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Christ Roi

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  • : Blog d'informations royaliste, légitimiste, pour une France libre, indépendante et souveraine
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Horloge

7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 07:04

Notre pays a été dépassé en 2014 par le Royaume-Uni, dont le PIB est supérieur au nôtre.

Voilà une bien triste nouvelle pour François Hollande et l'orgueil national: «La France, c'est un grand pays ; elle est la cinquième puissance économique du monde», avait affirmé le président de la République le soir de la Saint-Sylvestre lors de ses vœux aux Français. Le propos se voulait roboratif, «un message de confiance et de volonté», avait-il lui-même annoncé. Hélas, trois fois hélas, au moment même où le chef de l'État rappelait ce fameux classement - une habitude bien ancrée de sa part -, il n'était déjà plus valable.

Certes, la France était effectivement «la cinquième puissance économique du monde» encore en 2013. Son PIB (produit intérieur brut), la richesse créée annuellement, la seule mesure de la puissance économique, arrivait au 5e rang, derrière les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne et devant le Royaume-Uni. Or celui-ci nous devance désormais: en 2014, le PIB britannique aura dépassé de 98 milliards d'euros celui de la France (2232 milliards d'euros pour le premier et 2134 milliards pour le second). Ces chiffres figurent dans un document de la Commission européenne consultable sur son site.

À cette période de l'année, il s'agit bien sûr encore d'une estimation. Mais contrairement aux prévisions qui peuvent se révéler fausses, cette évaluation comptable, qui marque une différence de près de 4,5 % entre les deux pays, ne sera en aucun cas remise en cause lors de la publication définitive des bilans 2014 dans quelques semaines.

Source: La France a perdu sa place de cinquième puissance économique mondiale, Le Figaro, Mis à jour le 06/01/2015 à 22:26, Publié le 06/01/2015 à 22:00

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 20:05

A rajouter au triste bilan de la république destructrice :

 

Sans-domicile-fixe---44--en-11-ans.jpg

France : le nombre de SDF en hausse de 44% en 11 ans

 

Le nombre de sans-domicile fixe a augmenté en France de 44% en 11 ans pour atteindre 112.000 en 2012, a annoncé mercredi l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

 

"En 2012, dans les agglomérations d'au moins 20.000 habitants de France métropolitaine, 81.000 adultes, accompagnés de 31.000 enfants, sont sans-domicile (...). 10% des sans domicile fixe sont sans-abri, c'est-à-dire qu'ils dorment dans des lieux non prévus pour l’habitation (rue, pont, jardin public, gare, etc.)", indiqué l'Insee dans la nouvelle version de son étude annuelle "Portrait social de la France".

Selon l'étude, 45.000 adultes sans domicile sont nés à l'étranger. Parmi eux, près de 60% sont originaires d'un pays d'Afrique: 23% du Maghreb et 35% d'Afrique subsaharienne.

Un tiers des SDF nés à l'étranger ne parlent pas le français et deux tiers des 16.000 SDF non francophones "sont nés dans un pays d'Europe de l'Est ou en ex-URSS".

Un sans-domicile sur trois vit avec moins de 300 euros par mois. "Parmi les sans-domicile nés à l'étranger, 45% sont dans ce cas", précise l'Institut.
Les femmes représentent une part importante parmi les SDF français (38% en 2012), d'après l'étude de l'Insee.

Plus des trois quarts des SDF français sont au chômage ou inactifs. Toutefois, les 24% qui travaillent ont des emplois "précaires et peu qualifiés. Leur niveau de diplôme faible et leurs difficultés dans la maîtrise du français compliquent leur insertion sur le marché du travail", conclut l'Insee.

 

Source: http://french.ruvr.ru/news/2014_11_19/France-le-nombre-de-SDF-en-hausse-de-44-en-11-ans-5336/


 

> Le vrai bilan de la république dite "libre & égale"

> La république destructrice

> Le nombre de sans-domicile a bondi de 50% depuis 2001 (INSEE chiffres 2013)

> Des impôts dix fois supérieurs à ce qu'ils étaient avant 1789 !

> Taxes et impôts : 10 % du PIB en 1914, près de 50 % en 2012

> 53% des revenus moyens d'un Français vont dans la poche de l'Etat

>  "Liberté & Egalité" : Les inégalités entre les Français se creusent

> "Liberté & égalité" : Depuis la crise de 2008, les écarts de richesse continuent de se creuser (INSEE)

> Le changement c'est maintenant : baisse "historique" du pouvoir d'achat (27 mars 2013)

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 16:53
Niveau scolaire : la France recule dans le palmarès mondial
Niveau scolaire : la France recule dans le palmarès mondial
 

Selon le classement de l'OCDE, les résultats en mathématiques des élèves français sont très décevants.

 

 

«Nous sommes sous le choc Pisa, pour l'instant, et ça va être encore pire», prophétisait le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, lors d'une audition à l'Assemblée nationale, le 23 octobre. «La France décroche totalement» dans la prochaine enquête Pisa, déclarait-il déjà le 10 octobre, sur Canal +. Depuis le printemps dernier, le ministre dispense ce pronostic de «déclin scolaire».

Conduite depuis 2000 par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l'enquête Pisa (Program for International Student Assessment) est la principale évaluation internationale des systèmes éducatifs. Portant sur 65 pays et mesurant les compétences acquises par les élèves de 15  ans en lecture, mathématiques et sciences, cette enquête élaborée tous les trois ans plaçait déjà la France en position médiocre en 2009: 21e rang en lecture, 22e en mathématiques, 27e en sciences!

La dernière enquête, en 2009, plaçait déjà la France en position médiocre : 21e rang en lecture, 22e en mathématiques, 27e en sciences !

Les résultats de la dernière étude ne seront connus que mardi 3 décembre. Mais le ministre a choisi depuis plusieurs mois de s'appuyer sur des résultats annoncés catastrophiques pour défendre le bien-fondé de sa politique, à commencer par celle de la réforme des rythmes scolaires ou celle sur le statut des enseignants. «C'est une tactique politique de sa part, pour que les syndicats changent d'attitude et cessent de s'opposer à toutes les réformes. Car, en France, nous n'avons toujours pas connu de “choc Pisa”, contrairement à d'autres pays qui ont su redresser la barre», analyse Bernard Hugonnier, ex-responsable de l'éducation à l'OCDE, aujourd'hui artisan du groupe de réflexion du Collège des Bernardins sur l'éducation. D'autres craignent à l'inverse que le ministre ne désamorce les effets négatifs de l'événement à force d'annoncer le pire…

De fait, le niveau des élèves français baisse depuis la première étude Pisa, il y a dix ans. «Nous n'avons pas de décrochage en matière de résultats bruts. Ces derniers restent sensiblement les mêmes qu'en 2009, en mathématiques, sciences et compréhension de l'écrit. En revanche, des pays nous passent devant, affirme un haut fonctionnaire du ministère de l'Éducation nationale. En dépit des réformes, malgré l'argent massif investi, les résultats des élèves ne s'améliorent pas.» Particulièrement attendus cette année, les résultats en mathématiques étaient très décevants en 2009, accusant une chute de quatorze points. Auparavant classée parmi les pays les plus performants dans cette matière, la France était alors descendue dans le groupe des «moyens»…

«Des pays nous passent devant. En dépit des réformes, malgré l'argent massif investi, les résultats des élèves ne s'améliorent pas»

Un haut fonctionnaire du ministère de l'Éducation

Les résultats soulignent par ailleurs que les inégalités entre ceux qui réussissent le mieux et les plus faibles ont tendance à croître. Selon Bernard Hugonnier, «la France offre un très bon système scolaire aux excellents élèves, ceux qui sont inscrits dans les meilleurs lycées de centre-ville. Elle se désintéresse des autres. Le décrochage est là. Notre rang global, au-delà de la vingtième place, est indigne et médiocre pour la cinquième puissance économique mondiale». La France occupait ainsi l'avant-dernière place en termes d'équité scolaire en 2009, juste devant la Nouvelle-Zélande… À l'inverse, sur les premières marches du podium figurent régulièrement la Chine, la Corée, la Finlande, le Canada ou le Japon.


Source: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/12/02/01016-20131202ARTFIG00227-niveau-scolaire-la-france-recule-dans-le-palmares-mondial.php

 

. Progression de l'illettrisme : la Cour des comptes brocarde la gestion de l'"Education nationale" par le gouvernement socialiste actuel
. Education "nationale" en Hollandie : plus de dépenses pour des résultats médiocres
. Le vrai bilan de la république dite "libre & égale"
. "Liberté & Egalité" : Les inégalités entre les Français se creusent
. "Liberté & égalité" : Depuis la crise de 2008, les écarts de richesse continuent de se creuser (INSEE)
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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 23:58

 

Au lendemain de l'intervention télévisée de François Hollande, les derniers chiffres de l'Insee tombent mal : le déficit public a été réduit moins que prévu en 2012, et que la dette publique a continué à augmenter, dépassant désormais les 90% du PIB - un record.

 

C'était un engagement du gouvernement socialiste auprès de ses partenaires européens : ramener le déficit public de la France de 5,3% à 4,5% du produit intérieur brut en 2012 - en attendant de passer sous les 3,7% du PIB fin 2013. Il n'a pas été tenu. En dépit des efforts réalisés, les chiffres de l'Insee annoncés vendredi matin montrent que le déficit n'est pas descendu en-deçà des 4,8%.

 

La dette publique a, elle, continué d'exploser atteignant fin 2012 un nouveau record à 90,2% du PIB, plus que les 89,9% prévus par le gouvernement. Elle s'élevait à 85,8% en 2011.

 

Le gouvernement a déjà reconnu qu'il ne parviendrait pas à réduire le déficit à 3% du PIB fin 2013.

 

Le déficit public, qui agrège les comptes de l'Etat, des collectivités locales et des administrations de sécurité sociale, s'était établi à 5,3% du PIB en 2011, et la dette publique à 85,8%. L'an dernier, le taux de prélèvements obligatoires a augmenté de 1,2 point à 44,9% du PIB, sous l'effet de la hausse des impôts (+5,3%). Les dépenses ont progressé de 2,9%, après +2,1% en 2011 et les recettes ont augmenté de 3,9%, après +5,7% en 2011. La réduction du déficit public par rapport à 2011 est essentiellement liée à l'Etat (-7,7 milliards d'euros), tandis que le déficit des administrations de sécurité sociale baisse de 0,8 milliard et celui des administrations locales progresse à 3,1 milliards contre 1,5 milliard en 2011.

 

Quant à la dette, elle a progressé de 116,9 milliards d'euros l'an dernier après +121,9 milliards en 2011. La contribution de l'Etat à la dette a augmenté de 104,6 milliards, une variation plus importante que le déficit. Selon l'Insee, cette différence résulte des prêts accordés via le Fonds européen de stabilité financière (+27,1 milliards) et de l'apport de capital au Mécanisme européen de stabilité (6,5 milliards). La dette des organismes divers d'administration centrale s'établit à 9,9 milliards fin 2012, en légère baisse (-0,4 milliard) par rapport à fin 2011. La contribution des administrations locales à la dette atteint 173,7 milliards fin 2012 contre 166,6 milliards fin 2011, une hausse de 7,1 milliards. La contribution des administrations de sécurité sociale à la dette publique a augmenté de 5,7 milliards d'euros pour s'établir à 210,3 milliards fin 2012.

 

Source: http://lci.tf1.fr/economie/conjoncture/le-deficit-public-derape-la-dette-explose-7906586.html

 

 

- Aujourd'hui la dette de la France est de 1.886.460.800.000 euros, elle augmente de 360.000.000 euros en 24 heures (23 mai 2013)

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28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 12:35

Comme nous le disions, et malgré les mensonges du gouvernement ou de la “communauté LGTB”, le “mariage gay” n’est pas une simple extension du droit au mariage pour les homosexuels (puisque ces derniers ont toujours pu se marier, tant que c’était dans le cadre normal et naturel du mariage) mais bien un changement en profondeur du statut de cette institution fondamentale, et donc de ce qu’elle implique.

En effet, le projet de loi du gouvernement reprend celui de la sénatrice Esther Benbassa qui préconise un vaste changement des terminologies utilisées dans le Droit Français : “père” et “mère” seront remplacés par “parents”, “mari” et “femme” seront remplacés par “époux”, “congé de paternité” deviendra “congé de parentalité”, le “père” devenant ici “second parent”…

Un changement radical de son statut, faisant passer le mariage d’un cadre symbolique et filiatoire, permettant la fondation d’une famille reconnue par la communauté, à un simple contrat entre personnes partageant une pratique sexuelle commune, en l’occurrence une pratique déviante.

Ce qui nous menace est donc grave : il ne s’agit pas d’une simple revendication d’une minorité qui subirait une injustice (ce n’est pas le cas), mais bien d’une offensive contre l’édifice moral de notre Patrie, s’inscrivant dans le processus de destruction systématique du “Père” par une clique d’hystériques semi-dément-e-s. Ce processus de décivilisation ayant pour finalité la destruction des repères, des institutions séculaires, des normes naturelles, de cet ordre social enracinant les Hommes dans le Sens.

Sans racines ni repères, sans morale ni filiation symbolique, les Hommes deviennent malléables, vulnérables, et dénués de tout principe qui pourrait faire obstacle au règne totalitaire du matérialisme capitaliste et de la modernité.

Les masses présentent alors toutes les caractéristiques du cheptel : dormir, bouffer, baiser. Bosser, consommer, et crever. Sans jamais réaliser le degré extrême d’aliénation qui détermine l’ensemble de ces comportements, pour la simple raison que les capacités intellectuelles le permettant trouvent leur source (la sublimation libidinale) totalement tarie par le “jouir-sans-entrave” érigé en dogme social suprême.
Le totalitarisme est alors optimal, souple, s’installant sans recours à la force (hormis la contrainte de la force légale, la loi qui rappelons-le est la source du droit dans ce pays, en dehors de tout droit naturel et de toute contrainte morale, du moment qu'elle est le fruit de la Volonté générale, Ndlr...), tel que le décrivait à merveille Aldous Huxley.

Un totalitarisme tellement optimal et imparable qu’il en serait presque admirable s’il n’était pas si abjecte. Tellement optimal, qu’il ne peut être qu’une oeuvre in-humaine, l’oeuvre de Satan.

Détail de l’histoire sans doute, mais notable tout de même : Esther Benbassa est Juive.

Vincent Vauclin

 

Source: http://la-dissidence.org/2012/09/28/notes-sur-le-processus-de-decivilisation-2/ 

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Note de Christroi. Rappelons que le mariage, à Rome sous César, était entre un homme et une femme. Et si dans l'Antiquité, l'homosexualité était répandue, à aucun moment, sous quelque tyrannie que l'on se place, on ne voit de "mariage" homosexuel... Si bien que le projet actuel de légalisation du "mariage" homosexuel, peut être analysé comme un phénomène inédit dans l'histoire de l'humanité.

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 19:46

A propos du "mariage homosexuel", nous nous félicitons de voir enfin l'Eglise réagir par la bouche de Mgr Michel Aupetit, vicaire général du diocèse de Paris, qui comme Alain Escada, président de l'institut Civitas pointe du doigt le risque de voir apparaître derrière la légalisation du "mariage homosexuel" des revendications individuelles visant à légaliser la polygamie ou l'inceste : "Pourquoi pas, en effet, « puisqu’ils s’aiment », pour reprendre l’argumentation des partisans du “mariage homosexuel” ?" explique le vicaire.

 

 

http://www.paris.catholique.fr/IMG/jpg/2011-06-25_0002p.jpgP. N. -D. – Quelle a été votre réaction en entendant de la ministre de la famille que les personnes du même sexe pourront se marier et adopter dès l’année prochaine ?

Mgr M. A. Je ne suis pas spécialement surpris : cela faisait partie du programme du candidat François Hollande. Il me semble qu’avant de décider d’une loi qui va bouleverser la société, il conviendrait d’en mesurer les conséquences, de permettre un véritable débat comme pour les lois de bioéthique et de mettre en place des états généraux sur cette question. Ce serait le signe donné d’une vraie démocratie participative des citoyens.

P. N.-D. – Qu’est-ce que cela remet en cause au niveau légal et au niveau social ?

Mgr M. A. Au niveau légal, il s’agit d’un bouleversement de la filiation. Le mariage était conçu d’abord pour le bien de l’enfant. Tout enfant est issu d’un père et d’une mère. En supprimant la mention « père » et « mère » sur l’état civil, on introduit délibérément une fragilisation de l’enfant qui perd ses repères naturels. C’est une remise en cause du code civil. En outre, la convention de New York de l’ONU, en 1991, affirme le droit de l’enfant de connaître ses parents et d’être élevé par eux. Par ailleurs, juridiquement, ce n’est pas la sexualité qui fonde le mariage, c’est la différence des sexes. En effet, le maire ne demande pas aux époux leur orientation sexuelle. Nous avons une identité sexuelle qui nous qualifie juridiquement. Il ne revient pas à l’État de définir juridiquement l’orientation sexuelle. Enfin, une loi a pour vocation de s’appliquer à tous et donc d’être universelle. Il ne convient pas, qu’au nom d’un individualisme exacerbé, on crée une loi pour chaque catégorie de personnes. Sinon, pourquoi pas la polygamie ? L’inceste ? L’adoption d’un enfant par un frère et une sœur ? Pourquoi pas, en effet, « puisqu’ils s’aiment », pour reprendre l’argumentation des partisans du “mariage homosexuel” ? Sur le plan social, on sait pourtant, avec les enfants adoptés, nés sous X, le besoin essentiel de connaître de qui l’on vient pour connaître non seulement sa constitution biologique, mais aussi pour se construire sur le plan psychologique. La souffrance qu’entraîne l’ignorance de ses origines est bien connue et exprimée de plus en plus par des enfants qui, devenus grands, revendiquent leur droit. Le recours à une procréation médicalement assistée serait une profonde injustice faite aux enfants. Il y a toujours un père et une mère et l’homoparentalité est une inexactitude. On constate que le consensus du droit des adultes se fait aux dépens du droit des enfants.

P. N.-D. – A quoi les catholiques sont-ils invités à la suite de cette annonce ?

Mgr M. A. Comme toujours, et d’abord, à témoigner du Christ par leur vie. Homme et femme, Dieu créa l’humanité à son image pour manifester la communion divine du Père, du Fils et du Saint Esprit. C’est la signification du sacrement de mariage dans laquelle Dieu s’engage. Une famille harmonieuse fondée sur le couple où l’amour et la vie sont intimement liés, où se pratique le pardon et où s’appliquent les préceptes de l’Évangile, donnera envie d’en connaître la source. Les jeunes chrétiens devront se démarquer, comme ils le firent jadis, pour signifier la beauté d’un engagement fondé sur l’Alliance divine et montrer au monde « qu’il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ».Propos recueillis par Ariane Rollier

 
Cet article est extrait de l’hebdomadaire Paris Notre-Dame du 12 juillet 2012.

 

Source: http://www.paris.catholique.fr/A-propos-du-mariage-homosexuel-et.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

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- De "mariage" homosexuel en polygamie

- "Homoparentalité" : Il est prouvé que les enfants vivant au sein d'une "famille" homo sont en danger

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 08:02

Mis à part le discours athée, libertaire et matérialiste qui présente l'hédonisme comme sagesse indépassable [matérialisme conduisant l'homme à devenir son propre dieu, ce qui n'est rien d'autre que du satanisme, à tout le moins un gnosticisme conduisant la société à la barbarie. Si en effet l'homme est son propre dieu, qu'est-ce qui l'empêche de tuer autrui ? Si les lois de la cité (sans Dieu) suffisent pour organiser la cité et conduire l'homme au bonheur, pourquoi les lois athées de 1789 conduisirent-elles au génocide vendéen, pourquoi ces lois servirent-elles de prototype à Lénine ? Plus simplement comme le dit le Christ Notre-Seigneur, si l'homme n'aime que celui qui l'aime, quel mérite en a-t-il ? L'éviction dont parle Onfray n'est pas si éloignée de la séparation d'un Christ conseillant aux chrétiens de quitter les cités qui ne les auront pas accueillis en secouant la poussière de leurs pieds (Marc 6, 11; Luc IX, 5), ou retrouvant les accents de saint Jean-Baptiste, invectivant et lançant des anathèmes (Matthieu 22, 1-10; Luc 14, 16-24; Matthieu 16, 4; 17,17; 23, 29-32; Luc 11,51)], le philosophe arthée Michel Onfray a la loi naturelle et commence à comprendre l'évolution réelle de l'histoire de l'Europe... depuis 1789. C'est-à-dire depuis le moment exact où l'Europe et les ancêtres athées de Onfray ont commencé à tourner le dos au Christ. Rappelons-nous toujours cet avertissement: "Sans moi vous ne pouvez rien faire" (Jean 15, 5). Si l'homme n'a pas le Christ pour Dieu, nous prévient le Christianisme, il prendra son nombril pour dieu ! Et le monde autour de lui retournera à la barbarie et à la décadence... C'est ce que nous vivons, et ce que d'autres constatent, comme Elisabeth Badinter à propos de la société moderne.

 

"Une civilisation se constitue à partir d’une religion", déclare Michel Onfray (à partir de 6:40). L’Europe a une date de naissance, c'est l'arrivée de Constantin au pouvoir, début du IVe siècle, et qu'elle a un début de déclin. Un sommet au XIIe siècle avec les cathédrales, saint Thomas d'Aquin, la scolastique, les croisades quoiqu'on en pense, c'est le grand moment fort du christianisme, et puis après on a la 'Renaissance', c'est-à-dire qu'on commence à faire reculer la religion, la Révolution française, la déchristianisation, une espèce de descente, qui fait que de fait, le christianisme imprègne encore notre civilisation et notre culture mais notre culture est décadente. On est aujourd'hui à l'équivalent du Bas-empire romain avec des Néron, des personnages qui sont des espèces d'empereurs décadents, mafieux, des individus qui se manifestent par des frasques comme on en rencontre dans la Vie des douze Césars de Suétone." (Fin de citation)

"Ce Jésus, il est la pierre que vous aviez rejetée, vous les bâtisseurs, et il est devenu la pierre d'angle. En dehors de lui, il n'y a pas de salut", nous disent les Actes des Apôtres (4, 8-12). Les "bâtisseurs" peuvent être assimilés aux "francs-maçons" modernes (à la pelle, la truelle, l'équerre et le compas) mais aussi à tous les bâtisseurs de la cité sans Dieu... qui prétendent construire la société en dehors de la "pierre d'angle". Onfray ferait bien d'y réfléchir.

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- Déclin, déclassement et décadence de la France: points de vue d'historiens

- Identité nationale : Pont Milvius (312) et Tolbiac (496) : berceaux de la civilisation chrétienne et française

- Bernard Lugan : Elitisme et démocratie

- Ce Jésus, il est la pierre que vous aviez rejetée, vous les bâtisseurs

- Choc : Elisabeth Badinter parle de la société moderne comme d'une "forme de barbarie"

 - Le sens métaphysique de la Révolution

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 23:58
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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 12:33

Sur son blog, Xavier Guilhou évoque "la fin des chimères".

"Le temps des magiciens et des imposteurs semble enfin arriver à son terme. La réalité nous rattrape avec des carnets de commandes vides, des monnaies en péril, des déficits publics vertigineux, et ne parlons pas de ces dettes colossales qui commencent à faire trembler sérieusement nos Etats en quasi faillites. Pourtant, les analystes continuent à faire du déni de réalité et pressentent dans les manipulations des bourses une reprise de l'économie occidentale. Pour entretenir l'illustion, quelques gros titres font régulièrement la une pour annoncer un frémissement en instrumentalisant une statistique isolée du contexte général. Certes, chacun essaye de se rassurer comme il le peut en se focalisant sur quelques signaux positifs entre deux hausses du chômage, des fermetures d'usines, les appels au secours des Etats en cessation de paiement. Mais cette fébrilité ne change rien aux échéances qui sont devant nous.

Nous sommes comme sur un navire où la moindre risée est immédiatement interprétée comme salutaire alors que la météo confirme que nous sommes encalminés dans une mer sans vent avec des courants qui nous emmènent sur les rochers...

 

La déflation s’est bien installée avec

des entreprises et des privés qui se désendettent par tous les moyens pour casser l’emprise de

la dette dans des économies à l’arrêt, au milieu d’orages spéculatifs autour des déficits publics

ou des dérivés bancaires pollués.

 

Les Etats riverains de l’Atlantique nord, qui sont sous l’emprise d’une addiction effrénée d’endettement pour secourir leurs banques, mais aussi pour acheter la paix civile et la paix sociale, ne peuvent que monétariser leurs dettes auprès de la FED et de la BCE. Cette fuite en avant va rapidement nous conduire à une hyperinflation dont nous connaissons les effets collatéraux. Certes, c’est le remède le plus simple et le plus rapide pour nettoyer les comptes publics, mais c’est aussi le meilleur moyen pour spolier les populations et notamment les classes moyennes. A un moment ou à un autre, les dérivées de ces tribulations se termineront, au mieux dans la rue, au pire sur des champs de bataille. Il en est ainsi depuis des siècles des errements de nos sociétés.

 

Les économistes ne savent plus quoi dire pour exorciser la situation. ...

 

... Il est clair que le second

semestre de 2010 va être particulièrement dur, notamment en Europe avec cette crise vitale

qui s’abat actuellement sur l’euro.

 

Source :

http://www.xavierguilhou.com/clients/guilhou/site_xavier.nsf/0/2CD8464BAEE5C4C0C125730C004B262E?OpenDocument  

 

* La fin des chimères, texte complet en fichier Pdf

 

Christ-roi : nous précisons que nous ne partageons pas la totalité des analyses de Xavier Guilhou lorsque celui-ci précise sa pensée à la page 8 (du fichier pdf) : "il faut saisir l’opportunité de cette crise pour faire l’Europe politiquement, militairement et diplomatiquement sans attendre". Ce qui revient à rien d'autre qu'à se servir de la crise (chaos économique) pour créer une Europe fédérale (ordo ab chao...), qui nécessairement se construira sur le dos des vieux Etats-nations européens..

A la note 7, p. 7, Xavier Guilhou rapporte ce mot de Paul Volcker, conseiller du Président Obama dans une conférence à Londres, le 14 mai 2010 :  « De toute évidence, je pense que l'on peut dire que l'euro a échoué et est tombé dans un piège qui était manifeste depuis le début". Ce qui signifierait que depuis le début de l'aventure européenne, l'administration américaine savait que l'euro conduirait l'Europe au chaos économique. De là à en déduire que c'était là l'effet escompté, je vous en laisse tirer la conséquence... Une autre assertion de Xavier Guilhou, p. 9 confirme cette interprétation : "Cette crise est avant tout une crise de pilotage et de volonté. Il ne faudrait pas grand-chose pour en faire un succès historique comme pour Apollo XIII."

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 08:16

200px-saint-germain-en-laye_pavillon_muette.1276059663.jpg

L’Etat met en place un nouveau programme de cessions immobilières. Pour la première fois il s’agit d’un programme pluriannuel : il concernera 1 700 biens dans toute la France sur la période 2010-2013.

Ces ventes “résultent des importantes réformes administratives menées depuis 2007 (restructurations militaires, nouvelle carte judiciaire…)”, explique le ministère du budget. Elles seront affichées sur le site internet du ministère.

Depuis 2005, les ventes immobilières par l’Etat ont représenté “plus de 3 milliards d’euros”. En 2008 et 2009, ces cessions ont toutefois connu un rythme moindre (395 millions d’euros et 475 millions d’euros), le gouvernement n’ayant “pas souhaité donner suite à certaines cessions lorsque les prix étaient trop bas”.

Fin 2009, un peu plus de 400 sites avaient été cédés, sur un objectif de 770.

La vente du patrimoine de l’État “participe au redressement des finances publiques”, relève le ministère du budget qui précise que les opérations de cession “permettent d’apporter une contribution au désendettement correspondant, en règle générale, à 15 % du produit de la cession”. Cette contribution au désendettement a représenté 427 millions d’euros depuis 2005.

Source : http://bercy.blog.lemonde.fr/2010/06/09/letat-va-vendre-1-700-biens-immobiliers/#xtor=RSS-32280322

 

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A titre de comparaison, lisons ces quelques informations en commentaire : "la france se sera endettée en 2010 à hauteur de 200 milliards d’€ ( 150 M € pour l’Etat + 30 M € sécu + autres ) soit au rythme gigantesque de 20 millions d’€ PAR HEURE ( toutes les heures nous augmentons notre dette de 20 millions d’€ ) ===> soit 480 M € / 24 heures

il est écrit dans l’article que
“Cette contribution au désendettement a représenté 427 millions d’euros depuis 2005.”

427 millions d’€ ===>MOINS QUUNE JOURNEE DE DETTE ET ON BRADE LE PATRIMOINE IMMOBILIER DE LETAT" ... pour le remboursement d'une seule journée de dette ! De qui se moque-t-on ?

 

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Quelques bâtiments cédés par l'Etat

Source : http://www.lefigaro.fr/immobilier/2010/06/09/05002-20100609DIAWWW00404-quelques-biens-immobiliers-cedes-par-l-etat.php

Situé dans la forêt de Saint-Germain en Laye dans les Yvelines, l'ancien pavillon de chasse royal de La Muette est classé Monument historique. Construit par Gabriel au 18ème siècle, il est cédé avec la grande maison forestière bâtie dans sa proximité immédiate. Ces bâtiments inoccupés depuis plusieurs années sont à restaurer. Ils appartenaient à l'Office nationale des forêts. Ce château de 400 m2 construit en 1800 et situé à Thonon-les-Bains au bord du lac Léman en Haute-Savoie appartenait à une université parisienne qui n'en a plus l'usage. Il possède son port privé, et une maison de gardiens d’environ 150 m². 

Cet immeuble haussmanien en pierre de taille édifié en 1875, se situe à proximité de l'esplanade des Invalides à Paris, au 17 boulevard de la Tour Maubourg. Propriété du Ministère de la Défense, il possède quatre étages droits et un cinquième mansardé, entièrement aménagés en bureaux. Surface utile: 1712,7 m2 dont 234 m2 de sous sol.

Sans compter tous les autres biens immobiliers que la diligence du Figaro ne nous montre pas...  

 

- Patrimoine Français : Tout est à vendre !

- Prophéties 2010...par Jacques Attali

- Sarkozy vend l’or de la France

- Attali évoque Jérusalem "capitale du Gouvernement mondial"

- Crise de la dette : Après la Grèce, le Portugal et l'Espagne, la France ?

- "Rapport Attali" vs "Discours Les Juifs au XXIe siècle, un avenir incertain", selon que l'on se place du point de vue de la France ou selon le point de vue d'Israël (Jacques Attali)

- Aux sources bibliques du mondialisme (Hervé Ryssen)

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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 07:08

L'assurance maladie concentre la part la plus importante du déficit de la Sécu, avec un déficit estimé à 13,1 milliards d'euros. Crédits photo : AFP

Le déficit du régime général de la Sécurité sociale devrait frôler les 27 milliards d'euros en 2010. Un niveau sans précédent.

Le «trou» devient un gouffre. Le déficit du régime général de la Sécurité sociale atteindra 26,8 milliards d'euros en 2010, après avoir franchi la barre des 20 milliards d'euros en 2009, selon un rapport que la Commission des comptes de la Sécurité sociale (CCSS) doit remettre au gouvernement ce mercredi, a indiqué une source proche du dossier à l'AFP.

Le chiffre de la CCSS n'en reste pas moins un record absolu, alors que le déficit de la Sécu avait déjà doublé entre 2008 (10,2 milliards d'euros) et 2009 (20,3 milliards).

Dans son rapport, la CCSS estime par ailleurs le déficit du Fonds de solidarité vieillesse (FSV), dont la mission inclut le financement du minimum vieillesse, à 4,3 milliards d'euros en 2010. Ajouté à celui de la Sécu, le déficit total du régime général pourrait atteindre 31,1 milliards d'euros cette année, souligne la source proche du dossier.

 

Source : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/06/09/04016-20100609ARTFIG00447-le-deficit-de-la-secu-atteindra-un-nouveau-record-en-2010.php

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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 13:59

La situation sociale des personnes les plus vulnérables s’est « dégradée », selon le 6e rapport de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale.

Le taux de personnes vivant en-dessous du seuil de pauvreté (soit moins de 60 % du revenu médian, soit 908 € par mois) n’a guère évolué. Il est passé de 13,6 % à 13,4 % de la population entre 1998 et 2007, ce qui représente plus de huit millions de personnes en 2007 (plus d’une personne sur huit).

« Parmi les personnes pauvres, la situation des plus pauvres s’est donc sensiblement dégradée », s’alarme l’ONPES. « La dégradation du marché du travail, en touchant les personnes qui étaient déjà les plus vulnérables, engendre un risque d’irréversibilité du chômage et de la pauvreté », s’est inquiétée Agnès de Fleurieu, présidente de l’ONPES. Un million de chômeurs vont se retrouver en fin de droits en 2010, a-t-elle rappelé, en présentant le rapport aux côtés du secrétaire d’État chargé du Logement Benoist Apparu et du Haut commissaire aux Solidarités actives Martin Hirsch.

Si les statistiques disponibles sur la pauvreté ne donnent pas encore de données précises sur les effets de la crise, l’ONPES note que les associations sont « particulièrement préoccupées par l’augmentation des demandes d’aide alimentaire et financière enregistrée depuis l’automne 2008 ». Un « système de veille sociale » mis en place en 2009 fait apparaître un recours plus important des jeunes et des personnes âgées aux aides sociales.

Phénomène déjà souligné il y a deux ans, la pauvreté touche également les personnes employées. Les travailleurs pauvres étaient 1,9 million en 2007, soit 6,7 % des salariés. En 2005, ils étaient déjà 1,7 million (7 % des travailleurs).

Source via N.P.I.

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 08:55
Faites-vous confiance à l’enseignement délivré par l’Éducation nationale ?
 
Oui
.
28.52%
.
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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 09:43

Ces trois dernières années, l’État a vendu pour près de 2 milliards d’euros. Monuments historiques, hôtels particuliers mais aussi des terrains vagues, des casernes ou des immeubles de bureaux. Le patrimoine de la France s’élève à plus de 55 milliards d’euros, l’un des plus importants au monde.

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 17:42
http://www.lemonde.fr/image/2010/03/09/300x200_1499831_0_bc72_ill-1316853-d754-000-par2743974.jpgThierry Cadart, secrétaire général du SGEN-CFDT estime que "la réforme de la formation des maîtres" conduit à "l'abandon d'une véritable politique éducative".

... Le projet du SGEN sur la formation, c'est recrutement après la licence et deux ans de formation professionnelle qui débouchent sur l'obtention d'un master.

"on passe d'un système insatisfaisant à un système catastrophique. Ce n'est pas exactement un progrès... Catastrophique parce que le recrutement sera basé essentiellement sur les compétences disciplinaires, donc la formation avant le concours sera naturellement orientée vers ces compétences. Et la formation professionnelle après le concours aura pratiquement disparu. Enseigner n'est plus un métier qui s'apprend, ce doit être un don accordé à quelques élus."

Source
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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 07:21
L’école irréformable est celle de la République. Je vais m’en expliquer.
Il y a en France depuis de longues années une crise de l’enseignement, une crise qui dure et qui s’aggrave de jour en jour.

Cette dégradation et ses innombrables effets malheureux sont reconnus et déplorés depuis plus de vingt ans. Dès les années 80 on entendait partout un concert de gémissements, et nous avions les oreilles cassées de ces cris déchirants : l’école n’est plus l’école, nous criait-on, les enfants ne savant pas lire, les disciplines sont massacrées, l’histoire est morte, le français agonise, les mathématiques sont assassinées. Or, cette lamentation n’a pas cessé. On a même entendu récemment des ministres gémir, MM. Allègre et Ferry par exemple, et plus récemment M. Darcos. Certains éléments du système scolaire, comme la lecture globale, le collège unique et la mixité, sont maintenant l’objet de critiques extrêmement dures.
Mais en vain. Les pleurs et les critiques n’ont aucun effet. Le système est maintenu et semble devoir être maintenu longtemps. De tous côtés des voix s’élèvent et protestent. Comment, demandent-elles, peut-on continuer un tel enseignement malgré toutes les condamnations portées contre lui ?  Peine perdue : ces protestations ne changent rien.
Pourquoi ? Je vois au moins deux raisons.

La première est que l’on ne veut pas remonter aux causes. Il y a eu entre 1960 et 1977, conduite par les gouvernements de la cinquième république, une « réforme générale de l’enseignement » (c’était l’expression employée alors par le ministère de l’Education Nationale). En même temps on a ouvert le secondaire à tous les élèves sortis du primaire, sans contrôle et sans examen Tout le désordre vient de cette réforme et de cette ouverture. Si l’on ne veut pas reconnaître ces causes, il est inutile de vouloir quelque amélioration que ce soit.

La seconde raison est que la conscience du désastre n’est pas assez vive. On ne réalise pas suffisamment l’énormité du changement introduit dans les années soixante. L’école a subi alors une révolution comme elle n’en avait jamais connu depuis le début de son existence. Du jour au lendemain on a rejeté les lois fondamentales de la connaissance intellectuelle et de l’apprentissage du savoir. Si l’on prenait vraiment la mesure d’une telle atteinte, on mettrait tout en œuvre pour y remédier.

A condition bien sûr qu’il y ait une volonté politique. S’il y avait cette volonté, il suffirait de deux ou trois lois et de quelques instructions et circulaires ministérielles pour revenir à un enseignement digne de ce nom. Je prends un seul exemple. C’est une simple instruction ministérielle (datée du 7 mai 1963), signée René Haby, directeur des services d’enseignement, qui a détérioré l’enseignement de l’histoire dans le secondaire en limitant les programmes du second cycle à la seule histoire contemporaine. Ce qu’une instruction a défait, une autre pourrait le refaire. De même pour toutes les autres disciplines, de même pour la lecture.

Mais il n’y a pas de volonté politique. Considérons cette dégradation de cinquante années… Combien de politiques l’ont dénoncée ? Un bien petit nombre en vérité. Et toujours pendant les campagnes électorales. Mais l’élection faite, il n’en était plus question. .

La question se pose alors : pourquoi n’y a-t-il pas de volonté politique ?

D’abord parce que les hommes au pouvoir aujourd’hui ne diffèrent pas de ceux qui ont détruit l’enseignement dans les années soixante. Ce sont leurs doubles, ce sont leurs semblables. Si une telle destruction était à refaire, ils la referaient. Et je parle de tous les politiques. Je ne fais pas de différence entre la gauche et la droite. D’ailleurs c’est la droite qui a fait la « réforme générale de l’enseignement » des années soixante, c’est elle qui a voté la calamiteuse loi d’orientation des universités en 1968, c’est elle enfin qui a créé le collège unique (réforme Haby de 1977). La gauche voulait ces réformes, mais, le plus souvent, c’est la droite qui les a faites.

L’ignorance généralisée, fruit de toutes ces réformes, ne gêne pas les politiques. Non seulement elle ne les gêne pas, mais elle leur profite. On gouverne mieux un agrégat d’ignorants (au surplus abrutis par la télévision) qu’un peuple instruit et formé dès l’enfance au double exercice de la mémoire et de la raison. J’irai même plus loin. Je dirai que cette fausse école mise en place dans le demi-siècle écoulé convient parfaitement aux politiciens. N’est-elle pas un instrument idéal de manipulation des esprits ? On s’empare des enfants dès le plus jeune âge, on les prive de tout repère dans l’espace et dans le temps, on les sépare du passé de leur pays, on les frustre de leur héritage culturel, et pour finir on les persuade que la connaissance et le respect de l’idéologie démocratique passent avant tout autre savoir et tout autre devoir. Cette école enseigne, comme on dit aujourd’hui, les « valeurs de la République ». Elle est vraiment, selon l’expression consacrée, « l’école de la République ». Et c’est bien ainsi, puisque « la République, écrivait il y a quelques années, l’historien  radical-socialiste Claude Nicolet, est ce qui permet aux hommes d’exister pleinement ».

Nous sommes dans le système de pensée des Lumières, et ce n’est pas un  hasard si les Lumières sont invoquées à tout instant par la classe dirigeante. Ce n’est pas un hasard, et c’est à juste titre. L’éducation nouvelle dont nous subissons aujourd’hui les tristes effets, a été conçue par les philosophes des Lumières. Ces philosophes ont appelé de leurs vœux cette éducation qui s’empare de l’enfant, et au moyen de l’enfant de tout un peuple, et finalement fabrique une nouvelle espèce humaine dont la caste des maîtres et des privilégiés pourra disposer à son gré. A ces êtres fabriqués sur mesure on fera croire qu’ils sont libres, et ils obéiront d’autant mieuxC’est la ruse conseillée par Rousseau au gouverneur d’Emile, et cette ruse dans l’esprit de Rousseau lui-même est applicable au peuple autant qu’à l’enfant : « Qu’il croie toujours être le maître, et que ce soit toujours vous qui le soyez. Il n’y a point d’assujettissement si parfait que celui qui garde l’apparence de la liberté ; on captive ainsi la volonté même ». Citons également Voltaire : « Il est bon que le peuple soit guidé et non qu’il soit instruit ; il n’est pas digne de l’être ». Ces leçons philosophiques étaient connues depuis longtemps, mais il était réservé à notre époque de les appliquer. Il était réservé aux politiciens de la cinquième république de savoir en comprendre toute la signification et la force. Il ne faut pas compter sur eux pour une amélioration quelconque. Jamais ils ne réformeront le système.

L’école actuelle est irréformable. Si l’on veut retrouver une école digne de ce nom, il ne faut pas l’attendre de l’éducation dite nationale. A moins que l’Etat ne change de nature, il n’y aura pas dans l’avenir d’autre véritable école que l’école vraiment libre, c’est-à-dire entièrement soustraite à la double emprise de l’Etat et de l’idéologie républicaine.

Jean de Viguerie (1) via Ibproma

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(1) Jean de Viguerie est un historien et essayiste français de l'Ancien Régime. Il est professeur honoraire à l'Université Lille III et spécialiste des Lumières.

Les travaux de Jean de Viguerie portent sur l’histoire de l'éducation et de l’Église au siècle des Lumières. Il a également contribué au livre noir de la Révolution française.

Liens externes :
-
Le Livre noir de la Révolution française. La face obscure de 1789, émission du Canal Académie
- Jean de Viguerie, spécialiste du XVIIIe (La Dépêche.fr)

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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 07:02
Rediff.
Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu
7, 21.24-27

"21. Ce ne sont pas tous ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur, qui entreront dans le Royaume des cieux; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là entrera dans le Royaume des cieux. ... 24. Quiconque donc entend ces paroles que je dis et les accomplit, sera comparé à un homme sage qui a bâti sa maison sur la pierre: 25. Et la pluie est descendue, et les fleuves se sont débordés et les vents ont soufflé et sont venus fondre sur cette maison, et elle n'a pas été renversée, parce qu'elle était fondée sur la pierre.
26. Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les accomplit point, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable; 27. Et la pluie est descendue, et les fleuves se sont débordés, et les vents ont soufflé et sont venus fondre sur cette maison; elle s'est écroulée et sa ruine a été grande"...
(
Vulgate)

Appliquez ces paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ à la maison "France", à ce qu'elle a reçu de Lui, et vous comprendrez
ce qui nous arrive.
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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 15:42

Voici une courbe qui résume tout et qui est très optimiste, attendu qu'elle ne prend pas en ligne de compte les métissages.
La courbe des Européens blancs s'arrête vers 2150-2160.




Source

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 14:46

Ce que les media libéraux, laïques et obligatoires ne vous diront pas, c'est que dans le Paris de 1730 à 1789 régnait un niveau de paix et de sécurité unique dans l'univers, jamais égalé.

Pierre Chaunu l'exprime ainsi : "Cette vieille alliance entre la monarchie sacrée et la société, en France, a eu un effet bénéfique largement perçu. (...) [A]ucun souverain du XIIIe au XVIIIe (...) n'a obtenu, par comparaison, un niveau de paix intérieure comparable. (...) Être français s'est d'abord confondu avec le privilège de vivre protégé sous les fleurs de lys. Niveau de paix dans Paris unique en l'univers au milieu du XVIII° siècle.



(...) Aucune ville au monde n'est aussi sûre que Paris, de jour et de nuit, de 1730 à 1789. C'est connu, c'est célèbre, cela constitue et participe au prestige. Le Paris coupe-gorge (...) - Louis Chevalier l'a montré -, c'est le Paris de la première moitié du XIX° siècle. Sous cet angle, aussi, vous notez la régression. Aucune campagne, non plus, dans le monde n'est aussi sûre que la campagne française au XVIII° siècle". *

A comparer avec la France d'après 1789, et spécialement celle de Nicolas Sarkozy.


* Source : Pierre Chaunu, Le Grand déclassement, à propos d'une commémoration, Robert Laffont, Alençon, 1989, p. 77-78.
 

 


Crise de l'autorité, crise de la vérité, insécurité
Déclin, déclassement et décadence de la France: points de vue d'historiens

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 17:48
Dans la France d'après, le déficit budgétaire passe de 60,7 milliards d'euros au 31 octobre 2008 à 134,8 milliards cette année, soit un peu plus du double,annonceaujourd'hui le sinistère du Budget. Un record sans précédent...

Au 31 octobre, les dépenses totales (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 303,2 milliards d'euros contre 293,4 milliards d'euros l'an dernier, soit une hausse de 9,8 milliards d'euros en un an. Les recettes du budget général s'établissent à 186,2 milliards d'euros contre 239,9 milliards d'euros à la même date en 2008.



Pendant ce temps,

- le chômage continue d'augmenter 
(la progression du chômage en France s'est fortement accrue : le nombre de demandeurs d'emplois a progressé de 2 % par rapport au mois précédent et de 25 % sur un an, selon les chiffres publiés, jeudi 26 novembre, par le ministère de l'économie), 

- les entreprises disparaissent,

- l'écart de richesses entre les riches et les pauvres explose... et les banques s'enrichissent.
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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 07:04
La France est en crise démographique. Cette crise est née au XIXe siècle, et elle s’est aggravée dans la première moitié du XXe siècle.

[L]a population française, entre le Premier Empire et la Libération, sur 150 ans, n’a augmenté que du fait de l’allongement de la vie humaine. Il y avait moins de naissances entre les deux guerres, en moyenne, qu’il n’y en avait à l’époque d’Henri IV. La crise démographique n’est donc pas d’aujourd’hui. Puis vint le baby-boom —qui n’a pas été propre à la France, puisque toute l’Europe occidentale et les Etats-Unis l’ont connu— mais qui a été en France plus fort qu’ailleurs, probablement à cause du Code de la famille, et des avantages considérables qu’il a apportés aux parents. Puis brusquement, en 1964 (une année où il ne s’est rien passé, je vous le fais remarquer), la fécondité a commencé à fléchir dans tous les pays européens au-dessous du taux de reproduction, c’est-à-dire du niveau qui permet le remplacement des générations.

Jusqu’à une époque récente, on peut dire que sept femmes françaises engendraient six filles pour la génération d’après. Aujourd’hui c’est moins : six femmes engendrent cinq filles pour la génération suivante. Ce n’est pas très encore visible sur les statistiques de la natalité, parce que les générations du baby-boom sont à l’âge de la reproduction ; même si chaque femme n’est pas très féconde, ces générations comptent aujourd’hui beaucoup de mères : multipliez le nombre de femmes en état d’être mères, cela donne beaucoup de naissances, et comme ces générations sont peu exposées à la mortalité, puisque celle-ci a régressé d’une manière spectaculaire, elles fournissent peu de décès. Nous avons donc eu, en 1995, 720 000 naissances et 520 000 décès. Des démographes de mauvaise foi, comme Hervé Le Bras, s’en servent pour nier la réalité de la crise. Mais la structure de la population est déjà perturbée : nous avons une pyramide des âges en as de pique.

Bien qu’elles représentent 20 % de la population française, les personnes du troisième âge ne gonflent pas encore démesurément le sommet de la pyramide, puisqu’elles sont issues des générations peu nombreuses nées avant 1945. A la base, peu d’enfants, puisque nous avons en moyenne 720 000 naissances au lieu de 875 000 au sommet du baby-boom. Le centre de la pyramide est renflé : là sont les générations des actifs.

Hélas ! tout le monde vieillit : les générations du baby-boom vont atteindre l’âge de la retraite à partir de 2006. Actuellement, 550 000 personnes par an franchissent ce cap, fixé autoritairement à soixante ans. D’un seul coup, on va passer à 825 000 : c’est-à-dire que la pyramide des âges, qui a la forme d’un as de pique, va prendre la forme d’une toupie. La proportion des plus de soixante ans va ainsi passer progressivement de 20 à 26-28 % vers 2020. Dans peu d’années, le nombre des plus de soixante ans va dépasser le nombre des moins de vingt ans. On y est presque. Dans le premier quart du XXIe siècle, on va donc se trouver dans une situation très grave, puisque la population active sera constituée par les enfants du baby-krach et la population des retraités par les enfants du baby-boom. C’est-à-dire que les retraites des grosses générations du baby-boom seront payées par les maigres générations du baby-krach. Dans vingt ans, on ne pourra éviter une crise aux conséquences sociales inouïes. Elle va d’abord faire exploser notre système de protection sociale, ensuite ouvrir toute une période de conflits entre générations, qui ne seront certainement pas gais !
Seul espoir : s’il y avait une reprise de la natalité maintenant on peut espérer qu’à partir de 2035 à peu près, il y aurait une amélioration de la situation et que l’on arriverait à sortir de cette crise. Ainsi, les jeunes générations ne vivraient pas toute leur existence dans la crise démographique et sociale qui va s’ouvrir. Mais il y a urgence. Il ne s’agit pas d’obliger les femmes à avoir des enfants, mais simplement de leur permettre d’avoir les enfants qu’elles désirent au fond d’elles-mêmes. Lorsque l’on interroge les femmes en âge d’avoir des enfants sur la dimension idéale de la famille, on constate que, pour dix femmes, cela représente en moyenne vingt-trois enfants. C’est plus qu’il n’en faut pour remplacer une population. Il faudrait, pour assurer l’avenir, que dix femmes aient vingt-et-un enfants. Elles disent vouloir en avoir vingt-trois, mais les contraintes de la vie moderne, celles de la société de consommation, du standing, la pression insidieuse exercée par la société sur les ménages, font que les femmes doivent travailler pour payer les traites et qu’elles ne peuvent pas à la fois travailler et élever des enfants.

... Mettez-vous à la place des populations du tiers-monde : pour elles, il ne peut pas y avoir de meilleur investissement qu’un voyage en France : une fois installé en France, même si l’on est au chômage, même si l’on traîne sans papiers, on bénéficiera de prestations qui dépasseront de beaucoup le niveau de vie de ceux qui continueront à s’échiner dans leur village natal. Et une fois installé, on fera venir non pas un parent ou deux, mais sept, huit, dix, par divers moyens. Il y a des villages qui se cotisent pour payer le voyage d’un jeune homme en France ! Ce ne sont pas les facilités de transport qui font l’immigration (les transports restent chers), c’est la masse des franchissements de frontières, qui dépasse certainement cent millions chaque année. Les frontières terrestres deviennent de moins en moins contrôlables dans le cadre de l’Union Européenne : même si nous contrôlons nos propres frontières aériennes, les pays voisins ne le font pas avec la même vigilance. On entre plus aisément en Italie ou en Espagne qu’en France et, une fois qu’on est entré dans l’Union Européenne, c’est la liberté de circulation.
Il est dramatique de laisser venir en France des médecins, des ingénieurs, des professeurs qualifiés, puisque nous privons ainsi le tiers-monde des têtes dont il a besoin pour son développement. Ce qu’il faudrait, c’est parvenir à créer sur place des instituts de formation en investissant intelligemment. A mon avis, on ne peut pas s’en tenir à une répression policière de l’immigration, l’autre volet, en particulier pour des chrétiens, est une politique de développement efficace et réaliste. Renaissance catholique

http://www.renaissancecatholique.org/Naissance-d-un-peuple-l-histoire.html#outil_sommaire_4
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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 10:28


France 2 « Chronique dune violence ordinaire » - La Commanderie sortie de terre en 1961...

De Gaulle 1964 : "Et aujourd'hui, mes chers compatriotes, ce n'est pas dans la catastrophe, ce n'est pas dans le malheur, ce n'est pas dans l'angoisse qu'il m'arrive de parler aux Français, c'est au contraire dans cette période de paix, de développement, de progrès, de progrès à tous les égards, matériel, social, national, dans cette période aussi de considération internationale qui est maintenant donnée à la France"...


Mitterrand 1983 : "Adapter l'homme à la civilisation urbaine"

France 2 « Chronique dune violence ordinaire » - La Commanderie extrait

Il y a 25 ans le pouvoir socialiste souhaitait adapter l'homme à la civilisation urbaine, avec l'argent du contribuable bien sûr. Les belles paroles de 1964 et 1983 sont largement mises à mal avec le résultat pitoyable de cette adaptation comme nous pouvons le constater aujourd'hui ...
Fermeture d'usine, habitat pourri, familles cassées, économie délabrée, explosion de l'insécurité, intégration ratée, le rêve des planificateurs gaullistes des années 60 et des immigrationnistes socialistes des années 80 s'est transformé en cauchemar...
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 06:19
Les brigades de sécurité scolaire entrent en action

Le Figaro

Marie-Estelle Pech
05/10/2009 | Mise à jour : 11:47


Bagarres, intrusions, drogue : la première «équipe mobile de sécurité» est prête à faire face à tous les maux qui peuvent affecter les établissements scolaires sensibles. Depuis leur «QG », une vaste salle laissée à leur disposition par le lycée Jean-Zay, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), munies de téléphones et d'ordinateurs, les dix personnes recrutées par le ministère de l'Éducation nationale se déplacent en voiture à la demande des proviseurs en mal de sécurité. Le chef du groupe est un ancien officier de l'armée royale belge, qui travaille entre autres avec un ancien policier, un conseiller principal d'éducation, un gendarme auxiliaire, un éducateur sportif, un chef d'établissement et des enseignants. Ce sont tous des profils atypiques, âgés de 27 ans en moyenne, soigneusement recrutés à l'aide d'un commissaire de police placé auprès du recteur de Créteil. Des aptitudes physiques particulières sont exigées, telle une pratique des arts martiaux.

... A mourir de rire... Et dire que les républicains prétendaient "éduquer" d'une façon "égale" les enfants que l'"Ancien Régime" laissaient de côté... La farce se termine en eau de boudin comme on dit.
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 08:31


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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 07:55
La lecture du jour nous rappelle cette parole essentielle de Notre Seigneur distinguant la personne prévoyante de l'homme insensé. La première écoute le Seigneur et construit sa maison sur le roc, la seconde ne l'écoute pas et construit sa maison sur le sable. La tempête arrive, la maison de la première personne reste debout, la maison du second est totalement détruite.

Il leur disait : « Il ne suffit pas de me dire : 'Seigneur, Seigneur !', pour entrer dans le Royaume des cieux ; mais il faut faire la volonté de mon Père qui est aux cieux.
... Tout homme qui écoute ce que je vous dis là et le met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a bâti sa maison sur le roc.
La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, la tempête a soufflé et s'est abattue sur cette maison ; la maison ne s'est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc.
Et tout homme qui écoute ce que je vous dis là sans le mettre en pratique est comparable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, la tempête a soufflé, elle a secoué cette maison ; la maison s'est écroulée, et son écroulement a été complet
. » Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 7,24-27.
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Faire la volonté de Dieu. Ce qui arrive à cette république dite "française" qui bâtit la maison "France" sans tenir compte des paroles du Sauveur qui l'a pourtant baptisée il y a un peu plus de seize siècles (en 496 ap. J.-C.) et l'a maintenue, chérie et portée au plus haut degré de civilisation pendant quinze siècles (du V° au XIX°), n'a-t-il pas été annoncé par le Christ lui-même ? Tout cela n'avait-il pas été annoncé, n'avions-nous pas été prévenus ? Pourquoi cet endurcissement du coeur ? Ou Vous faut-il encore d'autres épreuves ? Comparez la maison France bâtie avant 1789, avec ses défauts certes mais reconnaissant le règne du Christ, une nation libre, indépendante et souveraine, première du monde dans tous les domaines (culturel, militaire, démographique en europe, économique à égalité avec l'Angleterre, cela est un fait), et la maison "France" de 2009, occupée politiquement par une idéologie étrangère (sionisme, nouvel-ordre-mondialisme), nation tiers-mondisée, déclassée, génocidée à la population vieillissante, envahie et colonisée par les nations du monde entier, le tout au nom de l'"Humanisme" et des "droits de l'homme" sans Dieu, la tempête a soufflé, la maison s'est écroulée et son écroulement a été complet... Le différentiel donne vainqueur la "France moisie" par ko. 
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