German MEP Christine Anderson recently shared her perspective on the hidden forces shaping global governance. "I don’t know who’s truly behind it," she admitted. "It’s not Ursula von der Leyen—she isn’t making decisions. It’s not Bill Gates, nor even Klaus Schwab. They’re not the… pic.twitter.com/9DISYSqkhY
— Camus (@newstart_2024) April 6, 2025
L'eurodéputée allemande Christine Anderson a récemment fait part de son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale. "Je ne sais pas qui est vraiment derrière tout cela", a-t-elle admis. "Ce n'est pas Ursula von der Leyen - elle ne prend pas de décisions. Ce n'est pas Bill Gates, ni même Klaus Schwab. Ce ne sont pas eux qui prennent les décisions. Ce ne sont que les visages publics, ceux qui mettent leur tête devant les caméras et poussent cette absurdité totalitaire."
Selon Mme Anderson le véritable pouvoir réside dans un groupe insaisissable qu'elle appelle, faute d'un meilleur terme, les "misanthropes mondialistes". "Je n'ai aucune idée de qui ils sont, mais ce sont eux qui tirent les ficelles. Nos gouvernements élus ? De simples marionnettes qui mettent en œuvre tout ce que ces personnages de l'ombre leur dictent."
Elle pense que leur objectif ultime est clair : "Ils veulent un gouvernement mondial unique, transformant nos sociétés libérales, ouvertes et démocratiques - fondées sur des individus libres - en un système collectiviste où les gens ne sont que des pièces malléables, que l'on déplace selon les besoins." Pour Mme Anderson, ce programme explique l'existence même de l'Union européenne.
"Regardez l'Europe", poursuit-elle. "Ce petit continent, avec sa riche mosaïque de cultures, de traditions, d'histoires et de langues, est fier de ses habitants. Vous ne pourrez jamais les convaincre d'abandonner leurs États-nations et leur souveraineté au profit d'un gouvernement mondial unique. Ils résisteraient. L'UE a donc été créée pour servir de tremplin."
Elle souligne le prétexte historique : Ils disent : "Oh, nous avons eu tellement de guerres ici, nous avons besoin de nous unir en tant qu'UE."
C'est vrai, mais c'est une excuse commode. Les institutions européennes ne cessent d'absorber davantage de pouvoir, conditionnant les Européens à accepter le prochain saut - un gouvernement mondial à part entière."
Mme Anderson y voit une érosion progressive et délibérée de l'identité nationale et de la liberté individuelle, orchestrée par ceux qu'elle qualifie de "misanthropes mondialistes". "Il ne s'agit pas de paix", conclut-elle. "Il s'agit de contrôle."
commenter cet article …