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9 décembre 2020 3 09 /12 /décembre /2020 12:31

"Mal traités. Covid-19 : Comment les malades ont été privés de remède efficaces." Un film d'Alexandre Chavouet, avec le soutien de la Fondation Hippocrate.

 

Ce documentaire évoque d'une part la gestion sanitaire incohérente, avec le promotion de médicaments chers, inefficaces et dangereux, par exemple le deux poids deux mesures dans l'affaire du remdesivir cher et inefficace, et de l'hydroxychlororiquine, médicament peu cher, utilisé depuis 70 ans par des centaines de millions de personnes dans le monde en prévention du paludisme, et efficace, mais rejeté dans le traitement du coronavirus.

Et d'autre part, le documentaire aborde la question de savoir pourquoi le gouvernement ne se lance pas dans une grande campagne de la sensibilisation de la population à une bonne alimentation.

Extraits :

"L'histoire est hélas ponctuée de nombreux scandales sanitaires qui confirment que l'industrie pharmaceutique cherche avant tout la rentabilité financière sans considération pour la santé publique, souvent avec la complicité des agences sanitaires, et de leurs experts, en conflits d'intérêts... Le VIOXX, anti-inflammatoire prescrit pour les douleurs liées aux maladies articulaires auraient provoqué 160 000 crises cardiaques et attaques cérébrales et 40 000 décès, rien qu'aux Etats-Unis. Malgré les faits, les autorités sanitaires maintiennent le VIOXX sur le marché jusqu'à son retrait en 2004. Le VIOXX aurait rapporté à son laboratoire 12,5 milliards de dollars.

"Le scandale du MEDIATOR aura lui aussi contribué à révéler les dérives et l'avidité de l'industrie pharmaceutique. Entre 1976 et 2010, le laboratoire Servier commercialise ce 'coupe-faim', dont les effets secondaires pourtant connus par le laboratoire, ont coûté la vie à des milliers de patients. L'agence du médicament a fermé les yeux et ce scandale l'a conduite à changer de nom. De l'Afssaps (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), elle est devenue l'Ansm (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).

"Lors de l'épidémie de grippe H1N1 en 2009, la France a dépense plus de 100 millions d'euros pour acheter du TAMIFLU, un médicament inefficace et toxique qui avait été interdit au Japon après avoir été soupçonné d'avoir causé la mort d'enfants et d'adolescents. (New concerns about oseltamivir, Lancet 2007).

"Nouveaux traitements, vaccins, pour l'industrie pharmarceutique, l'épidémie de coronavirus présente une opportunité commerciale sans précédent. Alors que des laboratoires comme Abbvie ou encore Gilead tentent de positionner leurs médicaments sur le marché du coronavirus, un homme veut venir chambouler les projets commerciaux de Big Pharma. Son nom : Didier Raoult. Considéré dans le monde comme le plus grand spécialiste des maladies infectieuses, le professeur Didier Raoult dirige l'Institut méditerranée Infection à Marseille, un pôle 100% indépendant de l'industrie pharmaceutique et au rayonnement mondial dans le domaine des maladies infectieuses.

"Au début 2020, le professeur Didier Raoult et son équipe de chercheurs épluche les récentes données des scientifiques chinois qui mettent en avant l'efficacité d'un traitement à base d'hydroxychloroquine. Des études contestées bruyamment par certains experts français. 

"Alors que le traitement de Didier Raoult à base d'hydroxychloroquine semble faire ses preuves sur des malades du coronavirus, les autorités sanitaires françaises, ainsi que de nombreux experts, se montrent étrangement réticents.

"En France, pendant que l'utilisation de l'hydroxychloroquine divise et suscite une controverse démesurée, à l'étranger beaucoup de pays l'utilisent, avec succès. Très rapidemement le gouvernement italien a parfaitement réagi, les experts italiens aussi, en disant à tous les généralistes de donner l'hydroxychloroquine et l'on a vu la chute de la létalité. Au Portugal, dès le début, ils ont dit aux médecins de donner la chloroquine et la létalité était très faible. La Grèce, pareillement, a eu une létalité très faible en donnant la chloroquine à tout le monde. Et au Maroc c'est pareil, ils ont traité tout le monde par hydroxychloroquine.

"Et Pourtant, malgré ces données prometteuses, le ministre de la santé Olivier Véran fait l'annonce qui va avoir l'effet d'une bombe auprès de tous les médecins français. Le 27 mars 2020, le gouvernement interdit aux médecins de ville de prescrire l'hydroxychloroquine.

"L'hydroxychloroquine est pourtant un médicament que l'on connaît de longue date car c'est un dérivé de la chloroquine utilisée depuis les années 50 par des centaines de millions de personnes dans le monde en prévention du paludisme. L'hydroxychloroquine est donnée aux femmes enceintes, les enfants, ou encore les personnes âgées. Ce médicament est si sûr qu'il était en vente libre jusqu'en janvier 2020, date à laquelle la ministre de la santé Agnès Buzyn, a décidé de lui retirer son accessibilité sans la moindre explication. Puis en mars 2020, l'hydroxychloroquine est devenue un médicament très dangereux, du jour au lendemain.

"Alors que l'hydroxychloroquine dont des publications montrent que cela marche et que cela coûte pas cher, l'agence du médicament n'a pas arrêté de dire que c'était toxique. Cette histoire d'effets secondaires et de dangers de l'hydroxychloroquine est la plus belle plaisanterie médicale et scientifique que l'on ait inventé.

Des médecins disent qu'ils utilisent cette molécule depuis des dizaines d'années et une dizaine d'années dans des maladies infectieuses et n'ont jamais eu d'accident.

"Y a-t-il eu une forme de complot contre l'hydroxychloroquine, un vieux médicament générique qui ne rapporte rien à l'industrie pharmaceutique ? 

"Ce qui s'est passé avec le scandale du Lancet, nous donne peut-être la réponse. Le 22 mai 2020, l'hydroxychloroquine va se retrouver la cible d'une étude publiée dans le Lancet, l'une des plus prestigieuses revues scientifiques du monde. Conclusion de l'étude : 'la chloroquine et l'hydroxychloroquine ne devrait pas être utilisée en dehors des essais cliniques'. Au lendemain de la publication, des décisions immédiates sont prises au plus haut niveau pour abattre l'hydroxychloroquine et torpiller les études en cours. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) suspend le traitement sous hydroxychloroquine dans son vaste essai clinique internationale 'Solidarity'. En France, les 16 essais cliniques testant l'hydroxychloroquine sont suspendus à la demande de l'Agence de sécurité des médicaments (ANSM); le ministre de la santé Oliver Véran interdit son utilisation à l'hôpital alors que son utilisation était déjà restreinte. Mais toutes ces mesures s'appuient sur une étude frauduleuse. Le 4 juin, The Lancet fait marche arrière et indique dans un communiqué le retrait de son étude : "Nous ne pouvons plus nous porter garants de la véracité des sources des données primaires." (Communiqué du Lancet, C-News, 05/06/2020.) La prestigieuses revue scientifique a également présenté ses profondes excuses."

"Le scandale du Lancet est ahurissant, mais il y a un autre scandale cette fois franco-français qui éclabousse les études sur l'hydroxychloroquine. Dès la fin du mois de mars, la France a lancé une grande étude nommée Discovery pour identifier les médicaments qui marchent contre la Covid. Finalement, après des mois d'attente, des résultats partiels sont tombés en septembre, et ils sont saisissants. Dans Discovery, le groupe de malades ayant reçu de l'hydroxychloroquine a connu 31% de morts de moins que le groupe qui n'a pas reçu de médicament mais un placebo. L'étude montre également une réduction de 17% de la sévérité des symptômes. Très encourageants, ces résultats ne sont toutefois pas significatifs sur le plan statistique car le nombre de patient n'est pas assez élevé. Cela veut dire qu'il fallait intégrer plus de patients pour confirmer ce bon résultat. Mais ce n'est pas ce qu'ont décidé les responsables français de l'étude : au contraire, à la mi-juin, ils ont décidé de l'arrêter, rendant statistiquement contestables des résultats pourtant favorables à l'hydroxychloroquine. Et il s'est passé exactement la mêle chose au CHU d'Angers où l'hydroxychloroquine était testée contre placebo. L'étude 'Hycovid' a été arrêtée brutalement alors que l'hydroxychloroquine était en train de démontrer une diminution de la mortalité de 46%. Là encore le résultat n'est pas significatif statistiquement, faute de patients en nombre suffisant. Mais avec un tel signal significatif, une mortalité divisée par deux, il y avait toutes les raisons de continuer l'étude plutôt que de l'arrêter en cours de route. 

"Cette affaire est d'autant plus troublante que par comparaison, un autre médicament a bénéficié d'un traitement très différent, il s'agit du REMDESIVIR, un médicament à 2000 euros la dose, fabriqué par le laboratoire Gilead. En septembre 2020, le professeur Yazdanpanah, principal architecte de Discovery est auditionné au Sénat : "En ce qui concerne le REMDESIVIR, nous pour l'instant, on n'a aucune preuve sur l'efficacité de traitement. Il y a eu quatre essais internationaux sur Remdesivir et il n'y en a aucun réellement qui nous montre que ce traitement est efficace. Donc on considère qu'il faut continuer à évaluer ce traitement", a-t-il alors déclaré.  

"Malgré l'accumulation d'études défavorables, le professeur Yazdanpranah veut donc continuer l'essai Discovery sur le Remdesivir, alors qu'il a été décidé d'arrêter l'essai sur l'hydroxychloroquine au moment où elle semblait diminuer la mortalité de 31%. Alors pourquoi un tel deux poids deux mesures ? Ce REMDESIVIR serait-il la clé du scandale autour de l'hydroxychloroquine ? C'est la piste clairement évoquée par le professeur Raoult auditionné au sénat en juin 2020, qui recommandait de faire une enquête sur Gilead et REMDESIVIR.

"Ce qui va se passer dans les semaines suivant cette audition va définitivement donner raison au professeur Raoult.

"En juillet, à la surprise générale, LE REMDESIVIR obtient de l'Union européenne et de la France, une autorisation temporaire de mise sur le marché. C'était plus qu'étonnant car il n'existait aucune preuve de son efficacité et il y avait des signaux très clairs de sa toxicité sur les reins et sur le foie.

"Ce scandale énorme devient encore plus criant au mois d'octobre où le 8 octobre 2020, la Commission européenne signe l'achat de 500 000 doses de REMDESIVIR avec le laboratoire Gilead. À plus de 2000 euros le traitement, c'est un contrat à plus d'un milliard d'euros pour un médicament qui n'a jamais fait la preuve de son efficacité. 

"Plus grave encore, quelques jours après ce méga contrat, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) publie les résultats de son grand essai Solidarity. Les conclusions sont claires et définitives. Le Remdesivir ne sauve pas la moindre vie et n'accélère pas la guérison des malades. Ces conclusions définitives n'ont pas empêché l'UE de conclure un contrat à 1 milliard d'euros pour ce médicament... Et dans la foulée de ce contrat, le REMDESIVIR est distribué largement dans les hôpitaux français...

"C'est particulièrement choquant parce que au même moment l'Agence sanitaire du médicament a refusé à nouveau d'autoriser l'hydroxychloroquine en France (traitement à 4 euros). Cette même Agence du médicament, trois mois auparavant, au mois de juillet, accordait en revanche une autorisation temporaire d'utilisation au Remdesivir, qui lui était notoirement inefficace et dangereux.

"Ce refus d'autoriser l'hydroxychloroquine est d'autant plus choquant qu'à la fin du mois d'octobre que à la fin du mois d'octobre, les preuves scientifiques sont désormais massivement favorables à ce traitement. Sur 136 études réalisées sur ce médicament, les 3/4 concluent à son efficacité contre la Covid-19. Et quand l'hydroxychloroquine est donnée suffisamment tôt, comme le recommande le professeur Raoult, elle montre une efficacité dans 100% des études publiées. C'est pour cela que de très nombreux pays utilisent et recommandent ce médicament dans le monde entier. À l'automne 2020, trois des plus grandes nations de la médecine recommandent officiellement l'hydroxychloroquine, la Chine, qui a inclut la chloroquine dans sa liste officielle de ses médicaments contre la Covid, la Russie qui recommande l'hydroxychloroquine en traitement précoce et l'Inde, qui la recommande aussi à la fois en prévention et en traitement de la Covid-19.

 

LireDidier Raoult va porter plainte pour mise en danger de la vie d’autrui contre l’ANSM

 

"Si l'on regarde les pays où la létalité était la plus forte, ce sont les pays les plus riches, que ce soit la France, la GB, la Belgique et l'on s'aperçoit que ce sont les pays le plus sous l'influence de l'industrie pharmaceutique, alors que les pays les plus pauvres s'en sont très bien sortis avec l'utilisation de médicaments peu chers comme l'hydroxychloroquine.

"Face à toutes ces preuves, le refus d'autoriser l'hydroxychloroquine est difficilement compréhensible.

"Nous sommes dans un mensonge d'Etat, et le Parquet devra ouvrir une information judiciaire pour savoir pourquoi depuis le départ, la chloroquine est à ce point décriée et pourquoi le Remdesivir, à l'efficacité clinique nulle, est autorisé", selon Maître Fabrice DI VIZIO, avocat du professeur Didier Raoult.

"De fait, pour imposer le Remdesivir, Gilead a sorti en coulisse l'artillerie lourde, et ce dès le début de l'épidémie. Lors de son audition au sénat en juin 2020, le professeur Raoult dénonçait déjà des méthodes peu orthodoxes, en affirmant avoir été menacé de mort, par mails, à plusieurs reprises, et avoir réussi à découvrir, après avoir déposé plainte, que ces menaces assorties d'une interdiction de parler de la chloroquine, provenaient d'une personne 'qui avait reçu le plus d'argent de la part de Gilead depuis six ans.'

"Pendant que l'hydroxychloroquine était diabolisée, d'autres molécules efficaces ont été purement et simplement ignorées. C'est le cas de vieux médicament qui ne sont plus sous brevet, comme la Colchicine, l'Ivermectine, et la fluvoxamine. Tous les trois ont fait la preuve de leur efficacité contre la Covid-19, dans des études contre placebo, et pourtant, les autorités et les médias restent silencieux. Comme s'il n'y avait pas de place dans notre système médical pour les molécules qui ne rapportent plus rien aux laboratoires. 

"Parmi les victimes de ce modèle économique, il n' a pas que les vieux médicaments génériques, il y aussi les molécules naturelles comme les vitamines, les minéraux ou les plantes médicinales dont l'efficacité peut pourtant être extraordinaire, sans le moindre effet indésirable. C'est le cas en particulier la vitamine D (Huile de foie de morue, Huile de flétan, Saumon, Hareng, Anchois, Sardine, Maquereau, Flétan cuit, Thon) considérée par de nombreux scientifiques comme la vitamine de la décennie. Peu coûteuse, facile à prendre et sans effets secondaires, la vitamine D est au coeur de plus d'une quarantaine d'études scientifiques concluant à des résultats si spectaculaires pour lutter contre la Covid qu'on pourrait ne pas le croire. La vitamine D prise en prévention pourrait pourtant réduire de moitié le nombre d'infections au coronavirus. Mais ce n'est pas tout, la vitamine D en traitement aurait pu sauver la vie de milliers de malades hospitalisés. Le professeur Michael F. Holick est l'un des plus grands experts de la vitamine D dans le monde ('The Vitamin D solution'). Il est à l'origine de plusieurs études portant sur l'action de la vitamine D contre le coronavirus." 

"La vitamine D n'est pas le seul remède oublié face à la Covid-19. Pour se défendre efficacement contre cette maladie, notre corps a aussi besoin d'oligo-éléments. Parmi les plus importants, on trouve le Zinc, qui a montré une action incontestée pour enrayer le processus viral du coronavirus. [Ndlr. Les besoins journaliers peuvent être estimés a minima à 15 mg pour un Homme normal, et jusqu'à deux fois plus pour une femme allaitante, levures jusqu'à 100 mg par kilogramme, dans la viande rouge bovine de l'ordre de 50 mg à 120 mg par kilogramme, mais aussi dans une multitude d'aliments commercialisés (noix de cajou 5,8 mg à 5,7 mg, amandes 3,1 mg à 3 mg, pois chiches 1,53 mg, épinards 0,8 mg, pois secs, graines de citrouille, blé complet, riz brun, les huîtres à teneur élevé et variable dépassant souvent une médiane de 20 mg) et diverses coquilles, les homards, les yaourts ou les fromages à pâtes pressées cuites, comme le gruyère français ou le gruyère suisse sont des aliments à bonne teneur en Zn.] 

"Une autre molécule naturelle a obtenu des effets impressionnants pour soigner les malades atteints par le coronavirus : la vitamine C [Terminalia ferdinandiana 3 000120 mg / 100 g, Camu-camu (baie d'Amazonie) 2 400-3 000, Acérola (petite cerise du Brésil) 1 000, Ditax (fruit du Sénégal) 1 000-1 200, Baie d'églantier ou Cynorrhodon 426, Argousier 400, Amla (ou "groseille indienne") 445, Ortie (Urtica dioica) (ou "grande ortie") 333, Pain de singe, le fruit du baobab africain 250, feuilles de fraisier 230, Goyave 228, feuilles de violette 210, Cassis 200, Persil 190, Poivron rouge cru (cuit) 162, Lycium barbarum (Baie de goji) séchée 73, Herbes aromatiques fraîches 143, Navet (fanes) 139, Poivrons vert et jaune crus (cuits) 120, Litchi 71, Fraise 67, Citron 65, Kiwi 59, Chou de Bruxelles cuit 58, Cresson cru et cerfeuil 56, Chou rouge cru (cuit) 55, Oseille cru 48, Cerfeuil 44, Groseille 40, Orange 39, Épinard cru (cuit) 39,3, Chou vert cuit 20, Pomme de terre cuite au four (à l'eau), 12,8, Cerise 9,33, Pastèque 8,1, Fenouil cru (cuit) 5]. Et l'aspirine. Ce traitement bon marché et sans aucun danger, n'a pourtant trouvé aucun écho dans les médias.

"Cette omerta s'exerce également sur les nombreuses autres solutions naturelles à notre disposition. C'est le cas des traitements fondés sur les extraits de plante et les principes actifs naturels, plus communément appelés la phytothérapie.

"La plupart des médicaments ont été inspirés à partir de plantes. Le problème c'est que les plantes ne sont pas vénales, elles n'ont pas breuveté leurs inventions. Donc, que fait Big Pharma ? Elle prend la molécule, elle l'a modifie, elle la breuvette et elle peut la vendre au plus haut prix. 

"La phytothérapie, on ne l'apprend pas à l'école de médecine. Le gouvernement chinois, quand il y a eu la Covid, en plus de l'hydroxychloroquine a fait appel à la médecine traditionnelle chinoise, en donnant par exemple l'Artemisia absinthium, et cela a marché. Il a ensuite exporté le traitement en Afrique et cela a marché. On s'est moqué du président de Madagascar et il n'y a pas pratiquement pas eu de Covid, et pas eu de mort.

"Mais il y en a d'autres. Scutellaria a montré son efficacité en prévention sur le coronavirus.

Beaucoup d'extraits de plantes ont un intérêt parce que ce sont des molécules qui vont limiter l'inflammation.

Boudée, voire discréditée par une bonne partie du monde médical et scientifique, la phytothérapie mérite pleinement de retrouver ses lettres de noblesse.

Le 19 septembre 2020, l'OMS a approuvé la mise en place d'un protocole pour des essais cliniques concernant les traitements de phytothérapie pour la Covid-19.

Les débats scientifiques sur l'Artemisia, les margousiers, ou encore la vernenie, pourraient ainsi retrouver leur place légitime.  

A coté de la phytothérapie, vous avez l'aromathérapie. Vous avez le plus grand antiviral probablement que la nature ait créé qui est Ravensara. Cette huile essentielle qui vient de Madagascar, est d'une puissance extraordinaire. Et on a des publications claire là-dessus. C'est un antiviral puissant qui touche beaucoup des virus et des familles de coronavirus. Et c'est un immunostimulant.

Cette spécificité fait de l'aromathérapie une discipline très prometteuse pour résoudre l'un des défis sanitaires des années à venir, l'antibiorésistance.

Selon l'OMS, d'ici 2030, les antibiotiques ne seront plus efficaces sur bons nombre de bactéries, avec des conséquences catastrophiques pour notre santé.

Dans le monde on parle de plus de 500 000 décès rattachés à ce phénomène d'antibiorésistance. C'est un défi considérable pour le monde pharmaceutique qui n'est plus parvenu sur ces 15 dernières années à créer un nouvel antibiotique innovant qui aurait pu détruire le microbe. Il n'y a pas de réponse actuelle, mais il y en a une, en mélangeant une huile essentielle à un antibiotique, parce qu'elle ouvre des portes dans le biofilm dans lequel le microbe se réfugiait.

 

Pourquoi ne conseille-t-on pas aux gens de se prémunir, de leur donner des conseils alimentaires pour se prévenir des désordres et des pathologies ? 

 

"Face au coranavirus, une bonne hygiène alimentaire peut faire toute la différence". La meilleure défense est d'améliorer le métabolisme corporel au travers de notre alimentations." C'est ce qu'a déclaré le docteur Naseem malhotra dans le European Scientist : "Le grand public doit être informé immédiatement qu'il lui faut réduire le sucre, les glucides transformés et se mettre à consommer des produits bruts, riches en légumes, fruits, noix, graines, avec beaucoup de protéines, de légumineuses, de poisson, viande, oeufs, pour améliorer sa santé en quelques semaines et l'aider à se protéger contre le nouveau coronavirus."

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