Nous vivons une ère curieuse, celle d’un régime économique que nous appelons « l’Ordo Liberalis », un mélange de libéralisme et de socialisme.
D’un côté, on ne cesse de nous expliquer que seule la libre concurrence permet de protéger le consommateur en lui assurant les plus bas prix. Et de l’autre, force est de constater qu’aucun gouvernement n’a su éviter la crise et que ces mêmes dirigeants qui, hier, vantaient les mérites de la libre concurrence adoptent aujourd’hui des politiques dirigistes avec des plans de relance dont on nous explique les mérites. Suite