La franc-maçonnerie tisse sa toile. Après avoir créé le terrorisme islamique, enfant damné du bellicisme occidental au Proche et au Moyen-Orient, la solution de l'état totalitaire maçonnique est de s'en prendre à ce qu'il a lui-même créé et financé dans le monde.
Le gouvernement a refusé de modifier l'article 9 de son projet de loi contre le terrorisme : il pourra bloquer des sites internet sans autorisation du juge.
Oubliez la "démocratie", bienvenue dans l'état policier ! Cette loi est une porte ouverte à la censure de tous les sites d'information non-alignée. On se demande bien où est passée leur "liberté d'expression" ?! Où est le Conseil constitutionnel ? Où sont les grands défenseurs de la "démocratie" dans le monde ?
L'Assemblée nationale a voté jeudi matin le projet de loi "lutte contre le terrorisme", porté par [le franc-maçon Ndlr.] Bernard Cazeneuve sous l'impulsion du [franc-maçon Ndlr.] Manuel Valls. Le ministre de l'Intérieur a fait adopter, dans un grand exercice d'acrobatie politique, l'article 9 qui prévoit le blocage des sites internet par l'exécutif, sans décision préalable du pouvoir judiciaire : une mesure contre laquelle il avait voté lorsqu'il était député et que l'UMP l'avait proposée en 2010.
[Par un heureux hasard... et dans une belle unanimité des "représentants de la nation", Ndlr.] [c]ette mesure était soutenue par les groupes PS, UMP, UDI ou encore SRC [...] dans un consensus plus que perturbant [plus que troublant..., dirions-nous ! Ndlr.]
"Nous sommes là pour être utiles à la République en la protégeant du terrorisme", a expliqué dans la nuit de mercredi à jeudi Bernard Cazeneuve, faisant fi des dures critiques venant de quelques députés de tous bords, ceux qui s'impliquent depuis des années dans les dossiers numériques. Las ! En dépit de toute logique, en dépit des contresens criants, l'Assemblée a validé le texte du gouvernement, dont nous avions déjà signalé les dangers en juillet.