Après un an de vaccination contrainte :
- on a 3 des 4 vaccins qui sont désormais déconseillés voir interdits (dans certains pays Ndlr.) et le 4e qui a été mis en circulation sur la base d'études falsifiées
-Les effets secondaires (906 décès) sont cachés (surtout Pfizer)
-Les traitements sont interdits
-Les médecins qui soignent vont en prison ou sont suspendus
-Les soignants qui refusent l'injection sont suspendus, jetés à la rue
Si avec tout ça vous ne vous posez de question vous avez un sérieux problème !
Après un an de vaccination contrainte, on a 3 des 4 vaccins qui sont désormais déconseillés voir interdits et le 4e qui a été mis en circulation sur la base d'études falsifiées
— OrwellProject (@Cerclevoltaire1) November 13, 2021
Tout va bien
-Le virus a été fabriqué en labo (circonstances obscures)
-La chloroquine a été classée dangereuse avant l'arrivée du virus et a fait l'objet d'une étude frauduleuse du Lancet avant d'être interdite
-Maltraités, les Français ont été privés de remèdes efficaces
-Les chiffres des hospitalisés 2020 ont été truqués (Rapport de l'ATIH)
-Le vax n'empêche pas la transmission (Public Health England)
-Les effets secondaires sont cachés (surtout Pfizer)
— Siana33 (@SianAnaiS33) November 14, 2021
-Les données Pfizer ont été falsifiées
-Les traitements sont interdits
-Les médecins qui soignent vont en prison ou sont suspendus
Si avec tout ça vous ne vous posez de question vous avez un sérieux problème 2/2
— Miguel Mouton (@MiguelMouton) November 14, 2021
Dans cette affaire les médias et leurs directeurs de publication sont responsables, une plainte à leur encontre a été déposée contre X par les associations BonSens et AIMSIB :
L’association BonSens.org s'associe donc à l'Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMISIB) pour une plainte contre X, qui concerne notamment les médias et leurs directeurs de la publication, afin d’arrêter ces diffusions d’informations déloyales, les incriminant des chefs :
- d'abus frauduleux de l'état d'ignorance et de la situation de faiblesse (art. 223-15-2 du Code pénal)
- de complicité d'extorsion et de tentative d'extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal)
- de complicité d'empoisonnement et de tentative d'empoisonnement (article 221-5 du Code pénal)
Une plainte de 108 pages, auxquelles s'ajoutent plus de 600 pages d’annexe dont les associations représentées par Maître Virginie de Araujo Recchia présentent le détail. (France Soir)
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