais m’inscrire en fac, on me demande la preuve de vaccination, je reviens mercredi où une autre personne me recevra qui sera peut-être résistante et n’exigera pas le document…

« Je vais créer un groupe de réflexion ! »
Ceci n’est possible que dans les grandes entreprises qui adorent faire des réunions qui ne servent strictement à rien. Dans cette hypothèse vous allez proposer de créer un groupe de réflexion sur la vaccination, groupe qui aura pour objectif de déterminer quel est le meilleur vaccin, par exemple celui qui ne risque pas de diminuer la productivité…

La prise de conscience… « Tu veux le résultat de mon dernier frottis vaginal ? »
Mettre en place un dialogue qui permette à l’autorité qui vous fait cette demande à quel point elle est délirante, contraire aux droits de l’homme et relève de l’intime. Lui demander par exemple pourquoi il ne demande pas si vous êtes séropositif et lui demander si c’est un monde comme ça qu’il désire pour ses enfants…

Le « placard »
Si d’aventure ces lois scélérates rentraient en application, elles ne pourraient pas le rester pendant 10 ans. Autant on pourrait peut-être rendre l’obligation pendant un ou deux ans, mais pendant dix ans pour combattre un virus qui ne tue pas avec un vaccin qui ne marche pas, c’est compliqué. Sans compter que les remontées d’effets secondaires sur les personnes vaccinées de force seront obligatoirement plus efficaces, sans compter les multiples procès.
Un « mon fils est mort alors que la vaccination n’est pas obligatoire » n’aura pas le même impact judiciaire que « mon fils est mort alors que vous l’avez obligé à se vacciner ! ».
Si on vous menace de vous mettre à l’écart, prenez le placard, cela vous permettra enfin d’écrire le livre que vous rêvez d’écrire depuis dix ans. Si on vous place en télétravail, alors acceptez !

En revanche, le cadeau qu’il ne faut surtout pas leur accorder est le « je vais démissionner ! ».

Si vous deviez les provoquer, dites plutôt :

« Allez ! Virez-moi ! Vous allez voir le procès et la publicité que vous allez vous prendre dans le cul ! »



En conclusion ?
Bien malin celui qui sait ce qu’il va se passer demain. Cela va dépendre non seulement de la résistance du peuple français, mais aussi de la résistance et des politiques des pays étrangers et européens. Croyez bien que la France ne peut pas devenir plus dictatoriale que la Chine ou la Corée du Nord sans que cela pose problème.

Donc même si vous n’allez pas au conflit frontal, il est certainement possible d’adopter des stratégies d’évitement, stratégies qui seront adaptées selon l’évolution de sa situation personnelle. Les appels au boycott, les entreprises de la honte, la médiatisation sont aussi des armes redoutables.

Personnellement, je prône le boycott des entreprises ou services publics qui feront la promotion et mettront en œuvre le passeport vaccinal ou la vaccination obligatoire non seulement pour la durée de la dictature, mais aussi à vie !

Il n’est pas un secret que je ne remettrai jamais les pieds dans mon magasin Botanic, car il refuse l’accès à des personnes sans masque munies d’un certificat médical ou dans Burger King qui vient d’annoncer à ses salariés qu’ils seront virés s’ils ne sont pas vaccinés alors que ce n’est qu’un projet de loi.

Tous ces collabos adorateurs de l’apartheid doivent comprendre que leurs actes les engagent à vie !

Alain Tortosa.

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16 juillet 2021 5 16 /07 /juillet /2021 11:47

Un projet de loi, portant sur l'extension du pass sanitaire, prévoirait, selon le site Contexte repris par bfmtv, une sanction en cas de non-contrôles des pass sanitaires par les établissements concernés. Le prestataire, le responsable d'établissement ou l'opérateur pourrait écoper d'une amende de 45 000 euros et d'un an d'emprisonnement.

 

Le ministère de l'Intérieur a cependant précisé cette mesure de contrôle auprès de LCI, "les deux (commerçants et clients, NDLR) peuvent être verbalisés, mais la philosophie du contrôle, c’est avant tout le contrôle de ceux qui sont en charge d’appliquer le pass (établissements) et l’obligation vaccinale (employeurs)." Le client n'ayant pas son pass sanitaire sera verbalisé et écopera d'une amende de 135 euros.

https://www.ladepeche.fr/2021/07/14/pass-sanitaire-les-commercants-qui-ne-controleront-pas-leurs-clients-pourraient-risquer-45-000-euros-damende-et-un-an-demprisonnement-9670901.php

https://www.ladepeche.fr/2021/07/14/pass-sanitaire-les-commercants-qui-ne-controleront-pas-leurs-clients-pourraient-risquer-45-000-euros-damende-et-un-an-demprisonnement-9670901.php

Passe sanitaire partout où le peuple peut souffler, respirer, prendre du repos, par contre pas de d'obligation vaccinale ni de passe sanitaire pour la police, la gendarmerie (qui contrôleront si vous avez le vôtre !), et pas de passe sanitaire obligatoire non plus pour rentrer dans les tribunaux, pensez donc, les non porteurs de passe sanitaire doivent quand même être jugés et mis en prison !

 

Il y a des établissements d'accueil du public où la mise en danger de la vie d'autrui, et le virus lui-même n'existent soudainement plus.

 

Masques, tests, vaccins, passe "sanitaire" sélectif, bienvenue en Covidiotie-Absurdie. Le pays qui transforme les gens en automates irrationnels.

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16 juillet 2021 5 16 /07 /juillet /2021 10:55
"Les policiers municipaux ne peuvent pas contrôler les identités mais les restaurateurs devront contrôler le 'Pass Sanitaire'" ?

"Je m'interroge sur le #PassSanitaire. Les policiers municipaux ne peuvent pas contrôler les identités mais les restaurateurs devront contrôler le #PassSanitaire ? La question n'est pas "pour ou contre le vaccin" mais les incohérences du Gouv. sur les masques, les tests, le vaccin." (Valérie Boyer Twitter)

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16 juillet 2021 5 16 /07 /juillet /2021 08:59
Macron : "les vaccinés les premiers verront leurs anticorps baissés, leurs immunités diminuées"

Lors de l'allocution de Macron le 12 juillet 2021 une petite séquence est passée inaperçue, il affirme clairement que :

les "vaccinés les premiers, c'est-à-dire en janvier et février, verront prochainement leurs taux d'anticorps baissés, et leurs immunités diminuées ... Je veux ici les rassurer, dès la rentrée, une campagne de rappels sera mise en place pour vous permettre de bénéficier d'une nouvelle injection selon le même système et dans les mêmes conditions que la ou les premières."

Pour remédier à cela il faudra toujours faire des rappels d'injection.

 

Source: Twitter

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16 juillet 2021 5 16 /07 /juillet /2021 08:03
Impossible de s'occuper des fausses cartes vitales qui coûtent aux Français 14 milliards d'euros par an depuis des années, mais pour le "Passe sanitaire" ils te sortent un truc en deux semaines

Source: Twitter

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16 juillet 2021 5 16 /07 /juillet /2021 07:38
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16 juillet 2021 5 16 /07 /juillet /2021 07:10
https://twitter.com/QuiQuichotte1/status/1415772587012022274/photo/1

https://twitter.com/QuiQuichotte1/status/1415772587012022274/photo/1

18 125 décès suite à vaccination en Europe au 10 juillet 2021

 

Source: Reaction19 Loi 1901

 

Ce chiffre de 18 125 morts déjà énorme doit être observé avec le fait qu'il n'y a pas plus de 5% de remontées d'informations: la plupart des décès ne sont pas comptabilisés car considérés comme n'ayant pas de preuve de lien avec la vaccination. 

 

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 22:47
Jean Christophe Lagarde demande ‘’Est ce qu’on doit payer la réa à quelqu’un qui a refusé de se protéger’’ ?

Jean Christophe Lagarde a déclaré ‘’Celui qui n’est pas vacciné contre le COVID, qui est hospitalisé en réanimation, c’est quand même tout le monde qui paye… alors un jour où l’autre faudra se poser la question : Est ce qu’on doit payer la réa à quelqu’un qui a refusé de se protéger ?’’ (Source: Twitter)

Art. 2 de la Déclaration des droits de 1789. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme.

L'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements. (Préambule de la Déclaration)

Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution...

C'est tout le monde qui paye, certes, mais c'est le principe des caisses de sécurité sociale qui veut que chaque cotisant cotise pour ses droits et ceux des autres.

 

Le raisonnement de Jean-Christophe Lagarde, raisonnement de rupture du pacte social à sens unique et contre une catégorie de la population est un jeu dangereux pour les oligarques.

 

D'une part, cela divise les Français en deux classes montées l'une contre l'autre, les purs et les impurs... Du déja vu dans notre histoire en 1789 et 1940.

 

D'autre part, au jeu de l'État défaillant, si l'État peut refuser de prendre en charge la réa de quelqu'un qui aura refusé la vaccination expérimentale, cette personne pourra tout aussi bien à titre de réciprocité refuser de payer ses impôts. Qu'est-ce qui empêchera alors cette personne de demander à verser ses cotisations sociales ailleurs qu'à la sécurité sociale, dans un organisme qui (par exemple) respectera ses engagements, les droits de la personne, bref qui respectera le contrat social ? Cette personne ne sera-t-elle pas justifiée à demander, en contre-coup, un nouveau pacte social, plus juste ?

 

On le voit, ce genre de provocation verbale cache un réel débat de fond, philosophique et politique, quant au respect des engagements de l'État..., respect des engagements et du rôle du président de la république dans sa défense et la protection des droits des Français... Un débat que pas un grand média ne relèvera, mais que nous relevons ici.

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 22:15
Source: https://www.bfmtv.com/police-justice/les-policiers-et-gendarmes-ne-seront-pas-soumis-a-l-obligation-vaccinale-en-septembre_AN-202107120497.html

Source: https://www.bfmtv.com/police-justice/les-policiers-et-gendarmes-ne-seront-pas-soumis-a-l-obligation-vaccinale-en-septembre_AN-202107120497.html

Si les sapeurs-pompiers et les ambulanciers sont concernés, les membres des forces de l'ordre ne sont pas soumis à l'obligation vaccinale à partir du 15 septembre, indique-t-on place Beauvau.

Les membres des forces de l'ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l'obligation vaccinale à partir du 15 septembre, indique à BFMTV.com l'entourage du ministère de l'Intérieur.

Art. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Art. 12 de la Déclaration des droits de l'homme de 1789

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 21:50

"Macron déclare la guerre aux non vaccinés". Remplacez "non vaccinés" par "français" & vs avez la réalité, un président & un gouvernement qui obligent sous contraintes un peuple à se faire inoculer des vaccins expérimentaux :

Source: https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/vu-de-letranger-macron-declare-la-guerre-aux-non-vaccines

Source: https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/vu-de-letranger-macron-declare-la-guerre-aux-non-vaccines

Emmanuel Macron a imposé lundi 12 juillet le pass sanitaire à l’entrée de la plupart des lieux publics et rendu obligatoire la vaccination pour les soignants, avec des sanctions à la clé. Une stratégie qui permet au chef de l’État de contourner l’obligation vaccinale tout en rendant le vaccin incontournable, analyse la presse européenne.

 

En imposant le pass sanitaire à l’entrée de la plupart des lieux publics et en rendant la vaccination obligatoire pour les soignants, Emmanuel Macron a mis lundi les non-vaccinés sous pression. Le quotidien suisse Le Temps évoque même une “traque” ou encore une “guerre” contre les vaccino-réticents. “Emmanuel Macron a choisi sa cible : les non-vaccinés, contre lesquels la ‘mobilisation générale’ est déclarée”, estime le journal. “Un choix préféré à l’autre option sur la table” alors que les contaminations au variant Delta augmentent rapidement : “le reconfinement total ou partiel des zones les plus contaminées”.

 

Pour Le Soir, “si l’annonce de la vaccination obligatoire des soignants a pu interpeller par sa dureté, le tour de vis spectaculaire autour du pass sanitaire se révèle l’arme fatale du plan du chef de l’État français”. Macron “contourne l’obligation vaccinale pour tous… en rendant le vaccin incontournable”, analyse le quotidien belge.

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 18:04
Source: https://twitter.com/lrestistant73/status/1414112908334747648

Source: https://twitter.com/lrestistant73/status/1414112908334747648

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 08:53

Pendant qu'Emmanuel Macron annonce "le pass sanitaire obligatoire pour les plus de 12 ans", des scientifiques tirent la sonnette d'alarme quant à la vaccination Covid chez les jeunes:

Source: https://www.journaldemontreal.com/2021/06/04/vaccination-chez-les-jeunes-des-scientifiques-tirent-la-sonnette-dalarme

Source: https://www.journaldemontreal.com/2021/06/04/vaccination-chez-les-jeunes-des-scientifiques-tirent-la-sonnette-dalarme

Des scientifiques mettent en garde la population sur les dangers de la vaccination contre la COVID-19 chez les 10-19 ans, les risques étant, à leur avis, plus élevés que les bénéfices pour cette catégorie d’âge.

 

«Le principe de précaution joue, selon nous, contre une utilisation à grande échelle des injections de Pfizer chez les mineurs», peut-on lire dans un article daté du 27 mai, cosigné par cinq scientifiques québécois, dont le professeur honoraire de pharmacologie médicale de l’Université de Montréal, Pierre Biron.

 

 

«Le faible taux d’hospitalisation chez les 10-19 ans [et] le taux de mortalité quasi nul minimise le bénéfice du vaccin pour cette catégorie d’âge, sauf pour les personnes avec une condition médicale particulière», a renchéri Isabelle Picard, une des scientifiques signataires de l’article, dans un échange de messages avec l’Agence QMI.

 

[...] Les vaccins à ARN messager (ARN-m) sont aussi associés, chez les jeunes, à des cas de myocardite, une inflammation du muscle du cœur.

 

[...] Israël envisage de ne pas administrer une seconde dose aux adolescents dont l’âge varie entre 12 et 15 ans en raison du risque de myocardite, pouvait-on lire le 31 mai dans le «Israel Hayom», un important quotidien israélien.

 

[...] Interrogé sur les dangers liés à la myocardite, le Dr. De Serres a indiqué que «la fréquence [à laquelle cela survient] n’est pas encore claire», mais que les problèmes de ce genre «semblent se produire après la deuxième dose». 

 

[...] Le scientifique a admis qu’il y a bel et bien eu des cas de myocardite au Québec, mais n’est pas en mesure de les quantifier.

 

LA SANTÉ PUBLIQUE POURRAIT ANNULER LA DEUXIÈME DOSE POUR LES JEUNES

Il n’est pas impossible que la deuxième dose de vaccin soit annulée pour les 12-17 ans au courant des prochaines semaines.

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12 juillet 2021 1 12 /07 /juillet /2021 21:10

Le 24 novembre 2020, disant qu'il voulait "être clair", Emmanuel Macron avait annoncé que la vaccination ne serait "pas obligatoire". Il fallait être bien naïf pour le croire.

Source: https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-la-vaccination-ne-sera-pas-rendue-obligatoire-assure-emmanuel-macron-24-11-2020-8410284.php

Source: https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-la-vaccination-ne-sera-pas-rendue-obligatoire-assure-emmanuel-macron-24-11-2020-8410284.php

Vaccination obligatoire: Macron parjure
Vaccination obligatoire: Macron parjure

Le gouvernement avait renoncé à imposer la vaccination obligatoire en décembre 2020 face aux protestations suscitées par un texte qui réservait au premier ministre la possibilité d'imposer une obligation vaccinale de fait. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, reporta sine die l'examen du projet. Le gouvernement proposa ''de reporter le texte de plusieurs mois", ce qui signifiait, comme nous l'écrivions, qu'ils n'abandonnaient pas leur projet de "vaccination obligatoire".

Le 29 avril 2021 encore Emmanuel Macron déclarait : "Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis." 

Source: https://www.leparisien.fr/politique/etapes-du-deconfinement-vaccins-pass-sanitaire-linterview-demmanuel-macron-29-04-2021-GIV6GRBP4VF3TGBLBKKRAZEGMA.php

Source: https://www.leparisien.fr/politique/etapes-du-deconfinement-vaccins-pass-sanitaire-linterview-demmanuel-macron-29-04-2021-GIV6GRBP4VF3TGBLBKKRAZEGMA.php

Or ce soir, alors que l'épidémie de Covid est au ralenti (voir la courbe des décès du variant delta très contagieux mais peu dangereux au 7 juillet 2021 ci-dessous), 

Source: https://twitter.com/badabel_2020/status/1414888651650215954/photo/1

que les études sortent sur les effets secondaires graves et les milliers de décès suite à la vaccination Covid, alors que nous apprenons que "tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts sont des pays qui ont vacciné massivement” (Pr Perrone), Emmanuel Macron annonce dans une allocution télévisée à 20h la vaccination obligatoire pour les soignants et "le pass sanitaire obligatoire pour les plus de 12 ans" :

Source: https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-variant-delta-pass-sanitaire-vaccination-des-soignants-ce-qu-il-faut-retenir-des-annonces-de-macron-20210712

Source: https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-variant-delta-pass-sanitaire-vaccination-des-soignants-ce-qu-il-faut-retenir-des-annonces-de-macron-20210712

- la "vaccination obligatoire des soignants et non soignants des établissements de santé, contrôles dès le 15 septembre

"Un projet de loi visant à rendre obligatoire la vaccination des soignants va être transmis au Conseil d'État mardi, avant d'être présenté en Conseil des ministres lundi 19 juillet prochain. Il sera ensuite examiné dans le courant de la semaine prochaine par le Parlement, dans le cadre d'une procédure accélérée. Cette mesure s'appliquera «sans attendre», et les concernés auront «jusqu'au 15 septembre» pour s'y conformer. Après quoi «des contrôles seront opérés et des sanctions seront prises».

"Emmanuel Macron annonce la vaccination obligatoire pour tous ceux au contact des personnes fragiles

- "le pass sanitaire va être obligatoire pour les plus de 12 ans dans les «lieux de loisirs et de culture» de plus de 50 personnes dès le 21 juillet prochain. Il sera ensuite étendu à partir du début du mois d'août, et concernera le train, l'avion, les bars et les restaurants, ainsi que les hôpitaux, les maisons de retraite, et les établissements médico-sociaux. Cette liste pourra encore s'allonger par la suite, a précisé Emmanuel Macron. Concrètement, l'accès à ces lieux sera réservé à des personnes vaccinées depuis plus de quinze jours, ou à celles qui ont réalisé un test PCR ou antigénique négatif récent.

"Faire porter les restrictions sur les non vaccinés plutôt que sur tous"

"Le quotidien des «vaccinés» et des «non-vaccinés» ne sera plus le même. La philosophie est simple : «Reconnaître le civisme et faire porter les restrictions sur les non-vaccinés plutôt que sur tous»."

"Les tests PCR dits «de confort» déremboursés cet automne

"À compter du mois d'octobre, les Français ne pourront plus bénéficier de tests PCR gratuits sans ordonnance, dits «de confort».

"Dès la prochaine rentrée scolaire, des campagnes de vaccination «spécifiques» seront déployées auprès de tous les collégiens, les lycéens et les étudiants du pays.

Selon Macron, "la vaccination de tous les Français est le seul chemin pour le retour à la normale". 

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12 juillet 2021 1 12 /07 /juillet /2021 17:38
Source: https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccins-vu-travers-la-pharmacovigilance-de-loms

Source: https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccins-vu-travers-la-pharmacovigilance-de-loms

Entretenue par des déclarations politiques prônant l’autorité, la tension semble monter entre une part de la population peu encline à recevoir l’un des vaccins anti-Covid disponibles en France, et une partie de l’opinion, plus proche de la position officielle, souhaitant accélérer et généraliser la vaccination.

Si ces deux « camps » s’opposent, c’est probablement parce que les informations dont ils disposent ne sont pas les mêmes.

A la recherche d’informations peu accessibles dans le débat public, on a consulté la base de pharmacovigilance de l’OMS, qui regroupe les déclarations d’effets secondaires des médicaments au niveau mondial.

La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants.

La page d’accueil précise bien que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement. Tous les suspects n’étant pas coupables, il y a donc là un facteur de surévaluation du nombre d’événements indésirables réels.

Inversement, la plupart des systèmes de pharmacovigilance qui apportent leurs données à VigiBase et à VigiAccess ne recueillent que les événements qui leurs sont déclarés, en général sur la base de déclarations volontaires, faites par le personnel médical ou par les patients eux-mêmes, selon les systèmes mis en place dans chaque pays. Ces déclarations ne peuvent pas être exhaustives, et de façon générale, on estime qu’entre 1 % et 10 % des événements indésirables réels sont rapportés. Il y a donc un facteur de sous-évaluation du nombre d’événements indésirables réels.

Entre un facteur de sous-évaluation et un facteur de surévaluation, que l’on ne peut espérer calculer ni l’un ni l’autre, on sait qu’à partir des chiffres tirés de ces bases de pharmacovigilance on ne peut pas déduire le nombre réels d’événements survenus.

Mais ce phénomène touchant a priori tous les médicaments — sans doute pas exactement dans les mêmes proportions, mais selon les mêmes mécanismes — on peut partir de l’hypothèse (approximative) que le taux de sous- ou surévaluation est à peu près du même ordre de grandeur pour la plupart des médicaments, et on peut par exemple chercher à comparer entre elles les données rapportées pour deux ou plusieurs médicaments.

La base de données de pharmacovigilance VigiAccess a toutefois plusieurs faiblesse : notamment, elle ne fournit ni le nombre de doses administrées ni le nombre de personnes traitées pour chaque médicament. Or, comparer le nombre d’événement indésirables rapportés n’a de sens que si l’on compare le nombre de traitements administrés.

Si on veut comparer deux médicaments entre eux, il faut donc chercher ailleurs le nombre de doses administrées pour chacun d’eux.

Ici, on a cherché à comparer le nombre d’événements indésirables rapportés en lien avec les vaccins anti-Covid avec le nombre d’événements indésirables rapportés pour d’autres vaccins.

Parmi les limitations de VigiAccess, on regrettera qu'il ne soit pas possible d'y lire séparément le nombre d’effets indésirables pour chacun des différents vaccins utilisés contre une même maladie. En effet, tous les vaccins anti-Covid sont réunis dans le même sac : ils s’appellent « Covid-19 vaccines » (Fig.1 à 3). Dans notre comparaison, on ne pourra donc pas savoir quelle proportion de tel ou tel effet indésirable a été rapportée en lien avec le vaccin de Spikevax de Moderna, avec le Coronavac de Sinopharm ou avec le Vaxzevria d’AstraZeneca par exemple.

 

Fig.1 - Données de VigiAccess correspondant à "Comirnaty" (au 11/07/2021) © vigiaccess.orgFig.1 - Données de VigiAccess correspondant à "Comirnaty" (au 11/07/2021) © vigiaccess.org
Fig.2 - Données de VigiAccess correspondant à "Spikevax" (au 11/07/02021) © vigiaccess.orgFig.2 - Données de VigiAccess correspondant à "Spikevax" (au 11/07/02021) © vigiaccess.org
Fig.3 - Données de VigiAccess correspondant à "Vaxzevria" (au 11/07/02021) © vigiaccess.orgFig.3 - Données de VigiAccess correspondant à "Vaxzevria" (au 11/07/02021) © vigiaccess.org

Comme on peut le voir, quel que soit le nom du vaccin anti-Covid recherché (ComirnatySpikevaxVaxzevriaCoronavac, mais aussi Sputnik V ou Janssen Covid-19 vaccine), les données affichées par VigiAccess sont identiques. On se contentera de ce résultat groupé.

 

Afin d’avoir une base de comparaison un peu solide, on a cherché à savoir quels étaient les vaccins les plus largement administrés dans le monde. Un document de l’OMS — un rapport sur le marché mondial des vaccins — nous donne une réponse.

Fig.4 - Vaccins les plus utilisés dans le monde © OMSFig.4 - Vaccins les plus utilisés dans le monde © OMS

Un tableau, page 3 de ce rapport, fournit le top 15 des vaccins les plus utilisés (Fig.4), en donnant pour chacun un ordre de grandeur du nombre de doses distribuées en 2019. Par exemple, en 2019, environ 1 milliard et demi de doses de vaccin bOPV contre la polio ont été distribuées. A eux 15, ces vaccins totalisent plus de 5 milliards de doses administrées en 2019.

 

 

Fig.5 - Nombre de doses de vaccins anti-Covid administrées (au 10/07/2021) © OurWorldInData.orgFig.5 - Nombre de doses de vaccins anti-Covid administrées (au 10/07/2021) © OurWorldInData.org
Fig.6 - Nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccins anti-Covid (au 10/07/2021) © OurWorldInData.orgFig.6 - Nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccins anti-Covid (au 10/07/2021) © OurWorldInData.org

Pour ce qui est des vaccins anti-Covid, depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, 3,3 milliards de doses ont été administrées (Fig.5), à 2 milliards de personnes (Fig.6)

 

Le nombre de doses administrées étant à peu près comparable, on a donc décidé de comparer les vaccins anti-Covid aux 15 principales familles de vaccins que désigne le rapport.

VigiAccess ne permettant pas de connaître, par exemple, le nombre de décès associés à chaque vaccin, et puisque les éventuels effets secondaires des différents vaccins n’ont pas de raison de se ressembler — il ne serait pas pertinent de s’intéresser spécifiquement au nombre de thromboses ou de myocarditesdéclarées suite à un vaccin contre la polio, par exemple —, on s’est contenté de compter le nombre total d’effets secondaires indésirables, toute nature et toute gravité confondues, enregistrés dans VigiAcess pour chaque famille de vaccins.

Dans VigiAccess, on a alors cherché les données recueillies pour chacun des 15 vaccins retenus :

- Les vaccins bOPV, comme les anciens OPV ou les tOPV, de même que les IPV présents plus bas dans le tableau, sont rassemblés par VigiAccess en tant que « polio vaccines ».

- Pour D&T-containing, on a cherché les données pour les vaccins contre la diphtérie seule, contre le tétanos seul, les vaccins DT, et toutes les combinaisons incluant DT, et coqueluche (pertussis en anglais), polio, Hib, Hépatite B, qu’elles combinent 3, 4, 5 ou 6 vaccins. Certaines combinaisons, présentant moins de 200 événements déclarés depuis 1968, n’ont pas été retenues. (Pour le détail, voir ici : EI non comptés (pdf, 413.0 kB)) (Astuce : VigiAccess permet de tomber sur l'ensemble des données associées à une combinaison en fournissant le nom commercial d'un vaccin correspondant à cette combinaison. C'est de cette façon qu'on a pu retrouver certaines données.)

MCVs et Meningococcal sont rassemblé dans la catégorie « Meningococcal vaccine »

- la grippe saisonnière (seasonal influenza) a sa rubrique attitrée dans VigiAccess « influenza vaccine »

BCG a la sienne : « BCG »

DTwP-HepB-Hib correspond à une famille de vaccins pentavalents et se retrouve sous « Diphtheria vaccine;Hepatitis b vaccine;HIB vaccine;Pertussis vaccine;Tetanus vaccine » ou plus facilement sous le nom commercial de l'un d'entre eux : "Quinvaxem".

- PCV correspond à « Pneumococcal vaccine »

- Les rubriques « Rotavirus vaccine », « Hepatitis B vaccine », « Yellow fever vaccine », « Japanese encephalitis vaccine », « Varicella vaccine » et « HPV vaccine » complètent facilement la recherche dans VigiAccess.

(Pour le détail des intitulés de vaccins dont les effets indésirables ont été recherchés et comptabilisés, voir ici : Détail Vaccins (pdf, 1.3 MB))

On a ensuite tracé les graphiques rapportant le nombre d’effets indésirables associés à chaque type de vaccin, année par année depuis 1968 (Fig.8) d’une part et tranche d’âge par tranche d’âge (Fig.9) d’autre part.

 

Fig.8 - Nombre d'événements indésirables déclarés en lien avec des vaccins (au 11/07/2021) © Enzo Lolo d'après les données de VigiAccessFig.8 - Nombre d'événements indésirables déclarés en lien avec des vaccins (au 11/07/2021) © Enzo Lolo d'après les données de VigiAccess

 

Le graphique tracé année par année montre que le nombre d’effets indésirables rapportés suite aux 3,3 milliards d’injections de vaccins anti-Covid en 2021 est inédit. Il est près de 10 fois supérieur au total des événements rapportés en 2019, tous vaccins confondus, pour plus 5 milliards de doses administrées.

Le graphique par tranches d’âge rassemble, pour chaque tranche, la totalité des événements indésirables rapportés depuis 1968. On y voit que pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés, le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

 

Fig.9 - Nombre d'événements indésirables déclarés en lien avec des vaccins (au 11/07/2021) © Enzo Lolo d'après les données de VigiAccessFig.9 - Nombre d'événements indésirables déclarés en lien avec des vaccins (au 11/07/2021) © Enzo Lolo d'après les données de VigiAccess

 

Pour la tranche 12-17 ans, qui n’est pourtant autorisée que depuis peu et dans quelques pays seulement à recevoir les vaccins anti-Covid, les effets indésirables commencent déjà à être visibles sur le graphique : ils représentent déjà 14% de l'ensemble des effets indésirables rapportés depuis 1968 pour les vaccins les plus courants.

Ces illustrations permettent de voir en un coup d’œil que les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,8 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Il se trouvera toujours des voix pour rappeler que cela ne prouve rien. Mais comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Est-il bien raisonnable de pousser à la vaccination, y compris les enfants, ou à une troisième dose, avant d’avoir clairement établi combien d’effets graves sont réellement dus aux vaccins ? Avancer que rien ne prouve que les effets secondaires sont dus aux vaccins anti-Covid ne suffit pas à prouver qu'il n'y a aucun lien de causalité.

Par ailleurs, il est vrai que les événements indésirables restent « rares », et que rien ne permet de croire que « tout le monde » va être atteint par des effets indésirables. Mais rare ne signifie pas négligeable : si l’on distribue 10 milliards de doses provoquant seulement un effet grave une fois sur 20.000 doses (ce qui est considéré comme « très rare » sur les notices de médicament), on provoque 500.000 victimes d’événements graves, certes « rares » en proportion, mais nombreux dans l’absolu : c’est à peu près le nombre de victimes d’armes à feu dans le monde chaque année.

VigiAccess ne permet pas de distinguer les effets indésirables graves, les décès, ou les cas ayant conduit à un handicap, par exemple, qui sont certainement minoritaires parmi les 1,3 millions d’effets indésirables rapportés. Dans son dernier point d’actualité, le 2 juillet 2021, l’ANSM rapporte qu’environ un quart des événements indésirables rapportés en France pour les vaccins anti-Covid sont « graves ». On ne peut pas extrapoler cette proportion aux résultats de VigiAccess, puisque les différents pays ne filtrent pas de la même façon ce qui est rapporté, mais on peut se poser la question. Le rapport de l’ANSM ne compare pas le nombre d’effets indésirables des vaccins anti-Covid à ceux d’autres médicaments, se contentant de dire que les 55.000 événements, dont environ 15.000 graves, enregistrés après une injection, ne constituent pas un « signal ». L’ANSM a-t-elle annoncé à partir de combien d’événements elle voit un signal ?

Quoi qu’il en soit, les contours imprécis que l’on voit se dessiner au travers des chiffres de VigiAccess sont cohérents avec ce que la base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de son côté (Fig.10) de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés suite à un vaccin. Ou 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées.

 

Fig.10 - Décès déclarés aux USA en lien avec les vaccins, y compris les vaccins anti-Covid. © openvaers.comFig.10 - Décès déclarés aux USA en lien avec les vaccins, y compris les vaccins anti-Covid. © openvaers.com

 

C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

A parti des données dEudraVigilance, des chercheurs ont cherché à savoir si le nombre de personnes mourant à cause des vaccins est beaucoup plus faible que le nombre de personnes sauvées par les vaccins. Leur réponse est négative, comme le détaille Décoder l'Eco.

Comme de nombreux scientifiques, on ne conclut pas qu'il faut rejeter en bloc les vaccins. Mais il y a une balance bénéfice/risque a étudier pour chaque personne : dans certains cas (personnes à risques en raison de leur âge ou de co-morbidités) il est très possible que la vaccination soit essentiellement bénéfique ; mais pour d'autres, dont les risques de souffrir du Covid-19 sont extrêmement faibles, il est de plus en plus manifeste que le risque encouru est supérieur au bénéfice. Est-il raisonnable de faire prendre des risques aux jeunes, voire aux enfants, en espérant protéger ainsi les personnes à risque ?

Il est notable — et regrettable — que ce type d’analyses, fondées sur des données officielles, sont uniquement considérées comme « favorisant l’hésitation vaccinale » ou comme de la « désinformation ». Et il est inquiétant qu’elles ne soient pas menées par les grands médias et restent absentes des discours officiels.

Puisque seule une partie du public y a accès et qu’une autre partie a des raisons de considérer a priori qu’il s’agit de désinformation puisque cela n’apparaît pas dans les médias, on comprend que la tension monte entre les uns et les autres…

Enfin — et c'est un élément clé dans le calcul de la balance bénéfice/risque des vaccins anti-Covid — rappelons que la recherche scientifique a établi que de nombreux traitements, pour peu qu’ils soient administrés précocement (ou préventivement dans certains cas), réduisent considérablement les risques de faire une forme grave ou de décéder du Covid-19 si on l’attrape. La méta-analyse de Hill et al. sur l’ivermectine, commandée par l’OMS et récemment publiée dans l’Open Forum Infections Diseases, le confirme encore : même si les auteurs précisent qu’il n’est pas exclu que les chiffres issus de larges essais cliniques (encore en cours) modifient leurs résultats, ils observent que les traitements par ivermectine réduisent de 56 % la mortalité du Covid-19 et réduisent les hospitalisations.

L’Inde en est sans doute un exemple : elle est rapidement venue à bout de la vague due au variant delta après avoir recommandé des traitements précoces — dont l’ivermectineRappelons-le : comme l'OMS l'affichait jusque récemment, l'ivermectine n’a pas d’effets secondaires graves et peut sans risque être massivement administrée contre diverses maladies. Elle est donc, de façon certaine, beaucoup plus sûre que les vaccins, et, de façon probable, d'une efficacité comparable en prévention : comme le calcule la méta-analyse de Bryant et al. publiée dans Frontiers of Pharmacology, l'ivermectine réduit de 86% le risque d'être infecté, ce que même les vaccins ne prétendent pas faire.

La vaccination n’est donc pas la seule option pour empêcher les drames dus au Covid-19. En revanche c’est la seule qui offre un marché de 100 milliards de dollars par an à l’industrie pharmaceutique. Coûte que coûte ?

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12 juillet 2021 1 12 /07 /juillet /2021 16:56
Pr Perronne: “Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont des pays qui ont vacciné massivement”

Source: Planetes360 | Twitter

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