Via Vox Galliae
Samedi dernier, lors de la « journée des comités professionnels du Front national », le président du FN a dit vouloir « replacer l'entreprise au coeur de notre projet pour le redressement économique de la France » et « réconcilier enfin l'économique et le social (...) pour assurer la promotion sociale du plus grand nombre ». Il a expliqué qu'il se plaçait ainsi dans le sillage des « catholiques sociaux » du XIXe siècle et renvoie dos à dos le « capitalisme débridé », « purement spéculateur », et le « socialisme collectiviste ».
S'il est élu, Jean-Marie Le Pen promet de réduire l'« étatisme », le « mondialisme ultralibéral » et le « syndicalisme français, dévoyé et moribond ».
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