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Christ Roi

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6 janvier 2007 6 06 /01 /janvier /2007 10:40

"Une civilisation ne prend fin que quand elle se retourne contre elle-même" 

 Mel Gibson, après les excellents Braveheart et Passion du Christ, revient avec un nouveau film,
Apocalypto (site officiel), sur une musique de James Horner, le compositeur déjà, entre autres de Braveheart, The Perfect Sorm (Tempête), Deep Impact, Patriot Games, Titanic, Legends of the Fall (Légendes d'Automne), Troie.

Il s'agit d'un très beau film de défense de la loi naturelle (loi que l'on retrouve dans toutes les civilisations, sorte de morale universelle) dans une civilisation précolombienne qui touche à sa fin car se retournant contre elle-même. Mel analyse la fin de la civilisation maya non par l'arrivée des Conquistadors, mais par une sorte d'auto-destruction : "une civilisation ne prend fin que lorsqu'elle se retourne contre elle-même."

Le parallèle de Mel Gibson avec la société occidentale et sa "culture de mort" (Jean-Paul II) semble assez évident. N'oublions pas que Mel est un ardent défenseur de la Tradition catholique (FSSPX), qu'il a une chapelle chez lui et a éduqué ses enfants dans la sainte foi catholique. Cette précision est importante vis-à-vis des nihilistes refusant de voir dans ce film un quelconque lien avec la loi naturelle ou avec notre civilisation occidentale en régression constante vers la barbarie depuis 1789, depuis qu'elle a tourné le dos à la transcendance. L'avortement, que l'on ne connait que dans les civilisations de la dite "modernité", tue des dizaines de milliers d'enfants chaque année en France, 6 millions en 30 ans... à raison de 200 000 en moyenne/an. Le génocide culturel et ethnique est en marche... 

Le film décrit aussi la sauvagerie de la dite "civilisation" des Mayas qui, cannibales, faisaient allègrement des sacrifices humains pour apaiser la colère de leurs dieux. Ce film vient donc à pic pour remettre les pendules à l'heure. Encore une fois un coup de maître. Merci Mel.

Critique du film Apocalypto, abbé Demets (FSSP) :

"Il y a dans ce film un crescendo, une avancée progressive dans le mal, qui nous plonge dans l’antichambre de l’enfer. [...] Mel Gibson veut certainement faire passer un message, lorsqu’il affirme que d’ « une étrange façon, la fin de la civilisation Maya a un parallèle avec notre civilisation aujourd’hui. » ...

Suite:
http://defidecatholica.blogspot.com/2006/12/apocalypto-dvoil.html#links

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