Ces actes scandaleux n'ont suscité aucune réaction de la classe politique du département. Suite Le Forum catholique
« Je recommande à mon fils s’il avait le malheur de devenir Roi, de songer qu’il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens, [...] qu’il ne peut faire le bonheur des Peuples qu’en régnant suivant les Lois, mais en même temps qu’un Roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu’autant qu’il a l’autorité nécessaire, et qu’autrement étant lié dans ses opérations et n’inspirant point de respect, il est plus nuisible qu’utile. » (Testament de Louis XVI)
Le quotidien israélien Haaretz, du dimanche 26 avril, rapporte que le service de sécurité intérieure, le "Shin Bet", ne veut pas que Benoît XVI utilise sa « papamobile » à Nazareth au motif qu’elle ne pourrait pas suffisamment le protéger "contre une attaque de groupes islamiques radicaux ».
... le Saint-Siège a déclaré au gouvernement israélien que le pape désirait être le plus près possible des fidèles, espérant pouvoir utiliser son véhicule. Le "Shin Bet" s’y oppose, affirmant que des tracts circulent dans les villes arabes du nord d’Israël pour appeler à des manifestations durant la visite pastorale de Benoît XVI. Il déclare même que des radicaux islamistes appelleraient à attaquer physiquement le pape. [Les sionistes encore une fois attiseurs du conflit de civilisation... Des rumeurs circulent sur un "attentat islamiste" contre le Saint-Père, un "attentat" fomenté par ... les sionistes]
En définitive, de source vaticane selon I.Media, « la papamobile sera utilisée à Nazareth comme prévu là où elle devait être utilisée, il n’y a aucun changement ». Des membres de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège ont déclaré ne pas être « particulièrement préoccupés » car « il n’y a pas de motifs particuliers de danger ». « Nous sommes tous très tranquilles et nous faisons entièrement confiance aux organisateurs : ils sauront ce qu’ils doivent faire et seront capables d’affronter et de résoudre les problèmes qui se présenteront », a ajouté de son côté le père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint-Siège.
Ce différend survient alors que, selon diverses sources, le pape ne rencontrera pas Mazen Ghanayem, le maire de Sakhnine, une ville arabe de Galilée. En effet, le ministre du tourisme, Stas Misezhnikov, veut empêcher le pape de le rencontrer. Pour le ministre israélien, membre du parti ultranationaliste "Israël Beiténou" (Israël est notre maison), fondé par le "faucon" Avigdor Lieberman, lui-même actuellement ministre des Affaires étrangères, le maire de Sakhnine « Mazen Ghanayem est un partisan de la terreur et de la guerre, qui agit contre les intérêts nationaux » d’Israël.
C’est donc un ministre ultranationaliste qui est à la tête du comité interministériel chargé d’organiser la visite du pape en Terre Sainte, une visite qui a pour slogan : « Pèlerinage en Terre Sainte - Un pont pour la paix » !
Selon l’agence de presse catholique américaine CNS, l’invitation faite à Mazen Ghanayem de participer à une audience pontificale au Vatican a été retirée après les protestations du ministre israélien du Tourisme. Le maire de Sakhnine a confirmé que l’audience prévue mercredi 29 avril avait été annulée. Il affirme avoir écrit une lettre pour s’en plaindre auprès du Premier ministre Benjamin Netanyahu, avec une copie pour le Ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman.
Par ailleurs, les autorités israéliennes regrettent que la visite du pape coïncide avec l’anniversaire, le 14 mai prochain, de la « nakba », « la catastrophe » selon les Palestiniens, qui commémore la destruction des villages arabes aux frontières d’Israël et la transformation de centaines de milliers d’habitants en réfugiés, lors de la fondation de l’Etat d’Israël en 1948.
... Pour finir, un communiqué du Bureau de presse du Saint-Siège annonce que Benoît XVI a reçu en audience au Vatican le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, le 24 avril 2009 en fin d’après-midi. Les échanges ont porté sur la situation internationale, particulièrement au Moyen-Orient, et sur le besoin de trouver une solution au conflit israélo-palestinien et aux autres conflits qui touchent la région. Il s’agissait de la première rencontre entre Benoît XVI et le Secrétaire général de la Ligue des Etats arabes. La veille, 23 avril, Amr Moussa et le secrétaire du Saint-Siège pour les relations avec les Etats, Mgr Dominique Mamberti, avaient signé un « mémorandum d’entente » visant officiellement à consolider les rapports entre les deux parties. (Sources : Apic/Imedia/The Jerusalem Post/Haaretz/ KNA)
date : 2/5/2009 Dici.org
* Le Vatican et la Ligue arabe signent un accord de coopération
Le rabbin du Kotel déplore la venue du pape au Mur des lamentations. Dans un entretien au Jerusalem Post du 17 mars, Shmuel Rabinovitch, rabbin du Kotel (Mur des lamentations) a déclaré qu’« il n’était pas approprié de s’approcher du Kotel avec des symboles religieux, y compris une croix ».
Il estime, en effet, que « les croix sont un symbole qui blessent les sentiments des juifs ». Or, le 12 mai prochain, Benoît XVI doit se rendre au Mur des lamentations à l’occasion de sa visite en Terre Sainte, en compagnie des grands rabbins d’Israël. En novembre 2007, Shmuel Rabinovitch avait exigé qu’un groupe d’évêques autrichiens conduits par le cardinal Christoph Schönborn, archevêque de Vienne, cachent leur croix pectorale avant de pénétrer dans l’enceinte du Mur des lamentations. Ils s’étaient alors retirés.
Le secrétaire général du Conseil central des Juifs d’Allemagne, Stephan J. Kramer, a vivement critiqué la position du rabbin. Si la controverse devait amener l’annulation de la visite du pape au Mur des lamentations, les intérêts de la politique étrangère d’Israël seraient gravement touchés, a-t-il déclaré à l’agence KNA.
Par ailleurs, des rabbins fondamentalistes font pression sur le gouvernement israélien pour qu’il ne fasse aucune concession diplomatique au Saint-Siège sur la question des impôts concernant les biens de l’Eglise en Terre Sainte. Il doit être rappelé, écrivent ces rabbins du "Sanhédrin moderne", « que le Vatican, en tant que la plus importante Eglise chrétienne, est responsable de l’héritage de Rome qui a conquis Jérusalem, exilé les Juifs et détruit leur pays ».
Ce tribunal rabbinique autoproclamé, composé de 71 rabbins, affirme dans une lettre ouverte adressée au président de l’Etat d’Israël, au nouveau Premier ministre, Benyamin Netanyahu, au Premier ministre sortant, Ehud Olmert, et aux ministres et membres de la Knesset, que « toutes les Eglises qui existent aujourd’hui dans le pays d’Israël sont le résultat de la destruction des Juifs il y a 1.900 ans, de l’élimination des Juifs de leur pays et de leur exil que le christianisme souhaite éternel ».
Signée notamment par le rabbin Yoel Schwartz, chef du Sanhédrin, la lettre met en garde le gouvernement israélien contre toute tentative de signer un accord avec le Saint-Siège. Les rabbins fondamentalistes déclarent que l’Etat d’Israël garantit la liberté de culte à toute religion à l’exception des Juifs sur leur site le plus sacré, le Mont du Temple, c’est-à-dire l’Esplanade des Mosquées, sur laquelle sont bâties les Mosquées El-Aqsa et Dôme du Rocher. Le Sanhédrin déplore que là les Juifs n’ont pas droit à une liberté religieuse minimale. « L’Etat d’Israël contredit ainsi le but pour lequel il fut établi, et cela mine ses propres fondations ».
Ces rabbins affirment qu’au contraire l’Etat d’Israël fait des « efforts spéciaux » pour transférer ses biens nationaux, religieux et spirituels « aux fils d’étrangers ». Ils regrettent les tentatives d’empêcher la « souveraineté juive exclusive » sur le « Mont du Temple » (où se trouve le troisième lieu saint de l’islam, après La Mecque et Médine) et les « demandes infondées des nations étrangères de prendre possession du pays d’Israël ». Ils dénoncent dans la même lettre les tentatives de signer des accords avec l’Eglise catholique sur ses propriétés sur le Mont Sion, la vieille ville de Jérusalem, le Lac de Tibériade, et d’autres lieux saints. Ils rappellent au gouvernement de l’Etat d’Israël qu’il doit absolument « actualiser la souveraineté juive à Jérusalem, la cité de Dieu, la ville royale, la capitale d’Israël, le cœur du monde ».
Le Sanhédrin salue le fait que Shmuel Rabinovitz, le rabbin du Kotel (Mur des lamentations), a fait preuve d’un comportement admirable, à leurs yeux, en refusant d’interrompre la prière juive au Mur occidental durant la prochaine visite à Jérusalem du pape Benoît XVI. « La réconciliation rapide avec le pape après une série de déclarations malheureuses qu’il a faites contre nous ne fait pas honneur au peuple d’Israël. Toutes les autorités politiques et les autorités de la Torah (…) doivent exprimer leur désapprobation des tendances catholiques ‘restaurationistes’ qui visent à annuler l’autorité souveraine de l’Etat d’Israël et le statut du peuple juif, du peuple d’Israël, sur la terre d’Israël, sa Terre sainte ».
Pour les rabbins signataires de cette lettre ouverte, le gouvernement israélien n’est pas autorisé à transférer à des « agents et pouvoirs politiques et religieux étrangers » des terrains et des édifices en Israël. Raison pour laquelle, poursuivent-ils, tous les documents qui ont été signés par des autorités israéliennes avec le Vatican sont nuls et non avenus « et le Vatican ne devrait pas croire qu’il les conservera ». « Continuer de chercher des faveurs aux yeux de l’Eglise en signant des accords illégaux pourrait finir (…) dans des guerres religieuses dévastatrices partout dans le monde », concluent-ils. date : 2/5/2009 Dici.org
Benoît XVI se rendra en Terre Sainte du 11 au 15 mai. Il est nécessaire de prendre connaissance du contexte politique et religieux dans lequel s’inscrira sa visite. Le poids des fondamentalistes dans la société israélienne, le rôle des ultranationalistes au gouvernement, les accords juridiques et financiers jamais conclus entre le Vatican et Israël depuis la reconnaissance en 1993 de l’Etat hébreu par le Saint-Siège, la polémique autour du prétendu silence de Pie XII face à l’holocauste, tout cela sur fond de conflit israélo-palestinien, telle est la situation que le pape trouvera dans deux semaines. date : 2/5/2009 Dici.org
Pour comprendre cette polémique, il faut savoir que depuis plus de 15 ans déjà le Vatican et Israël négocient sur les problèmes fiscaux qui auraient dû être résolus après l’Accord fondamental ("Fundamental Agreement"), signé le 30 décembre 1993, qui a permis l’établissement de relations diplomatiques entre les deux Etats. Depuis cette date, les négociateurs cherchent à parvenir à un accord sur toutes les questions en suspens relatives aux propriétés et aux impôts, afin que l’Eglise bénéficie d’une sécurité juridique et fiscale lui permettant de mener à bien sa mission.
Lorsque le Saint-Siège a établi des relations diplomatiques avec l’Etat d’Israël en 1993, Jean-Paul II avait opté - en geste de bonne volonté - pour la proposition d’un "Accord fondamental" suivi de négociations plus détaillées sur les questions pratiques. L’objet de ces âpres négociations porte sur la sécurité des propriétés religieuses de l’Eglise catholique en Israël et la confirmation des exonérations fiscales historiques dont l’Eglise jouissait au moment de la naissance de l’Etat d’Israël. A l’étude depuis une quinzaine d’années, cet accord juridique et financier n’a pas encore été trouvé.
Concernant la question des taxes et impôts, ce sont jusqu’à présent les Accords de Mytilène (1901), passés à l’époque avec l’Empire ottoman, qui protégent les institutions chrétiennes. Israël ne veut pas les renouveler, car ils exemptent de tout impôt et de toute taxe l’Eglise en Terre Sainte. C’est pourquoi depuis l’occupation des territoires palestiniens en 1967, les institutions chrétiennes reçoivent de l’Etat d’Israël des factures. D’entente avec le Saint-Siège, ces institutions sursoient pour le moment au paiement, en attendant que l’affaire soit réglée. Les taxes versées par les communautés chrétiennes ne sont pas nécessaires à l’économie d’Israël, mais elles compromettraient certainement la survie des institutions chrétiennes en Terre Sainte, si elles devaient être un jour payées.
Dans ce contexte, il faut lire avec prudence la déclaration de la commission bilatérale de travail entre le Saint-Siège et l’Etat d’Israël en vue de la conclusion d’un accord juridico-financier, réunie à Jérusalem le 23 avril dernier. Dans un communiqué publié à la fois par l’Ambassade d’Israël près le Saint-Siège et par le Bureau de presse du Saint-Siège, les participants ont encore une fois souhaité « trouver un accord le plus tôt possible », un peu plus de deux semaines avant la visite de Benoît XVI. Intervenue dans « un climat de grande cordialité et d’esprit de compréhension », cette nouvelle réunion a été l’occasion d’étudier un rapport proposé par un groupe de travail, a indiqué le communiqué sans plus de précisions. Alors que cette rencontre du 23 avril devait être la dernière avant l’arrivée de Benoît XVI, la commission bilatérale se retrouvera en réunion plénière au ministère israélien des Affaires étrangères le 30 avril. date : 2/5/2009 Dici.org
Pas la police, en tout cas. Ni l'armée. Ni le gouvernement, qui a décrété l'abattage de ces élevages, profitant de l'épidémie de grippe porcine qui menace - sans qu'aucun cas n'ait encore été répertorié en Egypte - pour s'attaquer à la fois à ces élevages insalubres, principalement menés par des coptes (une minorité chrétienne), et à un symbole animal honni dans ce pays à 80 % musulman (...)
... Chacun montre la petite croix tatouée au creux du poignet, les crucifix pendant à son cou, le Christ à la porte des maisons, tout ce qui marque cette enclave chrétienne dans un pays musulman. Il n'a échappé à aucun d'entre eux que la décision d'abattage des porcs avait été prise, le 28 avril, après que les Frères musulmans élus à l'Assemblée ont attaqué l'influence "maudite" des cochons. Les coptes font partie des rares Egyptiens à ne pas respecter l'interdit alimentaire qui frappe le porc (...)
Il me semblait opportun de faire un billet sur le sionisme politique. Les sionistes ne parlent pas de l'amour de Dieu, mais de toutes les raisons de blâmer l'Occident. Ils imputent à l'Occident leurs propres crimes (esclavage, colonialisme, révolutions et guerres mondiales). Leur seule réponse est celle de la haine.
Ils se servent avec la plus grande duplicité des lois et des "droits" que leur accorde nos sociétés pour renverser les derniers vestiges des anciens royaumes et empires chrétiens.
Il faut sensibiliser les Français sur ce problème qui devient mondial. Les Français doivent être informés que l'appareil sioniste occupe tous les rouages de l'Etat, il s'est infiltré partout. Une fois dans la place, il est impossible de le déloger (partitocratie, règne de la finance oligarchique, ploutocratie).
Les sionistes veulent remplacer les lois françaises par des lois judéo compatibles (racines chrétiennes systématiquement niées, supprimées, lois de défense de la famille supprimées, métissage ethnique et culturel imposé, nomadisme encouragé, immigrationnisme d'Etat, lois et décrets liberticides).
L'une de leur tactique c'est la duplicité. Au nom de ce qu'ils nomment "Israël", la duplicité c'est "la guerre". Ils dupent, ils se déguisent. Ils se présentent comme défenseurs des "droits de l'homme", des grands "démocrates", pour "la paix" et contre "le terrorisme" (qu'ils financent partout dans le monde). Au nom de la "lutte contre le terrorisme", ils déclenchent préventivement des guerres, bombardent les Serbes, l'Irak, l'Afghanistan, phosphorisent les Palestiniens, s'arrogent le "droit d'ingérence", créent des "révolutions oranges" un peu partout, autant d'Etats policiers, des Etats toujours favorables à "Israël". Ils tentent d'isoler et d'encercler la Russie (dans ses territoires d'influence, invasion géorgienne en Sud-Ossétie, août 2008), Russie où ils cherchent à créer une révolution "nationaliste & patriotique". Leurs opposants sont emprisonnés.
Des musulmans jouent le jeu des sionistes, ce sont des valets de l'Empire. Ces musulmans persécutent des chrétiens en terre d'islam, assassinent prêtres et religieux au nom de l'islam, quand les sionistes se servent d'eux pour attiser le conflit de civilisation et l'islamophobie...
De tout temps dans l'histoire, l'islam a été instrumentalisé par les Juifs pour détruire l'Evangile et les royaumes chrétiens (financement et soutien systématique des invasions islamiques en Espagne, à Byzance, aujourd'hui en Europe via le financement des imams en Angleterre et en France). Mais des chrétiens, les shabbat-goy, jouent eux aussi le funeste jeu des sionistes.
Quand les sionistes politiques parlent de créer un gouvernement mondial démocratique (Nicolas Sarkozy), vous réalisez qu'ils ont des buts communs avec les francs-maçons. C'est ce qui les rend dangereux. Depuis le 11 septembre 2001, la sécurité du monde souffre de l'instrumentalisation des attentats à des fins d'édification du "Nouvel Ordre mondial" (terminalogie franc-maçonnique).
Jamais nos sociétés n'ont été autant surveillées, nos libertés réduites. Les bénéficaires sont les sectes francs-maçonniques où le serment d'entraide et de secret leur assure un contrôle prépondérant des "démocraties". Pendant ce temps, chrétiens et musulmans doivent se détruire les uns les autres jusqu'à complet anéantissement.
La prise de conscience et la sensibilisation sur la grave menace qui pèse sur l'humanité est essentielle pour la sécurité du monde.
C'est un acte qui paraît presque incroyable: 95 tombes et caveaux ont été profanés au cimetière de Montbron, en Charente limousine, en l'espace d'une seule nuit de jeudi à vendredi.
Les stèles ont été renversées, les pierres tombales cassées.
Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été entendu par les gendarmes de la commune. Aucune trace d'inscriptions ni de tags n'a pour l'instant été relevée. Cet acte pourrait donc êtres assimilé à du vandalisme ordinaire.
L'information fuse sur internet... Imaginons les termes employés par les media et les politiques si les "communautés" invisibles avait été visées... Mais là, cent tombes catholiques, c'est rien... Chut, silence radio...Accablé devant les sépultures sens dessus dessous, Bernard Laffitte-Ducler, le premier adjoint au maire de la commune, dénonce un «acte horrible, qui ne peut être compris de personne dans un lieu où reposent des personnes en paix. C'est horrible de voir des croix brisées, des pots de fleurs qui ont volé d'un bout à l'autre du cimetière...» (...)
Un acte isolé du même type survenu la semaine dernière a d'abord fait penser à Odette et Benoît Brunello que seule leur famille était visée. Mais maintenant, avec quinze tombes détériorées dans le cimetière, ils ne savent plus quoi penser (...)
Tout le village vient compter ses pertes en ce lundi, et ne comprend toujours pas plus ce qui a bien pu se passer pour qu'on en arrive à saccager les tombes des familles Duvigneau, Ducasse, Fondeviolle, Puisacq, Saint Blancard, Marre, Mouney, Colombard et Destouet-Bourguet (...)
A Magnan, les habitants espèrent que la paix va revenir dans un lieu qui n'aurait jamais dû être troublé par qui que ce soit".
Scandale public doublé du silence coupable des autorités : du côté de la presse, il n'y a que la Dépêche (article et photo) qui parle de cette profanation; côté politique et religieux, aucune indignation officielle.
28/04/2009 – 17h00
PARIS (NOVOpress) – Anges et démons, le nouveau film réalisé par Ron Howard et tiré du thriller de Dan Brown, sortira au cinéma le 13 mai prochain. « Que nous cache le Vatican ?» pouvait-on lire dans les publicités annonçant la sortie du film. On imagine l’effet d’un slogan qui aurait été placardé un peu partout en France, demandant : « Que nous cache la grande Mosquée ? » ou « Que nous cache la Synagogue ? » Le buzz autour du film, parlant d’une « une vengeance » ourdie « contre le Vatican » depuis « cinq cents ans », a des accents d’actualité dans l’atmosphère médiatique anti-Benoît XVI, depuis les propos du pape au sujet du sida et du préservatif.
Comme Da Vinci code, le précédent film du même réalisateur, Anges et démons promet un cocktail détonnant en légendes et fantasmes anticatholiques. Le scénario met en scène les héritiers des illuminati (membres d’une secte scientifique ancestrale antichrétienne) et des religieux obscurantistes et retors. Au milieu de ces extrémistes, un chevalier blanc américain : Robert Langdon (Tom Hanks), expert en religions d’Harvard.
Anges et démons développe une image tellement caricaturale de l’Eglise catholique que le diocèse de Rome a refusé d’ouvrir les portes de ses églises. D’après le quotidien turinois, La Stampa, les autorités catholiques pourraient appeler à un boycott du film. Mais l’archevêque Velasio De Paolis met en garde contre un effet boomerang qui risquerait d’attirer encore davantage l’attention sur cette nouvelle médiocrité hollywoodienne.
Novopress.infoDans la forêt de Saint-Germain en Laye, l'oratoire sainte Anne a été vandalisé. Tir à plomb ou autre calibre... La statue est cassée. 5 balles ont percé le verre protecteur. Le Salon Beige
Les premières dégradations ont été découvertes le 16 avril par des employés communaux, qui ont étrangement « oublié » de prévenir les gendarmes. Résultat, les profanations ont continué les nuits suivantes. La gendarmerie n’est intervenue que lundi dernier. « Quatre jours après les premiers faits, le relevé d’indices est très difficile. Le travail de police scientifique devient impossible » regrette le capitaine Crolle, chef de la compagnie de gendarmerie de Barcelonnette.
Quant à Mohamed Saadallah, directeur de cabinet du préfet des Alpes-de-Haute-Provence, il a quand même précisé dans cette ambiance d’indifférence générale : « Ce sont des faits graves »… La profanation du cimetière de Barcelonnette ne fera pas la Une du 20 heures de TF1. Normal, on avait « oublié » de vous préciser que c’était un cimetière chrétien…"
Tout est dit (sauf par les autorités si promptes à s'émouvoir...) mais on remarquera quand même la signature satanique de cette profanation. Via Le Salon Beige
« Six semaines avant le voyage du pape en Terre Sainte, un groupe de 71 rabbins a attaqué le Vatican. Dans une lettre adressée au gouvernement israélien, ils lui demandent de ne répondre en aucun cas au Saint-Siège en matière de taxes sur les propriétés des églises ».
« Toutes les Eglises qui existent aujourd’hui en Israël, dit-on dans la lettre des rabbins, sont le résultat de la destruction des Juifs il y a 1 900 ans. Le Vatican est « l’héritier de l’empire romain », qui a conquis Jérusalem, expulsé les Juifs et détruit leurs terres ».
Le site anglais Cathcon fait remarquer avec justesse que les mêmes n’aiment pas trop être blâmés pour les actions de leurs ancêtres contre un certain Jésus-Christ… E-deo.info
Mgr Silvano Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations-Unies, a constaté l’augmentation de l’intolérance religieuse dans le monde, en particulier contre les minorités chrétiennes. « Si nous regardons la situation mondiale nous voyons que, de fait, les chrétiens - comme plusieurs sources le précisent - sont le groupe religieux le plus discriminé ; on peut en effet parler de plus de 200 millions de chrétiens, d’une confession ou d’une autre, qui se trouvent en situation de difficulté, parce qu’il y a des structures légales ou des cultures publiques qui portent, en quelque sorte, à une certaine discrimination vis-à-vis d’eux ».
s’exprimant le 27 mars sur Radio Vatican,
« C’est une donnée dont on ne parle pas beaucoup, mais qui est pourtant réelle, surtout si nous pensons aux violences qui sont arrivées ces derniers mois dans différents contextes politiques et sociaux ».
Mgr Tomasi a enfin estimé qu’il y a « des situations particulières qui portent à une certaine marginalisation de ceux qui croient vraiment et vivent leur foi chrétienne ». « Il y a des situations - même des déclarations parlementaires publiques - qui attaquent cela ou un aspect de la croyance chrétienne, et cela tend à reléguer les chrétiens aux marges de la société et à retirer la contribution de leurs valeurs à la société », a-t-il ajouté.
Au pays des "droits de l'homme", où sont les cris d'indignations des politiciens pour ces marginalisations-là?
Un catholique perplexe devant la tournure des évènements nous fait part de cette lettre ouverte au premier des Français :
"Monsieur le Président de la République,
Le 2 mars dernier, lors du dîner du Comité Représentatif des Institutions Juives de France, vous avez prononcé une intervention au cours de laquelle vous avez déclaré que
"la question de la sécurité de la communauté juive [...] concerne toute la République française [...] Quand on s'en prend à un juif parce qu'il est juif, c'est toute la France qui doit se sentir solidaire [...] Les antisémites, les islamophobes, les racistes n'ont rien à voir, rien à faire sur le territoire de la République française".
S’en prendre à qui que ce soit du fait de sa religion est une chose odieuse et inacceptable. L’actualité récente fait toutefois naître une crainte : interprétant vos propos de façon erronée et a contrario, certains Français, n’en ont-ils pas déduit que la haine à l’égard des autres religions, et de la religion catholique en particulier, est tolérée par les autorités françaises ? Les faits semblent confirmer cette inquiétude :
Notre histoire recèle, vous le savez, un fond de christianophobie, qui se réveille dangereusement. Pour que vos propos ne soient pas déformés, pour qu’ils ne soient pas retenus comme le signal d’une nouvelle persécution, puis-je vous demander, bien humblement et bien respectueusement, d’accorder aux catholiques de France la même protection que vous avez si justement et si généreusement consentie à nos frères juifs et musulmans, ainsi qu’à tous les autres hommes ?"
Le Salon Beige