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Christ Roi

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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 15:02
http://www.la-croix.com/Monde/Syrie-Washington-menace-dune-action-unilaterale-en-cas-dechec-a-lONU-2017-04-05-1300837461

http://www.la-croix.com/Monde/Syrie-Washington-menace-dune-action-unilaterale-en-cas-dechec-a-lONU-2017-04-05-1300837461

Bachar el Assad est accusé par la communauté internationale d’avoir de nouveau utilisé l’arme chimique mardi 4 avril à Khan Cheikhoun, dans la province d'Idleb, une attaque qui a causé, selon différentes estimations, entre 60 et 80 morts et des centaines de blessés. Les chancelleries occidentales ont aussitôt toutes appelé à une réaction internationale (Source). Le président américain Donald Trump a imputé l'attaque au gouvernement de Bachar el-Assad, malgré l’absence de preuve. Il a menacé d'une intervention militaire unilatérale (Source). L’affaire, qui donne lieu à des manœuvres à l’ONU, est minée d’arrières pensées. (Source)

 

Notons que l'ambassadrice américaine à l'ONU Nikki Haley montrant des photos des victimes de l'attaque chimique n'est pas sans rappeler la fake news de Colin Powell brandissant des fioles prouvant l'existence d'armes de destruction massive pour justifier l'intervention US en Irak en 2003, assertions mensongères plus tard démenties. Durant la guerre d'Irak en mars 2003, l'inspecteur de l'ONU Hans Blix indique qu'il n'y avait pas d'armes de destruction massives en Irak. Les inspections américaines menées pendant la guerre s'accordent pour dire que l'Irak avait abandonné son programme nucléaire, chimique et biologique après 1991 bien que des résidus d'armes chimiques aient été trouvés en revanche au nord de Bagdad. Le dossier cité par Colin Powell avait été fourni par l'administration de Tony Blair, le Premier ministre britannique qui reconnaîtra le 7 février 2003 des "gaffes" dans le dossier. Dès le 8 février, les journaux anglais identifiènt les vrais auteurs du rapport comme étant les services de communication de Downing Street et la pauvreté des sources utilisées par ces derniers (plagiat universitaire et sources suspectes...) Jane Harman, élue démocrate de Californie, souligna que la propagande des ADM irakiens est « la plus grande manœuvre d’intoxication de tous les temps ». Paul Wolfowitz, le numéro deux du département de la défense, a reconnu le mensonge d’état, en avouant que « nous nous sommes entendus sur un point, a-t-il précisé, les armes de destruction massive, parce que c’était le seul argument sur lequel tout le monde pouvait tomber d’accord » (Source: Mensonges d'Etat, Ignacio Ramonet, Le Monde diplomatique)

Colin Powell, secrétaire d'État des États-Unis, tenant une capsule d'anthrax, prétend que l'Irak est susceptible de posséder des armes de destruction massive, 5 février 2003

Colin Powell, secrétaire d'État des États-Unis, tenant une capsule d'anthrax, prétend que l'Irak est susceptible de posséder des armes de destruction massive, 5 février 2003

Bien qu'une "attaque chimique" à la Ghouta en 2013 avait permis les Occidentaux de lancer une propagande anti-syrienne et d'être à deux doigts de lancer une nouvelle guerre dans ce pays, celle-ci fut empêchée in extremis à la suite d'un vote du parlement britannique contre la guerre le 29 septembre 2013. Le sur-lendemain, 31 septembre Obama, dans un volte-face étonnant, renonçait à sa guerre en Syrie et demandait un vote du Congrès. On ne sait toujours pas qui a utilisé le gaz Sarin en Syrie. L’affaire avait permis à l’Occident de soutenir les rebelles dits "modérés", dont Al Nosra, qui a fait depuis, selon Laurent Fabius, "du bon boulot".

 

Qu’y a-t-il donc derrière les manières de bateleur de Trump ces jours-ci?, s'interroge Pauline Mille pour Reinformation.Tv, une simple esbroufe pour montrer au peuple et aux médias qu’il n’est pas l’ami de Poutine qu’on l’accusait d’être ? Ou une aventure qui ferait plaisir à la fois aux faucons israéliens, dont il a recherché les faveurs déjà par le choix de l’ambassadeur à Jérusalem, et au complexe militaro-industriel ? Cela semble à la fois dangereux et peu conforme à ce qu’il annonçait, mais cela signifierait qu’il n’a pas d’autre moyen de se maintenir, et de faire avancer sa politique sur d’autres sujets, que de s’allier avec le diable belliciste...

 

Selon l'ambassadeur syrien à Moscou aujourd'hui, l'"attaque chimique" est une "frappe US coordonnée avec Daech et al-Nosra" (Source). "Ce prétexte (de l'attaque chimique) est tiré par les cheveux car la Syrie et son armée ne possèdent plus l'arme chimique : la Syrie a adhéré à l'OIAC et cette organisation a confirmé que la Syrie avait honoré ses engagements relatifs à l'évacuation de l'arme chimique. Je confirme une nouvelle fois que l'Amérique soutient le terrorisme dans la région. J'estime qu'à l'opposé de ce qui se passait auparavant, cette frappe est une ingérence directe réalisée sans intermédiaires", a souligné l'ambassadeur syrien.

 

Or, suite à cette hypothétique "attaque chimique", les États-Unis ont tiré dans la nuit de jeudi à vendredi 7 avril des missiles de croisière sur une base gouvernementale syrienne. Selon le Pentagone, 59 missiles ont été lancés depuis des navires de la marine américaine, tuant, selon les données actualisées, 14 personnes, dont neuf civils et des enfants trouvés morts dans l'attaque.

La frappe a visé l'aérodrome de Shayrat qui serait « directement lié » à l'attaque chimique sur Khan Cheikhoun, selon l'administration américaine.

« Des dizaines » de missiles Tomahawk ont été tirés sur la base aérienne syrienne, depuis des destroyers de l'U.S. Navy dans l'est de la Méditerranée, touchant plusieurs cibles sur la base aérienne de Shayrat. La frappe a été menée avec "59 missiles", a précisé un responsable de la Maison Blanche, indiquant que les États-Unis avaient frappé la base aérienne qui, selon Washington, est "directement liée" aux évènements "horribles" de mardi. (Source)

 

En réalisant une frappe sur la base aérienne syrienne, Washington a soutenu les terroristes, a déclaré vendredi l’administration présidentielle syrienne, citée par l’agence Sana. (Source) "L'attaque contre l'aérodrome d'un pays souverain démontre une fois de plus que le changement d'administration de ce régime [américain, ndlr] ne change pas sa politique qui se traduit par des attaques contre des États, régime qui soumet des nations et tente d'établir son hégémonie dans le monde. Si le régime américain croyait qu'avec cette attaque il pouvait soutenir ses alliés au sein des groupes terroristes […], la Syrie confirme que cette attaque n'a fait que renforcer la détermination de la république dans sa lutte contre les terroristes", stipule le communiqué.

Suite à la frappe américaine contre sa base aérienne, la Syrie pourrait entamer des consultations avec Moscou concernant une éventuelle riposte à l'attaque.

Damas ne décidera d'éventuelles représailles à la frappe US contre sa base aérienne qu'après des consultations avec Moscou, a déclaré l'ambassadeur syrien en Russie Riyad Haddad. (Source)

 

Nous apprenons dans l'après-midi que la Russie se réserve désormais le droit de réagir à des frappes US en Syrie. (Source)

 

L'agence de presse britannique Reuters avait rapporté le 4 avril que l'armée gouvernementale syrienne aurait lancé une attaque aérienne contre la ville de Khan Cheikhoun, dans la province d'Idleb, en utilisant des munitions contenant du "gaz toxique". Selon Reuters, le raid aurait été mené par des "avions appartenant à la Russie ou au gouvernement syrien". Le ministère russe de la Défense a officiellement démenti l'implication de l'aviation russe dans l'attaque. Des images prises sur les lieux ont été diffusées par les Casques blancs — qui ont vu le documentaire qui leur était consacré recevoir un Oscar — mais les preuves fournies suscitent de nombreuses questions chez les experts militaires. (Source) Tout d'abord, d'où vient l'arme chimique d'Assad? En 2014 les armes chimiques et leurs vecteurs ont été évacués de Syrie et détruits, comme l'a confirmé l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).

 

Les incohérences d'une attaque chimique de Bachar al Assad

 

Les États-Unis ont reconnu le jour de l'"attaque chimique" qu'ils ne devaient pas renverser le Président Bachar el-Assad et que c'était au peuple syrien de décider du destin de son pays. Washington n'envisage plus la possibilité d'un changement de régime syrien qu'elle considère désormais comme une "réalité politique", avait déclaré le porte-parole de la Maison-Blanche, Sean Spicer. Auparavant, le porte-parole de la Maison-Blanche avait déclaré que Washington devait "accepter la réalité" du pouvoir du Président Assad et se concentrer sur la lutte contre Daech. (Source)

 

Le changement d’attitude américaine avait été commenté pour Sputnik par Hashem Kuraim, du Parti républicain américain. « L'engagement militaire de la Russie en Syrie et les victoires de l'armée syrienne, devenues possibles grâce au concours de la Russie, constituent la principale raison du changement de la position américaine sur la Syrie. Moscou soutient la souveraineté syrienne et le pouvoir de Bachar el-Assad », a rappelé l'interlocuteur de l'agence. Et d'ajouter que tout cela n'avait pas permis la réalisation des projets américains de démembrement de la Syrie et de destitution de son président Bachar el-Assad. (Source)

 

Si l'utilisation d'armes chimiques par Bachar el Assad n'a jamais été prouvée, rappelons que les terroristes de Daech ont utilisé des obus chargés de gaz toxique au cours d'une attaque contre une base aérienne de la province syrienne de Deir ez-Zor, en avril 2016, ce qui a provoqué de graves problèmes respiratoires chez les militaires touchés.

La Russie a plusieurs fois appelé la communauté internationale à coordonner ses efforts en vue de mettre fin au terrorisme chimique. Moscou a proposé d'adopter une résolution spéciale du Conseil de sécurité de l'Onu. Malheureusement, les partis pris politiques et la position anti-Assad ont empêché d'adopter cette résolution et d'écarter cette menace. (Source)

 

On s'interroge également sur la pertinence de l'usage de l'arme chimique par Assad (s'il la possédait) aussi bien du point de vue politique que militaire.

La situation politique étrangère des dernières semaines était à l'avantage de Damas.

Les forces d'Assad progressent avec succès sans l'arme chimique et l'usage de produits toxiques contre une ville pacifique dans ce contexte est donc complètement illogique.

Dans le même temps, les médias qui ont diffusé l'information sur la frappe aérienne et l'attaque chimique n'ont pas réussi à tomber d'accord sur le nombre de victimes, qui allait de 50 à 100 personnes.

Selon l'expert militaire Mikhaïl Khodarenok, le rayon d'action dépend du calibre de la munition et de la substance qu'elle contient. Quoi qu'il en soit, il est question de plusieurs centaines de mètres carrés. Par conséquent, compte tenu de la densité des bâtiments, les victimes auraient dû se chiffrer par centaines, voire par milliers.

 

En diffusant les images de Khan Cheikhoun touchée par les produits toxiques, les Casques blancs ont négligé non seulement le bon sens mais également les moyens élémentaires de protection chimique.

Sur les images on voit des "sauveteurs" intrépides qui touchent les blessés sans gants — et sans aucune conséquence.

Leurs agissements suscitent également des interrogations: certains arrosent d'eau les victimes pour laver les produits toxiques, un autre fait du bouche à bouche à un enfant. (Source)

 

A qui profite le crime?

 

En effet, lorsqu'on regarde les dernières dates clefs du conflit syrien, on ne peut être qu'interpellé: l'attaque survient exactement une semaine après la fin d'un cinquième round de négociations entre l'opposition et le gouvernement syrien à Genève, lui-même rendu possible par la conférence Astana III, qui s'est déroulé il y a deux semaines. Les deux premières conférences dans la capitale Kazakhe ayant permis — sans le concours des occidentaux — d'établir et de consolider un fragile cessez-le-feu, en vigueur depuis la fin décembre en Syrie. Une question que semble justement s'être posée le député Gérard Bapt:

 

« Le régime n'avait aucun intérêt à provoquer ce scandale contre lui-même, la veille d'une réunion à Bruxelles, ou justement il était question d'associer des éléments du régime pour discussion. […] Dans la communauté internationale, la crainte était que le régime syrien ne se voit légitimé. » (Source)

 

En somme, alors qu'on assistait à une désescalade, pourquoi Bachar al Assad qui avait tendance à se faire oublier ces dernières semaines aurait eu-il subitement envie de refaire la Une de tous les journaux?

Autre facteur qui plaide en faveur de Damas, le gouvernement syrien a détruit ses stocks d'armes chimiques après l'attaque de la Ghouta. Une destruction assurée par des observateurs internationaux de l'OIAC. Le 18 août 2014, Barack Obama lui-même s'était félicité, dans un communiqué, de la destruction en Méditerranée par « des prof6essionnels civils et militaires en utilisant un mécanisme américain unique en son genre » des armes chimiques possédées par Damas.

 

Moscou appelle à ne pas faire confiance aux rapports des Casques blancs et de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), deux ONG qui ont régulièrement fabriqué de fausses informations.

Damas a pour sa part démenti toutes les accusations, invoquant leur caractère infondé.

« Il n'est pas exclu qu'ils aient eux-mêmes procédé à l'attaque, dans le but de lancer une campagne de propagande contre l'armée syrienne », a indiqué à Sputnik une source au sein des forces armées syriennes.

Moscou a aussi déclaré ne pas être concerné par les accusations. Selon le ministère russe de la Défense, « aucune frappe aérienne n'a été menée par l'aviation russe dans les environs de Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib.»

Damas ne détient plus d'armes chimiques depuis 2014, date à laquelle les armes chimiques syriennes ont été détruites en mer sous le contrôle d'experts américains. (Source)

 

Donald Trump oublie donc le fait que les armes chimiques possédées par la Syrie ont été détruites en 2014 par des professionnels civils et militaires sous contrôle des États-Unis eux-mêmes, rappellent des experts à Sputnik. Les États-Unis se sont félicités 18 août 2014 de la destruction en Méditerranée des armes chimiques les plus mortelles possédées par Damas. Dans un communiqué, le président Barack Obama a lui-même assuré que les armes avaient été détruites par « des professionnels civils et militaires en utilisant un mécanisme américain unique en son genre. » (Source)

 

Au lendemain d’une attaque chimique ayant coûté la vie à des dizaines de civils dans la province d’Idlib, l’aviation syrienne a frappé un entrepôt terroriste abritant des substances toxiques près de la ville de Khan Cheikhoun.

L'aviation syrienne a porté des frappes près de la ville de Khan Cheikhoun contre un entrepôt de terroristes où étaient entreposées des armes chimiques, destinées à être livrées en Irak, a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov. (Source)

 

"Il n'est pas exclu qu'ils aient eux-mêmes procédé à l'attaque, dans le but de lancer une campagne de propagande contre l'armée syrienne", a indiqué à Sputnik une source au sein des forces armées syriennes. (Source)

 

Précédemment le président syrien Bachar el-Assad avait déclaré que le gouvernement syrien n'avait utilisé aucune arme de destruction massive, arme chimique comprise, contre son peuple. Il a rappelé qu'en 2013 Damas avait donné son accord au démantèlement de ses armes chimiques et qu'à l'heure actuelle il ne disposait pas de stocks de ces armes. (Source)

 

La Syrie a adhéré à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques après une vaste attaque chimique en août 2013 dans la Ghouta, banlieue orientale de Damas. Cette démarche résultait d'un accord entre la Russie et les États-Unis sur la destruction des armes chimiques syriennes sous le contrôle de l'OIAC et a permis d'éviter une ingérence militaire des États-Unis en Syrie.

En août 2014, la destruction en Méditerranée des armes chimiques les plus mortelles possédées par Damas avait été annoncée. Dans un communiqué, le président

Barack Obama avait lui-même assuré que les armes avaient été détruites par « des professionnels civils et militaires en utilisant un mécanisme américain unique en son genre ».

En janvier 2016, l'OIAC avait annoncé la destruction totale des arsenaux chimiques syriens.

 

 

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