21 juin 2008
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10:51
Des émeutes qui s'étendent progressivement à tous les quartiers de la Capitale jusque dans les quartiers bling bling de Paris. Ce soir, attendons-nous à une nuit de la Saint-Jean enflammée.
Le traditionnel rassemblement de jeunes pour la fin des épreuves du baccalauréat a dégénéré, dans la nuit de vendredi à samedi, sur le Champ de Mars à Paris (près de la Tour Eiffel).
Entre 250 et 300 «perturbateurs» venus pour la plupart de la banlieue parisienne s'étaient mêlés aux 4.000 à 5.000 lycéens qui fêtaient dans la bonne humeur la fin des épreuves du baccalauréat, sur les pelouses du Champ de Mars, pour agresser des jeunes et commettre des dégradations.
Ils ont aussi jeté des projectiles en direction des forces de l'ordre. Une trentaine de policiers ont alors riposté en chargeant et en lançant des grenades lacrymogènes, alors que des jeunes gens tentaient de mettre le feu à des poubelles et à des arbres de l'esplanade avant de les repousser sans violence vers l'Ecole militaire, située au fond de l'esplanade.
«Ces jeunes avaient le visage dissimulé avec des foulards et des capuches», selon le directeur de la police urbaine de proximité, Alain Gardère, qui a souligné qu'ils venaient pour la plupart des «départements de la périphérie de Paris».
Des lycéens qui se trouvaient sur le Champ de Mars ont indiqué que les incidents avaient débuté vers 1h30 et que plusieurs d'entre eux avaient été dépouillés de leur téléphone portable ou de leur lecteur MP3.
Le calme est revenu peu après 4 heures dans le quartier où patrouillaient des policiers en uniforme et en civil. Huit vitrines ont été dégradées. Deux policiers ont été légèrement blessés. Vingt-cinq personnes ont été interpellées et vingt placées en garde à vue. Le maire immigrationniste et socialiste de la capitale Bertrand Delanoë exprime sa "solidarité" à l'égard "des jeunes qui ont été agressés", "aux commerçants du quartier qui ont subi des dégradations ainsi qu'aux deux policiers blessés".
Le maire immigrationniste et socialiste de la capitale Bertrand Delanoë exprime sa "solidarité" à l'égard "des jeunes qui ont été agressés", "aux commerçants du quartier qui ont subi des dégradations ainsi qu'aux deux policiers blessés".
***
Add. Parmi les commentaires, comme toujours très intéressants, sur le fil du Figaro:
- Mais que c'est il passé, avenue de la motte picquet à 3H cette nuit ?
Le traditionnel rassemblement de jeunes pour la fin des épreuves du baccalauréat a dégénéré, dans la nuit de vendredi à samedi, sur le Champ de Mars à Paris (près de la Tour Eiffel).
Entre 250 et 300 «perturbateurs» venus pour la plupart de la banlieue parisienne s'étaient mêlés aux 4.000 à 5.000 lycéens qui fêtaient dans la bonne humeur la fin des épreuves du baccalauréat, sur les pelouses du Champ de Mars, pour agresser des jeunes et commettre des dégradations.
Ils ont aussi jeté des projectiles en direction des forces de l'ordre. Une trentaine de policiers ont alors riposté en chargeant et en lançant des grenades lacrymogènes, alors que des jeunes gens tentaient de mettre le feu à des poubelles et à des arbres de l'esplanade avant de les repousser sans violence vers l'Ecole militaire, située au fond de l'esplanade.
«Ces jeunes avaient le visage dissimulé avec des foulards et des capuches», selon le directeur de la police urbaine de proximité, Alain Gardère, qui a souligné qu'ils venaient pour la plupart des «départements de la périphérie de Paris».
Des lycéens qui se trouvaient sur le Champ de Mars ont indiqué que les incidents avaient débuté vers 1h30 et que plusieurs d'entre eux avaient été dépouillés de leur téléphone portable ou de leur lecteur MP3.
Le calme est revenu peu après 4 heures dans le quartier où patrouillaient des policiers en uniforme et en civil. Huit vitrines ont été dégradées. Deux policiers ont été légèrement blessés. Vingt-cinq personnes ont été interpellées et vingt placées en garde à vue. Le maire immigrationniste et socialiste de la capitale Bertrand Delanoë exprime sa "solidarité" à l'égard "des jeunes qui ont été agressés", "aux commerçants du quartier qui ont subi des dégradations ainsi qu'aux deux policiers blessés".
Le maire immigrationniste et socialiste de la capitale Bertrand Delanoë exprime sa "solidarité" à l'égard "des jeunes qui ont été agressés", "aux commerçants du quartier qui ont subi des dégradations ainsi qu'aux deux policiers blessés".
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Add. Parmi les commentaires, comme toujours très intéressants, sur le fil du Figaro:
- Mais que c'est il passé, avenue de la motte picquet à 3H cette nuit ?
Nous avons tout vu avec ma femme. Mon fils de 6 mois c'est reveillé en hurlant dans la nuit.
Nous avons tout vu avec ma femme. Mon fils de 6 mois c'est reveillé en hurlant dans la nuit.
Nous avons été réveillé vers 3H du matin, des jeunes en bandes organisées en train de casser tous les retroviseurs de toutes les voitures, d'éssayer de casser toutes les vitrines, de renverser tous les scooters. De poursuivre à 10 ou 20 des jeunes qui semblaient fêter le bac. Un seul objectif tout casser...
Les brigades anti emeutes sont arrivées 10 minutes aprés leur passage...
Bref des émeutes en plein paris....
Delanoe pense aux commerçants et aux futurs étudiants"...
- Que fait Delanoé ?
- tant mieux
Nous avons tout vu avec ma femme. Mon fils de 6 mois c'est reveillé en hurlant dans la nuit.
Nous avons été réveillé vers 3H du matin, des jeunes en bandes organisées en train de casser tous les retroviseurs de toutes les voitures, d'éssayer de casser toutes les vitrines, de renverser tous les scooters. De poursuivre à 10 ou 20 des jeunes qui semblaient fêter le bac. Un seul objectif tout casser...
Les brigades anti emeutes sont arrivées 10 minutes aprés leur passage...
Bref des émeutes en plein paris....
Delanoe pense aux commerçants et aux futurs étudiants"...
- Que fait Delanoé ?
Il peut bien condamné, il ne fait strictement rien pour la sécurité des parisiens.
- Egalité face au désastre ...
- Egalité face au désastre ...
Les beaux quartiers hupés réservés aux retraités du CAC40 vont pouvoir témoigner de ce que la France entière subit depuis de longues années ...
- tant mieux
cela sera de plus en plus comme cela. Il n'y a pas de raison que seuls les personnes des quartiers populaires en souffrent. Les bourgeois des centre-villes vont enfin être confrontés à la réalité de la violence.