Breiz Atao a publié le 8 décembre dernier un article décrivant le "communisme racial" ou la société sans race et sans foi, métissée. On peut y ajouter le communisme sexuel (théorie du genre) :
Le communisme racial comme totalitarisme : de l’oppression à la libération et à l’épuration
Published On: Mon, Dec 8th, 2014
L’Etat Français adopte depuis 35 ans et très progressivement une forme radicale de collectivisme. La France prédisposée au communisme Le proto-communisme est historiquement né en France durant la Révolution Française, en 1793. Le jacobinisme a prédisposé mentalement les populations françaises a se faire inoculer le virus idéologique du communisme qu’est l’égalitarisme. Le jacobinisme a rapidement accouché du socialisme et du communisme au XIXème siècle, une forme de société égalitaire fondée sur un homme nouveau, débarrassé de tous les héritages découlant supposément de “l’ordre exploiteur ancien”. L’ecole de Francfort et le Néo-communisme Après la Seconde Guerre Mondiale, les idéologues juifs marxistes de l’Ecole de Francfort considérèrent le stalinisme comme une forme d’échec du communisme dans son versant sémitique. Pour eux, l’URSS n’était qu’une incarnation du “fascisme”. Ils estimèrent qu’avant de mener la révolution politique permettant de contrôler l’état, il fallait d’abord mener la révolution dans la société. Et détruire les mêmes cellules déterminantes que sont sexualité, famille, communauté ethnique, nation, religion. Ce communisme non-économique, entend détruire l’individu à son épicentre selon le principe révolutionnaire de la table rase, condition préalable indispensable à l’adoption de nouvelles valeurs et conceptions. Ce collectivisme et ce constructivisme politique ont engendré dans les années 60 la formation de différentes strates du néo-communisme : le féminisme, l’antiracisme et ses corollaires que sont ethno-masochisme et métissage, l’anti-patriotisme, le combat contre la cellule familiale et le Pater Familias, la sexualité libre, etc. Cette destruction par atomisation des structures sociales traditionnelles forment aujourd’hui le corpus idéologique de tous les états occidentaux, subvertis par la génération 68 qui est le vecteur essentiel de ces conceptions judéo-marxistes. Le précédent Khmer Rouge Aujourd’hui, nous retrouvons des manifestations actuelles de fanatisme révolutionnaire comme on en trouve dans des régimes communistes pourtant non-inspirés par les judéo-trotskystes de l’Ecole de Francfort. A titre d’exemple, les Khmers Rouges, tenants d’un maoïsme agrarien radical, avaient entrepris de créer une entité totalitaire dénommée “Angkar”, le nom du Parti Communiste du Kampuchéa Démocratique (Cambodge). L’Angkar était devenu la matrice se substituant à tout ce qui avait préexisté : la famille, la religion, les corps de métiers, etc. Dans les camps de concentration communistes cambodgiens, les enfants apprenaient à rejeter l’idée “bourgeoise” de la famille. Celle-ci était présentée comme étant le foyer contre-révolutionnaire par excellence. La haine de ses propres parents était inculquée dès le plus jeune âge. Actuellement, en France et dans de nombreux pays occidentaux, l’idéologie néo-communiste triomphante entend de la même façon abolir la famille. Cela a bien sûr commencé par la libéralisation du divorce et de l’avortement comme de la contraception. Déliés de tout lien permanent entre eux, les individus ont pu recombiner les relations sexuelles et matrimoniales avec la bénédiction du régime. D’abord et avant tout pour livrer corps et âmes les enfants au régime, la famille ayant implosé et ne pouvant plus opposer la protection imperméable des valeurs traditionnelles. Le Régime ne se réduit pas à strictement parler à “l’état” – qui n’en est qu’un mécanisme – mais s’étend également aux “partis de gouvernement”, aux médiats et factions de gardes rouges – les membres d’associations – ou encore aux grands entreprises qui n’ont rien à envier aux coopératives d’URSS. On y ajoutera les ingénieurs sociaux que sont les nombreux “spécialistes” chargés de façonner l’esprit des masses. Communisme racial Aussi radicale que le génocide cambodgien, l’entreprise de destruction du corps biologique des peuples blancs subjugués par des régimes néo-communistes. L’exemple cambodgien est ici d’une grande utilité. Le régime communiste du Cambodge a en effet mené, avec l’aide de nombreux membres de la société khmère, une campagne révolutionnaire nécessitant l’élimination de près de 1,5 millions d’individus. Contrairement au génocide rwandais par exemple, cette entreprise de destruction a été menée au sein d’un même peuple pour des motifs idéologiques, politiques et pratiques. Il faut ici bien y réfléchir : à chaque niveau de la société cambodgienne, il a fallu des cadres, des exécutants, des délateurs, des bourreaux, des traîtres, des gardes-rouges fanatisés pour pouvoir faire fonctionner la machine totalitaire, préalable indispensable au génocide. Aujourd’hui en Europe, et singulièrement en France, l’entreprise de destruction des peuples blancs est menée de la même façon depuis l’intérieur même de ses peuples. Ceci pour des motifs idéologiques. Contrairement aux moyens primitifs en usage au Cambodge, le régime procède en se donnant plus de temps, mais avec la même volonté de destruction des opposants à la refondation de la société. La conviction centrale du régime néo-communiste est que la race blanche doit être progressivement éliminée au profit d’autres groupes raciaux jugés idéologiquement compatibles avec le projet précité. Ce projet d’une société nouvelle reposant sur un homme nouveau, nécessairement métissé, est aussi criminel que celui mené au Cambodge. Comme dans le cas cambodgien, nombre d’éléments au sein de la société sont convaincus de la nécessité de mener ce programme, du ministre au simple garçon de café. Par adhésion ou par conformisme. Ceci par le travail permanent du régime, de ses médiats, de ses ministères, de ses factions politiques que sont les associations stipendiées en charge de l’agitation. La destruction de la religion chrétienne, de l’ordre naturel, de l’identité des populations forment le préalable à la société néo-communiste en cours d’édification. La société sans race et sans foi, succédant à la société sans classe, forme le nouveau totalitarisme dans lequel nous évoluons. Il faut en avoir conscience. Comprendre la psychologie révolutionnaire Nombreux sont ceux qui, n’étant pas familiers de la lèpre marxiste, ne comprennent pas la psychologie révolutionnaire. La psychologie révolutionnaire a ceci de particulier qu’elle modifie en profondeur la structure mentale d’un individu en le convainquant de ce qu’il doit abolir son bon sens pour se conformer à l’idéologie révolutionnaire. Délié de ses obligations morales et éthiques, un tel individu devient un rouage dans la machine totalitaire du parti ou du régime. La psychologie révolutionnaire est un subjectivisme radical qui transforme n’importe quel individu en psychopathe. Le communisme, ancien comme nouveau, non seulement repose sur une négation de l’individu comme de la société dans ce qui les fonde naturellement, mais par là même le délivre de toute obligation morale afin de les détruire. On gardera à l’esprit que la mentalité révolutionnaire ne sous-entend absolument pas qu’un révolutionnaire devienne systématiquement un auteur de meurtres de masse. Ce développement ne dépend que des conditions objectives à un moment donné. Le révolutionnaire adoptera en revanche, quelque soit le lieu et l’époque, une volonté d’anéantissement de l’ordre ancien avec les moyens dont il dispose. Son but demeurera invariablement le même : détruire. Qu’il soit garde-rouge de la Chine maoïste en 1970 ou parlementaire socialiste embourgeoisé français. |
Note de Christ-Roi. A ce communisme sans race et sans foi succédant au communisme sans classe s'ajoute le dernier avatar marxiste emmené par la théorie du genre, la société sans sexe dans laquelle l'hétéro (communisme sexuel), blanc (communisme racial), est le nouvel ennemi à éliminer et où la raison elle-même aura été abolie.
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