Extraits d'une étude publiée par Nature sur le réchauffement climatique.
Il n'y a aucun réchauffement climatique accéléré au cours des 50 dernières années. Nature le dit.
1) LES ÉTUDES QUI PARLENT D'ACCÉLÉRATION DE LA HAUTEUR DES TEMPÉRATURES SONT FAUSSES
Pour analyser l'évolution des températures dans le temps, la température moyenne de chaque année est analysée par rapport à un point de référence qui est souvent la période préindustrielle, précisément lors de la sortie d'une glaciation. L’indice s’appelle GMST, Global Mean Surface Temperature, qui mesure la température moyenne de l’ensemble de la surface de la Terre.
L'étude discute de l'existence d'une accélération du réchauffement climatique depuis 1970 et nie son existence.
Des modèles mathématiques basés sur la régression continue et discontinue ont été testés à l’aide des données GMST de 1850 à 2023 et ont montré qu’il n’y avait pas d’accélération du réchauffement à partir de 1970. En effet, on a utilisé la méthode d'autocorrélation, qui suppose que les erreurs de mesure de température provoquées par les différentes sources de données ne sont pas indépendantes. En fait, les auteurs ont ensuite construit un modèle mathématique de test dans lequel les autocorrélations n'étaient pas calculées, c'est-à-dire qu'il supposait des erreurs indépendantes, ce qui a conduit à identifier des températures plus élevées après 1970 dans la série de données HadCRUT et dans les autres examinées. Comme expliqué dans l’étude, cet ensemble de données n’est pas valide car les résidus sont fortement autocorrélés. Les résidus en statistiques sont les différences entre les valeurs réellement observées et les valeurs prédites par la régression, et il est nécessaire, pour effectuer la régression, que ces valeurs soient indépendantes les unes des autres, car l'indépendance des résidus est précisément l'une des hypothèses de la régression qui ne peut être violée. Ainsi, en utilisant les statistiques comme il se doit, il est possible de montrer que les études (1, 2) suggérant une accélération de l'augmentation de la température après 1970 sont fausses. Au-delà de l'étude, on peut également avancer que l'absence d'indépendance dans les résidus peut refléter un biais dans la collecte des données qui conduit à surestimer les températures enregistrées afin de corroborer un récit climatique.
2) PARLER D'ACCÉLÉRATION DE LA HAUSSE DES TEMPÉRATURES N'EST PAS FONDE
L'étude pose également la question de savoir s'il n'est pas trop tôt pour faire des analyses statistiques et si l'enregistrement de nouvelles données ne permettra pas de détecter la tendance à l'avenir. Une question méthodologiquement légitime, qui analyse de combien la température devrait augmenter pour être statistiquement significative avec α = 0,05. Divisée en deux périodes, 1970-2012 et 2013-2023, pour la première période, une augmentation supplémentaire de 53 % de la température serait nécessaire pour enregistrer une tendance, et pour la seconde période, une augmentation encore plus importante de 100 %. Pour la première période, on peut donc exclure catégoriquement l'existence d'une tendance ; pour la seconde, en revanche, l'ensemble des données est jugé trop court. Les auteurs concluent dans leur discussion de l'étude que les fluctuations du GMST sont dues au bruit dans les données, qu'elles ne reflètent pas un événement réel et qu'il est de toute façon trop tôt pour détecter des changements, car pour que des changements soient détectables avec des méthodes statistiques, il faut attendre 2035. Parler d'une tendance à l'accélération du réchauffement relève de la pure idéologie, puisque les instruments scientifiques pour la quantifier n'existent pas.
CONCLUSIONS
Des articles journalistiques et même des sites Web gouvernementaux rapportent le faux chiffre de l'accélération de la hausse des températures après 1970 ( 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 , 8 , 9 ), le prenant pour un fait et l'utilisant pour effrayer les gens.
L’année 1970 a été choisie précisément parce qu’ils prétendent qu’à partir de cette période, il y a une augmentation de l’utilisation des combustibles fossiles, il y a donc derrière cela une raison purement propagandiste.
L’idée même d’une accélération du réchauffement est née dans des articles journalistiques, et non dans de véritables études scientifiques.
Source:
https://www.nature.com/articles/s43247-024-01711-1
https://www.marcotosatti.com/2024/10/24/cari-catastrofisti-niente-riscaldamento-globale-accelerato-negli-ultimi-50-anni-lo-dice-nature/