Et après on nous dit qu'il n'y a pas de complot ! L'information suivante n'est pas sans nous rappeler la période 1789-1792, lorsque les grands ancêtres maçonniques de François Hollande durant la Révolution dite française ont déclaré la guerre à l'Europe afin de "sauver la Révolution"... et parce que notre salut était là ! (1)
Selon L'Obs, qui révèle le 17 mai l'existence de ce plan "informel" connu seulement d'"une poignée de membres du gouvernement, de directeurs de cabinet et de très hauts responsables de l'Etat" (c'est ce que l'on appelle la démocratie "représentative"!), "si Le Pen avait été élue... le plan secret pour "protéger la République" (2), Hollande et sa clique étaient prêts à jeter le pays dans la guerre civile "pour protéger la république" !… (3)
Ce plan ignoble, anti-démocratique, prévoyait dans un premier temps d'anticiper des manifestations violentes :
"des mouvements d'extrême gauche, plus ou moins implantés, chercheront sans nul doute à organiser des manifestations dont certaines pourraient entraîner des troubles sérieux", avaient écrit les services de renseignement en collaboration avec la Direction centrale de la Sécurité publique (DCSP), dans une note révélée le 22 avril dernier par Le Parisien. (4)(5)
Plan du gouvernement en cas de victoire de Marine Le Pen - Violences urbaines et maintien au pouvoir de Bernard Cazeneuve (Le Parisien, Présidentielle : la note secrète sur les menaces autour du scrutin, 22 avril 2017)
L'état d'urgence devait ensuite être conservé et Bernard Cazeneuve rester en place :
"certes, le maintien en poste du Premier ministre est contraire aux usages républicains, mais sa démission n'est en rien une obligation constitutionnelle", souligne L'Obs.
Pour la suite, le Parlement devait être convoqué jeudi 11 mai avec l'ordre du jour "la crise nationale provoquée par les violences qui ont suivi le scrutin" (sic) ! (6)
Toujours selon les informations de l'hebdomadaire, des élus devaient exiger qu'il n'y ait aucune vacance du pouvoir et que le Premier ministre du gouvernement sortant Bernard Cazeneuve, pouvait, en toute légitimité, rester à son poste pour gérer la crise. Ben voyons !
Notons qu'encore une fois, les milices d'extrême gauche devaient servir d'armes de l'oligarchie contre la volonté du peuple exprimée au cours d'un scrutin.
Au sujet de Bernard Cazeneuve, Famille Chrétienne a révélé en 2014, "la face cachée d'un politique déterminé". (7) À l’annonce de sa nomination comme nouveau ministre de l'Intérieur, mercredi 2 avril 2014, l’un de ses prédécesseurs place Beauvau, Nicolas Sarkozy, avait estimé qu’"il n’est pas connu pour son autorité". Qu'eut-ce été s'il avait été connu pour son autorité !
Pour Philippe Gosselin, député de la Manche, les qualités de Bernard Cazeneuve – "patelin et tout en rondeur" – devaient lui permettre de montrer ses talents de négociateur et de diplomate. "Sa personnalité est moins clivante que Manuel Valls, qui a brusqué l’opinion politique par son traitement musclé de La Manif pour tous", estima le parlementaire normand, qui eut souvent l’occasion de travailler avec l’ancien président de la communauté d’agglomération de Cherbourg.
En 2012, comme porte-parole de Hollande durant la campagne présidentielle, Bernard Cazeneuve avait réagi brutalement à la proposition de Nicolas Sarkozy de promouvoir une "laïcité positive". Il endossa la cape du laïcard combattant contre la religion et écrivit que la "laïcité porte en elle l’espérance de l’affranchissement de l’homme, par le dépassement de tous les dogmatismes". Sauf le sien apparemment ! Pour lui, évoquer les racines chrétiennes de la France, c’était "faire une relecture historique frelatée" qui avait "rendu la France peu à peu nauséeuse" ! Quand on vous dit que ces gens n'aiment pas la France ! C’était en tout cas "brader l’héritage laïque de la France". Il faudra que les tenants de ce laïcisme de combat contre la religion catholique nous explique qui est l'inventeur de la laïcité conçue comme principe de distinction des pouvoirs temporel et spirituel !
Ce laïcisme anticatholique de Bernard Cazeneuve ne l'empêcha pas en août 2016 de déclarer dans un entretien à La Croix sur son projet de "Fondation pour l’islam de France" ainsi que le dispositif de formation des imams : "Encore une fois, l’objectif est de faire émerger de manière volontariste, dans le respect de la laïcité, dans le dialogue et le respect mutuel, un islam de France ancré dans les valeurs de la République". (8)
Ades mots et des principes que la république a dévoyés et subvertis.
. Le sursaut civilisationnel vise donc à se réapproprier
En juillet 2015, il proposa une réforme sur le droit des étrangers qui fut adoptée en janvier 2016. En août 2016, il précisa les conditions d'accueil des migrants en omettant toute référence aux notions d'immigration régulière ou d'immigration illégale (La circulaire passée sous silence qui supprime la notion d'immigration illégale, Alexis Théas, lefigaro.fr, 12/08/2016)
Le plan des mondialistes est d'empêcher tout sursaut civilisationnel sur la base de nos principes historiques et culturels, islamiser le pays pour le diviser, se servir de tout levier pour garder le pouvoir quel qu'en soit le prix.
Notes:
(1) En 1792, les Brissotins (ou "Girondins") ont déclaré la guerre à l'Autriche (20 avril 1792), afin de porter un coup fatal à la monarchie, en se réjouissant par avance de la défaite militaire de la France, qui établirait enfin la preuve de la "trahison du roi"... (Source: P. Gueniffey, Histoire de la Révolution et de l'Empire, Perrin, Collection Tempus, Paris 2011, pages 176, 227 et 670). "Nous la voulions (la guerre Ndlr.), nous autres jacobins, parce qu'à coup sûr la paix tuait la république..."' (Jean-Baptiste Louvet dit Louvet de Couvray, cité in Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinsime, Ed. de Chiré, Chiré-en-Montreuil 2005, tome 2, p. 473); (2) L'Obs; (3) Boulevard Voltaire; (4) Le Parisien; (5) L'Express; (6) Yahoo Actualités; (7) Famille chrétienne; (8) Bernard Cazeneuve : « Faire émerger un islam de France ancré dans les valeurs de la République », La Croix, Recueilli par Guillaume Goubert, Anne-Bénédicte Hoffner et Corinne Laurent, le 28/08/2016 à 19h00