Mise à jour permanente
Jour de deuil. Ce lundi 15 avril, après le dimanche des Rameaux, en ce premier jour de la Semaine sainte qui doit conduire le Christ à la Croix Vendredi saint, à la vigile pascale Samedi Saint, et à la résurrection du Seigneur dimanche de Pâques, la cathédrale Notre-Dame de Paris, premier monument touristique d'Europe et un des premiers au monde avec Notre-Dame de Guadalupe (Mexique), a été incendiée :
L'incendie soulève des questions. RIC, impôts, ISF, retraites : Emmanuel Macron s'apprêtait à faire une allocution considérée comme centrale dans son mandat présidentiel, à 20h en direct, pour annoncer les mesures décidées à la fin du "grand débat". Il devait y avoir l'avant et l'après cette allocution. C'est à ce moment qu'un feu a pris dans la charpente à 18h50 dans la flèche de la cathédrale.
On a donné à la charpente de Notre-Dame de Paris un nom qui évoque bien la quantité de poutres nécessaires à sa construction : la forêt. Cette charpente possède des dimensions exceptionnelles : elle mesure 100 m de long sur 13 m de large dans la nef, 40 m dans le transept, avec une hauteur de 10 m. Au total, 21 hectares de chêne (un matériau réputé difficilement inflammable) ont été nécessaires pour construire cette charpente. Certaines poutres, provenant d'arbres abattus vers 1160-1170, font toujours partie de l'édifice. (Source)
La "forêt " était composé de poutres en chêne de mille ans (on estime que certains bois pouvaient avoir 300 à 400 ans, ce qui nous amène au VIIIe ou IXe siècle). Cette première charpente a disparu, mais des bois ont été réutilisés dans la seconde charpente mise en place en 1220 (Source).
Le chêne des poutres était comme vitrifié, proche de la minéralisation. Des poutres d'une telle dimension se consument et ne brûlent pas (pas de flammes) sans un carburant ou une substance étalée sur ces mêmes poutres. Quand le chêne se consume, il ne fait pas de flammes jaunes, mais avec un produit pétrochimique, oui. Or les photos montrent un feu avec flammes et fumées jaunes.
Les poutres elles-mêmes, du temps des anciens bâtisseurs étaient traitées contre l'incendie. Les bâtisseurs de cathédrales, conscients du danger que représentait le feu en cas d'incendie (fléau qu'ils craignaient le plus) sélectionnaient les chênes, et les vidaient de leur sève sur pieds pendant un an (extraction de la sève) en leur retirant une bande d’écorce avant de les abattre. Puis ces chênes sélectionnés passaient ensuite des années, jusqu’à 20 ans, trempés dans un bain, pour donner aux poutres une qualité quasi imputrescibles et quasi impossibles à brûler en cas d’incendies. Faites vous-mêmes l'essai. Achetez des poutres en chênes anciennes, débitez-les à la tronçonneuse, le bois est dur comme la pierre. Essayez d'y mettre le feu : il vous faudra beaucoup de bois en flammes tout autour (y compris avec du pin réputé très combustible avec flammes), pour réussir simplement à entamer le morceau de chêne qui ne brûle pas.
Les chaînes d'info ont montré un feu avec flammes qui au fil des minutes se propageait très vite de poutres en poutres comme s’il y avait eu une substance pour accélérer le feu.
Une première alarme incendie (détecteurs de fumée) s'est déclenchée au PC Sécurité incendie de la cathédrale à 18h24, le rondier n'a rien relevé de particulier. Une deuxième alarme a sonné à 18h50 et le rondier a découvert un départ de feu. La thèse du feu "couvant" dans les combles n'a pas été retenue : aucune autre alarme incendie (détecteurs de fumée) n'a sonné au PCS, auparavant. La rapidité de propagation du feu avec des flammes jaunes énormes en une demi/heure interroge les experts :
Autre question : sur les images diffusées en direct sur les chaînes d'info, on ne voit aucun pompier avant de longues minutes. À 19h29 le feu se propage à la toiture, qui cède au bout d'une demi heure. Sachant que les pompiers de Paris interviennent dans les 5 minutes, 10 minutes en comptant large, une heure se passe avant qu'ils mettent en place deux nacelles et des canons à eau ridicules qui apparaissent à l'écran au bout d'une heure. Où sont les moyens mis en oeuvre, pourquoi une attente si longue ?
D’après le chef de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris « deux foyers d’incendie auraient été repérés ». Un incendie qui trouverait son origine dans « les combles de la cathédrale » précise Alain Finot, le porte-parole de Notre-Dame. (Vl-media)
Selon LCI, deux foyers d'incendie auraient été repérés. Le feu, dont la gravité restait encore à déterminer, a pris dans les combles de la cathédrale, monument historique le plus visité d'Europe, ont indiqué les pompiers. Selon le porte-parole de Notre-Dame, l'incendie se serait déclaré aux alentours de 18H50. (JeanMarcMorandini.com)
Deux foyers d'incendie. Source: https://www.jeanmarcmorandini.com/article-392648-en-direct-notre-dame-de-paris-le-procureur-de-la-republique-de-paris-annonce-que-la-piste-accidentelle-est-privilegiee.html
Deux départs d'incendie : si c'est avéré, cela va être difficile pour l'incident accidentel.
L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l'accident à 18h24, invité de David Pujadas sur Lci :
« Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler … Là je sais pas s'il y en avait ... Cela a été vite... En 2010, on a remis à plat toute l'installation électrique de Notre-Dame, donc il n'y a pas de possibilité de court-circuit. On a remis à plat et aux normes contemporaines même en allant très loin toute la détection et la protection incendie de la cathédrale, avec des éléments de témoins de mesures, d'aspiration, etc., qui permettaient de détecter un départ de feu. ... Je suis stupéfait. »
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— Philippe Murer 🇫🇷 (@PhilippeMurer) 16 avril 2019
L’ancien ingénieur chef de Notre-Dame sur la thèse de l'accident :
« Du vieux chêne, il faut beaucoup de petit bois pour le faire brûler …
Il y a 2 hommes en permanence jour et nuit pour aller voir dès qu’il y a une alerte et appeler les pompiers … »
« Je suis stupéfait » pic.twitter.com/YvR0YEVeRh
Sur Youtube", "un forgeron démontre que le chêne ne brûle pas comme ça".
"Je fais cette petite video pour vous prouver que ce qui s'est passé à Notre-Dame de Paris n'est pas accidentel. Nombre d'artisans que je connais autour de moi, de charpentiers, de maçons, sont du même avis que moi. Il faut savoir une chose, c'est que nous les forgerons nous travaillons avec le feu tous les jours" :
"Ce n'est pas possible de faire prendre du chêne vieux de 800 ans, de 400 de diamètre en un quart d'heure. Une 'Forêt' entière. Ce n'est pas possible. Il n'y a pas besoin de sortir de Saint-Cyr ou d'être chef de pompiers pour dire ça. Et la fumée jaune qui s'est dégagée, il y a un combustible derrière, c'est-à-dire de l'essence."
Le forgeron démontre dans cette expérience filmée qu'un petit bout de chêne de 2 cm passé au chalumeau pendant 80 secondes ne brûle pas, et alors que le chalumeau est éteint le petit bois de chêne ressort juste noirci "en surface".
Une autre video montre une expérience prouvant qu'il est impossible que les poutres aient pris feu suite à des "travaux", thèse de l'"accident de chantier". Même avec un démarreur chimique, du petit bois, une étincelle, un chiffon imbibé d'essence, rien n'entame une poutre de chêne vieille d'une trentaine d'années :
Qu'on donc bien pu utiliser les malfaiteurs pour que la charpente longue de 100 mètres prenne feu en moins d'une heure ?
Le fait que l'expérience soit produite en extérieur avec du vent n'est pas en soi un motif qui permettrait de révoquer en doute l'expérience : les pompiers redoutent particulièrement le vent lors d'incendies.
La charpente de Notre-Dame était ventilée comme toute charpente ancienne, c'est-à-dire qu'il y avait des courants d'air sous la toiture, ce n'est pas un espace clos (plusieurs centaines de milliers de m3 d'espace largement ventilé, principe de toute charpente des cathédrales).
Enfin, si une poutre de section 300x300 ne s'enflamme pas aussi facilement, plusieurs poutres de même section, par définition distantes de plusieurs décimètres et mètres (sauf à leur jonction) ne vont pas s'enflammer facilement non plus.
Les enquêteurs semblent éviter un peu trop vite la cause intentionnelle. Deux jours après l'incendie de Notre-Dame, un individu a été arrêté dans une cathédrale à New York avec de l'essence et des briquets. La cathédrale Saint Patrick de New York, en 2003. (Reuters 18/04/2019) Un homme de 37 ans a été arrêté mercredi soir après s'être introduit à l'intérieur de la cathédrale St. Patrick, à New York, avec deux jerrycans d'essence et des briquets, a rapporté la police. L'individu a pénétré dans la cathédrale peu avant 20h00 locales. Il a été placé en détention provisoire et interrogé. Prié de dire si un acte "terroriste" avait pu être évité, John Miller, un responsable de la police new-yorkaise, a estimé qu'il était "prématuré d'affirmer cela", mais il a fait remarquer que cette arrestation était survenue deux jours après l'incendie de Notre-Dame de Paris. L'individu interpellé, connu des services de police, a expliqué qu'il avait traversé la cathédrale afin de couper et de se rendre plus rapidement de la 5e Avenue à Madison Avenue où son véhicule était tombé en panne d'essence, a dit Miller. Lorsque la police a inspecté le véhicule en question, elle a constaté qu'il n'était pas du tout en panne d'essence. Trois églises, fréquentées surtout par des Noirs, ont été incendiées du 26 mars au 4 avril en Louisiane. (L'Orient le Jour)
Accès interdit aux enquêteurs
« L’enquête sur l’incendie de Notre-Dame va être un véritable casse-tête. Une cinquantaine de policiers ont été saisis mais l’accès aux entrailles calcinées de Notre-Dame leur est interdit. Saisie par le parquet de Paris, la Direction de la police judiciaire de Paris a mobilisé cinquante enquêteurs et confié à la brigade criminelle le soin de mener de délicates investigations. Deux groupes d’enquête de droit commun, spécialisés pour dénouer les dossiers les plus sensibles, s’emploient à élucider les causes de cet incendie. Fidèles à leur théorie du «rouleau compresseur», les limiers explorent un épais faisceau d’indices pour établir une éventuelle erreur humaine ou une faille technique », explique Le FIGARO. On ne voit pas bien pourquoi à ce stade, la thèse criminelle serait d'emblée écartée au profit de la thèse accidentelle.
« Pour l’instant, les policiers de la brigade criminelle n’ont pas accès au monument, poursuit Le Figaro, car il n’est pas encore sécurisé, en raison des «vulnérabilités» évoquées par le secrétaire d’État Laurent Nuñez au niveau de la voûte et du pignon du transept nord. «Tant que les architectes et les pompiers n’auront pas donné leur feu vert, il n’y a aura pas de constatations ni de prélèvements sur place.» «L’objectif est double: essayer de déterminer l’origine de l’incendie et comprendre son mode de développement», a confié Christophe Pezron, directeur du laboratoire central de la Préfecture de police. » Comment déterminer l'origine de l'incendie et comprendre son mode de développement si l'enquête humaine sur place est interdite ?
En mettant de côté les premières questions sur les raisons des flammes sur des poutres vieilles de mille ans, comment un tel "accident" a-t-il pu se produire quand on sait le sérieux et la rigueur des mesures de protection prises dans n'importe quel établissement accueillant du public pour la réalisation de travaux ? (Une ronde toutes les heures minimum. Source: règlementation sécurité incendie des établissements accueillant du public. Et encore il ne s'agit là que de la réglementation pour des bâtiments lambdas). Il y a décidément beaucoup d'éléments qui clochent.
Le feu s'est propagé très vite et d'une manière anormale. "On aurait pu éviter ça" s'indigne Didier Rykner, le rédacteur en chef du magazine la Tribune de l'art, mardi sur franceinfo. Selon lui, les normes de sécurité sur les chantiers de rénovation des monuments historiques sont notoirement insuffisantes. "C'est l'incendie de trop ! (...) Il y a déjà eu une série d'incendies de ce type. Les prescriptions pour les travaux sur monuments historiques étaient insuffisantes. J'avais demandé une loi et on n'a rien fait. Si la piste se précise, il va falloir que les responsables soient désignés. Un architecte du patrimoine m'a dit qu'on aurait pu éviter ça avec certaines mesures" explique le journaliste. La flèche de Notre-Dame était en cours de rénovation. Sur ce type de chantier de rénovation, il existe des "points chauds", explique Didier Rykner. "On fait du soudage, on fait des travaux et c'est une fois que les ouvriers sont partis que le feu peut prendre. Il y a des moyens de détection immédiate qui permettent d'agir très vite. Manifestement, le feu s'est propagé très vite et d'une manière anormale. Il y a un problème. J'ai étudié cela et la plupart des spécialistes disent que ce qu'il s'est passé n'est pas normal".
Source: https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/incendie-de-notre-dame-de-paris/notre-dame-c-et-l-incendie-de-trop-pourquoi-les-historiens-de-l-art-et-specialistes-du-patrimoine-sont-en-colere_3400595.html
Cet article n'a pas pour objet de dire qu'il s'agit d'un "complot" contre Notre-Dame, il s'agit simplement de réfléchir, de douter - le fameux doute cartésien, signe de bonne santé mentale et non l'inverse... - et de se poser des questions.
S'il s'agit réellement d'un accident, il n'y a pas de hasard dans le calendrier, tout indique un signe surnaturel majeur de mise en garde pour les innombrables atteintes aux Commandements divins dont se rend coupable notre pays avec de multiples "lois" allant directement contre la Loi naturelle (divorces, avortements, mariage "gay", éducation sexuelle et genre à l'école).
Un des premiers à s'interroger sur l'origine criminelle de l'incendie, Christophe Cros Houplon vient de réaliser une video "Notre Dame et la chrétienté dans la mire des élites". Pour lui :
"Cet incendie est tout à fait programmé et volontaire après six mois exactement de travaux de rénovation du toit. [...] La flèche est tombée. [...] Cette flèche a une signification tout à fait particulière, elle est une protection sur Paris et sur la France, des Douze Apôtres qui l'entourent. Elle n'est momentanément plus là" :
Seize statues de Notre-Dame décapitées pour restauration. Source: https://fr.aleteia.org/2019/04/11/decrochage-impressionnant-des-statues-de-notre-dame-de-paris/
Jeudi 11 avril dernier, seize statues de Notre-Dame de Paris avaient déjà été décrochées avant restauration, celles des 12 Apôtres et des quatre évangélistes. (Bfm-tv) Ces statues ont dû être décapitées avant d’être descendues. (Aleteia)
En février, plusieurs églises ont été profanées en quelques jours. Depuis fin janvier, plusieurs lieux de cultes catholiques ont été la cible de dégradations. Pas moins de six églises ont été visées entre le 28 janvier et le 10 février. (Bfmtv)
Il y a trois semaines, l'église Saint-Sulpice (VIe arrondissement) en proie aux flammes, le 17 mars 2019. L’incendie à l’église Saint-Sulpice n’était pas accidentel (Le Parisien, 18 mars 2019).
Ne comptez pas sur le gouvernement ni sur les médias pour vous expliquer l'origine du feu. Les indices d'un incendie criminel :
Notre-Dame: des intrusions régulières ont eu lieu sur le chantier. Mais pas de force "Sentinelle" pour protéger la cathédrale :
Source: https://www.bfmtv.com/societe/notre-dame-des-intrusions-regulieres-ont-eu-lieu-sur-le-chantier-1675811.html
Depuis le début des travaux il y a plus d'un an, des explorateurs urbains, amateurs de sensations fortes, avaient grimpé à plusieurs reprises dans les échafaudages de la cathédrale Notre-Dame. Les intrusions étaient même un "fléau", selon une des personnes qui travaillaient sur ce chantier.
A l'automne 2018, un groupe baptisé "Les Cheminaux" avait publié une vidéo de son ascension de la cathédrale sur Youtube. Passés en partie par l'échafaudage, deux garçons avaient réussi à grimper tout en haut de la flèche pour se filmer. Quelques jours plus tôt, un autre youtubeur, Simon Nogueira, avait également publié une vidéo sur les toits de Paris avant d'être arrêté par les policiers, comme on peut le voir à la fin de sa vidéo.
Une intrusion la veille de l'incendie
Ces vidéastes ne sont pas les seuls à avoir tenté l'expérience de s'introduire sur le chantier de la cathédrale. Selon nos informations, la veille de l'incendie qui a ravagé la toiture et détruit la flèche de l'édifice, un homme avait réussi à se hisser sur l'échafaudage, avant d'être délogé puis interpellé.
Pour faire face aux multiples tentatives d'intrusion, des mesures avaient pourtant été prises: des barbelés et une alarme de détection avaient été installés.
Cependant, ces intrusions sur le chantier et la cathédrale ne sont pas un axe prioritaire pour les enquêteurs, d'après nos informations, car l'alarme ne s'est pas déclenchée lundi soir. S'ajoute à cet élément l'horaire inhabituel: ces explorateurs tentent plutôt leur chance tard dans la nuit, voire au petit matin, comme on peut le voir sur certaines vidéos. Or, lundi soir, le feu s'est déclenché en début de soirée, vers 18h50, après le départ des ouvriers. (Bfmtv)
NdCR. Normalement dans un crime "fait divers", les enquêteurs ne négligent aucune piste et avec une info comme celle-ci ils seraient déjà sur les dents. Mais là non, on évacue car ce n'est pas la bonne heure ! Rien n'empêche pourtant des criminels de faire une préparation à l'avance, comme si les enquêteurs ne le savaient pas...
Curieuse coïncidence, la mosquée al-Aqsa à Jérusalem a brûlé en même temps que Notre-Dame de Paris (vidéo). (Sputnik) Un incendie, beaucoup moins important, s’est déclaré dans la mosquée al-Aqsa à Jérusalem, l’un des principaux lieux de culte des musulmans. L'incident s'est produit à peu près au même moment que lorsqu'à Paris les pompiers se battaient pour sauver Notre-Dame des flammes. Selon les autorités, le feu est parti de la cour de la mosquée, mais a été rapidement éteint et le site est resté ouvert.
Pas de soudure ni de point chaud: l'entreprise qui restaurait Notre-Dame livre sa version
Aucun travail sur la charpente n'avait commencé au moment où l’incendie s’est déclaré à la cathédrale Notre-Dame, endommageant grièvement l’édifice, a déclaré dans un commentaire à l’AFP un représentant de l’entreprise en charge non seulement de l'échafaudage, mais aussi de la rénovation de la charpente en bois de la flèche et de sa couverture.
L'entreprise Le Bras Frères, qui montait l'échafaudage autour de la flèche de Notre-Dame de Paris, a «exclu» mercredi «toute responsabilité» dans l'incendie qui a ravagé l'édifice.
«Ils excluent de fait toute responsabilité», cite l’AFP un porte-parole de l'entreprise, assurant qu'après «le premier choc», elle envisageait la situation avec «sérénité» puisque «les procédures ont été respectées».
Selon lui, les douze salariés présents sur le site lundi, jour de l'incendie, ont été entendus par la police judiciaire à Paris et «collaborent parfaitement» avec les enquêteurs.
«Ils ont confirmé qu'il n'y avait pas de point chaud sur l'échafaudage» et n'avoir effectué «aucun travail de soudure», a-t-il poursuivi.
«Quand on quitte un chantier on doit couper toute l'électricité, le disjoncteur du chantier, fermer la porte à clef et remettre les clefs à la sacristie de la cathédrale, ce qui a été fait et dûment noté dans les cahiers», a assuré ce porte-parole.
«Le dernier a quitté les lieux à 17h50 (soit une heure avant le déclenchement de l'incendie, NDLR) et le premier à 17h20», descendant «par les deux ascenseurs qui desservaient l'échafaudage», a-t-il détaillé.
L'échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n'avait encore commencé». L'entreprise Le Bras Frères, installée à Jarny (Meurthe-et-Moselle), avait remporté un appel d'offres portant sur trois lots, l'échafaudage mais aussi la rénovation de la charpente en bois de la flèche et sa couverture extérieure. Ces deux dernières opérations n'avaient pas encore été engagées, rappelle l'agence. (Sputnik)
La grande question qui reste : pourquoi au bout d'une heure, tous les médias parlent-ils d'"accident de chantier" suite aux "travaux", alors que l'enquête n'a pas démarré ? C'est totalement incohérent et montre que l'on cherche à nous cacher quelque chose, en écartant d'emblée la cause intentionnelle.
Un signe surnaturel divin ?
La flèche de la cathédrale a été détruite et est tombée dans la cathédrale. Miracle, l'autel, la Croix et la statue de la Vierge Marie, ont été retrouvées intacts.
L’autel (maître-autel) de la cathédrale, sur lequel la messe en latin a été célébrée pendant 800 ans, a survécu, tandis que la table de nouveau rite a été détruite et a fini sous le toit effondré (photo). En août 2017, le plafond de l'église de Rabat, à Maltes'est effondré en brisant la nouvelle table du rite et en laissant l'autel intact. (GloriaTv)
Pour l'évêque du du Kazakhstan, Mgr Schneider, l'incendie de Notre-Dame est le "signe d'une conflagration spirituelle dans l'Église".
Mgr Schneider n'exclut pas l'existence d'un complot visant à détruire Notre Dame. "Cette tragédie est survenue après une série de centaines d'attaques d'incendies systématiques visant divers objets sacrés appartenant à l'Église catholique en France au cours de l'année écoulée."
L'évêque du Kazakhstan, Athanasius Schneider, dans LifeSiteNews.com (17 avril) ... n'exclut pas l'existence d'un "complot visant à détruire la cathédrale". Admettant qu'il n'existe aucune preuve à ce sujet, il ajoute : "Pourtant, il reste un sentiment nauséeux."
Schneider remarque que la politique et les médias français sont tous deux étroitement contrôlés par des puissances "antichrétiennes" et "franc-maçonnes".
Le feu est pour Schneider un avertissement divin pour les évêques et un symbole de ce qui s’est passé dans la vie de l’Église au cours des 50 dernières années, à savoir une "conflagration" de la foi, de la liturgie et de mœurs catholiques.
Expliquant le message "émouvant" de la tragédie, il identifie comme "incendiaires spirituels" dans l'Église les membres de l'établissement "libéral" de théologiens hétérodoxes et de membres du clergé qui ont contribué à la crise dans l'Église ou qui refusent de s'attaquer à ses causes profondes. Mgr Schneider insiste sur le fait que l'incendie de Notre-Dame est un "cri de cœur pour une conversion authentique", en particulier chez les "Bergers de l'Église". C'est aussi un appel à l’ensemble de l’Église de faire pénitence pour la conflagration spirituelle qui a déchiré l’Église au cours des cinquante dernières années. "Il faut faire pénitence et réparation, en particulier pour avoir trahi le commandement de Dieu le Père selon lequel toute l'humanité devrait croire en son Fils divin, le seul Sauveur de l'humanité. Car Dieu ne veut positivement que la seule et unique religion qui croit que son fils incarné est Dieu et le seul Sauveur", écrit-il, en se référant clairement à la déclaration controversée d'Abou Dhabi selon laquelle Dieu "veut" une "diversité de religions".
"La pénitence et la réparation doivent également être faites pour la trahison du commandement explicite du Christ d'évangéliser toutes les nations sans exception", y compris les peuples "juif" et "musulman", ajoute-t-il.
"La pénitence et la réparation doivent être faites, en particulier pour avoir trahi le commandement de Dieu le Père selon lequel toute l'humanité devrait croire en son Fils divin, le seul Sauveur de l'humanité. Car Dieu ne veut positivement que l'unique et unique religion qui croit que son Fils incarné est Dieu et le seul Sauveur de l'humanité. Il faut aussi faire pénitence et réparation pour avoir trahi le commandement explicite du Christ d'évangéliser toutes les nations sans exception, au premier rang desquelles le peuple juif."
En raison de ces trahisons, la hiérarchie catholique doit "se repentir ou périr" (Lc 13), ajoute Schneider.
"Si les bergers de l'Église ne reconnaissent pas dans la conflagration de Notre-Dame un avertissement divin, ils se comporteront comme les gens de l'Histoire du Salut qui ne reconnaissaient pas les avertissements que Dieu leur avait souvent donnés à travers les paroles inconfortables et irréprochables des prophètes, à travers catastrophes naturelles et événements divers."
Et l'évêque avertit : "Si les bergers de l'Église refusent de faire pénitence pour la conflagration spirituelle des cinquante dernières années et pour la trahison du commandement universel du Christ d'évangéliser, nous ne devrions pas craindre que Dieu n'envoie un autre et un signe plus choquant, comme une conflagration dévastatrice. ou un tremblement de terre qui détruirait la basilique Saint-Pierre à Rome? Tant de bergers de l'Église de notre époque ne se moqueront indéfiniment et sans vergogne de Dieu, par leur trahison de la Foi, leur service sycophantique du monde et leur culte néo-païen des réalités temporelles et terrestres."
Il conclut en évoquant ce qu’il considère comme "l’un des signes les plus touchants et les plus puissants sur le plan spirituel" au milieu de cette tragédie: des jeunes et même des enfants chantant l’Ave Maria, leur cathédrale bien-aimée, dédiée à Notre-Dame, ont été brûlés sous leurs yeux. Il conclut que cette prière est le fondement de la reconstruction "des ruines spirituelles dans la vie de l'Église de nos jours". (GloriaTv / Article en anglais Life Site News).
Que symbolisait la flèche de la cathédrale ?
La flèche représentait l'aspiration du peuple au Ciel. Elle avait été édifiée seulement au XIXe siècle, en 1859, sous Napoléon III, par Viollet-le-duc (1814-1879), architecte de Notre-Dame. Napoléon III est l'empereur qui se vit répliquer par le Cardinal Pie : " Le moment n'est pas venu pour Jésus-Christ de régner ? ... le moment n'est pas venu pour les gouvernements de durer".
L'édification de la flèche avait déjà soulevé de nombreuses controverses à l’époque. La première, édifiée au XIIIe siècle, avait été démontée à la fin du XVIIIe siècle. La flèche initiale avait été édifiée vers 1250 sous Saint Louis, au dessus de la croisée du transept. Jusqu'au XVIIe siècle, elle comportait cinq cloches mais elle fut démontée entre 1786 et 1792. (Aleteia)
Il suffit de mentionner le nom de Viollet-le-Duc pour que viennent à l’esprit les images du Mont Saint-Michel, de la cité de Carcassonne ou encore du château de Pierrefonds. Architecte le plus célèbre du XIXe siècle, Viollet-le-Duc a toujours été un personnage clivant, adoré ou détesté, ces restaurations de monuments historiques n’ayant pas toujours fait l’unanimité. Parmi ses réalisations les plus célèbres, Notre-Dame de Paris reste l’une des plus controversées.
Grâce à la redécouverte du gothique au XIXe siècle, impulsée par les romantiques (Victor Hugo), Napoléon III lança la restauration de grands monuments gothiques dont l’entretien n’était, jusqu’alors, pas une priorité. Eugène Viollet-le-Duc, architecte réputé et passionné par le médiéval, fut à la tête de ce programme. À Paris, il œuvra à la restauration de la cathédrale. La façade ouest fut reprise, les arcs-boutants furent rénovés et les chimères des tours furent changées. Notre-Dame de Paris aurait pu s’arrêter là mais, dans une désir de rendre à la cathédrale sa flèche initiale, l’architecte décida de se lancer dans sa reconstruction. Car depuis 1792, les Parisiens avaient pris l’habitude d’admirer Notre-Dame sans sa flèche. Construite au XIIIe siècle, elle avait l’allure d’un véritable clocher et comportait, à la fin du XVIIIe siècle, cinq cloches. Très dégradée, elle fut démontée entre 1786 et 1792. Aujourd’hui son souvenir reste gravé dans des enluminures célèbres, notamment dans les Très Riches Heures du duc de Berry sur la planche illustrant La rencontre des rois mages. (Aleteia)
S’éloignant fondamentalement de la flèche du XIIIe, Viollet-le-Duc décida de la réaliser dans un style néo-gothique mais sans cloches. Il s’inspira de celle de la cathédrale d’Orléans construite au début XIXe siècle. À Paris, la polémique enfla et on reprocha à l’architecte de n’en faire qu’à sa tête. On l’accusa de trahir le travail de ses prédécesseurs en imposant son propre style. "Restaurer un édifice, ce n’est pas l’entretenir, le réparer ou le refaire, c’est le rétablir dans un état complet qui peut n’avoir jamais existé à un moment donné", écrivait-il dans son Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle, 1854-1868. Les travaux de la flèche furent considérables. Culminant à 93 mètres de hauteur, la structure était double : la première, faite de bois, était recouverte d’un manteau de plomb de plusieurs centaines de tonnes afin d’éviter que celle-ci ne soit abîmée par la pluie. Les gargouilles chargées d’évacuer l’eau de pluie étaient également habillées de plomb. Ces gargouilles grimaçantes et les foudres métalliques qui les enserraient provoquaient une étrange impression. Ces êtres de cauchemar semblaient venir du ciel. M. Maurice Duvanel explique que pour les anciens ces foudres métalliques agissaient comme des leurres à l'égard des vrais foudres célestes qui, se croyant déja tombées là, iront tomber ailleurs. Ces leurres figuraient sur d'autres cathédrales, soit sous formes de foudres métalliques, soit sous forme de serpents ondulants, descendants du sommet de la flèche, comme au sommet de la grande flèche de la cathédrale d'Amiens. Les gargouilles et chimères dans les églises ont aussi la signification du diable qui tente de démolir l'Église, qui cherche à nous attaquer soit de l'intérieur soit de l'extérieur. Tout autour, des statues monumentales des douze apôtres accompagnées du tétramorphe étaient disposées en quatre rangées. En cuivre, elles furent l’œuvre du sculpteur Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume qui a également réalisé la sculpture du Beau-Dieu au trumeau du grand portail du Jugement Dernier. Elles ont été déposées au sol quatre jours avant l’incendie en vue d’être restaurées. Ces statues sont aujourd’hui les seuls éléments subsistants de la flèche. Parmi les apôtres, Viollet-le-Duc s'est représenté en saint Thomas, patron des architectes. Il est le seul à se tourner vers la flèche; il contemple son oeuvre. Sur sa règle, Viollet-le-Duc a inscrit : "Non amplivs dvbito", c'est-à-dire "Je (ne) doute pas (de pouvoir faire) plus ample" (Hermetism.free Viollet-le-Duc architecte). Il sous-entend qu'il ne doute pas de pouvoir faire plus grand. Or, dans la tradition de l'Église, ceux qui sont enorgueillis de monter jusqu'au ciel en construisant la Tour de Babel, leur tour a été détruite (Genèse 11).
En résumé, tout ce qui était maçonnique dans la flèche de Viollet-le-Duc a été détruit, tout ce qui était catholique (l'autel de l'ancien rite, la Croix, le statue de la Vierge Marie, le coq avec ses reliques) a été retrouvé intacts ! Le diable porte Pierre.
Mais alors pourquoi le toit lui-même de la cathédrale a-t-il brûlé ? Notre manque de foi ne soutient plus la toiture. La "forêt" détruite (les poutres) peut symboliser la colère du Ciel pour la déchristianisation du peuple français. On ne peut pas s'empêcher de penser à Jean-Paul II qui lors de sa visite en France avait dit : "France, Fille aînée de l'Église, qu'as-tu fait de ton baptême?"
Source: https://www.bfmtv.com/politique/emmanuel-macron-emporte-le-second-tour-avec-6606percent-des-voix-1159358.html
Macron élu à 66,06%, cela ne s'invente pas !
Oui, la Fille aînée de l'Église est entre les mains des tenants de Lucifer, de ce symbole qui trône à l'Élysée lors des voeux de Emmanuel Macron à la nation, à l'arrière-plan du bureau présidentiel. C'est cet oeil, l'oeil qui surveille Macron et qui fait que la France est dévolue aux forces du mal au lieu de l'être aux forces du bien.
Conclusion :
La charpente de la cathédrale a traversé 9 siècles, une guerre de religions, plusieurs révolutions antichrétiennes, deux guerres mondiales, mais n'a pas résisté à la "République", Ve du nom.
Tout indique que le feu n'était pas "normal" :
1) Les travaux n'avaient pas encore commencé, les ouvriers en étaient aux préparations et aucun point chaud n'est envisageable.
2) Aucun court circuit relatif au travaux n'est possible. Le circuit était coupé, la boite fermée, la clé remise au responsable de la sécu.
3) Aucun court circuit relatif aux installation permanente (systeme anti incendie) n'est possible non plus, aucun raccord électrique dans les combles.
4) De plus même un court circuit n'aurait certainement pas suffit à mettre le feu.
5) L’accès au toit n’était pas très difficile; intrusions régulières
6) L'accès aux enquêteurs est interdit.
7) D'emblée les médias parlent d'accident au bout d'une heure "suite aux travaux". De même la justice ouvre d'emblée une enquête pour incendie involontaire ce qui revient a tirer une conclusion avant d'avoir commencé l'enquête. Pourquoi ?
Feu "qui s'est propagé très vite et de manière anormale", ou signe surnaturel d'avertissement, quoiqu'il en soit, à l'heure actuelle, il n'y a plus ni la flèche, ni la toiture, ni les quatre évangélistes, ni les Douze Apôtres : il n'y a plus de protection sur la France.
Prions pour que ce drame fasse réfléchir de nombreux Français.
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