À propos de l'émission de Co2 d'origine humaine dans l'atmosphère, le milliardaire Bill Gates propose d'utiliser les vaccins et la "santé reproductive", pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.
Un Bill Gates dont la richesse dépasse le PIB de nations n'aurait pas existé avant 1789, un temps où l'enrichissement indéfini était considéré comme suspect parmi la noblesse et où l'enrichissement d'un Nicolas Fouquet pouvait provoquer le déclenchement d'une procédure de destitution et de déchéance de la noblesse, qu'on appelait la "dérogeance" (le commerce était d'ailleurs interdit à la noblesse). Depuis 1789, il y a la "liberté" (l'homme était considéré chez nous comme naissant libre "selon le droit de nature" depuis un édit de Louis X en 1315... Et un esclave était considéré comme affranchi du seul fait qu'il mettait le pied sur le sol français métropolitain. Rien de nouveau donc du côté de la liberté), mais la liberté de 1789 présuppose l'inégalité économique pour tout le monde... D'où des écarts de richesse... entre les plus riches et les plus pauvres... qui ne font que croître. L'hyper-classe née de 1789, arrivée à la super-puissance politique veut maintenant éradiquer les sans-dents. Voyez aussi le monument maçonnique des "Georgia Guidestones" où est inscrit en programme la diminution de la population mondiale.
Première citation :
"L'une des incantations républicaines consiste à faire croire que la République a apporté l'égalité entre les citoyens. ... [J]e ne suis pas certain que les inégalités aient été plus criantes sous Louis XVI que sous notre république. Précisément parce que l'institution de la noblesse, cet ordre prestigieux auquel toute famille désireuse de se hisser dans la société rêvait d'accéder, empêchait par là même qu'elles continuent à s'enrichir interminablement. Un Bill Gates était inimaginable à l'époque, ces fortunes qui dépassent la richesse de nombreuses nations n'existaient pas... Rien de plus politique que d'arrêter, par un moyen aussi puissant que volontaire, par le motif de l'honneur, l'accroissement immodéré des richesses dans les mêmes mains (BONALD, La Vraie révolution, 1818). Ainsi l'institution de la noblesse empêchait-elle la constitution de fortunes insensées, aberrantes, outrancières, et ce n'est pas le moindre paradoxe que de voir dans l'ancienne monarchie un monde mieux armé pour prévenir ces aberrations. (Yves-Marie ADELINE, Le Royalisme en question, 1792-2002, Perspectives pour le XXIe siècle, L'Âge d'Homme - Editions de Paris, Libres Mobiles, 2e édition corrigée, Paris 2002, p. 96-97).
Deuxième citation sur ce sujet :
"La noblesse peut se perdre par déchéance à la suite d'une condamnation infamante. ... Elle se perd encore par dérogeance, lorsqu'un noble est convaincu d'avoir exercé métier roturier ou un trafic quelconque : il lui est interdit de sortir du rôle qui lui est dévolu, et il ne doit pas non plus chercher à s'enrichir..." (Régine PERNOUD, Lumière du Moyen Âge, Grasset, Paris 1981, p. 39-40).
Ci-dessous une video du professeur Didier Raoult sur les vaccins. Citations :
"Je suis extrêmement réservé sur les interventions politiques. La pire que j'ai vue, c'est l'intervention de Bernard Kouchner sur l'hépatite B, ou l'intervention de Roselyne Bachelot pour H1N1."
"La confiance (dans le gouvernement) s'érode... parce que plus personne ne comprend l'intérêt d'un certain nombre de vaccins, puisque on ne voit pas de stratégies vaccinales autour des maladies qui existent. La poliomyélite, ce n'est pas inintéressant mais il n'y en a plus en Europe depuis 40 ans. Pas plus que de diphtérie. Et il doit y avoir un mort par an de tétanos. La stratégie de vaccination des nourrissons pour méningocoque C, c'est un mort par an. [...] (En revanche) Il y a une stratégie vaccinale à avoir pour la grippe. Cela, c'est une priorité de santé publique parce que l'on parle de millions de cas par an, et de milliers de morts par an. [...] La varicelle, c'est une maladie qui frappe environ 7000 personnes par an, il y a plus de morts avec la varicelle qu'avec la rougeole. Pourquoi donc personne ne parle de vaccination contre la varicelle ? La poliomyélite est en voie d'éradication totale et on ne parle pas de la grippe qui en tue 20 000 par an en France."
"La diphtérie : il n'y a plus de cas en France depuis 30 ans. Pas la peine d'injecter le vaccin à un bébé de trois mois !"
"Le tétanos non plus. En plus le tétanos, qui a totalement disparu, n'est pas une maladie contagieuse."
"Il y a trois virus de polio. Le virus de la poliomyélite 1 est totalement éradiqué, il n'existe plus. [...] Les seules poliomyélites (méningites) depuis 30 ans en Europe sont des poliomyélites liées au vaccin, à un revertant vaccinal. Le vaccin était tolérable quand il y avait un risque. À partir du moment où il n'y a plus de risque, il n'y a pas de bénéfice."
"Le virus de poliomyélite 2, il n'y a plus de cas naturel déclaré dans le monde depuis plusieurs années. Donc il reste le virus de poliomyélite 3, qui n'existe plus que dans trois pays, l'Afghanistan, le Pakistan, et le Nigéria, pour des raisons politiques de refus vaccinal. Des réseaux islamistes y propagent l'idée que le vaccin est fait pour stériliser les gens et que c'est des thérapeutiques occidentales."
"Le vaccin contre le polio3 pour des nourrissons en France n'a aucun sens."
"Actuellement le vaccin antipoliomyélitique n'a pas d'intérêt."
"Coqueluche. Oui il faut le faire, surtout pour les femmes enceintes."
"L'hépatite B a été une gestion politique qui a amené la France à une situation catastrophique, on était le pays de l'OCDE pour lequel on vaccinait le moins. C'était devenu une question clivante entre les gens de gauche qui pensait que c'était une manipulation de l'industrie pharmaceutique et les gens de droite qui disaient que c'était bien. Aujourd'hui, le nombre d'hépatite B chez les Français est assez bas, entre 120 à 150 cas diagnostiqués, ce qui représente environ 700 cas. On l'attrape par les rapports sexuels essentiellement, et par les piqûres, un peu moins. [...] Or il y a des coïncidences entre vaccins contre l'hépatite B et scléroses en plaques."
"La pneumonie est une cause de mortalité très importante. Le vaccin pneumocoque couvre la plupart des problèmes (otites, sinusites, etc.). Il y a des maladies fréquentes. Pneumonie, haemophilus, c'est contre celles-là qu'il faut se mobiliser. Les maladies qui sont en train de disparaître, ce n'est pas la peine de faire des obligations pour elles."
"Les effets secondaires ne sont pas répertoriés en France au sein d'un registre comme aux États-Unis."
"La solution à tout n'est pas le vaccin. Il y a des maladies pour lesquelles les vaccins ne sont pas efficaces : le sida, le paludisme, tuberculose. Le bcg n'est donc pas efficace."
"Il y a des vaccins dangereux. Le vaccin contre la dengue, avec des risques de mutants résistants. Les vaccins ne sont donc pas la panacée définitive."
"Une des premières causes de mortalité en France par infection, vous n'en avez probablement jamais entendu parler, c'est clostridium difficile, qui tue 2500 personnes par an en France, diagnostiqués, 30 000 par an en Europe, et 30 000 par an aux Etats-Unis, et pour cela il y a des mesures à prendre en particulier arrêter la prescription de deux groupes d'antibiotiques."
"Toutes les maladies émergentes qui font le buzz depuis 20 ans sur internet, cela n'a pas tué quinze personnes en tout en France."
Le professeur Didier Raoult est le scientifique européen qui compte le plus de publications scientifiques à son actif. Il a reçu Prévention santé à l'institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection qu'il dirige à Marseille. Il vient de publier un livre intitulé "La vérité sur les vaccins" aux éditions Michel Lafon. Lors de cet entretien de 55 minutes, le Professeur Raoult nous apporte son éclairage sans langue de bois sur la politique vaccinale du gouvernement. Pour lui, l'obligation ne se justifie pas et 6 vaccins sur les 11 sont inutiles. Une interview iconoclaste et exhaustive, du meilleur connaisseur des maladies infectieuses en France que nous vous faisons découvrir en exclusivité sur notre média.