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Christ Roi

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Horloge

29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 19:40

"[N]ous assistons au développement d’une idéologie, le mondialisme, qui, sous couvert d’unifier l’humanité dans un cadre planétaire, exerce déjà une pression liberticide sur le droit au sol historique des peuples, et sur la spiritualité. En cela nous retrouvons la construction autoritaire d’un empire.

« il y a l’histoire officielle, et derrière l’histoire officielle il y a l’histoire officieuse » disait Balzac. Derrière tout cela l’oligarchie financière règne.

Je cite dans mon livre « la marche irrésistible… » l’Atlantikbrucke crée en 1952 par les banquiers allemands Eric Blumenfeld et Eric Warburg dont une partie de la famille émigra aux Etats-Unis. Son président actuel n’est autre que Thomas Enders patron d’airbus, concurrent de boeing…Cet institut prône le resserrement des liens atlantiques dans les domaines polititiques, économiques et militaires.

Mais il y a également la french american foundation (FAF) créée en 1976 par le CFR américain et, côté français, Jean-Louis Gergorin impliqué dans l’affaire Clearstream. Cette fondation est financée par l’ancien directeur adjoint de la CIA sous Carter, Franck Carlucci, ancien directeur également de Carlyle. Nous trouvons également EADS, la Société Générale, etc."

A la tête de la FAF on trouve John Negroponté, coordonnateur d’une quinzaine de services civils et militaires, dont la CIA jusqu’au 4 janvier 2007. Ce qui est intéressant, c’est que la FAF recrute sur dossiers de candidature et après selection des youngs leaders dont la finalité « est de créer des liens durables dans le cadre de leur accession à des postes clés… »

Parmi ces youngs leaders nous trouvons entre autres du côté américain la famille Clinton, hommes et femmes, Brzezinski. Mais parmi les youngs leaders français, nous trouvons François Hollande admis en 1996, Alain Juppé (1981), Nathalie Kosciusko-Morizet (2005), l’ancien directeur du cabinet Sarkozy, Emmanuel Mignon (2005), Arnaud Montebourg (2000), Pierre Moscovici (1996), Valérie Pecresse (2002), et tant d’autres dont Dupont-Aignan, faux souverainiste (2001), mais aussi Christine Ockrent (1983),Jean-Marie Colombani (1983), Jérome Clément, président d’ARTE (1982), Alain Minc (1981).

Hors, c’est devant la french américan foundation qu’en 2006 le nouveau président Sarkozy prononça son premier discours d’allégeance à une politique commune euratlantique. Qui pourrait croire que le choix d’un tel auditoire fut anodin ?

... [L]e pouvoir politique n’est que le pâle figurant d’oligarchies financières pour lesquelles, mondialisme et alter mondialisme sont les deux jambes d’un même minotaure."

Pierre Hillard, Entretien à

Nationspresse.info

Comme par hasard, le site "révolutionnaire" "rue89" a pour rédacteur en chef un certain Pascal Riché, "young leader" membre de la French american foundation pour l'année 1999... Lire: We are change Paris contre Rue89...

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 18:30

Samedi de la quatrième semaine de carême, 28 mars 2009.

Chers Amis du “Refuge Notre-Dame de Compassion“,

Dans les réflexions que je vous livrais avant-hier (cf.> www), j'ai voulu mettre en évidence combien la fidélité à la personne et aux enseignements de Notre-Seigneur Jésus-Christ ne peut en définitive qu'aboutir à un conflit. Les actuelles polémiques et les contestations de plus en plus virulentes autour du Souverain Pontife et de sa parole - avec tous les mensonges et manipulations que nous avons déjà évoqués -, les remises en question de plus en plus haineuses et passionnées de l'enseignement et de la discipline de l'Eglise ne peuvent pas vraiment étonner celui qui a fait des Saints Evangiles sa nourriture.

Notre-Seigneur nous l'a dit très explicitement : “Pensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre? Non, je vous le dis : mais la division. Car désormais, dans une seule maison, cinq seront divisés, trois contre deux, et deux contre trois ; seront divisés le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre sa belle-fille et la belle-fille contre sa belle-mère” (Luc XII, 51-53). Ou encore en Saint Matthieu : “Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive “ (Matth. X,34). Si l'attachement à Notre-Seigneur peut être source de conflits entre des personnes liées par le sang et par les affections les plus naturelles, à combien plus forte raison  dans les sociétés civiles…

Cette situation conflictuelle ne peut même qu'aller croissant lorsque ces sociétés ont leurs fondements et leurs références dans des “valeurs” étrangères à la Loi divine et à la loi naturelle elle-même. Ce pourquoi je n'hésite pas à dire (et à répéter de manière insistante) que, s'il n'y a pas une adhésion fondamentale de la société civile à l'esprit de l'Evangile, on arrive nécessairement à la persécution.

La persécution peut s'exercer de diverses manières, plus ou moins avouées, plus ou moins larvées, plus ou moins insidieuses. On ne vous jettera peut-être pas aux lions, on ne vous enduira peut-être pas de poix pour faire de vous des torches vivantes destinées à éclairer de somptueuses fêtes nocturnes, on ne vous soumettra peut-être pas au chevalet, au grill, aux ongles de fer et à ces mille autres raffinements de cruauté physique dont nous lisons les détails dans le martyrologe… pas tout de suite du moins. Cependant on saura bien, et de plus en plus - tantôt par la dérision, tantôt par la séduction, tantôt par des pressions et des contraintes, psychologiques ou administratives, sociétales ou médiatiques - déployer une large palette de moyens pour vous intimider ou vous contraindre. “1984″ de Georges Orwell ou “le Maître de la terre” de Robert Hugues Benson ne sont probablement que de pâles figures de ce qui peut arriver…

Le Vicaire de Celui qui, quarante jours après sa naissance, a été  désigné comme un “signe de contradiction” (Luc II, 33), peut-il être autre chose qu'un signe de contradiction à son tour?  Alors, oui, pour reprendre l'expression de Monsieur Alain Juppé, il est dans l'ordre des choses, il est normal, il ne peut être étonnant que - pour tous ceux dont le mode de pensée, de fonctionnement et d'action relève davantage des maximes du monde que de l'Evangile - ce Pape “pose un vrai problème ” et devienne lui aussi une “pierre de scandale” : “Ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement, ainsi qu'il est écrit : 'Voici que je mets en Sion une pierre d'achoppement et une pierre de scandale ; et quiconque croit en lui ne sera point confondu' (cf. Isaïe VIII, 14 & XXVIII, 16)” (Rom. IX, 32-33).

La royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ  ne lui est pas décernée par ce monde (il l'affirmera devant Pilate, cf. Joan. XVIII, 36) : elle ne procède pas du suffrage universel, elle n'est pas ordonnée à la logique de nos politiques. Après la multiplication des pains, Notre-Seigneur s'est dérobé à l'enthousiasme des foules qui voulaient le faire roi. Cependant il est véritablement roi et sa royauté s'exercera sur ce monde, que celui-ci le veuille ou non : “Opportet illum regnare! Il faut qu'il règne!” (1 Cor. XV, 25).  Cette royauté découle, au plus haut degré, de ses droits de Rédempteur : elle n'est pas acquise par les urnes mais par le sang. Ce n'est pas le jour de la multiplication des pains ou le dimanche des Rameaux que Jésus prend possession de son règne, mais c'est le Vendredi Saint. Si nos modernes instituts de sondage avaient interrogé ce jour-là les hiérosolymites et tous ceux qui s'étaient naguère précipités pour écouter les enseignements du “Rabbi galiléen”, dans l'enthousiasme des jours faciles, avec l'espoir plus ou moins avoué de le voir faire ou d'être les bénéficiaires de ses miracles, il est bien évident que les pourcentages en sa faveur auraient été infimes. Rappelons-nous tout ce que la petite phrase des disciples d'Emmaüs recèle d'incompréhension profonde et d'amère déception : “Et nous qui espérions que ce serait lui le rédempteur d'Israël!…” (Luc XXIV, 21). Rien d'étonnant donc à ce que les foules manipulées d'aujourd'hui, à ce que les journalistes et autres “faiseurs d'opinion”, à ce que les hommes politiques et tous ceux qui bornent leurs espérances aux horizons terrestres crient au scandale.

Ecce ascendimus Jerosolymam… Voici que nous montons à Jérusalem”(Luc XVIII, 31), lisions-nous dans l'Evangile du dimanche de la Quinquagésime : tout ce qui a été écrit au sujet du Fils de l'homme - livré aux païens, tourné en dérision, outragé, couvert de crachats, flagellé et mis à mort -, tout cela, le “Corps mystique” du Christ - la Sainte Eglise - est appelé à y participer à sa suite. Nos temps actuels ne peuvent pas être étrangers à cette participation.

Par la liturgie, nous allons entrer ce soir dans le temps de la Passion : “Ecce ascendimus Jerosolymam!” Ce dont nous sommes aujourd'hui les témoins n'est que la répétition de ce qui s'est passé au printemps de l'an 33 : avec des figures et des noms différents, nous retrouvons les mêmes acteurs, les mêmes passions humaines, les mêmes intérêts… et les mêmes fidélités.

Aujourd'hui encore il y a ceux qui - comme les grands prêtres félons - craignent que leur  emprise sur les foules soit “concurrencée” (on peut par exemple penser à tous ceux qui sont furieux du succès du voyage du Pape Benoît XVI en France, en septembre dernier) : “Si nous le laissons ainsi tous croiront en lui…” (Jean XI, 49). Il y a tous les modernes pharisiens : “Voyez-vous que nous ne gagnons rien? Voilà que tout le monde court après lui” (Jean XII, 19). Il y a tous les Judas, tous ceux qui se scandalisent au sujet du parfum versé par Marie-Magdeleine (Jean XII, 4), ceux dont les raisons “humanitaires” recèlent de secrètes convoitises, et tous ceux qui ont détourné l'Evangile pour en faire une “option préférentielle” pour les luttes de ce monde (même si objectivement elles sont des “bonnes causes”, des “causes justes”, mais ils ont perdu tout sens surnaturel). Ne l'oubliez pas, Judas était apôtre : il n'avait pas reçu un appel moindre ; sa vocation était véritable ; il avait eu des grâces hors du commun ; il avait accompli des miracles et chassé des démons… Et aujourd'hui encore il en est - parmi ceux dont la vocation chrétienne était véritable,  parmi ceux dont la vocation religieuse ou sacerdotale était véritable, parmi ceux dont la vocation épiscopale était véritable - qui finissent par se détourner du Christ, qui perdent le sens du salut des âmes et l'authentique esprit de la rédemption, et qui en viennent, de diverses manières, à trahir et à vendre le Christ…

Aujourd'hui encore, il y a la même foule versatile qu'à Jérusalem : “Ils vinrent au devant de lui parce qu'ils avaient appris qu'il faisait des miracles” (Jean XII, 18). Ils ne recherchent pas dans le Christ le Sauveur de leurs âmes, mais celui qui leur rendra la vie facile ; ils ne recherchent pas à entendre sa parole pour se convertir, mais ils aspirent à ne plus travailler, à avoir facilement du pain et la santé, une situation honorable et tranquille…. Combien de chrétiens aujourd'hui sont plus attachés à leur petit confort intellectuel ou/et matériel plutôt qu'à une véritable démarche de conversion intérieure, plutôt qu'à se laisser façonner par la grâce? Combien de fidèles et d'ecclésiastiques qui se réjouissent trop superficiellement des succès populaires, des acclamations, des sondages favorables, de l'affluence à leurs rassemblements ou à leurs pèlerinages, des pourcentages de succès aux examens dans leurs “bonnes écoles” (alors qu'on a “écrémé” les effectifs selon des critères de réussite scolaire et non en fonction du bien des âmes), du nombre de participants à leurs retraites, ou d'assistants à leurs offices …etc? Combien qui se laissent éblouir par les “bonnes apparences” humaines et mondaines et en viennent à négliger le travail, toujours nécessaire et jamais achevé, travail intérieur et non quantifiable, de leur propre conversion à l'esprit du Saint Evangile? Combien qui par amoindrissement ou perte de l'esprit surnaturel s'enfoncent dans la tiédeur, dans de secrètes amertumes, dans des déceptions ou des découragements qui ne disent pas leur nom, lorsqu'ils n'ont pas les consolations humaines ou mondaines, ni les satisfactions immédiates et numériques de leurs efforts?… Tous ceux qui sont finalement attachés à “la gloire des hommes plus qu'à la gloire de Dieu” (cf. Jean XII, 43) et qu'on trouve indistinctement - même si cela ne s'exprime pas forcément avec les mêmes nuances - chez les “progressistes” ou chez les “traditionalistes” !!!

Aujourd'hui encore - et peut-être plus encore qu'il y a deux mille ans - nous avons des faux témoins qui travestissent les paroles du Christ ou de son Vicaire, qui dénaturent les enseignements de son Eglise ou qui calomnient ses serviteurs devant les sanhédrins médiatiques, devant les sanhédrins de l'opinion publique, devant les sanhédrins d'égoïsme et d'orgueil que tout homme porte au fond de lui-même.

Aujourd'hui encore il y a les manipulateurs qui veulent dispenser les hommes de bonne volonté de se faire une juste opinion et qui prétendent imposer ce qu'il faut penser et la manière dont il faut penser : “Si ce n'était pas un malfaiteur nous ne te l'aurions pas livré!” (Joan. XVIII, 30). “Si les propos que tient ce Pape n'étaient pas irresponsables et criminels nous ne les dénoncerions pas, nous ne les présenterions pas à la vindicte publique! Faites-nous confiance : nous, agences de presse, nous, ministres, nous, loges maçonniques… nous avons digéré l'information à votre place, nous avons pensé à votre place,  nous sommes en bien meilleure position que vous pour savoir ce qu'il faut dire et ce que vous devez en penser, ne vous fatiguez pas à chercher vous-mêmes, nous vous avons évité ce travail fastidieux!”. Suite

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 14:07
A un moment situé entre les anées 1960 et 1970, la morale commune a volé en éclats, et a cédé la place à d'autres 'valeurs'.

Le corollaire de cette évolution c'est la généralisation du relativisme. Puisque tout choix est personnel, toute vérité est relative. Ce subjectivisme est la marque de l'ouverture d'esprit ! Un subjectivisme élevé au rang de nécessité morale (ainsi ce qui avant était aberration devient aujourd'hui "exigence morale")...

Rien n'est plus légitime. ... Le droit à la subversion et au blasphème est présenté comme une 'exigence morale'.

Bousculer, changer (Ex: la 'France nouvelle'), bouger, innover, tels sont les mots d'ordre à suivre. Les symboles les plus sacrés peuvent 'librement' être piétinés... Cela est ouverture! 

(Réflexion tirée du livre de
Jean Sévillia, Moralement correct, Perrin, Paris 2007).
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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 14:02
Christine Albanel, ministre de la culture, "déplore" cet incendie... C'est bien peu. On est loin des fermes condamnations.
Elle a souhaité que "toute la lumière puisse être faite". Bon, ben voilà, pas grand chose en somme (
rien en ligne sur le site du dit ministère) et surtout ça réduit pour l'instant l'événement à une atteinte à la culture : rien de religieux, pas de discrimination possible, pas de cathophobie, etc...
Et le silence perdure en haut lieu en particulier du côté du
ministère de l'intérieur.
Le Salon Beige
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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 13:47
Tout s'est très bien passé et la mobilisation des jeunes cathos lyonnais était égale à celle des gays-lesbiennes et compagnie (où la moyenne d'âge était exceptionnellement élevée).

Compte rendu de La Croix

Merci à tous ceux qui ont fait l'effort de se déplacer.

Aucune provocation ne doit être tolérée, il est très facile de se mobiliser intelligemment partout où de telles provocations éclateront.
Le Forum catholique
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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 13:12
Les récents événements qui se sont déroulés dimanche 22 mars devant la cathédrale Notre Dame de Paris sont malheureusement symptomatiques des choses à venir. Hormis l’attaque en règle d’un lieu sacré et l’agression des fidèles, nous retiendrons plus spécifiquement la protection musclée par quelques cent cinquante policiers (!) d’une vingtaine de grands malades homosexuels qui se sont allongés devant les portes de la cathédrale, une charge de police contre les fidèles et des touristes, et l’arrestation de onze… jeunes catholiques (tout cela d’après agences de presse).

         Se pose effectivement la question de l’attitude à attendre des forces de l’ordre – gendarmerie, polices en tous genres, armée – si des événements graves venaient à secouer notre pays. Nous pensons à des « troubles sociaux » émanant de Français de souche fatigués de se voir rouler dans la farine par leur gouvernement et las de subir une invasion imposée dont les acteurs ont systématiquement plus de droits qu’eux.

         Pour parler net : de quel côté vont se retrouver ces forces de l’ordre ?
Suite

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 12:30

Les faits sont plus graves que ceux relatés dans la dépêche AFP et l'entrefilet que quelques médias ont copié et collé.
Esj Reprenant une dépêche de l'Associated Press,  Yahoo va jusqu'à titrer : "Une église de Clermont-Ferrand incendiée" et ajoute :

"L'église Saint-Joseph, située dans le quartier de la gare de Clermont-Ferrand, a été en partie détruite par un incendie a priori d'origine criminelle samedi après-midi, a-t-on appris en soirée auprès du Service départemental d'incendie et de secours (SDIS) du Puy-de-Dôme. L'incendie, qui a débuté à 11h55, a mobilisé 42 sapeurs-pompiers et 26 véhicules. Il n'a pu être maîtrisé avant 17h00".

On y apprend aussi que

"Philippe Kloeckner, le curé de la paroisse, a expliqué samedi soir à l'Associated Press qu'il avait signalé à la police vendredi une première tentative d'incendie dans l'une des chapelles de l'église".

Le site Clermont ma ville précise que le feu a été initié dans la chapelle du Saint Sacrement de l'église rénovée il y a 6 mois.
Le
journal La montagne (photo) en fait sa une aujourd'hui et promet plus d'informations demain.

Addendum : Scan de l'article de la Montagne du dimanche 29 où l'on apprend qu'une statue de la Vierge a été brisée.

Source: La Salon Beige

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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 21:51
Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas, a de grands projets pour cet organe de réflexion et de formation catholique. Attablés autour d’une bière belge sur la Grand-Place de Bruxelles – il est aussi le responsable de « Belgique et chrétienté » – nous lui avons demandé de parler d’une initiative qui déploiera ses ailes en France au mois de mai. Elle est à inscrire dans la volonté de refondation d’une droite nationale en déshérence qui a déjà donné lieu à plusieurs projets et regroupements ; celui d’Alain Escada présente l’originalité de ne pas vouloir remplir un espace qui s’est ouvert dans le champ électoral, mais d’être au service des personnes qui, dans cet espace, veulent défendre des valeurs communes.

— Quel est donc l’objectif de votre projet ?

— Tout d’abord, remarquons qu’il n’y a rien à attendre de la politique si celle-ci n’est pas soumise à Dieu. Les chefs politiques qui s’imaginent sauver la France par leurs seuls talents naturels n’offrent qu’une illusion d’alternative et leur ego ne peut longtemps cacher leurs faiblesses humaines. Dans ce contexte, la raison d’être de l’Institut Civitas n’a jamais été aussi pertinente : former les catholiques à la doctrine sociale de l’Eglise et les aider à appliquer cette doctrine sociale de l’Eglise dans la Cité. Pour relever la France, ce n’est pas d’idéologies politiques éphémères qu’il est besoin, mais d’une doctrine pérenne qui fasse régner le bien commun en même temps que le Christ-Roi.

Ensuite, constatons, en France, au cours de ces dernières années, qu’une stratégie électorale axée sur les « grandes » élections – présidentielle, législatives – est vouée à l’échec, en tout cas dans l’immédiat. L’erreur consiste à croire qu’il faut réformer l’Etat par le haut ; mais pas plus qu’on ne reconstruit une maison en commençant par la toiture, on ne peut envisager de restaurer un pays sans disposer de l’assise locale nécessaire. Nous lançons un appel à la reconquête du pouvoir local. C’est à l‘échelon local qu’il nous faut commencer à œuvrer. En nous organisant de façon à influencer la vie culturelle, associative et politique des municipalités. Voilà un objectif qui, sans être démesuré, offre de nombreuses perspectives intéressantes, notamment dans les petites communes.

Veut-on préserver les églises et le patrimoine, freiner la construction de mosquées surmontées de minarets, faciliter la vie de bonnes écoles, empêcher la tenue de mauvaises expositions ou de mauvais spectacles, se préserver de la vue de panneaux publicitaires immoraux, doter la police municipale de moyens destinés à assurer l’ordre public, favoriser le développement du commerce, de l’artisanat et des petites entreprises, organiser une vie culturelle axée vers le beau et élevant l‘âme… veut-on tout cela ? C’est alors dans la vie locale qu’il faut nous investir. C’est en y reconstruisant un tissu naturel favorisant le bien commun que nous rétablirons les bases nécessaires à la restauration d’une France catholique.

Civitas, après huit ans de fonctionnement par « cellules » de formation, a compris que cela ne peut suffire. Nous avons décidé une rupture totale avec l’intellectualisme stérile. Se former sans agir ne mène à rien. Ni l’inverse, d’ailleurs. Et c’est à l’échelon local que nous pouvons agir avec le plus d’efficacité. Nous allons notamment proposer une aide sur le terrain aux candidats aux prochaines élections municipales. Ce sera une action en réseau, menée par des personnes solidement formées. Nous visons plus précisément les élus et les candidats des petites municipalités, là où un élu peut encore avoir une authentique influence.

— Sera-ce donc une politique de lobbying, dont vous avez d’ailleurs vous-même l’expérience depuis plusieurs années dans « Belgique et chrétienté », « lobby » agréé par le Parlement européen ?

— Oui, en quelque sorte. Nous voulons faire connaître la doctrine sociale de l’Eglise, expliquer son application aux problèmes politiques et économiques contemporains, donner aux candidats des argumentaires mais aussi de la méthode, leur faire comprendre qu’ils ne sont pas seuls. Nous constatons qu’il n’y a aujourd’hui aucune coordination entre ces hommes de bonne volonté, beaucoup sont désemparés, se sentent isolés là où ils sont, voire inutiles, ou manquent de la formation nécessaire pour soutenir leur action. Nous avons la ferme intention de mettre fin à cette situation désordonnée et d’offrir notre assistance aux acteurs municipaux. A ce lobbying pourront s’ajouter, au cas par cas, des candidatures issues de nos rangs. Mais notre objectif demeure la mise en place d’une structure sur tout le territoire qui permette véritablement de mener une action de terrain.

— Cela suppose un réseau important. En avez-vous les moyens ?

— Civitas ne se lance pas dans ce combat sans disposer des quelques atouts que nous avons estimés indispensables. Il est hors de question pour moi d’annoncer un projet d’une telle envergure alors qu’il n’y aurait aucune chance de le mener à bien. Combien de personnes dévouées passent en ce moment par un sentiment de démotivation au regard de l’ambiance politique fratricide au sein de la droite nationale. Nous ne pouvons nous permettre d’ajouter une raison de déception supplémentaire. Nous avons déjà consulté une centaine d’élus municipaux, et nous avons pu constater que nous répondons réellement à une demande de leur part. De notre côté, nous disposons déjà d’un grand nombre de personnes qui sont prêtes à s’engager, à donner de leur temps, à travailler pour ce grand objectif. Nous avons des professionnels de haut niveau, des personnes ayant une solide formation sur le plan de la doctrine sociale de l’Eglise, beaucoup de compétences qui sont prêtes à se déployer. Mais aussi beaucoup de bonnes volontés, d’humbles catholiques français soucieux d’œuvrer, dans la mesure de leurs moyens, au bien commun. Notre action sera massive en mai – en nous appuyant sur un travail qui fait depuis des mois l’objet de préparatifs bien réfléchis.

— Cependant, Civitas est connu comme étant proche de la Fraternité Saint-Pie X. Cela ne constituera-t-il pas un handicap ?

— Je ne le pense pas. Je précise qu’il ne s’agit d’ailleurs pas d’une initiative de la Fraternité Saint-Pie X. Même si Civitas ne fait pas mystère de recourir à la Fraternité Saint-Pie X pour les questions d’aumôneries. Et même si nous espérons pouvoir compter sur un regard bienveillant de la Fraternité Saint-Pie X vis-à-vis de ce projet. Dans cette action, nous ne visons nullement à mettre en avant la Fraternité Saint-Pie X, mais l’action individuelle, de personne à personne, auprès d’élus locaux. Notre expérience montre que des élus qui ne sont pas « traditionalistes » sont heureux de trouver auprès de nous quelqu’un pour les épauler sur le plan de l’action municipale.

— Votre action s’organise sur un plan individuel : pourquoi donc vouloir lui donner une « visibilité » médiatique qui n’est pas le propre du lobbying ?

— Nous nous trouvons devant la nécessité de recruter des collaborateurs. Il existe quelque 36 000 communes en France et nous souhaitons que notre action ait le plus grand impact possible. Nous avons besoin de plus de personnes qui soient prêtes à s’engager par rapport à une doctrine à laquelle on ne déroge pas, quitte à prendre le risque de l’hostilité. Mais comme je vous l’ai dit, du côté de ceux qui agissent sur le plan local ou qui veulent s’y lancer, il y a une réelle demande.

— Qui dit action politique suggère aussi l’idée de concessions. Qu’en pensez-vous ?

C’est justement par fidélité aux principes et à la doctrine catholiques que nous préconisons cette stratégie de reconquête locale. C’est dans la confiance aveugle à un parti politique ou à un chef charismatique que se situe le risque de concession. Mais il faut aussi se méfier de ceux qui se servent de prétextes pour ne rien faire. On ne répare pas le moteur d’une voiture sans accepter de plonger les mains dans le cambouis.

— Vous qui êtes belge, pourquoi avez-vous été chargé de l’action en France ?

— Si j’ai été sollicité, c’est en partie en raison de mon expérience du lobbying que vous avez signalée. Il fallait quelqu’un d’une nouvelle génération, qui soit disponible et qui ne soit pas un novice dans le domaine. En ces temps difficiles, les volontaires ne se bousculaient pas. Je ne suis probablement pas le personnage idéal, mais je prie Dieu de combler mes lacunes jusqu’à ce qu’Il trouve quelqu’un de plus compétent pour prendre ma place. Par ailleurs, si j’ai accepté, c’est parce que je crois profondément en ce combat et au rôle particulier de la France dans ce combat. J’ajoute que cette stratégie de reconquête du pouvoir local offre des perspectives en France parce qu’il y subsiste des milliers de petites municipalités et que celles-ci peuvent être gérées par des élus relativement indépendants des grands partis politiques. En Belgique, la fusion des communes a rendu cette stratégie quasi impossible.

— Ne craignez-vous pas que la réforme Balladur mette fin à cette originalité française en faisant disparaître le maillage de petites communes qui permet, précisément, cette action beaucoup plus personnelle ?

— Pour l’heure rien n’est changé, nous agissons selon la situation qui existe actuellement.

— Quels moyens avez-vous ?

— Je tiens à conserver une part d’effet de surprise. Mais, comme je vous l’ai dit, nous travaillons depuis des mois à ce projet. Ce qui implique un minimum de moyens financiers, un réseau de spécialistes en différents domaines, un réservoir de militants, beaucoup de bonne volonté, énormément d’imagination et… une confiance infinie en la Providence.

— Ne craignez-vous pas d’apparaître comme le énième groupuscule qui tente de s’implanter sur une forme de décombres, comme un concurrent de plus alors que les initiatives sont déjà multiples ?

— A vrai dire non, car notre premier objectif est de jouer un rôle auxiliaire auprès de personnes qui individuellement adhèrent aux principes que nous défendons, quelle que soit leur étiquette ou leur absence d’étiquette politique. Néanmoins cette situation nous oblige à entrer en scène de manière imposante avec une vraie perspective de réussite. C’est bien pour cela que nous donnons cette visibilité à notre travail, notre espoir étant que ceux que nous touchons – vos lecteurs, notamment – entendent notre appel à l’action et décident de travailler avec nous.

— Face aux avancées de la culture de mort – je pense au « mariage » homosexuel par exemple – les maires et les municipalités vont se trouver en première ligne. Est-ce l’une des raisons de votre stratégie ?

— Certainement. Comment ne pas constater l’urgence ? Et l’intensité de la gigantesque campagne d’hostilité à l’égard du catholicisme est très révélatrice. Depuis des semaines, pas un jour ne passe sans un déferlement de propos cathophobes. Les valeurs morales les plus élémentaires sont remises en cause. Hommes politiques, journalistes, vedettes du show-biz, tous sont mobilisés pour se joindre à ce long hurlement monocorde. Jamais l’offensive contre la doctrine catholique n’avait connu une telle ampleur. C’est un véritable rouleau-compresseur qui est mis en place. Dans un tel climat, deux voies s’offrent aux catholiques. Soit, comme l’espèrent ceux qui orchestrent cette campagne, nous adoptons une position de plus en plus discrète dans la société, nous nous auto-censurons, nous cédons sur toutes les questions doctrinales, nous nous effaçons et, au final, nous renions Notre-Seigneur pour plaire au Monde. Soit, au contraire, nous faisons face à l’épreuve qui se présente à nous, nous assumons la doctrine catholique dans son intégralité, nous la brandissons comme la solution aux maux de notre société et nous tentons de servir du mieux que nous pouvons ce Christ qui, pour nous, est mort sur la Croix.

De plus en plus, les élus vont se trouver confrontés à des choix moraux importants, et ils vont avoir besoin d’appuis. Il faut aussi qu’ils puissent tirer profit des enseignements de ce qui se fait ailleurs. L’exemple de l’Espagne est là pour montrer que la résistance des élus locaux, des juges, pourra être déterminante. Cela est vrai pour le mariage et l’adoption homosexuels. Il s’agit aussi de trouver les bonnes réponses face à l’emprise musulmane. De faire connaître les stratégies qui réussissent. Assez de défaitisme. Assez de conformisme. Il nous faut de l’enthousiasme, du courage, de l’audace, de l’imagination, de la volonté. Il nous faut aussi une vie intérieure, une vie spirituelle qui nous permette de supporter les difficultés, d’agir avec patience, confiance, persévérance et discernement.

— Constatez-vous, dans les responsabilités que vous exercez, une démobilisation politique des jeunes, plus attirés par le religieux que par l’action sur le terrain ?

— Je rencontre régulièrement une belle jeunesse désireuse de s’engager. Une jeunesse qui, tirant des leçons des récents naufrages politiques, comprend que foi et politique se mêlent lorsqu’il y a authentique recherche du bien commun. Je n’ai aucun doute à ce sujet : la France compte de nombreux jeunes gens, filles et garçons, capables d’une grande générosité d’âme. Et le monde moderne n’a pas fini de s’en étonner…

Propos recueillis par Jeanne Smits et Olivier Figueras

• Secrétariat Civitas, 20, place de la Chapelle, 75018 Paris. Tél. : 01 34 11 16 94. www.civitasinstitut.com[

Article extrait du n° 6810 de Présent, du Samedi 28 mars 2009
http://www.present.fr/article-9599-6810.html
Le Forum catholique
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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 18:58

Les flammes ont notamment détruit un rétable et un confessionnal. Le parquet de Clermont-Ferrand parle d'un incendie "manifestement d'origine volontaire".
En avance sur l'information, nous ne manquerons pas de vous faire part des cris d'orfraie et de l'indignation générale de tous nos élus, des responsables politiques et autres représentants des associations citoyennes pour l'égalité des chances, etc.
Suite Le Salon Beige

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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 16:57
Informations quant à l'opposition à la manifestation contre le pape

Via Le Forum catholique

Réunion de préparation ce samedi 28 Mars à 21h30. (Le lieu de RV peut vous être communiqué par mail : écrire à agoramag@free.fr )

Rendez-vous 9h30 demain Dimanche 29 Mars devant la basilique pour témoigner de notre Foi et de notre soutien envers Benoît XVI.

Add. Monseigneur Barbarin ne souhaite pas de contre-manifestation
Elle est donc annulée.
A vos chapelets néanmoins!


Source: un abbé de la FSSP  
http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=474477

En clair: les invertis pourront tourner en dérision les symboles les plus sacrés de la Patrie, manifester leur haine cathophobe sur le parvis de la basilique de Fourvière sans que cela ne soit empêché ni par la police... ni même par les catholiques!

Il va donc bien falloir que nous nous décidions à aller manifester nous aussi, mais "sur le parvis" de l'
Elysée et "sur le parvis" de la Salle de l'Enfer qu'est le palais Bourbon ! Le palais Bourbon est cette salle "où se fabriquent les mauvaises lois" (expression de Marie-Julie Jahenny in Les Prophéties de la Fraudais, 1882). 

* A savoir que selon Marie-Julie - prophétie du 23 novembre 1882 - Paris sera détruit... Le feu du ciel tombera sur "SODOME" et principalement sur cette "salle de l'Enfer", "où se fabriquent les mauvaises lois"; elle sera engloutie et, à sa place, sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu'à la fin du monde, on ne pourra s'approcher sans un frémissement d'horreur." Mais avant cela, les flammes incendiaires s'éleveront sur le Centre et le feu sera "allumé au milieu de terribles combats, surtout aux alentours de la Salle de l'Enfer" (Les Prophéties de la Fraudais de Marie-Julie Jahenny, textes recueillis par Pierre Roberdel, Editions Résiac, Montsurs 1974, p. 135).

Le terme de "Sodome", à propos du bâtiment habritant l'"Assemblée nationale" : prophétique!
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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 11:50
Je n'en ai pas cru mes yeux. Et j'en demeure effrayé. Parcourant ce matin les statistiques de mon papier « On ne se moque pas de Dieu » (qui a été lu plus de 3 000 fois sur americatho, et je ne sais combien de dizaine de milliers de fois sur d'innombrables blogues qui l'ont repris), je tombe sur le fil de discussion d'un blogue d'“amateurs” de “crashes” aériens, dont un utiisateur a lancé le débat sur cet épouvantable et mystérieux accident d'avion. L'un des intervenants dans ce fil, qui est allé se documenter sur différents sites d'informations américains, découvre à 4 h du matin (!) un détail que j'ignorais et que je me suis empressé d'aller, à mon tour, vérifier, sur les sources originales (administration de l'aviation civile américaine, etc.). Je vous le confirme donc en tremblant. Cet avion monomoteur turbopropulsé est un

« Pilatus PC-12 »

« Pilatus », Pilate, celui qui s'est lavé les mains du sang du Juste et du Tout-Innocent…

Faites-en ce que vous voulez. Moi je prie.

Parce Domine,
parce populo tuo :
ne in æternum irascaris nobis

Americatho
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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 11:37
Rassemblement demain à Fourvière contre le Pape

Les associations lyonnaises lesbiennes, gaies, bi et trans et de lutte contre le SIDA organisent dimanche à 10 h 30 sur le parvis de la basilique de Fourvière un rassemblement pour « protester contre les propos scandaleux de Benoît XVI sur le préservatif ».
Le mot d'ordre de cette « Folle Messe » sera « La capote c'est la vie, l'Eglise l'interdit ».

le progres
le 28.03.2009


http://www.fierte.net/
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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 11:18

Dans le déchaînement général contre le Vatican et Benoît XVI, on s’attendait à voir les politicards, les artistes, les médias et en général tous les représentants d’un Système matérialiste décadent, se justifier en diabolisant le témoin gênant de la vérité qu’est le Papre Benoît XVI. Ce qu’on n’attendait pas, et qui constitue une première en même temps qu’une honte pour notre pays, c’est que la France, oui, la France, berceau des francs chrétiens, fille aînée de l’Eglise, nation forgée dans les valeurs et les œuvres du christianisme, parle contre l’Eglise, sa morale et son chef.

Le 24 mars 2009, la France s’est officiellement prononcée contre le Benoît XVI, chef de l’Eglise Catholique.

Par la voix du porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères dirigé par M. Kouchner, voilà ce qu’a dit notre pays :

« La France exprime sa très vive inquiétude devant les conséquences de ces propos (…) Nous estimons que de tels propos mettent en danger les politiques de santé publique et les impératifs de protection de la vie humaine (…) Le préservatif est un élément fondamental des actes de prévention de la transmission du virus du sida (…) Nous devons à la jeunesse et aux générations futures de faire preuve d’esprit de responsabilité et de solidarité », telle fut la voix de la France par l’intermédiaire d’Eric Chevallier, porte-parole du Quai d’Orsay.

Nous ne pouvons pas ne pas réagir ! La voix de la vraie France doit s’élever pour étouffer cette voix honteuse de la France officielle, qui a trahi notre pays !

Ecrivez au porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères, faites-lui entendre ce que la France est et restera !

M. Eric Chevallier : eric.chevallier@diplomatie.gouv.fr


Nationspresse.info

                                                           ***

"Ce qu’on n’attendait pas, et qui constitue une première en même temps qu’une honte pour notre pays, c’est que la France, oui, la France, berceau des francs chrétiens, fille aînée de l’Eglise, nation forgée dans les valeurs et les œuvres du christianisme, parle contre l’Eglise, sa morale et son chef"

J'apporterais cette nuance sur ce point afin que tous les nationalistes comprennent bien que ce n’est pas la France! Qu'ils se mettent bien cela dans la tête, la république n'est pas "la France" (j'en veux pour preuves les sobriquets idéologiques de "France métissée", "France nouvelle", etc. ), c'est un régime
politique dégénéré aux mains d’une oligarchie cosmopolite depuis 1789, qui vampirise la nation France. Outre la vampirisation de la "nation française" par cette entité étrangère à nos traditions, la république détruit le principe d’autorité. Avec les conséquences qui s’en suit dans tous les domaines, dont le domaine religieux qui voit ce régime corrompu et amoral parler éhontément contre le pape et prendre position contre lui.

Ce régime est en train de se transformer en cette forme de tyrannie qui s'assoit sur toute morale dont parlait Saint Thomas d’Aquin et qui appelle la légitime révolte du peuple.

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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 10:44

Insurrection - Ma rage
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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 19:48

Jeudi de la 4ème semaine de carême, 26 mars 2009.

Chers Amis du “Refuge Notre-Dame de Compassion“,

Depuis le début de cette année 2009, tout particulièrement en France (mais pas seulement) c'est un véritable acharnement médiatique qui  s'en prend à la personne et aux actes de notre Saint-Père le Pape Benoît XVI ; à travers les attaques dont il est l'objet ce sont les enseignements traditionnels de notre mère la Sainte Eglise catholique romaine, dont il est le chef, qui sont visés, contestés et remis en question.

Mon propos de ce jour n'est pas de rappeler les évènements et leurs enchaînements ; je ne veux pas non plus écrire ici une apologie - point par point - concernant la levée des excommunications qui frappaient les évêques consacrés par Monseigneur Lefèbvre, au sujet de la prétendue excommunication fulminée par l'évêque de Récife contre une petite fille, ou à propos des affirmations du Pape lors de la conférence de presse accordée aux journalistes dans l'avion qui l'emportait vers l'Afrique…  etc. D'autres l'ont fait avant moi et bien mieux que je ne le pourrai faire. Je me contenterai de dire ici qu'il suffit de vouloir honnêtement s'informer pour arriver sereinement à connaître la vérité, en dehors de  tous les mensonges colportés et de toutes les passions qu'on s'est efforcé d'exacerber. Pour ceux qui le désireraient, je tiens à disposition un certain nombre de documents et de références - en assez grande quantité - qui démontent de manière irréfragable ces mensonges et les manipulations auxquels les “faiseurs d'opinion” se sont livrés sans retenue.

Peut-être avez-vous comme moi remarqué que, à peine le Pape avait-il achevé son voyage pastoral en Afrique, le “20 heures” de TF1  se livrait à une nouvelle offensive contre la discipline ecclésiastique en diffusant un reportage extrêmement orienté - très prétentieusement nommé “enquête”, alors qu'il n'y avait aucune démarche objective et raisonnée de recherche de la vérité - qui remettait en question le célibat sacerdotal… Ne nous faisons pas d'illusions : à l'approche de la Semaine Sainte et des solennités pascales, nous  devons  nous attendre à de nouvelles provocations ou tentatives de manipulations de l'opinion publique tendant à discréditer l'Eglise et le Pape, le Christ et son Evangile, la Foi et ses enseignements… Sans vouloir en aucune manière jouer au prophète de malheur, je puis vous annoncer que l'opposition médiatique, que l'opposition politique et que l'opposition à l'intérieur même de l'Eglise catholique contre notre Saint-Père le Pape Benoît XVI, ne font que commencer et qu'elles risquent de croître en amplitude et en virulence.

Dès à présent, d'odieuses caricatures et des propos de plus en plus haineux sont colportés, diffusés et même favorisés par un certain nombre de médias, dans une espèce de surenchère de grossièreté et d'escalade de vulgarité. Si c'étaient le Dalaï-Lama ou quelque chef religieux mahométan qui étaient ainsi caricaturés, nous assisterions immédiatement à un concert quasi unanime de protestations, dans le monde politique et journalistique. Même ceux qui sont les plus critiques envers toute forme de foi ou d'opinion religieuse n'hésiteraient pas à reprendre à leur compte la célèbre phrase attribuée à Voltaire : “Je ne partage pas vos idées mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez les exprimer“. Mais quand il s'agit du Pape et de l'Eglise, ces bons apôtres de la tolérance et du respect des droits de l'homme semblent n'avoir plus qu'une seule consigne, celle par laquelle ce même Voltaire terminait la plupart de ses lettres: “Ecrasez l'infâme!” (on le sait, “l'infâme” c'était pour lui l'Eglise catholique romaine).

Le grand malheur, c'est que - à quelques exceptions près (et il faut justement saluer ici le courage de ces évêques qui ont pris la parole ou la plume pour rétablir la vérité et défendre le Souverain Pontife) - ceux qui ont été institués pour être les gardiens, chargés de la sécurité du peuple commis à leurs soins* (on pourrait aujourd'hui dire les “vigiles”, par analogie avec les sociétés de surveillance), au lieu d'aboyer comme de bons chiens de garde pour dénoncer le danger, intimider les agresseurs et appeler à la défense, se comportent en “chiens muets” - “canes muti” - pour reprendre les termes du prophète Isaïe quand il dénonçait  les mauvais pasteurs du peuple d'Israël (Isaïe LVI, 10). Est-ce par complaisance ou par peur? Est-ce parce qu'ils craignent d'affronter l'opinion publique ou parce qu'ils en partagent secrètement la haine? Peu importe que nous le sachions  : c'est Dieu qui sera leur juge. Pour nous, nous ne pouvons qu'être les témoins attristés des faits…

Dans les aboiements furieux qui se sont élevés en France pour critiquer le Souverain Pontife, on a bien sûr remarqué la phrase de Monsieur Alain Juppé : “Ce Pape pose un vrai problème!” Certains ont poussés des cris scandalisés en dénonçant un manque du plus élémentaire respect… Mais au-delà, je crois qu'il faut y voir un éloquent aveu ; un aveu tellement éloquent qu'il me paraît une forme d'éloge : le témoignage que finalement le vice est contraint de rendre à la vertu! Que le pape “pose un vrai problème” aux hommes politiques véreux, aux francs-maçons  de toutes obédiences et aux pseudos-vertueux qui prônent le laxisme moral et la décadence, c'est un très bon signe!

Sa Sainteté le Pape Benoît XVI

Ce qu'on reproche au Pape, c'est de tenir des propos… catholiques! Or, en ce qui me concerne, je suis bien plus rassuré dans ma conscience chrétienne par les propos d'un Pontife qui ne s'embarrasse pas des modes et des pressions médiatiques, que s'il se mettait à prôner la même chose que les acteurs et les chantres d'une société affranchie des exigences de la Loi divine.

La vérité contenue dans le Saint Evangile n'a rien à voir avec les doctrines du monde, elle n'est pas sujette aux fluctuations de l'opinion publique ni aux errances de la mode. Notre Saint-Père le Pape Benoît XVI ne fait qu'annoncer et énoncer des vérités qui ne sont pas du domaine de l'opinion et de la mode, rien d'étonnant donc à ce que le monde le prenne en haine.  On peut même dire que la virulence de la tempête  médiatique et le déferlement de méchanceté  dirigés contre lui sont - en définitive - le signe qu'il est le fidèle ambassadeur d'une Parole qui dérange, une Parole qui n'est pas humaine. 

J'ajouterai encore ceci : si “on” ne craignait pas l'influence de Benoît XVI, il n'y aurait pas un tel déchaînement contre lui ; si les ennemis du Christ n'avaient pas une conscience  aigüe de la vérité des paroles du Vicaire du Christ, ils ne s'agiteraient pas tant ; si tous  ceux qui s'adonnent au mal, au mensonge, aux compromissions les plus répugnantes et à la promotion du vice ne se sentaient pas menacés, ils n'attaqueraient pas de la sorte celui qui dirige aujourd'hui la Sainte Eglise et la gouverne avec  autant de force et de douceur, de sagesse et de sagacité ; s'ils ne savaient pas que leur pouvoir et leur influence sont ébranlés par la simple proclamation des vérités qui découlent du Saint Evangile, ils ne s'activeraient pas autant pour essayer d'étouffer ou de dénaturer la voix paisible de celui qui en est l'interprète…

Déjà dans l'Ancien Testament, à l'époque d'Elie ou de Jérémie par exemple, nous voyons des pseudo-prophètes en oeuvre : parlant le langage du monde et se répandant devant la société pécheresse en “oracles” qui lui étaient agréables, ils étaient loués et bien considérés, tandis que les vrais prophètes étaient en butte à la raillerie et à la persécution… Notre-Seigneur Jésus-Christ reprend cet exemple avec des paroles fortes : “Bienheureux serez-vous lorsque les hommes vous haïront, vous chasseront, vous injurieront et rejetteront votre nom comme mauvais, à cause du Fils de l'homme (…) C'est ainsi que leurs pères traitaient les prophètes (…) Mais malheur à vous quand les hommes vous loueront, car c'est ainsi que leurs pères faisaient aux faux prophètes!” (cf. Luc VI, 22-26). Pensez-vous que ces paroles n'étaient qu'une pieuse exagération ou qu'elles n'avaient de valeur que pour les premiers temps de l'Eglise? Benoît XVI, doux et humble, obéit fidèlement à la mission que le Christ Sauveur lui a confiée  en qualité de successeur de Saint Pierre : affermir ses frères dans la Foi… Il trahirait s'il les encourageait à suivre les maximes du monde ; il apostasierait s'il les poussait à rechercher les louanges du monde en se conformant à ses modes. Les paroles de notre Saint-Père le Pape ne sont pas rétrogrades, elles ne font que rendre témoignage à l'intemporelle Vérité, elles sont prophétiques!

A travers la tempête qui s'est levée  et  risque encore de s'amplifier, ayons donc assez d'esprit surnaturel pour  comprendre que -comme au temps de la Passion - “Satan  nous a réclamés pour nous passer au crible comme le froment” (cf. Luc XXII, 31) : serons-nous reconnus comme du bon grain ou comme des particules étrangères?  Verra-t-on en nous de véritables disciples du Christ-Roi ou les disciples du “Prince de ce monde”?  L'épreuve, les pressions médiatiques et la persécution (nous devons nous y attendre) révèleront-elles en nous d'authentiques fidèles ou  des couards qui ne voudront pas “poser de problème”?

Il n'appartient qu'à nous de choisir notre camp, et seul l'amour qui règne véritablement en nos coeurs sera le critère déterminant notre choix : « Deux amours ont bâti deux cités : l’amour de soi jusqu’au mépris de Dieu fit la cité terrestre ; l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi fit la cité céleste » (Saint Augustin in “la Cité de Dieu”, XIV).

Frère Maximilien-Marie.

* C'est le sens du mot grec “épiscopos” qui a donné en français le mot “évêque”.


(à suivre...)

Source: Le Journal du Mesnil-Marie

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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 18:59

 

 

Irving Moore “Bud” Feldkamp III, est le propriétaire du plus important réseau d’avortoirs en Californie. C’est dans ses 17 Family Planning Clinics  que se pratiquent le plus grand nombre d’avortements en Californie, surpassant même Planned Parenthood, c’est dire… “Bud” est un homme très riche. La fortune qu’il a tiré du sang innocent lui a permis de s’acheter un bel avion privé et de payer régulièrement à ses enfants (il en a quatre) de somptueuses vacances de millionnaires.

Précisément, dimanche dernier, il avait prêté son avion à deux de ses filles qui, accompagnées de leurs époux et des sept enfants qu’elles en ont eus, s’envolèrent de Californie à destination du Yellowstone Club, une station de ski huppée du Montana.

Après avoir parcouru plus de 3 200 km sans encombre, et arrivé à moins de 500 mètres de leur destination, l’aérodrome de Butte, subitement l’avion pique du nez et s’écrase dans un cimetière catholique, le Catholic Holy Cross Cemetery, à priximité d’un mémorial, la « Tomb of the Unborn » (la sépulture des enfants non nés), où régulièrement des fidèles viennent prier le rosaire pour tous les enfants avortés. L’embrasement qui a suivi le “crash” n’a laissé aucun survivant...

 

 

« Oracle du Seigneur Yahvé, je vais t’ensanglanter et le sang te poursuivra, je le jure, tu t’es rendu coupable en versant le sang le sang te poursuivra »
(Ez. 35, 6).


Source: Americatho
De Deus non irredetur, De Dieu on ne se moque pas. Lisez cette effroyable nouvelle
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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 11:28
Je reproduis ici le texte jacobin intégriste de Lucie Martin "L’intégrisme catholique ou la dé-intégration d’une communauté" publié lundi 23 mars 2009 sur le site de "Riposte étatique". Nos juristes devraient se pencher sur ce texte d'appel à la haine énumérant une série de mesures et de "solutions" (finales?) pour développer une "politique active contre l'intégrisme catholique", "empêcher toute alliance avec l'Islam" (sic), car le délit de discrimination à raison de la religion me semble établi, notamment le passage: "les en maintenir en dehors avec juste ce qu'il faut pour qu'ils vivotent". 

Beaucoup de militants laïques, à juste titre, surveillent de très près l’intégrisme islamique. Mais il ne faut pas oublier, au prétexte qu’il est moins visible, l’intégrisme catholique qui risque de poser des problèmes majeurs dans quelques années, ne serait-ce que parce qu’il pourrait bien s’allier avec l’islam radical.

Très actif en France, l’intégrisme catholique se répand sournoisement à tel point que la télévision suédoise, pays où les catholiques sont moins de 5 %, s’alarme d’un processus de conversion à l’intégrisme catholique de jeunes suédois issus de milieux athées. On estime à 120.000 le nombre d’intégristes en France, mais leur part dans les catholiques pratiquants a été multipliée par 20 en 40 ans, passant de 0,5 % à 10 %.

Les intégristes catholiques ont calqué leurs nouvelles méthodes sur celle des musulmans et on assiste à un processus de « dé-intégration » inverse de celui des communautés immigrées. Alors que la « première génération » des intégristes catholiques (1970) était tellement intégrée dans la société qu’elle recrutait essentiellement dans la grande bourgeoisie, la « troisième génération » a plus de points communs avec les milieux islamistes qu’avec le reste de la population française dont on se demande s’ils en font encore partie !

Voici quelques points communs entre les deux intégrismes, le vert et le noir :

1 – Fort taux de natalité : les intégristes catholiques ont une natalité explosive, en augmentation continuelle, qui dépasse même celle des musulmans et des Africains ! Selon un reportage paru dans 20 minutes, elle est de 7 enfants par femme, alors que leur natalité était à peine supérieure à celle des Français en 1970 (3 enfants par femmes). Ces milieux sont donc constitués en majorité de jeunes, donc qui n’est pas prête de s’éteindre. Un jour viendra où ils seront majoritaires chez les catholiques, ce qui explique que Benoît XVI cède à toutes leurs demandes.

2 – Milieux fermés : en ce domaine, la troisième génération des intégristes catholiques a tourné le dos aux précédentes en appliquant un schéma d’immigré de première génération. Comme les intégristes musulmans vont souvent chercher femme ou mari en Turquie ou en Afrique du Nord, les intégristes catholiques se marient désormais exclusivement entre eux. Ils appellent même « mariages mixtes » les unions conjugales avec des Français. Une étude faite dans une paroisse du centre de la France a montré que tous les « couples mixtes » de la deuxième génération avaient cassé, généralement à cause de la différence grandissante du style de vie et de désaccords dans l’éducation des enfants. Les rares personnes épousant des intégristes catholiques sans en être sont « travaillés au corps » pour qu’ils se convertissent, ce qui est souvent le cas.

3 – Pauvreté et « exclusion » : Alors qu’ils étaient essentiellement bourgeois et électeurs de la droite conservatrice, les milieux intégristes catholiques se sont paupérisés dans ces 10-15 dernières années, ce qui n’est pas sans incidences sur le plan politique et sociologique. Cette paupérisation est due à deux facteurs : le premier, au fait qu’ils ont de plus en plus d’enfants à élever avec un seul salaire ; le second est que, dans l’ensemble, la « troisième génération » bien que plus diplômée que les précédentes, connaît une certaine difficulté d’insertion professionnelle, ce n’est plus une ascension mais une chute sociale. Ce qui implique salaire plus bas. Il y a aussi le cas des « convertis », ces gens devenus intégristes, généralement arrivés par le biais des partis d’extrême droite et dont le profil est assez typé : milieu populaire, diplômé et sans situation (ou situation en décalage avec les diplômes) trouvant dans la religion intégriste une « famille » voire une « patrie » de substitution.

Cette pauvreté peut avoir un impact électoral certain : perte de voix pour la droite réactionnaire qui pourrait se transférer sur la gauche (de nombreuses familles intégristes ne vivent que grâce aux allocations familiales, la gauche les augmentant plus souvent et la droite étant à leur yeux aussi favorable que la gauche à l’avortement et à la « décadence des mœurs », ils pourraient voter socialiste plutôt qu’UMP au 2e tour), abstention massive faute de candidat les intéressants (le FN en général et Marine Le Pen en particulier sont totalement discrédités dans ces milieux) et possible récupération par des mouvements de nature fascistes.

4 – Autarcie culturelle : Comme chez les intégristes musulmans, les intégristes catholiques vivent dans une autarcie culturelle totale : ils ont leurs journaux, leurs livres, leurs maisons d’édition, leur radio, leurs sites Internet et refusent tout apport extérieur. Même chose pour les écoles avec un réseau d’établissements hors-contrat et une université qui fait qu’un enfant intégriste catholique peut ne jamais côtoyer un autre enfant. Les intégristes n’ont pas la télévision (ils s’en sentent exclus), ne vont jamais au cinéma (sauf pour le film de Mel Gibson La Passion) jugé hostile à leurs « valeurs », n’ont pas Internet à domicile, bref, censurent et excluent tout vecteur culturel ne faisant pas de place à leur « culture » selon ce raisonnement : « pas de livres de mon bord à la bibliothèque, la bibliothèque ne veut pas de moi, je n’y vais pas… ». Un jeune intégriste bachelier est ainsi totalement déconnecté de la société : il connaîtra certes par cœur Racine ou Molière, mais pas un seul écrivain connu après 1940, pas une seule référence culturelle commune…

5 – Hostilité au « pays d’accueil » : La troisième génération d’intégristes catholique a tourné le dos avec l’esprit cocardier de leurs parents qui militaient souvent au FN. La France, ils la détestent, comme les petits musulmans fanatiques des banlieues. Leurs modèles : tous ceux qui ont trahis la France : les Vendéens réactionnaires de 1793, les collabos de 1944 (il suffit de voire que le modèle de la jeune génération n’est plus Vichy et Maurras mais le général nazi Degrelle), les terroristes de l’OAS… Ils se sont rapprochés des mouvements régionalistes comme Bloc Identitaire et rêvent même d’un état indépendant appelé Tradiland. La jeune génération admire la Russie de Poutine, l’Iran, est viscéralement hostile aux USA et à Israël, et prône l’alliance avec l’Islam contre la société française dégénérée. On voit même ça et là la défense de l’Islam radical sur les sites Internet intégristes. Le problème est que les deux intégrismes infiltrent l’armée…

6 – Solutions ? : Une politique active contre l’intégrisme catholique et pour la défense de la laïcité doit se développer en trois axes pour un but final : empêcher tout basculement dans l’action directe et toute alliance avec l’Islam.

- Premier point : savoir ne pas aller trop loin. Tout ce qui pourrait passer pour des « persécutions », notamment des fermetures d’écoles ou des condamnations de leurs « intellectuels » ou de leur « clergé » pour des délits d’opinion est à proscrire ou du moins à modérer. La forte solidarité de ce milieu fait que les dégâts seraient plus nombreux que les avantages. Saint-Nicolas-du-Chardonnet est l’exemple d’une gestion intelligente : les intégristes sont regroupés en une église, facile à surveiller. Les en exclure, outre le fait que cela ne sera pas sans morts, risque de les faire basculer dans une révolte désespérée, que l’on écrasera, certes, mais à quel prix…

- Second point, lien direct du premier : s’arranger pour qu’ils aient toujours quelque chose à perdre et également pour qu’ils ne puissent pas se présenter comme des « exclus ». Leur donner quelques églises de village pour qu’ils évacuent leurs chapelles en villes construites généralement à partir de lieux non prévus pour cela et qui leur donne un côté « exclus » dont ils tirent profit. De plus, la réfection et l’entretien de ces églises de village écornera sérieusement leurs réserves financières, qui ne seront plus utilisées à l’expansion. Même chose pour les aides genre RMI qui doivent être utilement. Qu’est ce qui est le plus profitable à la société ? Avoir des élites intégristes infiltrées dans la société ou – par un habile panachage de RMI, d’allocations familiales et d’aides sociales – les en maintenir en dehors avec juste ce qu’il faut pour qu’ils vivotent et ainsi les « neutraliser » ?

- Troisième point : donner habilement par des concessions sans intérêts l’impression qu’ils font partie de la communauté nationale, en donnant par exemple aux mères de familles intégristes catholiques des « médailles des familles nombreuses » (dont, apparemment, elles sont privées pour des raisons inconnues), histoire de leur dire « mais si vous êtes Français ». Ça ne mange pas de pain et ça désamorce. Même chose pour toutes leurs composantes : un prix littéraire de 4e zone pour un de leurs « écrivains », une ou deux nominations au Conseil Economique et Social… Cela pour éviter qu’ils ne se rapprochent des musulmans intégristes en leur fournissant les cadres qui leurs manquent, ce qui serait grave pour la survie de la République. Si on les humilie sans relâche, ils nous le feront payer par pure vengeance. A méditer.

Lucie Martin

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 10:53

Merci et un grand bravo à Monseigneur Aillet, évêque de Bayonne, pour son message "à la lumière des écritures ; une manière de re-lire le "lynchage médiatique dont l’Eglise et le Saint-Père ont fait l’objet ces dernières semaines".
"Devant la partialité, voire la falsification de certains medias", Mgr Aillet appelle les catholiques à "aller à la source de l’information et communiquer autour d’eux par tous les moyens, à commencer par l’Internet".

Extrait : 

Le lynchage médiatique dont l’Eglise et le Saint-Père ont fait l’objet ces dernières semaines sont comme une illustration de ces paroles toujours actuelles : « Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, vous aussi, ils vous persécuteront » (Jn 15, 20). Les juges ont besoin aujourd’hui comme hier de « faux témoins », comme ceux qui se levèrent devant le Sanhédrin pour condamner Jésus, en déformant ses propos (cf Mc 14, 57-58). Si Jésus, le communiquant par excellence, n’a pas échappé à la mauvaise foi des hommes, pourquoi nous étonner que l’Eglise soit traitée ainsi ? Loin de se soumettre aux lois de la communication humaine que l’on prétend lui imposer, l’Eglise ne peut se soustraire à sa mission prophétique. N’appelons pas « bourde » ou « gaffe », ce qui n’est rien d’autre qu’un témoignage rendu à la Vérité.

Ainsi en est-il des propos, remplis de vérité et de compassion, du Saint-Père sur les moyens de combattre le Sida. Les journalistes, dont certains appartiennent à la presse dite catholique, se sont emparés une fois de plus d’une petite phrase ; des politiques, souvent esclaves de l’opinion, ont renchéri, sans aucun discernement, et dénoncé les « propos irrecevables » du Saint-Père et le « discours irresponsable de l’Eglise ».

Fils et filles de l’Eglise, nous pouvons garder la tête haute, car les propos du Pape ont été confirmés par les évêques d’Afrique et par les chefs d’Etat de ces pays où le Sida fait des ravages, dénonçant le « racisme latent » de ces occidentaux qui voudraient leur imposer leurs schémas mortifères, au nom de la sacro-sainte licence sexuelle ou bien du matérialisme mercantile dont on voit bien à qui il profite. Un discours qui ne résiste pas à l’évidence des faits : selon les statistiques de l’OMS, les pays d’Afrique où le taux de distribution des préservatifs est le plus fort, la progression du SIDA est la plus élevée ; là où les catholiques sont plus nombreux et où l’on prône en priorité l’abstinence et la fidélité - y compris dans les programmes gouvernementaux- , et le préservatif en dernier recours, le SIDA est en très nette baisse, comme au Burundi ou en Angola. Devant la partialité, voire la falsification de certains medias, les catholiques doivent aller à la source de l’information et communiquer autour d’eux par tous les moyens, à commencer par l’Internet.

Mais, en dernière analyse, il faut accepter de souffrir pour le nom du Christ et ne pas s’étonner de ces campagnes de dénigrement : « Si vous étiez du monde, le monde aimerait son bien ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, puisque mon choix vous a tirés du monde, pour cette raison, le monde vous hait » (Jn 15, 19). « Mais gardez courage, nous dit Jésus, j’ai vaincu le monde » (Jn 16, 33).

+ Marc Aillet,
évêque de Bayonne, Lescar et Oloron.
http://www.diocese-bayonne.org/spip.php?article1378

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 08:38

La joie exubérante des foules africaines, mais aussi leur capacité de recueillement et leur sens du sacré, la mort des deux jeunes filles au stade de Yaoundé, la coopération de l’Etat et de l’Eglise au centre cardinal Léger, au service des malades, et la mise en route du synode : ce sont les cinq points abordés par Benoît XVI dans l’avion du retour à Rome, lundi 23 mars.

« Premières impressions d’un voyage réussi », titre pour sa part à la Une L’Osservatore Romano en italien du 25 mars.

Benoît XVI a d’abord confié « deux souvenirs » des foules : leur joie et leur recueillement. « J’emporte avec moi surtout deux souvenirs : d’un côté, j’ai été impressionné par cette cordialité presque exubérante, cette joie, d’une Afrique en fête, et il me semble que la présence du pape leur a fait prendre conscience que nous sommes les enfants et la famille de Dieu. Cette famille existe, et nous, avec toutes nos limites, nous sommes dans cette famille et Dieu est avec nous. Et ainsi la présence du pape... les a aidés à percevoir cela ». Le thème de la « famille de Dieu » est un leitmotiv de l’exhortation apostolique de Jean-Paul II Ecclesia in Africa.

« D’un autre côté, a ajouté le pape, j’ai été très impressionné par l’esprit de recueillement dans les liturgies, par une conscience forte du sacré. Dans les liturgies, il n’y a pas eu d’auto-présentation des groupes, d’auto-animation, mais il y avait la présence du sacré, de Dieu lui-même ; même les mouvements étaient toujours des mouvements pleins de respect, conscients de la présence divine. Cela m’a fait une forte impression ».

Benoît XVI a aussi évoqué la tragique bousculade, à l’entrée du stade de Yaoundé (cf. Zenit du 22 mars 2009) : « Ensuite, je dois dire que j’ai été profondément touché par la mort de deux jeunes filles, samedi, dans la bousculade qui s’est produite à l’entrée du stade. J’ai prié et je prie pour elles. Malheureusement, l’une d’elles n’a pas encore été identifiée. Le cardinal Bertone et Mgr Filoni ont pu rendre visite à la maman de l’autre jeune fille : une femme, veuve, courageuse, avec cinq enfants. La fille décédée était l’aînée et elle était catéchiste. Nous prions tous et nous espérons qu’à l’avenir les choses pourront être organisées de sorte que cela ne se produise plus ».

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 07:59
Je reproduis ici un message de Choquer Jean-Pierre dans l'article "Franc-maçonnerie: le livre de Sophie Coignard, Un Etat dans l'Etat " du 21 mars 2009, pour ses éclairages et ses témoignages au sujet de la franc-maçonnerie.

Choquer Jean-Pierre est un particulier qui a des problèmes avec la justice républicaine maçonnique qui a infiltré sa municipalité. Le secret et l'échange du serment d'entre-aide dans l'"initiation" franc-maçonnique fait apparaître de plus en plus cette organisation comme une société à l'intérieur de la société, une mafia directement tournée contre le peuple non "initié", donc une organisation anti-démocratique par excellence.

Lire son blog:

http://lamafiadanslesuddelafrance.blogs.nouvelobs.com



"Il m'apparaît qu'il faille être « immoral » et « pervers » pour accepter d’entrer dans une « organisation », sachant qu'elle est secrète, que personne ne devra dévoiler qui en fait partie et que chacun devra répondre à tous les services, les collaborations suggérées, demandés par les uns et les autres, en particulier ceux des grades supérieurs, sachant qu’il est très difficile de les refuser, sans être mal considéré par le groupe, l’individu ayant pris l‘engagement formel d‘aider ses « frères »…

Ce genre d’engagement ne peut aboutir à terme qu’à une situation de corruption généralisée, inévitable et à amener des « personnes perverses » à s’engager dans ce genre d’organisation, pour divers intérêt bien sûr pervers, celui entre autres de ne pas avoir à répondre devant la justice de ses délits…

Les francs maçons se défendent d’être dans une religion, mais quand on insiste sur le secret imposé à chacun, ils font toujours une comparaison avec les religions traditionnelles ancestrales et reconnues officiellement en affirmant que dans celles-ci, personne n’est obligé de s’annoncer, de s’afficher croyant et pratiquant… et donc que la situation serait du même ordre… Amalgame abusif erroné… les religions traditionnelles n’imposent pas de « règles de clan » d’entre aide et le secret de leurs membres, sur l‘organisation, sur qui en fait parti et sur ce qui s‘y passe!

Les religions sont « ouvertes », pas la franc-maçonnerie!

La morale enseignée par ces religions est claire et n’est pas potentiellement suspecte!

Je ne connais pas de catholiques, de protestant, de juifs, de musulmans d’hindous… qui refusent de dire qu’ils sont croyants et qu’ils pratiquent leur religion!

Ils en sont tous fier et le revendiquent!

A noter que seules certaines sectes imposent ces contraintes…

Donc la Franc maçonnerie est au moins une secte…

Les mafias aussi fonctionnent sur ces bases…

La franc-maçonnerie ne serait-elle donc pas alors une secte mafieuse?

Je m'étonne même que l'état accepte l'existence d'une telle organisation sur son territoire... Affaire de moralité publique et Républicaine!

Constat… Cette secte est une « secte de nantis, plutôt bourgeoise, sûr élitiste »… Elle ne peut donc être qu’honorable! Combien sont les hommes politiques de tous bords à être à genoux devant…

Elle n’est pas accessible à tous!
Tout le monde ne peut pas payer une adhésion annuelle d’un minimum de 300 , seulement pour soi-disant philosopher une à deux fois par mois sur soi-même et la société, plus frais de costume, d’accessoire et de repas…

Et si l'état se servait de la franc maçonnerie, en particulier comme régulateur de crises… cela expliquerait son aveuglement, son mutisme, sa soumission!

Ce n’est pas pour rien que de nombreux nouveaux frères, récemment « engagés » sont des responsables de syndicats ouvriers, de nouveaux partis écologistes, centristes et d’extrême gauche… Dans ce cas précis, ce nivellement des catégories sociales de la société peut être suspect, sachant que cette organisation est hiérarchisée et que nombreux sont les membres de bas niveaux ne sachant pas qui se trouve dans les plus hauts grades, en fait qui dirige le sommet la « pyramide ».

Combien sont les frères qui entrent, s’infiltrent dans les nouveaux partis et dans quels buts?

Combien sont les frères qui entrent dans nos municipalités en nombre majoritaire pour en être les maîtres?

A noter que lorsqu’on est engagé dans la politique de haut niveau, il apparaît être important d’être « frère » (environ 50 % le seraient). Faute de ne pas l’être, il apparaît alors utile d’être entouré de « frères »!

Etre frère ou en être entouré sert donc bien à quelque chose, en particulier, en politique! Que l’on ne nous dise plus, comme c’est souvent le cas, que la franc maçonnerie n’aides pas les carrières des initiés, au dépends des profanes.

En fait, la franc maçonnerie m'apparaît être le bras droit de l'état...

Il paraîtrait que la franc-maçonnerie serait à l'initiative de la plupart de nos lois et

les francs maçons seraient l'élite du pays, comme par hasard, souvent en opposition aux doctrines officielles des église traditionnelles… sachant que les églises sont « le mal et ringardes » et la Franc-maçonnerie « le bien et la modernité » !

L’immoralité serait donc alors modernité! Finalement, ça doit être vrai!

Les non francs maçons, les profanes, que valent-ils? a quoi cela sert-ils qu'ils aillent voter?

Les non éclairés, c’est-à-dire la plupart d’entre nous, ne seraient-ils pas des « moutons » que l’on manipule à volonté… à la solde indirecte des « frères trois points » et de leur secte? Tous les franc maçons ne sont pas malhonnêtes, certains se sont fait embobiner, malheureusement inconsciemment, au nom de l‘idéologie de façade, comme dans la plupart des sectes!

Je suis outré de constater combien les discours des francs maçons sont démagogues, en particulier en s’attribuant des avancées humaine historiques. Il n’est pas rare de constater que des francs-maçons plus honnêtes que d’autres contestent certains points de détail comme par exemple que la franc maçonnerie serait à l’origine de la Révolution Française, que les francs-maçons auraient été déportés en masse comme les juifs pendant la dernière guerre!

Les manipulations, le mensonge, m'apparaissent être dans la nature de la franc-maçonnerie… dans ma situation vécue actuelle, dans une affaire qui m'oppose à ma municipalité, il m’apparaît exister une méthode de franc-maçon d'élimination "d'opposants politiques ou (et) économiques", lorsqu'on est à la fois Maire et franc-maçon...

Je vous cite les propos du Maire en question lors d'une question orale en conseil municipal, parlant de moi... (enregistrée sur internet) "Nous allons jouer avec lui au juge".

Evident, le Maire savait d’avance qu’il serait protégé par la justice et qu’il ne risquait rien, car au moins 50 % des juges sont franc maçon et il savait aussi que le dossier finirait évidemment par être jugé par un frère! Et là, les manipulations et les mensonges, entre frères, ça s’y connait!

J’ai été débouté à deux occasions de ma plainte au tribunal administratif de montpellier!

C'est pour cela que j'ose parler sans complexes, avec insistance, de secte mafieuse, en parlant de la franc-maçonnerie...

En conclusion, la « franc-maçonnerie et la morale » (titre de mon texte), c’est évidemment incompatible!

J’ai un problème, pour mes prochains votes… Comment puis-je éviter de voter pour un franc-maçon? Comment puis-je savoir qui est franc-maçon, qui ne l’est pas? Je crains que les seules solutions possibles soient de voter blanc ou de ne pas aller voter…

Au passage, si les francs-maçons étaient aussi respectables qu’ils le prétendent, il devrait y avoir longtemps, (depuis 2 années que je dénonce les abus de pouvoir, les manipulations dont je suis victime) que mes droits légitimes bafoués auraient été retrouvés et mes agresseurs désignés, jugés, et non protégés et que le ménage aurait été fait dans leurs rangs!

Les francs-maçons sauraient, parait-il, faire le ménage dans leurs rangs!

Pas constaté à ce jour, à mon sujet!

Je vous invite à lire la suite sur ce blog pour en savoir plus…" (Choquer Jean-Pierre)

http://lamafiadanslesuddelafrance.blogs.nouvelobs.com

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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 21:01

Act-Hope

Imaginons qu'un groupe se mette à provoquer des juifs et/ou des musulmans sur le parvis d'une synagogue et/ou d'une mosquée

Question: qui serait arrêté, ce groupe ou les juifs / les musulmans qui empêcheraient la profanation de se réaliser?
Pourquoi ce traitement cathophobe quand il s'agit de catholiques qui voudraient défendre le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris? Où est l'"égalité républicaine"? Où est la liberté religieuse pour les catholiques et le respect de leurs lieux de culte? Où sont Sarkozy, Alliot-Marie et consorts? Leurs indignations ne sont-elles qu'à sens unique?

Dernière question: de jeunes catholiques arrêtés par "la police" pour défendre leur lieu de culte contre sa profanation par des gauchistes, le début des persécutions anticatholiques?
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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 08:24

ROME, Dimanche 22 mars 2009 (ZENITH.org) -

Environ un million de personnes se sont en effet rassemblées ce dimanche matin à Luanda, capitale de l’Angola, pour participer à la messe présidée par Benoît sur l’esplanade de Cimangola, à quelque 14 kilomètres au Nord du centre ville. Une foule composée de représentants de différentes tribus et ethnies, de toute l’Afrique australe : du Botswana, du Lesotho, du Mozambique, de Namibie, de l’Afrique du Sud, du Swaziland et du Zimbabwe. A la fin de la messe, le pape a été salué par des délégations des différents diocèses du pays et de Sao Tomé et Principe qui lui ont offert des objets de l’art et de l’artisanat local.

Benoît XVI a évoqué les tragédies de l’Afrique pour mieux mettre les Africains devant leurs responsabilités. « Levez-vous ! Prenez la route. Regardez l’avenir avec espérance, ayez confiance dans les promesses de Dieu et vivez dans sa vérité. De cette façon, vous construirez quelque chose qui est destiné à subsister et vous laisserez aux générations futures un héritage durable de réconciliation, de justice et de paix », a exhorté le pape.

Les atouts de l’Afrique. « De l’Esprit Saint, vous avez reçu la force d’être les bâtisseurs d’un avenir meilleur pour votre pays bien-aimé. Dans le Baptême, l’Esprit vous a été donné pour être les hérauts du Royaume de Dieu, règne de vie et de vérité, de grâce et de sainteté, de justice, d’amour et de paix (cf. Missel Romain, Préface du Christ Roi de l’univers). Au jour de votre Baptême, vous avez reçu la lumière du Christ. Soyez fidèles à ce don, certains que l’Évangile peut affermir, purifier et ennoblir les profondes valeurs humaines présentes dans votre culture d’origine et dans vos traditions : l’unité de la famille, le profond sens religieux, la célébration joyeuse du don de la vie, la considération pour la sagesse des anciens et pour les aspirations de la jeunesse ».

Il évoquait la dure reconstruction après les dévastations des conflits : « Vous savez, de par une amère expérience, que face à la fureur inattendue et destructrice du mal, le travail de reconstruction est douloureusement lent et dur. Cela nécessite temps, effort et persévérance ».

La vérité qui rend libre. Mais le pape insistait sur l’espérance : « la parole de Dieu est une parole d’espérance sans limite », car « Dieu nous a créés dans le Christ Jésus pour mener une vie juste, pour que nos actes soient vraiment bons, conformes à la voie que Dieu a tracée pour nous (cf. Ep. 2,10) ».

« [Dieu] nous a donnés ses commandements, non comme un fardeau, mais comme une source de liberté : la liberté de devenir des femmes et de hommes pleins de sagesse, des maîtres de justice et de paix, des gens qui ont confiance dans les autres et qui recherchent leur véritable bien. Dieu nous a créés pour vivre dans la lumière et pour être lumière pour le monde autour de nous ! » a expliqué Benoît XVI.

Message de réconciliation. « L’Évangile, a-t-il expliqué, nous enseigne que la réconciliation - une réconciliation vraie - ne peut être que le fruit d’une conversion, d’un changement du cœur, d’une nouvelle façon de penser (...). Seule la grâce de Dieu peut créer en nous un cœur nouveau ! Seul son amour peut changer notre « cœur de pierre » (Ez 11, 19) et nous rendre capable de construire plutôt que de démolir. Seul Dieu peut faire toutes choses nouvelles ! »

« Je suis venu en Afrique précisément pour annoncer ce message de pardon, d’espérance et d’une vie nouvelle dans le Christ ».

Enfin, Benoît XVI a invité à reconstruire à partir de l’intériorité de chacun : « Ce travail doit commencer dans nos cœurs, dans les petits sacrifices quotidiens requis pour être fidèles à la loi de Dieu, dans les petits gestes par lesquels nous manifestons que nous aimons notre prochain - notre prochain quelle que soit sa race, son ethnie ou sa langue - dans la disponibilité à collaborer avec lui pour construire ensemble sur des bases durables ».

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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 22:03
Le commerce mondial en chute (OMC)

AP
23/03/2009

Le commerce mondial va reculer de 9% cette année, enregistrant ainsi la chute la plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale, a prédit l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 19:52


Il y a quelques temps, dans un diocèse de France a été organisée une réunion pour la "formation des formateurs des animateurs liturgiques". Une fidèle engagée dans l'animation liturgique de sa paroisse s'y rend et raconte.
Il y a beaucoup de monde: des prêtres et des laïcs "impliqués" venant de plusieurs diocèses voisins. On reconnaît les prêtres présents: ils portent un badge auquel les vulgaires laïcs n'ont pas droit et ils se font appeler "père". beaucoup se connaissent puisqu'ils appartiennent à cette même entreprise de démolition de la liturgie. Petite conversation saisie au vol:
- Salut! Alors, toujours pas de col romain? (gros rire sonore)
- Non, je survis, je résiste, même si c'est foutu pour nous.
D'entendre un tel aveu me fait réellement plaisir... Les autres laïcs présents, bien que totalement prisonniers de leurs idées déconnectées de la réalité, se gargarisent de leurs hautes fonctions auprès d'un peuple de simples fidèles qu'en réalité ils font fuir. Ils restent malgré tout persuadés que c'est eux qui sauvent et font vivre l'Eglise avec l'aide des "prêtres d'ouverture".
Ouverture sur quoi, grand Dieu? Sur le vide qu'ils ont su faire autour d'eux?
Deux prêtres membres d'une commission diocésaine de liturgie font ouvertement part de leur dépit. Ils sont démoralisés: ils ont un évêque pur produit de Benoît XVI et racontent à un troisième "Père" venu les rejoindre:
- On a un ultra conservateur, un intégriste!
- Il peut dire ce qu'il veut, nous on ne réagit pas. On bloque. Il finira bien par comprendre que de notre côté c'est l'inertie et il sera de plus en plus isolé...
Qui ne saurait reconnaître que se joue depuis des années, dans l'Eglise de France, et avec le soutien d'évêques, un complot dramatique? Il a plus ou moins capoté en catéchèse où l'on ne parle plus des "parcours catéchétiques" dont l'emploi a engendré un grand vide spirituel. Il est cependant encore bien en liturgie où dans tous les diocèse des responsables en place, officiellement nommés, qu'ils soient laïcs ou prêtres, pourrissent la liturgie de l'Eglise dans le but de porter atteinte à la foi des fidèles et, par ricochet, à l'Eglise elle-même.
A ce complot s'ajoute le silence de l'épiscopat devant les attaques dont le pape est victime. Ainsi, au cours d'une réunion de son presbyterium, un évêque aurait déclaré, parlant de Benoît XVI: "C'est bien: il finira peut-être par comprendre." C'est ce qui nous a été rapporté par des prêtres ayant assisté à cette réunion et qui en sont sortis outrés.
"J'ai été peiné du fait que même des catholiques (...) aient pensé devoir m'offenser avec une hostilité prête à se manifester." Ecrivait le pape aux évêques.
Oui, l'hostilité est bien là, dans le coeur des fidèles: et elle frappe à tous les niveaux.

Pro Liturgia
 article L'EGLISE "QUI EST EN FRANCE": LA REALITE...

Il y a cent deux ans, le pape Saint Pie X dénonçait déjà ces modernistes qui, à l'intérieur de l'Eglise, complotaient la destruction de l'Eglise:
encyclique Pascendi Domini Gregis (1907)

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23 mars 2009 1 23 /03 /mars /2009 16:10
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