Le 2 février 2014, Farida Belghoul était interdite de Manif pour tous." LMPT" pouvait dès ce moment-là s'assimiler à une "tentative de canalisation des mécontentements..., selon le vieux principe maçonnico-oligarchique de l'infiltration-noyautage-déviation de tout mouvement authentiquement populaire." LMPT commençait déjà à sentir l'organisation complice lorsque des infiltrations oligarchiques furent repérées lors de "LMPT" de Versailles du 15 décembre 2013. Un socialiste anonyme avait même déclaré quelques mois auparavant, le 24 mai 2013, avertissant l'homme averti : "Le meilleur moyen de tuer un mouvement social, c'est qu'un parti politique en prenne la tête..."
Or, que s'est-il passé ? Le 24 mai 2013, le doute quant à la mission de LMPT était encore possible.
La président de cette organisation, Ludovine de la Rochère avait déclaré deux jours auparavant à propos de La Manif pour tous organisée le dimanche 26 mai : "Il n'y aura pas d'homme politique qui interviendra au micro."
Pourtant ce ne fut pas le cas. Après la "Manif pour tous" Versailles du 15 décembre 2013 où les UMP Henri Guaino, Valérie Pécresse, Jean-Frédéric Poisson, ainsi que les maires de Versailles et du Chesnay [1] s'étaient infiltrés dans la Manif et avaient monopolisé la parole tandis que des "RBM" (rassemblement Bleu Marine) comme François Simeoni, étaient interdits de parole, le doute n'était plus possible, la récupération politique de la Manif Pour Tous par l'UMP était prouvée.
Mais d'aucuns dans les cercles nationaux libéraux catholiques continuèrent encore de soutenir cette organisation complice en 2014 , 2015, jusqu'à aujourd'hui où le revirement d'un certain Nicolas Sarkozy sur le sujet fait l'effet d'une bombe dans le petit milieu catho national libéral.
. Les mêmes feignent alors de s'étonner de son revirement dans son livre où il déclare que son mouvement politique ne reviendra pas sur la loi du soit-disant "mariage" homosexuel. Les catholiques nationaux libéraux qui étaient alors persuadés d'avoir remporté la victoire tant attendue "découvrent" qu'il ne s'agissait que d'un énième jeu de dupes.
Dans un communiqué du 22 novembre 2016, LMPT exprime ainsi sa "stupeur devant une telle instabilité dans l'expression des convictions de Nicolas Sarkozy". C'est vraiment à mourir de rire :
Sens commun et tout autres participants à ce système en sont.
Il n'y a pas lieu de s'apitoyer sur leur sort.
On ne peut rechercher le pouvoir, choisir un mauvais candidat, faire semblant de croire qu'il est bon, et ensuite faire semblant de s'apercevoir que l'on est cocu.
Tout comme pour les attentats récents, comment évoquer en termes de victimes, des personnes qui participent à des élections conduisant au pouvoir des hommes incapables de les défendre.
Ne faisant des lois que pour les protéger des claviers informatiques.
D'ailleurs parmi les problèmes urgent à régler la réforme de la disposition des touches en serait un...
Pour la petite histoire touches n'étant disposées ainsi non point car cela était le mode le plus rapide de frappe, mais justement pour ralentir la frappe afin de ménager les machines à écrire mécaniques de l'époque.
Comme il ne faut pas se plaindre des conséquences, des actions de l'armée de daessh qu'ils font rentrer en les nommant réfugiés...
Passé une certaine limite on ne peut évoquer que des cornuto voluntario
je me demande si l'expression est tout à fait celle là en italien.
Quant au Rousseau il compte ses jours, l'aboutissement ultime de ces idées étant incarné par Daesh,
Rousseau triomphe avec le règne de la Terreur qui consacre le règne de l’individu et ouvre une tyrannie d’un nouveau genre, la tyrannie de tous sur tous,
On s'est offusqué ici même des propos d'un évêque qui avait osé dire que la première cible de Daesh était l'islam, il avait pourtant raison. Car c'est exactement ce que vous venez d'écrire. La tyrannie de tous sur tous. On fait avancer l'islam et on en garde la cohésion par la terreur.
Ils avaient la douce liberté chrétienne ils avaient la France à aimer.
Ils l'ont prostituée à des étrangers, qui en étaient jaloux et ne l'aimaient pas...
Non ce ne sont pas des victimes, et même à un cetain point des complices.
(Fin de citation)