Le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, avait assuré le 12 juillet que des campagnes de vaccination pour collégiens, lycéens et étudiants seraient lancées "dans les établissements scolaires dès la rentrée", alors que la vaccination est ouverte à tous les enfants de 12 ans et plus depuis la mi-juin.
Le ministre de l'éducation Jean-Michel Blanquer, invité de la Matinale de France Info, le 28 juillet 2021, a déclaré que pour tendre vers un taux de vaccination maximal dans le secondaire, "6 000 à 7 000 centres de vaccination" seront déployés à partir de la rentrée "dans ou à côté" des établissements scolaires. (Source : https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/07/28/dans-les-colleges-et-lycees-les-eleves-non-vaccines-seront-evinces-s-il-y-a-un-cas-de-covid-19-dans-une-classe_6089766_3224.html )
Blanquer a également précisé, selon l'article du Monde qui rapporte l'information, que dans le secondaire, au collège et au lycée, "seuls les élèves non vaccinés seront évincés et devront suivre l’enseignement à distance".
Source: https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/07/28/dans-les-colleges-et-lycees-les-eleves-non-vaccines-seront-evinces-s-il-y-a-un-cas-de-covid-19-dans-une-classe_6089766_3224.html
vidéo source : Magazine NEXUS
Le ministère de la Santé a indiqué à CNEWS, mardi 17 août, que des sorties scolaires dans des centres de vaccination allaient être organisées. Les enfants non-vaccinés seront interdits de piscine et d'activités culturelles. (Source : https://www.cnews.fr/france/2021-08-17/rentree-scolaire-des-sorties-dans-des-centres-de-vaccination-organisees-1116530 )
Il faut empêcher l'injection des poisons géniques expérimentaux aux enfants à la rentrée.
La loi Kouchner du 4 mars 2002, relative aux droits des malades, prévoit qu'"aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment." Cette loi impose de donner une information claire, complète et appropriée à toutes les personnes à qui on propose un médicament ou une thérapie. L'information doit porter sur la nature du produit, sa composition, l'urgence qu'il y a à administrer ce produit (en l'espèce ici aux enfants à la rentrée..., un public dont on sait qu'il ne développe pas de forme grave de Covid), les alternatives à ce produit, les risques de ce produit, et les effets indésirables constatés par les agences de pharmaco vigilance depuis janvier 2021. Si la personne qui propose le médicament ou la dite thérapie n'est pas en mesure de fournir ces informations pour quelque raison que ce soit, il n'y a pas de consentement libre et éclairé, et donc sur la base de la loi de 2002 on peut refuser de prendre le dit médicament.
Et on peut même préciser à la personne qui nous demande de nous vacciner sans être en mesure de nous fournir les informations requises concernant les dits vaccins, et en nous menaçant de sanctions, on peut porter plainte contre cette personne pour extorsion de consentement, mise en danger de notre vie, et tentative d'empoisonnement.
commenter cet article …