#Doctothon
— Carter john (@Carterj37919661) December 10, 2021
Il fallait un missile, une bombe
Le Dr Paul Bousquet défonce le narratif 💣💣💥💥
Fin de la vidéo en dessous ⬇️ pic.twitter.com/ZnUZXwIuaf
Lors du "Doctothon : 300 docteurs s’expriment sur la crise sanitaire pendant 24 h", le docteur Paul Bousquet qui n'a pas de conflits d'intérêt explique que "la médecin est détournée vers des intérêts financiers contre l'intérêt des patients."
"Comment cela est-il possible ?, demande-il.
"Parce que le système est corrompu. On falsifie des études. On l'a vu au travers de certaines études comme celle du Lancet :
> «The Lancet Gate» : saga d'une étude corrompue (Les Echos)
"On camoufle les effets indésirables, ce qui a valu de multiples condamnations à des laboratoires, tels que Pfizer.
"Et on peut conclure que ces entreprises sont dirigées par des criminels multirécidivistes, qui ne vont jamais en prison malgré les amendes et continuent à engranger des bénéfices considérables.
"Et on a l'obligation de confier notre santé à ces criminels.
"Le professeur Fernand Turcotte de l'Université de Laval a résumé cela en une phrase qu'il faudrait que l'on grave tous dans notre mémoire :
'L'industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu toutes les décisions de santé publique dans tous les pays, à tous les niveaux.'
"D'autre part en gestion de crise, on enseigne en premier lieu à rassurer la population : amplifier sa peur et la nourrir relève de malveillances intentionnelles.
"D'autre part encore, l'infection à Covid se traite et nous sommes nombreux à l'expérimenter chaque jour. Ces traitements diminuent la létalité et le risque d'hospitalisation en soins intensifs. Mais si un seul de ces traitements avaient été reconnus par une agence internationale, aucun 'vaccin' n'aurait pu avoir l'AMM (autorisation de mise sur le amrché. Ndlr.). Ce qui explique les attaques féroces dont ces thérapeutiques ont fait l'objet par les pantins de l'industrie pharmaceutique sur toutes les ondes.
"Alors s'agit-il de vaccins ou de thérapies géniques expérimentales ?
"Il faut dire qu'en plus de quinze ans, depuis le premier SRAS coronavirus, aucun vaccin n'a pu être mis au point contre un coronavirus parce qu'il se recombine, parce qu'il y a des anticorps facilitants qui peuvent faire qu'une infection ultérieure est plus grave. Et là, en moins d'un an on nous sort un 'vaccin'."
(Fin de citation)
commenter cet article …