Attentat incendie Notre-Dame
— Ludovic Malot (@LudovicMalot) October 25, 2024
Février 2018, un an avant l’incendie : la société AUBRIAT répand un gel sur toute la charpente. Le gel qui a été utilisé contenait nécessairement un accélérateur thermite 7. La fumée épaisse jaune et la rapidité de propagation (2h) sont deux preuves… pic.twitter.com/LSx9Lg59zX
L'auteur et économiste Ludovic Malot s'interroge sur X : "Un an avant l’attentat incendie de Notre-Dame du 15 avril 2019, la société AUBRIAT répand un gel sur toute la charpente. Aucun traitement antifongique est nécessaire sur des poutres en chêne qui ont plusieurs siècles! Le gel qui a été utilisé contenait nécessairement un accélérateur thermite 7. Et demande l'ouverture d'une première plainte pénale :
Attentat incendie Notre-Dame
Février 2018, un an avant l’incendie : la société AUBRIAT répand un gel sur toute la charpente. Le gel qui a été utilisé contenait nécessairement un accélérateur thermite 7. La fumée épaisse jaune et la rapidité de propagation (2h) sont deux preuves absolument irréfutables d'un accélérateur.
Stupéfaction et absurdité: aucun traitement antifongique est nécessaire sur des poutres en chêne qui ont plusieurs siècles!
Mode opératoire:
1. Mandater une société qui n’a aucune expérience dans le traitement de poutres sur des monuments historiques et inventer la présence de champignons type mérule
2. Mandater une société qui est affamée, manipulable au niveau de la technique et du protocole
3. Payer cette entreprise généreusement pour qu’elle fasse ce qu’on lui dit de faire sans poser de questions
4. Lui fournir un produit, une formulation différente de ce que la société Aubriat pense utiliser
5. Complicités dans le service de sécurité de Notre-Dame, aux monuments historiques et totale implication au plus haut niveau de l’Etat avec les services de renseignements.
« Après analyse, nous avons pu écarter le risque de mérule », note le chef d’entreprise Édouard Aubriat. Qui a toutefois été sollicité par le conservateur des monuments historiques de l’édifice et son architecte spécifique, pour assurer son traitement. Un travail délicat en raison de sa composition. « Le chêne qui compose généralement les toitures est un bois dur. Il empêche d’utiliser le traitement par infiltration », note l’entrepreneur. Qui a dû opter pour un traitement par pulvérisation d’un gel...
300 m2 de charpente
« Il a fallu faire quelques essais avec différents produits pour ne pas nuire au site classé et au public nombreux qui le fréquente », explique Édouard Aubriat
Conclusion: Une première plainte pénale s'impose contre le conservateur de Notre-Dame, son architecte et remonter vers les commanditaires.
Cf. https://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2019/01/29/la-societe-aubriat-d-epinal-au-chevet-de-notre-dame-de-paris