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Christ Roi

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21 juin 2010 1 21 /06 /juin /2010 09:38

Écrit par Xavier Moreau

Vendredi, 18 Juin 2010 00:00

xaviermoreau

Partie 1/2. Catholiques et Orthodoxes.

L'accession du cardinal Ratzinger à la papauté a accéléré le processus de rapprochement entre l'Eglise catholique et l'Eglise orthodoxe. Cette réconciliation, après 1000 ans de disputes, pourrait devenir réalité, tant elle est souhaitée par les patriarches de Russie, de Serbie, de Constantinople, de Chypre et le pape Benoit XVI. Elle est en outre, ardemment désirée par le pouvoir russe, qui cherche ainsi à désarmer un levier, que la puissance anglo-saxonne [Ndlr. Etats-Unis-Allemagne] a su utiliser avec habileté ces vingt dernières années.

 

Si l'origine de la querelle est théologique, la fracture entre l'Europe occidentale et orientale ne repose pas exclusivement sur la fameuse querelle du « filioque » [Ndlr. Le Saint-Esprit procédant du Père et du Fils]. Pour les orthodoxes et les catholiques, la foi, les sacrements, l'importance de la tradition sont les mêmes. Le Schisme s'est comporté pendant 1000 ans comme un organisme vivant, se nourrissant de querelles religieuses, mais aussi des conflits entre états catholiques et orthodoxes. C'est justement la multiplicité des acteurs, à la fois religieux et politiques, qui a rendu quasi-impossibles les tentatives de rapprochement, jusqu'à aujourd'hui. On peut distinguer dans l'histoire de ce schisme, trois grandes périodes jusqu'à la chute du communisme. La première qui s'écoule du VIIIème au XVème siècle, couvre la naissance et l'aggravation du conflit. La seconde, qui correspond au développement séparé des deux Eglises s'étend jusqu'à la Révolution russe. La dernière couvre les deux guerres mondiales et prend fin en 1991, à la disparition de l'Union Soviétique.

 

La chrétienté des Xème et XI siècles s'est construite autour de deux ensembles politiques issus de l'Empire romain, l'un latin et l'autre oriental. A cette époque la civilisation est en Orient. Les peuples qui composent l'Europe occidentale sont considérés comme des barbares  par les Byzantins. Anne de Kiev, qui devient Reine de France en 1051, en épousant Henri Ier, est frappée par la rusticité de la cour de ce dernier. Tandis que Constantinople rayonne encore de l'héritage de l'Empire romain, les chrétiens latins s'efforcent de rivaliser avec la grandeur byzantine. Ils ont pour eux la jeunesse et la vigueur de leurs peuples. Alors que le fondateur des Carolingiens s'est illustré, en 732, en écartant définitivement le péril arabo-musulman à Poitiers, que les Espagnols poursuivent leur « Reconquista », la vieille puissance byzantine résiste mal aux coups des Arabes, puis des Turcs. Du côté latin, la papauté qui siège à Rome veut affirmer sa primauté sur Constantinople en tant qu'héritière du trône de Saint Pierre. Au VIIIème siècle, l'Eglise romaine a rajouté de manière unilatérale, le fameux « filioque » au CREDO chrétien. Les Catholiques professent donc que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils. Ce que reprochent surtout les chrétiens orientaux, c'est l'unilatéralité de la décision romaine, prise sans consulter les autres patriarcats. Le pape a rompu la « Sobornost », notion extrêmement importante pour les chrétiens orientaux, proche de la « collégialité ». En 1054, la rupture théologique est consommée. Cette querelle doctrinale aurait pu prendre une moindre importance, sans l'orgueil des clercs de part et d'autre, et surtout, sans le déroulement catastrophique des croisades.

 

La deuxième moitié du XIème siècle est marquée dans l'empire romain d'Orient, par la volonté de l'empereur Alexis Ier Comnène, de restaurer la puissance byzantine, notamment contre l'invasion des Turcs Seldjoukides. La faiblesse de son armée pousse Alexis Ier à demander de l'aide au pape Urbain II, pour recruter des mercenaires occidentaux. Emu par le sort des chrétiens orientaux, le pape Urbain II appelle à la croisade en 1095. Cet appel rencontre un écho exceptionnel dans une Chrétienté latine avide de pèlerinages et brûlant de libérer le tombeau du Christ. Pourtant, ce qui aurait du restaurer l'Union des deux Eglises, contre l'ennemi commun, contribue à renforcer l'hostilité voire la haine entre les deux peuples chrétiens. Les armés croisées se montrent souvent indisciplinées et surtout incontrôlables par le pouvoir byzantin. Elles s'attirent l'hostilité et la méfiance des populations chrétiennes de l'Empire romain d'Orient. L'irréparable est commis lors de la IVème croisade en 1204. Le doge de Venise exige la prise de Constantinople en échange du transport de l'armée croisée vers la Terre Sainte. Après maintes péripéties, la ville est mise à sac. Cela constitue une perte immense pour l'Empire byzantin, et ruine définitivement ses espoirs de repousser les envahisseurs musulmans. Plutôt que d'avoir sauvé les chrétiens d'Orient, les croisés latins les ont condamnés à la « dhimmitude ». Une ultime tentative de réconciliation a lieu en 1439. A Florence, un concile œcuménique parvient à réunir le pape, le patriarche de Constantinople et le Métropolite de Moscou, Isidore de Kiev. Les trois parties s'entendent, mais ni les Byzantins, ni le  Grand Prince de Moscou, Vassili II, ne veulent de cet accord. Ce dernier enferme Isidore de Kiev dans un couvent en 1441. Cet événement, ainsi que le mariage, en 1472, de son fils, Ivan III, avec Sophie Paléologue, nièce du dernier empereur byzantin, font de Moscou la troisième Rome. Le monde orthodoxe suit désormais une sorte de développement séparé où la Russie est la puissance dominante. A la fin du XVème siècle, les deux confessions commencent à s'étendre géographiquement, l'une par la conquête du nouveau monde, l'autre par la poussée russe vers l'Orient.

 

Les relations avec la papauté sont désormais quasi systématiquement conflictuelles. La menace militaire polonaise, que subit la Russie à sa frontière du nord-ouest contribue à cet état de fait. Pourtant, Ivan le Terrible demande au Vatican, en 1580, d'intercéder pour obtenir une paix négociée avec le roi de Pologne. Le pape dépêche un émissaire jésuite, le père Antonio Possevino, en espérant la réconciliation des Eglises et la levée d'une nouvelle croisade. Antonio Possevino fournit un récit détaillé de son voyage en Russie de 1581 à 1582. Ivan le Terrible se montre hermétique à toute idée de rapprochement, même s'il concède quelques libertés de circulation aux catholiques. Possevino négocie la paix de Jam Zapolski en 1582, à laquelle les Polonais mettront fin en prenant Moscou en 1605. Possovino estime que la réconciliation des deux Eglises est impossible et recommande la conversion par la création d'Eglises orientales rattachées à Rome. Les Jésuites seront d'ailleurs trè

s actifs dans ce processus qui s'est mis en place depuis le XIIème siècle. Ces Eglises orientales ou gréco-catholiques ou encore « uniates » constituent jusqu'à aujourd'hui une des principales pommes de discorde entre Catholiques et Orthodoxes. Le XVIIème siècle voit ainsi se prolonger le développement séparé des deux églises. Au XVIIIème siècle, alors que l'ordre catholique traditionnel vacille en Occident, sous les coups des philosophes des lumières, les Russes l'emportent successivement sur les protestants suédois et les catholiques polonais. Sous Catherine II, ils commencent à porter des coups décisifs à l'Empire ottoman qui amorce son déclin.

 

Le siècle suivant est marqué par la suprématie russe sur les Turcs et par la libération des peuples chrétiens orientaux du joug musulman. Dans le même temps, les chrétiens latins et orientaux doivent faire face à une nouvelle menace : l'athéisme, né de l'Europe des lumières et de la Révolution française. La déchristianisation qui a commencé en France dès les premiers moments de la révolution inquiète particulièrement l'empereur Alexandre Ier. Les révolutionnaires français inaugurent les premiers massacres de masse, qui inspireront Lénine 120 ans plus tard. L'Empereur russe met en place, après le Congrès de Vienne de 1815, la Sainte Alliance sensée unir les princes chrétiens contre les dangers des idées révolutionnaires. Tandis que l'orthodoxie se renforce politiquement sous la houlette de la Russie impériale, le XIXème siècle est pour l'Eglise catholique synonyme de persécutions en Europe. C'est aussi pour elle, le siècle de la rédaction de textes fondamentaux sur sa doctrine, notamment la doctrine sociale. En 1891, l'encyclique Rerum Novarum apporte la seule réponse alternative sociale au marxisme et à la lutte des classes. Elle reste sans équivalent dans l'Eglise orthodoxe jusqu'à la chute du communisme. Ce développement de la doctrine catholique est accompagné par le renforcement de la hiérarchie vaticane. L'affirmation en 1870, de l'infaillibilité pontificale, creuse un peu plus le fossé entre catholiques et orthodoxes, même si celle-ci ne fut invoquée qu'une fois en 140 ans. Ainsi le XIXème siècle semble achever la séparation des deux Eglises, qui vont affronter en ordre dispersé les formes les plus sanglantes et inhumaines de l'athéisme, le communisme et le nazisme.

 

L'autocratie impériale et l'orthodoxie échouent contre les tendances anarchistes et révolutionnaires qui trouvent en Russie un terreau particulièrement favorable. Netchaïev, Bakounine, Kropotkine sont les précurseurs ; Lénine, Trotski et Staline, les exécuteurs fanatiques.  Pendant les 70 ans de communisme qui s'abattent sur la Russie, la question du rapprochement des Eglises disparaît. L'Eglise orthodoxe est persécutée, même si la Grande Guerre Patriotique force Staline à rouvrir les Eglises. Etroitement contrôlée, l'Eglise orthodoxe parvient alors à se maintenir tant bien que mal. Cette soumission au pouvoir communiste lui sera reprochée, notamment par les Catholiques. Les Eglises uniates roumaine et ukrainienne lui sont rattachées de force.

 

En Occident, l'Eglise catholique, qui s'est remarquablement comportée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, est déstabilisée à partir du concile Vatican II, en 1962. Les clergés français, allemand et latino-américain, conquis par la théologie de la libération et les influences protestantes, s'éloignent de l'enseignement traditionnel de l'Eglise catholique. Le théologien brésilien, Leonardo Boff, déclare que « la barbe de Fidel Castro se confond avec celle des apôtres». Il est sanctionné en 1984 par la « Congrégation pour la doctrine de la foi », présidé par le cardinal Joseph Ratzinger. Ce désordre inquiète les Eglises orthodoxes. Pourtant le concile Vatican II réaffirme la proximité des deux confessions et rappelle que « les Eglises d'Orient possèdent depuis leur origine un trésor auquel l'Eglise d'Occident a puisé beaucoup d'éléments de la liturgie, de la tradition spirituelle et du droit (...) les dogmes fondamentaux de la foi chrétienne sur la Trinité, le Verbe de Dieu, qui a pris chair de la Vierge Marie, ont été définis dans des conciles œcuméniques en Orient

 

A la chute du communisme en URSS, les églises se remplissent massivement, 70 ans de matérialisme communiste ne sont pas venus à bout de la foi orthodoxe. Elle se retrouve, comme l'Eglise catholique depuis 30 ans, à devoir faire face au matérialisme libéral. La réconciliation est immédiatement à l'ordre du jour et semble possible. C'est sans compter avec  les politiques impériales allemande et américaine, qui ont décidé d'utiliser cette fracture civilisationnelle pour accomplir leurs objectifs géopolitiques en Europe, quitte à mettre au passage, la Yougoslavie à feu et sang.

 

Source : http://realpolitiktv.com/editos/geopolitique-du-christianisme-catholiques-et-orthodoxes

 

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commentaires

T
<br /> <br /> Il est vrai qu,il faut se garder de condamner les Croisades en bloc, car, hormi la IVième qui fut dévoyée de son but (avec les magouilles de certains Empereurs Byzantins comme Isaac II Ange et<br /> Alexis IV Ange, qui ont demandé l'aide de Dandolo pour se remettre sur le trône...), les autres ont permi une protection de la Chrétienté dont même Cple bénéficia.<br /> <br /> <br /> Le Concile de Florence est à mettre entre parenthèses prudentes, car, quand on examine les minutes du concile ainsi que les différents témoignages y afférant, même du côté Romain, la bonne foi<br /> n'était pas d'un côté comme de l'autre la qualité première des intervenants. Saint Marc d'Éphèse n'était pas le "fanatique étroit" que l'on décrit tant, mais souhaitait une réunion sérieuse entre<br /> deux Chrétientés qui partagèrent autrefois le même héritage spirituel, la même foi, un monde Latin qui fut Orthodoxe lui aussi, alors que l'Orient avait souvent tendance à l'hérésie.<br /> <br /> <br /> Mais il ne voulait pas cette union à n'importe quel prix, pas au prix de compromis avec des innovations dogmatiques décidées hors concile et contredisant souvent les témoignages des Pères, tant<br /> Grecs que Latins. La Foi n'est pas une chose que l'on négocie diplomatiquement, il avait bien raison, et beaucoup de hiérarques actuels, y compris orthodoxes, devraient s'en souvenir.<br /> <br /> <br /> L'Église Russe fut, et est redevenue très brillante. Son attitude sous Staline, là aussi demande pas mal de nuances, de compréhension, et ne saurait être condamnée en bloc, d'une façon partielle<br /> et partiale. Les compromis réels de certains évêques n'éffacent pas les persécutions non moins réelles, et de l'aveu même du KGB, les évêques vraiment "collaborateurs" étaient une minorité. Père<br /> Dimitri Smirnoff, aujourd'hui aumonier des forces armées Russes et recteur de plusieurs paroisses (dont une, l'Annonciation, à Dynamo, pas loine de l'académie militaire), a lui même beaucoup<br /> souffert pendant cette période et a contribué, par sa fidélité, à restaurer la Foi en Russie. Les résultats sont impressionants.<br /> <br /> <br /> Une autre très brillante Église qui engendra beaucoup de bons fruits de sainteté, de vertu et d'enseignement, en l'occurence l'Église Serbe (ce peuple fut catéchisé dès le VIième siècle, le<br /> jupan Mustimir baptisé en 870 et Saint Sava, grand spirituel fut le premier archévêque en 1219), fut lourdement persécutée par le Poglavic Ante Pavelic, et ses séides musulmans pendant la Seconde<br /> guerre mondiale. Bilan: 700 000 morts. Certains prêtres Catholiques jouèrent hélas un rôle dans cette histoire, même si ils ne sont pas représentatifs du Catholicisme. Cela doit tout de même être<br /> clarifié, d'autant que l'Empire d'autriche, très bel Empire mais pas aussi idyllique qu'on le prétend, persécuta les Serbes Orthodoxes en son temps aussi.<br /> <br /> <br /> Les Orthodoxes sont des Catholiques, comme on l'était avant le XIième siècle, avec une compréhension spirituelle et institutionnelle de l'Église qui fut celle de Rome autrefois. Il en reste une<br /> très grande proximité et la possibilité, voire la nécessité de mener témoignages et combats communs. Ce sans renier nos fidélités respectives mais dans le respect et la reconnaissance de la<br /> réalité de l'héritage spirituel et historique commun.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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