"En bref, cette affaire des « Panama Papers » a été initiée par des pirates informatiques dotés de moyens très puissants... La diffusion des informations contenues dans ces documents a été confiée à une organisation basée à Washington et financée, entre autres, par le milliardaire George Soros, qui fut aussi un des commanditaires du coup d’État contre le président ukrainien Ianoukovytch en février 2014. De ces documents, le public n’aura connaissance que des informations relatives à un nombre relativement réduit de décideurs politiques et de personnalités médiatiques de premier plan, au nombre desquels figurent bon nombre d’adversaires de ce qu’il est convenu d’appeler le Nouvel ordre mondial." (1)
Un autre article publié hier 6 avril sur l'excellent site Reinformation.tv sur ce sujet apporte des informations plus détaillées :
"George Soros finance le consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) qui a lancé l’affaire.
... [F]ait extraordinaire et peut-être significatif, le lanceur d’alerte des Panama Papers, après avoir volé les fichiers du scandale, les a donnés gracieusement à la Süddeutsche Zeitung, membre de l’ICIJ, et a tenu à rester anonyme. C’est un héros au cube. Pour les mauvais esprits que tant de beautés morales laissent dubitatifs, on notera que l’un des financiers de l’ICIJ, à côté de l’OCCRP, est l’Open Society Foundation, dont le propriétaire est le spéculateur mondial sur les monnaies George Soros.
... L’implacable loi du spectacle s’applique : après Poutine, méchant mondial, les médias français sont occupés par la chasse aux Le Pen père et fille, dont les Panama Papers sembleraient établir selon notre confrère le Monde qu’ils ont fraudé le fisc par l’intermédiaire de sociétés off shore. Il faut des people bien saignants pour faire saliver le populo et l’intéresser au feuilleton qu’on lui vend. Cela amuse tout le monde : imaginer Le Pen coincé dans un scandale de Panama, ça vaut un plafond peint par Michel Ange ou Boucher !
... Est-il donc étonnant que parmi les cibles des Panama Papers on relève le premier ministre d’un pays, l’Islande, qui s’était opposé frontalement au nouvel ordre mondial après la crise financière de 2008, un chef d’Etat qui passe à raison et à tort pour un adversaire du mondialisme américain, Poutine, et deux chefs populistes français, Marine et Jean-Marie Le Pen ?
... Il n’échappe à personne que Soros, qui a fait sa fortune sur la spéculation des monnaies, est un pion sur l’échiquier du nouvel ordre mondial, et qu’en particulier il dépend des Rothschild. Il ne saurait dont s’opposer à leurs intérêts fondamentaux sans disparaître. Pourquoi arrose-t-il une opération qui s’en prend à la haute finance ?
... [S]i l’ICIJ mène une opération qui paraît léser les Rothschild, ou même qui les lèse de façon mineure, c’est de bonne guerre. Deuxièmement, la puissance des Rothschild (combien possèdent-ils ? Cela se chiffre en tout cas en milliers de milliards de dollars), les met à l’abri de la chasse menée aujourd’hui par la maçonnerie internationale contre la hausse finance. On se souvient qu’au dix-neuvième siècle on disait qu’ils étaient les véritables rois de France et que leur pouvoir excédait celui de n’importe quel gouvernement, excepté celui de Sa Majesté Britannique, lequel avait alors l’empire du monde. Aujourd’hui, ils ont la main sur la FED après l’avoir eue sur la banque d’Angleterre. Ils maîtrisent donc l’émission de la monnaie de réserve : ils se trouvent en quelque sorte au-dessus de la haute finance. Et même s’ils doivent perdre de l’argent par l’impôt qui suivra un jour la chasse à l’évasion fiscale dont les Panama Papers ne sont pas encore l’hallali, ils garderont l’essentiel. Peut-être même y gagneront-ils, puisque leurs concurrents seront touchés, et que leur avantage concurrenciel croîtra.
Il faut se rappeler aussi qu’à leur niveau, comme à celui de la maçonnerie internationale, ce n’est pas l’argent qui compte, mais le pouvoir. Ou plus exactement le fait que l’argent est le moyen déterminant du pouvoir, puisque le sabre ne sert plus beaucoup et que le sacré a été détrôné. C’est la caractéristique principale de notre système politique actuel.
Il est significatif que l’une des victimes en soit Jean Marie Le Pen. Celui-ci a toujours été en effet lucide et courageux dans son combat contre le fiscalisme, qui est une plaie multiple, instrument de flicage et de ruine, instrument aussi de progrès du socialisme. Aujourd’hui, sous couleur de combattre les paradis fiscaux, la maçonnerie internationale vise à construire un enfer fiscal mondial, d’où aucune fuite ne sera plus possible, avec une augmentation de la fiscalité globale afin d’assurer une redistribution socialiste des revenus. En présentant Le Pen comme un délinquant (ce qu’il est peut-être, la loi étant ce qu’elle est, la justice le dira), les Panama Papers et ceux qui les exploitent discréditent en même temps toute révolte contre l’inquisition fiscale et le socialisme mondial qui lui est lié. (2)