Article mis à jour le 25 mai 2017. Les bas grades de la franc-maçonnerie ne savent pas ce qui se passe dans les grades plus élevés. Nous avons inséré un nouveau lien dans l'expression "dogmes lucifériens" de la franc-maçonnerie. Le lien renvoie à l'article "Serge Abad Gallardo : "Pourquoi j'ai quitté la franc-maçonnerie?"".

Derrière l'apparence de rituels parfois désuets, Sophie Coignard a découvert que les frères s'organisent d'une façon très moderne pour s'entraider et exercer leur influence dans toute la société. Cet immense réseau, qui compte près de 150 000 personnes, pèse notamment dans la police, la justice et les affaires sociales. Le livre dévoile l'existence de véritables fiefs francs-maçons, comme, parmi bien d'autres, la Poste, Veolia ou le Crédit agricole.
À EDF, c'est une vraie cellule de renseignement qui effectuait des missions très spéciales.
Le ciment de cet État dans l'État ? Le secret d'appartenance, d'autant plus jalousement gardé que les frères occupent un poste élevé dans la hiérarchie sociale.
Chaque frère est en effet tenu par un serment solennel qui lui interdit de parler.
Dans cette video, Sophie Coignard explique le mode de fonctionnement solidaire et secret de la franc-maçonnerie, avec les inconvénients que cela comprend dans une société dite de "transparence", notamment au niveau de la justice. Le serment de secret et de solidarité (entre-aide des francs-maçons) pose un problème dans une société démocratique et ouverte. Pour Sophie Coignard, il est temps pour les frères, au nom du progrès qu'ils vénèrent, de renoncer au secret maçonnique.
Je précise que dans ce contexte de secret, le prétexte de "liberté de conscience" derrière lequel se réfugie dans cette video la "Grande Maîtresse de la Grande Loge féminine de France" contre Sophie Coignard, est grotesque. En effet, qui interdit à ces gens de pratiquer leurs rituels sataniques (voir le reportage d'Elise Lucet diffusé en 1999 sur France 3, depuis étouffé...) ? Qui leur interdit de croire dans leurs dogmes lucifériens? Personne... Et pour cause...