Léa faisait partie de ces nobles dames admiratrices de S. Jérôme. À la mort de son mari, elle distribua ses biens aux pauvres et se retira dans un monastère romain.
Devenue, par la suite, mère supérieure de son couvent, elle passait ses nuits en oraisons et tous l'admiraient pour sa foi et son humilité.
Léa instruisait ses moniales davantage par l'exemple que par les discours.
Saint Jérôme lui consacra une lettre dithyrambique. (Lettre de saint Jérôme à Marcella - vie de sainte Léa, veuve)
Sources : 1; 2; 3