Nous sommes bien loin de la version officielle racontée dans les livres d’histoire et par la plupart des journalistes, intellectuels et politiques de notre époque.
Détruisez la Vendée, il faut exterminer cette race rebelle, incendier leurs forêts, couper leurs récoltes, enlever leurs troupeaux. Plaçons la Terreur à l'Ordre du Jour.
Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé.
C'est par principe d'humanité que je purge la France de ces monstres. J'invite mon collègue Francastel à ne pas s'écarter de cette salutaire et expéditive méthode.
"Au-delà de cette guerre civile, il y a quelque chose de nouveau qui va se mettre en place, qui est réfléchi au plus haut niveau de l'Etat, qui est organisé, planifié, c'est l'extermination de l'autre, non pas pour ce qu'il a fait, mais pour ce qu'il est." (Reynald Secher, tiré du reportage d'Armel Joubert des Ouches "Révolution française : silence sur le génocide vendéen" pour Réinformation Tv)
Ce qu'il est ? C'est tout ce que la république vomit. Le Vendéen est catholique, attaché à Dieu, à ses prêtres à ses ordres religieux. Il est attaché à ses traditions de toujours. Profondément attaché au roi de France, il faut donc le traiter comme ennemi du peuple et rapidement l'éliminer.
Voici des documents exceptionnels, les preuves des plans d'extermination que Reynald Secher a retrouvé dans les archives nationales à Paris. La lecture de ces documents officiels glace le sang :
Décret-loi de la Convention le 1er octobre 1793 créant l'armée de l'Ouest et visant à "l'extermination des brigands vendéens". Pour la Convention, le mot générique "brigand" signifie tous les habitants résidant en Vendée, c'est-à-dire "la race impure qui souille le territoire de la République" (sic)...
"Il faut que tous les brigands soient exterminés" (Comité de Salut Public 22 brumaire, Archives nationales)
"Il faut que la France soit République ou qu'elle soit un vaste cimetière (Commission administrative du Morbihan, Armon, Jourdain, Jaion, 25 novembre 1793)
Sur acceptation de la Convention nationale, le général Turreau crée les "colonnes infernales". Des villages entiers sont rasés, pillés, mis à feu et à sang. Les vieillards, les femmes et les enfants, tout le monde y passe.
Les Vendéens sont coupés en morceaux, bûlés vifs, noyés, ou jetés dans les fours à pains vivants. Des bébés sont empalés sur des baïonnettes, des femmes enceintes sont écrasées sur des presses.
On estime que les hommes de Turreau ont massacré à eux seuls plus de 50 000 civils.
Des tanneries de peau humaine furent ouvertes pour en faire des selles de cheval. Des savons furent fabriqués à partir de la graisse des vendéens, avec l'aval de Saint-Just et du Comité de Salut-Public.
27 femmes et enfants brûlés vifs à Champtoceaux (ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire) le 27 mai 1794. Au total, 171 victimes sur la commune (Source: Jean-Camille EMERIAU, P'tit Jean le Brigand, éd. La Chouette de Vendée, 2013) :
Monument à la mémoire des Femmes et enfants de Champtoceaux brûlés vifs dans une grotte le 17 mai 1794 (Souvenir Vendéen septembre 2005)
Le massacre des Lucq-sur-Boulogne
Dans la chapelle construite sur l'ancienne église, noms des 564 victimes des Lucs-sur-Boulogne (Vendée, région Pays de la Loire) qui y ont été brûlés vifs le 28 février 1794, dont 110 enfants de moins de sept ans, 33 enfants de moins de deux ans, et des bébés tout juste nés :
Le massacre de la forêt de Vezins, Maine-et-Loire, le 25 mars 1794, un camp de réfugiés, de paysans et leurs familles et hôpital de campagne : 2000 personnes y sont assassinées par les républicains, le feu est mis à la forêt.
De janvier à mai 1794, les colonnes parcourent donc la Vendée, s’adonnant aux pires exactions : incendies, viols, tortures, pillages et massacres des populations – parfois même actes de cannibalisme -, et le plus souvent sans distinction d’âge, de sexe ou d’opinions politiques (car même des personnes favorables aux républicains furent exterminées). Ces atrocités coûtent la vie à environ 200 000 personnes et valent aux colonnes incendiaires d’être surnommées « colonnes infernales ». Ce que les nazis ont fait à Oradour-sur-Glane, les armées de la république française l’ont fait bien avant eux : pas une fois seulement, mais des dizaines et des dizaines de fois, et cela sur des populations civiles françaises…
C’est dans ce contexte que se situent les massacres de la forêt de Vezins. Le vaillant Général Stofflet avait établi son quartier général dans ces bois (mais il ne s’y trouvait pas ce jour-là) ; sous des huttes, il y avait aussi organisé une espèce d’hôpital et un grand refuge pour les populations des villages alentour. C’est la dixième colonne infernale, sous les ordres de Crouzat, qui, le 25 mars 1794 au matin, après avoir perpétré un premier massacre à La Poterie, entra dans la forêt de Vezins, guidée par un traître, un nommé Porcher qui connaissait les lieux. Bien que pris par surprise, il y eut néanmoins quelques Vendéens qui purent s’enfuir et qui relatèrent plus tard ce dont ils avaient été les témoins. Tous ceux qui furent découverts furent impitoyablement massacrés : les malades et les blessés sur leurs grabats, les deux prêtres qui les assistaient, les vieillards et les enfants qui pensaient être à l’abri dans ces taillis, les femmes et les jeunes filles sur lesquelles les « bleus » se livrèrent aux outrages que l’on imagine avant de les mettre à mort. Jusqu’au 27 mars, la colonne infernale ratissa les bois et tout ce qui fut pris vivant fut passé par le fer et le feu. On estime à 1200 (certains auteurs vont jusqu’à 1500) le nombre des victimes de ces massacres. Malgré les témoignages et la présence de très nombreux ossements, certains continuent à contester la réalité de ces événements.
Les mariages républicains
Les noyades dans la Loire, imaginées par Jean-Baptiste Carrier, consistaient à attacher les femmes et les hommes ensemble nus et on faisait couler les embarcations. Les républicains appelaient cette pratique les "mariages républicains". Les républicains en folie appelaient la Loire "la Baignoire nationale"...
Si les noyades prenaient trop de temps, on perçait les malheureux à la baïonnette. 5000 vendéens périrent dans ces noyades, que Jean-Baptiste Carrier appelaient les "déportations verticales".
Il y a l'histoire officielle et puis il y a la véritable histoire en France... sur beaucoup de sujets. Le génocide vendéen est nié en dépit des preuves. 180 000 hommes, femmes, enfants, vieillards massacrés. Pas un mot dans les manuels scolaires de l'extermination d'une partie de ce peuple de France. C'est le "mémoricide" (R. Secher), l'effacement volontaire par la république de pans entiers de l'histoire de France.
La république "française", les républicains, grands donneurs de leçons, en particulier aujourd'hui, n'ont pas grand chose à envier à ce que firent Lénine, Staline ou Hitler.
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