Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 13:54

La gauche est la mère de la colonisation

 

 

"Le mépris colonialiste vient de la gauche et de la gauche franc-maçonne, républicaine." (Alain Soral)

 

La gauche a colonisé pour son goût de l'universalisme de sa religion des droits de l'Homme.

 

Victor Hugo, écrivain acquis à l'Empire, dont les écrits jonchent les programmes scolaires, déclara le 18 mai 1879 :

 

"Dieu offre l'Afrique à l'Europe, prenez-la non pour le canon, mais pour la charrue, non pour le sabre, mais pour le commerce, non pour la bataille mais pour l'industrie, non pour la conquête, mais pour la fraternité.

Versez votre trop plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires. Allez, faites! Faites des villes; CROISSEZ, CULTIVEZ, COLONISEZ, MULTIPLIEZ!".

 

Image illustrative de l'article Jules FerryLe franc-maçon fanatique Jules Ferry, dont François Hollande a fait l'hommage le 15 mai 2012 au lendemain de son élection présidentielle, et dont le nom est porté par des dizaines d'écoles et de monuments en France:

 

"Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures.

Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit parce qu'il y a un devoir pour elles, elles ont le devoir de civiliser les races inférieures" (Jules Ferry, devant la Chambre des députés, le 28 juillet 1885.)

 

Léon Blum en 1947.Léon Blum, créateur du Front populaire, symbole de la gauche "laïque" et républicaine:

 

"Nous admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture" (Léon Blum, Discours de la Chambre des députés le 9 juillet 1925.)

 

François Mitterand, en 1954, invitait à lutter contre "les terroristes" en Algérie : "Nous châtierons d'une manière implacable, sans autre souci que la justice, les responsables" (F. Mittérand au JT 20h, 1er décembre 1954)

 

 

La gauche est aussi la mère de la collaboration : 80% des collabos venaient de la gauche socialiste, radicale, antiraciste.

 

 

 

Petit tour d'horizon:

Pierre Laval, ministre de l'Intérieur, en 1931.Bibliothèque nationale de France. Pierre Laval, ministre de Vichy et mentor de la collaboration, membre de la SFIO depuis 1905, défenseur des syndicalistes de la CGT, député SFIO en 1914.


 Pierre Drieu la Rochelle, membre du Parti radical socialiste, directeur de la Nouvelle revue française, revue collaboratrice.

Jean Luchaire, directeur du journal "Les nouveaux temps", tribune des jeunes radicaux-sociliastes, presse collaboratrice, fusillé en 1946.

Jacques Doriot, député de la Seine (1929). Jacques Doriot, Secrétaire général de la Jeunesse communiste, créateur un comité de Défense antifasciste avec les membres de la SFIO et du Parti radical et radical-socialiste, créateur de la LVF (Légion des Volontaires Français) le 8 juillet 1941, les SS français !

Marcel Déat, député de Paris (1932).Marcel Déat, adhérent de la SFIO en 1914, créateur le 5 novembre 1933 du "Parti socialiste de France", ministre du travail et de la solidarité nationale sous Vichy.


René Bousquet, issu d'une famille radicale-socialiste de Montauban, couvé par le radical-socialiste sénateur et patron de presse (La Dépêche de Toulouse) Maurice Sarraut, secrétaire général à la police du de Vichy, organisateur de la rafle du Vél’ d'Hiv’, responsable de la déportation de 54000 juifs, ami de toujours de François Mittérand.

Maurice Papon, socialiste, secrétaire d'Etat dans les deux gouvernements Blum, condamné en 1998 pour complicité de crimes contre l'humanité pour des actes commis alors qu'il était secrétaire général de la préfecture de Gironde entre 1942 et 1944.

 

Simon Sabiani, membre SFIO engagé dans la SS;

Paul Perrin,

André Grisoni

Paul Rives

Maurice Levillain

Barthélémy Montagnon,

René Chateau

Claude Jamet

Camille Chautemps

Georges Bonnet

Robert Jospin (le père de Lionel), proche de Déat.

Georges Suarez, ami de Joseph Kessel dans les années 20, essayiste, biographe de Clémenceau et de Briand, pro-nazi fanatique sous Vichy, premier journaliste à être jugé pour collaboration.

Camille Planche

Léon Emery

René Gérin, déatistes,

Saint-Loup (alias Marc Augier, qui avant guerre chantai "Au-devant de la vie" avec ses camarades juifs des Auberges)

 

12 des 17 ministres SFIO de la fin de la IIIe république furent exclus de ce parti après guerre pour leur comportement collaborateur.

Partager cet article
Repost0

commentaires