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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 08:15

Qui dit plus de « mixité» dit plus de Grand remplacement, plus discriminations, plus de violences et plus d'insécurité, mais aussi plus d'instinct de survie. Explications.

« Mixité» : Manuel Valls annonce un plan d'un milliard d'euros contre les jeunes

Quelques semaines après son utilisation du mot «apartheid», Manuel Valls a annoncé hier des mesures pour plus de « mixité sociale » [1], autre nom du mélange obligatoire nouvel ordre mondialiste que Nicolas Sarkozy, en 2008, souhaitait imposer par des « moyens plus contraignants encore ». Un grand brassage des populations (sauf chez les promoteurs de cette politique destructrice, qui eux - vous l'aurez remarquez - ne se mélangent pas...)

 

Par ce nouveau plan en vue de notre remplacement, le Premier ministre, souhaite mettre fin au « sentiment de relégation dont souffrent beaucoup de nos concitoyens » (entendez immigrés).

 

Manuel Valls dénonce sans le dire les Français qui « face à ce constat » (face à l'immigration et au Grand brassage obligatoire), avancent leurs « solutions dangereuses », solutions qui seraient « en rupture totale avec nos valeurs et notre modèle social». Parmi ces « solutions dangereuses », il y aurait par exemple, après l'immigration, la remigration.

Parmi les « certains » dénoncés par Manuel Valls, il y a notamment ces jeunes français qui, eux, n'ont bien évidemment pas droit au « sentiment de relégation ». Or ces jeunes, sont un sur deux entre 25 et 34 ans (50%) à déclarer vouloir voter FN aux prochaines départementales. [2] On peut donc en conclure que Manuel Valls annonce un plan oligarchique d'une minorité contre les jeunes majoritaires. Ce qui est aussi un plan anti-démocratique, si l'on entend la démocratie comme la politique faite par la majorité.

 

Ce plan représente «autour d'un milliard d'euros» sur les trois prochaines années. Les Français vont donc une nouvelle fois devoir payer de leur poche pour leur propre remplacement et leur propre discrimination.

 

Les logements sociaux détruits devront être reconstruits en priorité en dehors des quartiers sensibles. Il s'agit d'importer les populations immigrés à la campagne, en zone péri-urbaine, dans la « France de la périphérie », la « France invisible » (Christophe Guilluy) et des invisibles, où les Blancs s'étaient réfugiés suite à l'arrivée massive de populations étrangères dans les villes et centres villes et l'explosion de l'insécurité et du « sentiment d'insécurité » qui a toujours été nié par les promoteurs de la « mixité ».

 

« 5 milliards d'euros seront affectés à de nouveaux programmes de rénovation, générant 20 milliards d'investissement et de travaux ». Les projets de rénovation en cours seront « avancés de deux ans » afin de voir le jour « dès 2015-1016 ». La « mixité » à marche forcée.

 

Le gouvernement entend imposer la « mixité » grâce aux « logements sociaux » dans les communes

 

Dès le mois de juin, les préfets, pourront délivrer les permis de construire à la place des maires résistants et récalcitrants qui jusqu'ici refusaient la «mixité» dans leur commune. Le plan Valls de «mixité» enterre la démocratie dans les communes, villes et villages. Désormais, la politique se fait depuis Paris ! La suppression des maires, cette institution médiévale, est un scandale. Le signe que nous basculons dans une dictature inouïe encore jamais vue.

 

À l'inverse, dans les 1500 « quartiers prioritaires », autrement dit dans les zones déjà fortement mixées, des instructions seront données aux préfets pour limiter la construction de logements sociaux, car « il faut arrêter d'ajouter de la pauvreté à la pauvreté », juge Manuel Valls.

 

 

Du fait de leur éloignement des centres de vie et des bassins d'emploi, on sait que les péri-urbains et les ruraux sont tout autant, voire même plus pauvres que les résidents des  « quartiers prioritaires », mais ces péri-urbains et ces ruraux n'ont, eux, aucun droit, et ne sont que des laissés pour compte de la république dite française. L'ancien ministre socialiste du gouvernement Ayrault, Thierry Repentin, sera nommé délégué interministériel en charge des quartiers en difficulté pour coordonner ce plan.

 

A l'école, le gouvernement veut encourager la « mixité » en luttant « contre les contournements réguliers de la carte scolaire », a affirmé le premier ministre.

 

« Une offre éducative par correspondance sera développée », le « périmètre de recrutement des lycées » va évoluer. Le gouvernement veut renforcer ce qu'il nomme « la formation des enseignants », c'est-à-dire « le choix d'enseigner dans les établissements relevant des conventions d'éducation prioritaire doit être valorisé ». Déjà que plus personne ne souhaite devenir enseignant (crise de l'autorité à l'école, pénurie de candidats aux concours de l' »Education dite nationale », insécurité des professeurs), on se demande où ils iront chercher leur futurs enseignants ?

 

La deuxième partie du quinquennat du totalitaire François Hollande verra l'arrivée de nouveaux programmes scolaires en 2015 pour la maternelle et 2016 pour le primaire.

 

Une «agence de la langue française» sera créée afin de lutter contre « l'inégalité majeure qui existe entre ceux qui maîtrisent le français et ceux qui ne le maîtrisent pas ».

 

Le Premier ministre a annoncé que l'accent serait mis sur l'apprentissage du français, « socle de la citoyenneté », comme si la langue à elle seule pouvait être un élément de cohésion nationale.

 

La langue n'est qu'un marqueur identitaire, pas un vecteur d'unité nationale. Par exemple, jusqu'au début XXe siècle, les Français parlaient un dialecte local, une langue régionale, parfois même il ne connaissaient pas le français avant d'aller à la grande boucherie de 1914 comme au Pays basque, et pourtant, cela n'empêchait pas un fort sentiment d'appartenance à la nation française parmi les conscrits qui allaient mourir en masse pour le vampire républicain.

 

L'accent mis sur l'apprentissage du français sera donc totalement inopérant si, dans le même, on poursuit l'accent mis sur l'enseignement d'une histoire sur mesure, à la carte, une histoire ethno sectorielle pour 40 à 50% d'élèves possédant moins de 350 mots de vocabulaires (réforme UMP Xavier Darcos 2011), en éliminant l'enseignement de l'histoire de France pour la remplacer par l'enseignement de l'histoire des royaumes africains, du Monomotapa, Dahomey. Les élèves d’origine mandé-malinké de Tremblay en France sont peut-être attentifs à l’histoire de l’empire du Mali qui fut constitué par leurs ancêtres, mais il n'en est pas de même avec les petits soninké de Garges les Gonesse, héritiers, eux, du royaume de Ghana qui fut détruit par les premiers... De plus, comment vont réagir les rejetons des nombreux autres peuples africains ? N’y a-t-il pas une forme de discrimination à leur égard ? En effet, pourquoi privilégier le Mali ou le Ghana et passer sous silence l’empire Luba et le royaume zulu ? Bref, on n'en finit plus. La « lutte contre les discriminations » c'est toujours plus de discriminations.

 

En outre, l'accent mis sur l'apprentissage du français sera totalement inopérant si le but du programme est de faire continuellement référence à la traite des esclaves, comme une sorte de fil conducteur, en tentant de faire croire aux élèves que l’histoire du monde tient dans un manichéisme primaire, celui de la confrontation entre les méchants (les Européens), et les bons (les autres). L'ethno culpabilité d'un côté et l'ethno victimisation de l'autre n'est-elle pas un racisme ?

 

Au travail, «lutter contre toutes les discriminations, c'est l'objectif de la politique de “testing” que nous mettrons en place dès cet automne», a annoncé le premier ministre. Le “testing” consiste a effectuer des tests de recrutement en proposant à des recruteurs ou à d'autres organismes un CV faisant apparaître un ou plusieurs critères de discrimination. Cette procédure juridique, qui permet à une catégorie de consommateurs ou de locataires qui se considèrent lésés par une décision d'aller ensemble en justice, pourra être sollicitée dans des affaires de discrimination. Des mesures devraient toucher le recrutement dans la fonction publique. «L'État, la fonction publique, doivent être à l'image de ce qu'est la réalité de ce pays», a déclaré Manuel Valls.

 

S'agissant de la « politique de la sécurité », « dans certains quartiers, c'est l'insécurité qui domine. Peu importe pour Manuel Valls. Pour féliciter en quelque sorte les comportements incivils dans les « quartiers en difficulté », Manuel Valls y met les « ZSP», zones de sécurité prioritaire, déjà mises en places par son prédécesseur.

Mieux, le «pack deuxième chance », jusqu'ici testé en région Rhône-Alpes, sera généralisé : cet outil de la « boîte à outils » de François Hollande, prévoit un « dispositif d'accompagnement individuel » à destination des « jeunes sans emploi, sans formation », a indiqué le chef du gouvernement. « Plus de moyens » doivent être concentrés dans ces quartiers « pour offrir une formation à tous », telle que l'apprentissage ou le parrainage.

 

L' »amélioration de la formation des enseignants » signifie en fait l'absorption de la religion par Leviathan. Pour Manuel Valls, le respect du principe de laïcité «n'est plus une question de loi» mais de «mise en œuvre » du texte de 1905. « Cela commence […] par l'école en formant mieux les enseignants. Plus largement, le chef du gouvernement estime que le statut de l'ensemble des fonctionnaires « doit rappeler que la laïcité est un principe essentiel de la fonction publique ».

 

Un « grand débat national » est annoncé « dans un maximum de quartiers » « avant l'été ». Les Français de souche seront-ils consultés ?

 

Ces annonces du gouvernement constituent « à la fois les grands axes, les valeurs, la philosophie qui vont s'appliquer à court ou moyen terme », a expliqué le Premier ministre. Pour autant, il reste « nécessaire » d'envisager des « pistes nouvelles qui correspondent aux aspirations de notre époque ».

 

«Nous voulons faire vivre cette passion de la citoyenneté et de l'égalité », a affirmé Manuel Valls. « Nous voulons aussi porter un message d'espérance».

 

Alors qu'il annonce un plan «autour d'un milliard d'euros» pour sa politique de « mixité », Manuel Valls indique que «tout ne se réglera pas à coups d'euros supplémentaires».

 

«À travers cette réunion, ces propositions, cette démarche, cette méthode, nous voulons répondre avec gravité et volontarisme à cette exigence des Français qui s'est exprimée au mois de janvier.» (lors de la manifestation des « Je suis Charlie » NDLR.)

 

Conclusion

 

Le manichéisme raciste à l'école (ethno culpabilité d'un côté et ethno victimisation de l'autre), la « mixité » obligatoire dans les villes, les communes, les villages, la « mixité » obligatoire au travail, ignorant tout sentiment de relégation des Français de souche, sont gros de réactions en chaîne encore inimaginables.

 

Malgré que tout indique que les Français sont en train de se couper totalement des institutions républicaines (fuite des ZSP et zones de mixité, records d'abstention battus à chaque élection, instinct de survie jusque dans les périphéries, mouvement de néo-féodalisation en retour par instinct de survie), les politiques au pouvoir depuis 40 ans, de droite comme de gauche, maintiennent le cap, les yeux fermés, de leur plan de Grand remplacement.

 

Notes

 

[1] «Apartheid social» : un milliard d'euros sur trois ans pour favoriser la mixité, Home ACTUALITE Société, Par lefigaro.fr, Mis à jour le 06/03/2015 à 19:58, Publié le 06/03/2015 à 19:02

[2] Départementales : un sondage donne le FN en tête avec 33% des voix, Home ACTUALITE Flash Actu Par Le Figaro.fr Mis à jour le 01/03/2015 à 23:02 Publié le 01/03/2015 à 21:43

 

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