Source : GloriaTv
Macron, vous qui parlez de faute morale à l'égard des non-injectés, c'est sans doute le plus bel hommage que pouvait rendre le vice à la vertu.
Vous qui depuis le début de votre quinquennat détruisez méthodiquement le pays en le dépeçant pour le livrer aux vautours de la haute-finance; vous qui nous dépouillez de notre histoire quand ce n'est pas pour lui faire injure; vous qui nous avez privé de nos plus beaux fleurons industriels, comme Alstom.
... Vous qui avez fait bloquer les nombreux traitements efficaces et peu chers comme l'ivermectine ou l'hydroxychloroquine pour nous imposer à marche forcée et en dépit du bon sens cette injection hasardeuse; cette soupe chimique concoctée à la va-vite dans les chaudrons de Big-Pharma avec des effets secondaires potentiellement dévastateurs et qui a déjà causé un nombre de morts inédit dans toute l'histoire vaccinale.
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Vous qui en pleine pandémie avez consciencieusement continué à détruire l'hôpital public en supprimant des milliers de lits, tout en promettant avec aplomb le contraire, et en virant comme des malpropres des soignants en prenant bien soin de les laisser sans la moindre ressource, histoire de leur faire payer à la hauteur de votre orgueil, votre effronterie et leur insoumission. Ces mêmes soignants que vous avez dans un premier temps fait applaudir tous les soirs de manière bien hypocrite pour mieux servir les intérêts de votre agenda. Avec le cynisme effroyable qui vous caractérise, vous avez désactivé ces malheureux dans la plus parfaite indifférence, comme on appuierait sur la touche DELETE d'un ordinateur pour effacer une variable d'ajustement. Désormais, c'est clair, c'est votre modèle de société pour votre start-up nation, la désactivation ou la soumission, le en marche ou crève; le seul crime de ces soignants réfractaires se résumant à ne pas vouloir se prêter au jeu du cobaye pour Big Pharma en jouant à la roulette russe avec leur santé.
Pourtant, en toute logique, quand on ne crée pas délibérément des malades en interdisant formellement aux généralistes de prescrire, quand on ferme des lits d'hôpitaux et que l'on se débarrasse de bon nombre de personnels soignants, on ne peut alors plus décemment se plaindre de la saturation des services de soin et encore moins en reporter la faute sur une victime expiatoire, se défausser de son écrasante responsabilité, avec un bouc émissaire tout trouvé. Mais associer décence et cohérence avec Macron cela relève de l'oxymore.
Votre vision politique évoque celle de l'empereur Néron incendiant Rome au son de sa lyre et faisant en véritable pompier pyromane une grande fournaise et un feu de joie de la cité.
... Cela fait sans doute partie de l'incroyable guerre psychologique qui nous est livrée.
Interdiction formelle de manger des chips ou de boire dans un train, interdiction de boire debout dans un bar [mais interdiction de consommer assis dans un cinéma. Ndlr.], interdiction de danser en boîtes de nuit mais possibilité de contacts intimes en clubs échangistes, personnels soignant vaccinés positifs autorisés à travailler mais personnels soignants non-vaccinés et négatifs virés sans ménagement et sans la moindre ressource; faire contrôler des pass vaccinaux par des policiers eux-mêmes non-vaccinés, pass obligatoires pour tous sauf pour notre personnel politique,
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J'en passe et des meilleures. Toute cette folie maquillée en science, plus de doute, nous avons plongé en Absurdistan, dans le royaume d'Ubu, dans un asile psychiatrique à ciel ouvert, dont on aurait confié les clés au plus fou d'entre tous !
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Macron, votre France, c'est celle de l'injustice sociale, celle du deux poids deux mesures permanent, celle où les forces de répression sanitaires alignent des clochards dans la rue avec des amendes de 135 euros pour des absences de port de masques, tandis que les élites qui sont bien au-dessus de tout cela bénéficient de passe-droits et s'en donnent à cœur-joie, festoient comme des beaux diables dans des restaurants clandestins, dans de bonnes adresses de privilégiés où le virus social n'a plus court.
C'est une société de caste, avec d'un côté les grands seigneurs de l'immunité tant physiologique et politique et de l'autre côté les impurs, ces intouchables gueux, ces super-contaminateurs, ces véritables bombes virales ambulantes qui s'ignorent.
Non, décidément, il est heureux de ne pas partager les mêmes standards moraux que ceux d'un boucher sanguinaire, d'un éborgneur et d'un arracheur de mains, qui a fait massacrer les Gilets jaunes, tout en faisant mine dans un vulgaire simulacre de démocratie de prêter l'oreille à leurs doléances.
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Vous avez fracassé leurs légitimes revendications en étouffant dans l'œuf toutes leurs aspirations à une meilleure vie, plus décente et plus digne, à coups de gaz lacrymogène, de matraques et de LBD; en bon démon-crate, l'usage disproportionné et asymétrique de la force est votre seule approche du dialogue social.
En réalité, ne rien avoir en commun de votre conception morale, c'est une distinction et un suprême honneur. C'est notre légion d'honneur à nous et elle ne saurait se réduire à une insignifiante breloque bling-bling vermoulue et dispensée aux plus corrompues de votre caste, adressée en forme de crachat et d'affront ultime au front du petit peuple.
Tel un enfant immature et capricieux emporté par son délire puéril de toute-puissance et ne supportant pas la moindre contradiction
Voilà maintenant que dernière infamie en date, vous vous proposez avec la vulgarité crasse qui vous caractérise d''emmerder jusqu'au bout ces irresponsables non-vaccinés'.
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Jusqu'où ira votre jusqu'auboutisme ? Jusqu'aux camps de redressement sanitaire pour ces irresponsables qui ne seraient, si l'on s'en fie à votre boussole morale déglinguée et défaillante, même plus dignes d'accéder à la citoyenneté, se voyant ainsi traités avec plus de sévérité et moins de largesses qu'un criminel terroriste sanguinaire ou qu'un misérable violeur d'enfant. En tous les cas, voilà un prétexte tout trouvé pour bâillonner ses potentiels opposants politiques lors des prochaines élections en privant fort opportunément ces nouveaux métèques, ces sous-citoyens de leurs droits de vote.
Vous faites injure à plus de cinq millions de Français en affirmant qu'ils ne seraient plus dignes de leurs citoyenneté, eux qui ont certainement un amour bien plus profond et légitime pour ce pays, que vous n'en aurez jamais, eux qui comme on dit, ont bien mérité de la France, contrairement à vous qui en méprisez souverainement jusqu'à sa culture et qui n'avez de cesse que de la détruire.
Votre responsabilité engagée sera donc pleinement écrasante. Elle n'est pas seulement une faute politique indélébile qui bien avant d'insulter les Français que vous stigmatisez si injustement de la sorte salit à tout jamais la dignité de votre fonction, c'est aussi et avant tout une faute d'humanité et elle est impardonnable. Car comment une infime poignée de non-vaccinés que vous avez largement marginalisés et qui ne peuvent presque plus faute de passe valide mettre les pieds nulle part dans l'espace public pourraient-ils à eux seuls contaminer plus de 50 millions de vaccinés qui, contrairement à eux, ont accès à tout, même en étant positifs et capables de transmettre le virus ?
Là où en garant de la cohésion nationale, il vous faudrait en période de crise rassembler et unir, d'une manière parfaitement irresponsable vous ne faites toujours plus que cliver, alimenter les divisions, vous attisez les haines et les tensions, vous fracturez la nation comme jamais auparavant, seulement avec votre venin tel un sournois serpent semant les graines de la discorde et de la zizanie jusqu'au cœur même de nos familles, en s'insinuant jusque dans nos foyer à l'occasion d'un repas de Noël sous haute tension.
Après deux ans d'une politique sanitaire, qui aurait dû durer deux semaines d'effort national le temps -je vous cite - aplanir la courbe dont chacun pourra à sa juste mesure estimer son cuisant échec, un seul constat s'impose désormais, vous êtes le virus le plus destructeur qui soit jamais rentré dans nos vies, une véritable plaie, une malédiction, un châtiment divin.
Par vos odieuses méthodes de harcèlement et de maître chanteur qui aurait pris en otages nos vies, vous ne valez pas mieux à mes yeux qu'un chef mafieux qui tour à tour terrorise avant de promettre protection à ses victimes tout en extorquant leur consentement afin de mieux les asservir et les retenir dans son cercle vicieux de chantage sans bornes.
Ainsi de doses en doses, vous soumettez et violez toujours plus nos corps et notre liberté de conscience en faisant peser sur nos têtes l'épée de Damoclès d'une mort sociale sans autre forme de procès.
Après avoir privé notre pays de toute forme de souveraineté c'est donc maintenant directement à la souveraineté de nos corps que vous vous attaquez.
Vous vous pensez sans doute comme étant l'égal d'un prince, mais vous n'êtes que l'émanation d'un pouvoir harceleur et transgresseur de bas étage qui entend mettre au pas les populations; Vous n'êtes que l'insignifiant jouet de vos sbires qui vous remplaceront et vous sacrifieront par une autre marionnette en temps voulu. Vous vous comportez comme le ferez un minable petit caïd de banlieue qui intimiderait ses habitants en multipliant les menaces, les zones de non droit, les brimades, les rackets et les extorsions, et qui enverrait ses petites milices de quartier pour faire régner l'ordre par la peur, après avoir généré au préalable le chaos. La seule chose qui vous différencie c'est que vous avez les moyens de votre ambition perverse, en disposant comme bon vous semble de la force publique et du monopole d'une violence devenue illégitime. Vous avez fait du consentement dit libre et éclairé, fondement même de la médecine, une obligation de fait, un consentement extorqué par la duperie et la duplicité : en un seul mot, un viol.
Pourquoi, dans toutes vos actions vous êtes-vous entouré d'un tel impénétrable secret, secret défense pour des dizaines d'années pour vos prises de décision sur la crise sanitaire et secret sur les contrats signés avec les firmes pharmaceutique dont tant de clauses restent inaccessibles ? La santé mérite pourtant la plus totale transparence, car elle est notre bien le plus précieux à tous. Pourtant vous agissez à l'ombre tel un conspirateur tout en exigeant en retour notre confiance aveugle.
Et depuis quand un Etat se mêle-t-il d'orienter totalement la médecine ?
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On sait bien où l'hygiénisme d'Etat et la toute-puissance d'une science instrumentalisée à des fins politiques a pu conduire de par le passé.
Ce faisant, vous déshonorez notre pays, en piétinant allègrement toutes ses valeurs fondamentales de liberté, égalité, fraternité qui bien que ne relevant déjà que d'une illusion ne sont désormais, sous votre action délétère, plus qu'un lointain souvenir.
Elles peuvent désormais aisément être remplacées par soumission, ségrégation et délation...
Il faudra d'ailleurs songer à faire réécrire tous les frontons des mairies pour les remettre au goût fasciste du jour en cohérence avec les valeurs de ce nouveau régime d'exception illimitée dans le temps et d'état d'urgence permanent. Vous êtes le fossoyeur de cette démocratie en phase terminale.
Vous avez réduit notre citoyenneté à des doses d'injections de produits pharmaceutiques à trois mois, c'est dire le degré d'estime que vous portez en réalité à la démocratie et à ses citoyens, ainsi qu'aux fameuses valeurs de la république dont vous vous gargarisez tant sur le papier tout en feignant d'en être le garant.
Une chose est sûre. Si vous faites mine de tant vous préoccuper de la santé et de la vie de vos concitoyens, toutes vos prises de décision et vos actions démontrent sans l'ombre d'un doute qu'en réalité vous méprisez la vie humaine au dernier degré et que le moteur de votre action est politique et non sanitaire. Vous parlez comme un ange, mais vous agissez comme un assassin.
Enfin. Sachez que si je suis déchue de ma citoyenneté parce que je réprouve au plus profond de mon âme et de mes tripes ces politiques criminelles, c'est parce que je refuse de me soumettre à toute cette folie ambiante, à cette contagion délirante hystérique savamment entretenue et orchestrée par vos médis de propagande aux ordres, ce n'est pas grave. Car après tout, je n'ai plus rien en commun avec ce à quoi vous avez finalement réduit ce beau pays qui jadis faisait encore ma fierté, à savoir une tyrannie hygiéniste à visage sanitaire et profondément inhumaine.
Je me sens déjà totalement étranger à cette nouvelle réalité totalement monstrueuse, cette anomalie de la raison, cette nef des fous en perdition, qui prend l'eau de toute part et dont vous êtes l'un des infernal maître d'orchestre et maître d'œuvre. Vous avez rendu ce pays invivable, irrespirable et suffocant. Mais je n'en doute pas, tôt ou tard, vous aurez rendez-vous avec l'histoire pour rendre compte de tout le mal que vous aurez infligé à tant de familles, de toutes ces victimes collatérales que vous aurez engendrées par vos prises de décisions irresponsables, de toute cette souffrance et de ces drames humains générés. Et si, d'aventure, la justice humaine particulièrement défaillante en ces temps de corruption généralisée ne remplit pas son office, vous aurez à en répondre devant l'Eternel. Car sachez qu'avec votre morale d'ordre supérieur, vous ne l'emporterez certainement pas au paradis. Dieu voit tout et chacun sera jugé selon ses œuvres (Rm 2,6).
Au moins dans ce chaos à venir, il me restera encore ma dignité. Une notion qui manifestement vous échappe totalement, et elle n'a pas de prix.
Avec mon plus profond mépris signé.
Un emmerdeur et fier de l'être."
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